Qu’il semble révolu, ce temps d’insouciance où les femmes pouvaient circuler librement, les gambettes à l’air, dès les premiers rayons printaniers. Décivilisation oblige, aujourd’hui, en 2023, porter une tenue plus légère, c’est s’exposer a minima à des regards insistants, et parfois pire. Alors, à défaut de s’attaquer aux vraies causes de l’insécurité, le ministre de l’Intérieur fait distribuer par ses policiers des tracts préventifs, et des femmes tentent de se rassurer en adoptant cette nouvelle pratique new-yorkaise répandue sur TikTok : la subway shirt (« chemise de métro »).
Il s’agit d’un vêtement ample, oversize comme on dit dans la mode, pour cacher toute forme de féminité. Malgré les fortes chaleurs, ces femmes l’enfilent par-dessus leur tenue avant de monter dans les transports en commun pour éviter ce que cette Américaine décrit comme les « créatures du métro ».
Dans son rapport annuel 2023 sur l’état des lieux du sexisme en France, publié le 23 janvier dernier, le Haut Conseil à l’Égalité indiquait que « 9 femmes interrogées sur 10 affirment anticiper les actes et les propos sexistes des hommes et adoptent des conduites d’évitement pour ne pas les subir ». Par ailleurs, 55 % des femmes renoncent à sortir ou faire des activités seules, et 52 % à s’habiller comme elles le souhaitent. Quelle est cette société où la femme est obligée de se voiler pour ne pas échauffer des esprits à la vue d’une épaule dénudée et de sortir accompagnée pour éviter de se faire agresser ?
On comprendra aisément que les tenues aguicheuses des influenceuses mettent en émoi des garçons dont l’éducation affective est souvent limitée aux contenus pour adultes qu’ils ont ingurgités. Est-ce aux femmes de changer leur manière de s’habiller ou aux hommes leur façon de les regarder et les approcher ? À l’évidence, les deux, mon général ! Par définition, le point d’équilibre se trouve dans le juste milieu, ni trop, ni trop peu.
En rejetant toute notion de morale et, donc, de référence au bien et au mal, au profit d’un individualisme libertaire, la société récolte des fruits gâtés. D’un côté, des femmes qui se croient libres d’adopter des tenues, en réalité codifiées par les plates-formes imposant les codes de l’hypersexualisation. Mais qui les assument en s’imposant, par moment, un accoutrement moins tentant. Et, de l’autre, à l’inverse, des femmes qui préfèrent se voiler pour éviter de se faire remarquer. In fine, où est la vraie liberté de la femme ?
Certes, ces subway shirts mettent en lumière le scandale de l’insécurité galopante dont sont victimes les femmes, obligées d’en arriver là. Le constat est dramatique, en 2023, et l’État ne remplit pas, manifestement, sa mission de protection. Pour autant, cette « chemise de métro » ne remédie pas au problème. Pour preuves ces témoignages de tiktokeuses : « Je m’habille de manière très convenable et je continue d’être prise à partie » ; « Idem, je porte des vêtements amples et aucun maquillage, et on continue de m’ennuyer » ou encore « J’ai beau ressembler à un Gremlin, il y a toujours un homme pour m’accoster ». La question de l’insécurité ne saurait être réglée par des grandes chemises, et la femme n’a pas à renoncer à sa féminité pour rester en paix.
Pour autant, si le féminisme réclamait, il y a quelques années encore, de n’être ni pute ni soumise, il semblerait que la femme 2023 se soit un peu égarée et peine, parfois, à trouver cette troisième voie…
Dr David Martin – Origine du SARS Cov II – Bioterrorisme d’Etat
La video fait 23 minutes, c’est passionnant et éclairant, c’est le moins que l’on puisse dire. Et cela met des mots, des faits et des dates sur ce que nous dénonçons, imaginons, comprenons… depuis plus de 3 ans. J’ai transcrit la majeure partie de la conférence, j’ai commencé quelques minutes aprés le début.
Une pandémie spécifique utilisant les coronavirus a commencé à une époque bien différente .
Le coronavirus en tant que agent pathogène a été isolé en 1965 comme le premier modèle viral répliquable infectieux pouvant être utilisé pour modifier une série d’éléments de la condition humaine. Il a été isolé à une époque où il était associé au simple rhume.
Mais ce qui est particulièrement intéressant au niveau de son isolation c’est qu’il a été immédiatement identifié comme agent pathogène pouvant être modifié et utilisé pour toute une série d’objectifs. C’était en 1965. Ces diapositives sont du domaine public, vous pouvez vérifier chaque référence. Tous les commentaires que j’ai faits sont fondés sur les documents publiés.
En 1966, le tout premier COV, modèle de Coronavirus, a été utilisé dans le cadre d’une expérience biologique transatlantique de manipulation humaine ! Il s’agit là d’un évènement préparé depuis longtemps. En 1966 il y a eu la première expérience transatlantique d’échange de données sur coronavirus entre les USA et le Royaume Uni.
En 1967 nous avons réalisé les premiers essais d’inoculation de coronavirus modifié à des êtres humains.
Où étions-nous, quand nous avons autorisé, en violation des traités sur les armes biologiques et chimiques , quand nous avons pensé qu”il était acceptable de prélever un agent pathogènes des USA et d’en infecter le monde entier ?
En 1967, cette discussion n’a pas eu lieu… Ironiquement, le rhume a été transformé en chimère dans les années 1970.
En 1975, 1976 et 1977 nous avons commencé à chercher comment modifier le coronavirus en l’introduisant dans différents animaux, les porcs et les chiens. Et sans surprise, en 1990, nous avons découvert que le coronavirus, en tant qu’agent infectieux, était un problème industriel pour principalement 2 industries, les industries du chien et du porc.
Les éleveurs de chiens et de porcs ont constaté que le coronavirus provoquait des problèmes gastro-intestinaux, c’est sur cette base que Pfizer a déposé le brevet du premier vaccin à base de protéine de pointe (spike) contre le coronavirus en 1990 !
Déposé en 1990 ! Avez-vous entendu ce que je viens de dire, l’opération war speed, vitesse Grand V. N’est-ce pas fascinant que l’on nous ait dit que la protéine de pointe était une nouveauté et qu’on nous ait dit que c’était une nouveauté ? NON ! Nous n’avons pas découvert le problème maintenant, nous l’avons découvert en 1990 quand nous avons déposé en 1990 le premier vaccin contre la protéine de pointe du coronavirus !
Et qui d’autre que Pfizer, la compagnie qui ne fait rien d’autre que de promouvoir la santé humaine ! C’est clair. La compagnie qui n’a pas acheté les votes de cette Assemblée et ceux de tous les gouvernements du monde, pas ce pfizer-là ! Oh si ! Ils y sont pour quelque chose !
Et en 1990 ils ont découvert qu’il y avait un problème avec les vaccins, ils ne fonctionnaient pas. Savez-vous pourquoi ? Il s’avère que le coronavirus est un modèle très malléable, qui se transforme, change et mute au fil du temps.
Et toutes les publications sur le coronavirus, de 1990 à 2018, chaque publication a conclu que le coronavirus échappe à la stimulation vaccinale ! Parce qu’il se modifie et mute trop rapidement pour que les vaccins soient efficaces.
Et c’est ce qui a été publié de 1990 à 2018, c’est ce que l’on appelle la science, Mesdames et Messieurs. Un programme qui disait que ça ne marchait pas. Il existe des milliers de publications sur ce sujet. Et qui ne sont pas payées par des sociétés pharmaceutiques ! Toutes montrent que les vaccins ne sont pas efficaces contre les coronavirus. Cette science n’a jamais été contestée.
Cependant une évolution intéressante s’est produite en 2002, cette date est très importante. En 2002, l”université de Chapel Hill en Caroline du Nord a breveté un clone infectieux de coronavirus dont la réplication est défectueuse; “infectieux à réplication défectueuse”. Cela signifie qu’il s’agit d’une arme. Il s’agit d’une arme destinée à cibler un individu sans causer de dommages collatéraux à d’autres individus. Ce brevet a été déposé en 2002 sur la base de travaux financés par le NIAID de Fauci .
Ces travaux ont mystérieusement précédé d’un an le SRAS.1.0.? Non, je ne suggère rien, ce sont les faits.
NOUS AVONS FABRIQUE LE SARS ! Le SRAS n’est pas un phénomène naturel. Le phénomène naturel s’appelle le RHUME ! Il s’agit d’une maladie de type grippal, il s’agit d’une maladie de type gastro-entérite. C’est le coronavirus naturel.
Le SRAS est le résultat d’une recherche menée par des humains qui ont utilisé un modèle de système de vie pour s’attaquer à des êtres humains et ils l’ont breveté en 2002.
Et en avril 2003, surprise de taille, le CDC a breveté le coronavirus humain. En violation, une fois de plus, des traités sur les armes biologiques et chimiques aux USA. Ils ont téléchargé une séquence en provenance de Chine et ont déposé un brevet sur cette séquence aux USA. C’est un crime, il ne s’agit pas d’une erreur innocente.
L’office américain des brevets a rejeté 2 fois cette demande de brevet, jusqu’à ce que les CDC décident de corrompre l’office des brevets pour qu’il passe outre et délivre en 2007 le brevet sur le coronavirus SRAS.
Et la RT-PCR qui allait être le test que nous allions prétendument utiliser pour identifier le risque associé au coronavirus qui a été identifié par moi comme un acte de bio-terrorisme.lors des évènements organisés par l’UE en 2002 et 2003, il y a 20 ans. Cela s’est passé ici et dans toute l’Europe.
En 2005, ce pathogène a été spécifiquement qualifié de plate-forme spécifique pour le bio-terrorisme et les armes biologiques. A partir de 2005 il s’agissait d’un agent permettant de mener une guerre biologique.
Technologie permettant la guerre biologique c’est la définition de la santé publique ? Cela ne ressemble pas à de la médecine, cela fait penser à une arme conçue pour éliminer l’humanité !
On nous a demandé d’ignorer les faits, à savoir que plus de 10 milliards de dollars ont été acheminés par le biais d’opérations secrètes grâce aux chèques de Fauci et un registre parallèle. Et cela dure depuis 2005.
Ils ont bidouillé de sorte à pouvoir publier en 2016 un article affirmant que le SRAS coronavirus était prêt à émerger chez l’homme.
Le SRAS coronavirus était-il prêt à émerger chez l’homme ? C’était le Virus 1 de l’institut de virologie de Wuhan…
Alors, en 2017, 2018, la phrase suivante apparut dans les labos : il va y avoir une libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire.
Le mot-clé de cette phrase est évidemment “libération”.
Est-ce que cela ressemble à une chauve-souris ou à un pangolin qui serait entré dans un bar du marché de Wuhan ? auraient traîné ensemble, auraient eu des relations sexuelles et voilà que nous aurions eu le SRAS COV 2 ?
L’expression libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire a été utilisée 4 fois en avril 2019. 7 mois avant le soi-disant patient numéro 1 ! 4 demandes de brevet de Moderna ont été modifiées pour inclure l’expression libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire afin de justifier la fabrication d’un vaxxin pour une chose qui n’existait pas.
Veillez à ce que chaque enquête fasse référence à la nature préméditée de cette affaire.
C’est en septembre 2019 que nous avons été informés qu’il allait y avoir une libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire, de sorte que en septembre 2020 il y aurait une acceptation mondiale d’un modèle de vaccin universel.
Ce sont leurs mots, juste devant vous, à l’écran. L’objectif était d’amener le monde à accepter un modèle de vaccin universel et d’utiliser le coronavirus pour y parvenir.
En attendant qu’une crise des maladies infectieuses soit réellement présente et au seuil d’urgence qui est souvent largement ignoré, pour maintenir la base de financement au-delà de la crise, nous devons mieux faire comprendre au public la nécessité de contre-mesures médicales telles qu’un vaccin universel contre la grippe ou le coronavirus.
Les medias sont un moteur essentiel et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage médiatique à notre avantage pour nous attaquer au vrai problème. Les investisseurs réagiront s’ils voient un avantage à la fin du processus. Cela ressemble à de la santé publique ? Cela ressemble au meilleur de l’humanité ? Non, il s’agit d’un terrorisme domestique prémédité déclaré dans les actes de l’Académie des sciences en 2015.
Il s’agit d’un acte de guerre biologique et chimique perpétré contre la race humaine et il a été admis par écrit qu’il s’agissait d’un hold-up financier et d’une fraude financière.
La nature a été piratée
Tout cette histoire a commencé en 1965 quand ils ont décidé de pirater un modèle naturel et de commencer à le manipuler.
La science a été piratée.
Les seules questions qui pouvaient être posées étaient des questions autorisées sous la protection des brevets des CDC, FDA, NIH… et de leurs organisations équivalentes dans le monde entier.
Nous ne disposions pas d’une science indépendante, mais d’une science détournée.
Et malheureusement il n’y a pas eu de contrôle moral en violation de tous les codes que nous défendons. Aucun comité d’examen, financièrement désintéressé, n’a jamais été mis en place autour du coronavirus. Pas un seul. Pas depuis 1965.`La moralité a été exclue des contre-mesures médicales..
En fin de compte, l’humanité a été perdue parce que nous avons permis que cela se produise.
Fini la militarisation de la nature.
Plus de mécénat de la science par les entreprises dans leur propre intérêt à moins qu’elles n’assument à 100% la responsabilité du produit pour chaque effet secondaire et chaque décès qu’il produit.
Merci à Maxime d’aborder ce terrible et -crucial-, il a raison, sujet sous un angle politico-philosophique. On peut être en désaccord avec lui sur certains des points qu’il énumère mais sa conclusion est imparable et très juste. Merci mille fois pour cet article qui devrait circuler partout et notamment dans les écoles.
Christine Tasin
Mon article n’est sûrement pas des plus politiquement corrects. Mais je m’interroge quant à ces “harcèlements scolaires” qui débouchent sur des suicides d’adolescents.
D’abord, comment un adolescent peut-il en arriver à se suicider ?
Il faut une force particulière tant physique que morale pour franchir le pas du suicide. L’instinct de vie, de survie est normalement plus fort. Même quand on vit des moments difficiles, on s’accroche. Le monde moderne offre tout un tas d’activités, de dérivatifs pour oublier. On n’est plus à l’époque où il n’y avait pas de moyen de transport, pas de technologie, la guerre empêchant les loisirs, etc.
Un adolescent dont le corps se forme, n’est pas malade, usé, handicapé, exténué, ne devrait pas avoir la force de se suicider. Il n’a rien qui le condamne physiquement à ne plus vivre, contrairement à qui se voit affronter cancers sur cancers, maladies de Crohn, maladies orphelines qui n’intéressent pas l’industrie pharmaceutique, etc. Donc rien qui peut pousser l’être humain normalement constitué à se supprimer physiquement.
Quel est ce monde où les enfants, les adolescents ne tiennent pas à la vie ? Que s’est-il passé dans leur éducation pour qu’on ne leur inculte pas que rien ne vaut la vie ?
Comment peuvent-ils accéder à des moyens de se suicider alors qu’ils n’ont légalement pas le droit d’en acheter ?
Certes tout le monde peut s’ouvrir les veines avec un couteau, mais comment un “bout de chou” peut-il avoir la force morale de passer à l’acte alors qu’il n’a pas celle de surmonter des moqueries ou des coups de gamins de son âge (donc normalement pas aussi forts, eux-mêmes, que des adultes) ?
Où trouvent-ils la force, comment les “harceleurs” auraient-ils vraiment la force de les faire plonger alors que ce sont eux-mêmes des adolescents donc pas encore des adultes avec toute la force physique et mentale qui va normalement avec ?
Où sont les surveillants quand les coups pleuvent ? Où sont les professeurs, les chauffeurs de bus, les autres parents, les autres enfants ?
Quand j’étais au collège, aucun enfant n’aurait pu être tabassé car il n’était jamais seul. Un enfant qui aurait été frappé aurait été défendu par un autre, un surveillant serait intervenu. Un enfant mal aimé aurait été aimé d’autres qui auraient compati et qui l’auraient défendu.
Comment cela a-t-il pu changer ? En étant très loin d’être une grenouille de bénitier, n’est-ce pas dû à un recul majeur des valeurs chrétiennes en quelques décennies ? Ainsi qu’un effondrement des services publics, qui ont vocation à diffuser un succédané de ces valeurs (les valeurs chrétiennes infusées dans les mécanismes républicains, c’est l’originalité de la France finalement) ?
Pourquoi ces enfants ne sont-ils pas retirés de l’établissement par mesure de précaution ? Les parents travaillent, sans doute, mais n’y a-t-il pas un grand-parent pour s’en occuper ? Trop occupés à partir en vacances en camping car ? Pas de temps pour les petits-enfants ?
Où est la famille dans ce schéma ? Où sont les amis, les gens solidaires pour faire nombre, alerter, exiger de rencontrer rapidement des responsables, faire pression ? Où sont “les parents d’élèves”, les syndicats, les enseignants, pour manifester devant l’établissement, faire un blocage comme savent le faire certains dès qu’une réforme remet en cause leur métier ?
Où sont les parents des harceleurs ? Que ne répondent-ils pas du comportement de leur enfant ? Pourquoi ce dernier n’est-il pas exclu de l’établissement ?
Si j’avais subi un harcèlement scolaire me rendant malheureux comme ces enfants, mes parents m’auraient retiré du collège, quoi qu’il en coûte, et auraient trouvé une solution. Cela aurait été l’école à la maison peut-être, ou même plus d’école et ils auraient mobilisé les institutions, les médias en dernier lieu pour expliquer leur démarche et ne pas risquer un retrait d’autorité parentale. Ils auraient demandé de l’aide à la famille, aux amis, aux voisins… remué ciel et terre. Pas du genre à s’exhiber mais pour des faits aussi graves, ils ne seraient pas restés à ne rien faire.
Pourquoi ne lit-on pas de cris désespérés de parents d’enfants harcelés dans les colonnes des journaux quotidiens ? Ces journaux sont-ils trop occupés à faire la propagande du gouvernement ?
Comment un parent peut-il laisser ainsi son enfant sombrer et attendre l’irréparable pour pleurer ?
Dans ces affaires, il est question de rechercher la responsabilité des uns et des autres… pour toucher des millions d’euros d’indemnisation ? Là encore, c’est l’influence américaine qui se fait sentir. Historiquement, la France n’est pas un pays contentieux où les procès en responsabilité pleuvent. Cela nous vient des Etats-Unis.
Chez nous on cherchait à prévenir, déminer les situations dangereuses et on n’avait pas le réflexe d’agir en responsabilité contre l’Etat pour recevoir une somme qui, de toute façon, ne dédommage absolument rien. On est le pays de la Révolution de 1789, où nous avons dit “l’Etat, c’est nous” en réponse aux Louis qui disaient que c’était eux. On n’a pas la culture d’aller taper dans la caisse publique au moindre désagrément.
A mon époque les enfants ne se suicidaient pas pour harcèlement scolaire et ils recevaient de vrais prénoms, dont la plupart sont dans le calendrier, ce qui leur vaut de se voir souhaiter “leur fête”, souhait certes insignifiant s’il en est mais qui marque une appartenance à un groupe social qui l’englobe, un sentiment d’être humain et non une petite chose ou un petit animal.
Combien d’enfants auxquels on donne désormais des prénoms fantaisistes qui pourraient être attribués à un animal ?
Je lis quotidiennement les avis de décès dans mon journal. D’abord, parce qu’il peut y avoir des gens que je connais et dont le décès me touche. Ensuite, parce que c’est un miroir de la société, un laboratoire de sociologie appliquée. Et franchement, c’est la cata.
La première génération avec ses Maurice, ses René, ses Jacques, ses Geneviève, ses Paulette et ses Robert décède (en général). La seconde avec ses Isabelle, Magali, Olivier, Pierre, Nicolas ou Evelyne, les enfants, figure en deuxième position. Puis la troisième dans l’ordre protocolaire et chronologique des générations, avec ses Paul, Julie, Eugénie, Bastien, Agathe, Thomas, Arnaud ou Camille…
Ensuite, pour la 4ème génération, c’est du grand n’importe quoi.
Les enfants reçoivent des prénoms imprononçables, on ne sait pas si ce sont des garçons ou des filles, on pourrait avoir appelé ainsi le chat ou le chien de la maison.
Certes, il reste quelques Louis, Léa, Emilie, Anaïs ou Juliette mais ce n’est plus monnaie courante (Lola, nom du chat d’un amie, passe encore). Alors à mon avis, la responsabilité des parents doit aussi être questionnée.
Comment en arrive-t-on à donner à son enfant un prénom étranger qui dénote avec ses ascendants aux prénoms français et de sang français ? Ou un prénom bricolé avec fantaisie, sorti de nulle part, dont on est fier comme d’un nouveau modèle de voiture ou un vêtement qui sort de l’ordinaire ? On fait son pédant en annonçant le modèle de sa voiture ou le prénom de son fils…
Comment ça se fait qu’avant, on savait qu’en appelant Jean-Pierre, Mireille, Sylvie, Mathieu ou Sébastien, le père ou la mère n’appelait pas le chien de la maison ?
Parce que maintenant, quand on appelle Luna, Maya, Joy, Marley, Charlie ou Laïka, on ne sait pas si c’est l’enfant ou le chien ?
Mon coiffeur me disait que ses clients les plus sales étaient des très vieux (syndrome de Diogène, problèmes physiques empêchant parfois de bien se laver ou de se rendre compte de sa saleté) ou, à l’opposé, des mineurs à qui les parents n’apprennent plus à se laver.
D’où des cheveux qui sentent mauvais (les parents ne savent pas répondre quand il demande de quand date le dernier shampoing), des oreilles crasseuses etc. qui lui donnent envie de vomir.
Comment en arrive-t-on à nommer son enfant d’un prénom qu’on aurait pu donner au chien, au chat, à la tortue ou au poisson rouge ? Comment se fait-il que des enfants ne savent pas se laver ?
Qu’est-ce que ça signifie de la conception qu’on a de l’enfant en 2023 ? C’est une petite chose, une poupée, un éternel poupon ? Un petit animal abandonné à lui-même ?
Qu’est-ce qu’on leur met dans le ventre, aux enfants du XXIème siècle ? Comment on leur apprend à se défendre, se construire, comment sont-ils accompagnés ?
Comment est-ce possible qu’un enfant se suicide parce qu’on se moque de ses lunettes, parce qu’il n’a pas de smartphone et qu’il est le seul de la classe dans ce cas ?
C’est tellement insignifiant par rapport à ce que subissaient les enfants des générations précédentes, dont le père était mort à la guerre, dont la mère était fille-mère dans un village où les ragots circulaient, ou encore les enfants élevés dans des fermes aux apparences vestimentaires complètement décalées par rapport aux autres ? Les enfants de la campagne qui passaient pour des arriérés quand ils arrivaient au lycée ? Ceux des HLM qui étaient scolarisés avec les fils de bourgeois des quartiers huppés ? Les enfants de famille nombreuse confiés à des grands-parents, des oncles et des tantes car la maman n’avait pas l’énergie de tous les élever ? Et les nombreux enfants de l’assistance publique, abandonnés…
Ils ne se suicidaient pas, eux, comment cela se fait-il ?
On leur offrait une orange à Noël, ils n’avaient pas de smartphone et portaient les vêtements des grands frères et grandes soeurs sans remarque des autres élèves.
Dans ces affaires, on suggère parfois que les harceleurs sont issus de l’immigration et que ça expliquerait comment les choses ont évolué. C’est peut-être parfois le cas, mais ça n’explique pas tout. Le problème sous-jacent, n’est-ce pas la conception que certains parents ont de l’enfant ? N’est-ce pas cela qui a changé, en plus du reste ?
Et la sauvagerie des harceleurs, pourquoi a-t-elle augmenté ? Parce que le monde qu’on leur a fabriqué et qu’on continue de leur présenter est plus sauvage, non ? C’était mieux avant, non ? Voilà le bilan des tendances politiques qui gouvernent depuis 40 à 50 ans : ici comme ailleurs, catastrophique !
Ces enfants comme leurs parents sont déracinés. Le prétendu engagement du gouvernement contre le harcèlement scolaire ne règlera pas les problèmes de fond, de nature identitaire, problèmes que nie ce gouvernement prétentieux.
C’est ce qu’ils ont fait de l’être humain qui est en cause, à force de manipulations, de passages en force, de mépris, de postulats que tout se vaut, de stigmatisation de ceux qui disent le contraire comme étant extrémistes, en les insultant ou en les faisant condamner en justice.
Ils ont enfermé les nouvelles générations dans un carcan, une prison mentale à ciel ouvert, où l’on ne réfléchit plus, où l’on ne se construit plus par l’esprit critique et la capacité à dépasser les critiques et les attaques en puisant en soi la ressources de répondre, se défendre, faire face.
C’est ce qui explique que des enfants à qui on n’a même pas attribué un prénom qui soit français, ou au moins humain sans ambiguïté, s’effondrent comme se briserait en mille morceaux un objet en porcelaine qu’on ferait tomber.
Une séquence surréaliste d’un inquiétant ministre qui se perd dans ses explications.
C’est la faute du téléphone… malaise. Ouiii heueueue ouiiiii Heuheuheu, ben le téléphone ne passait pas. Heueueueu
C’est compliqué de composer un numéro : il y a plein de touches et elles ne sont pas dans le bon ordre..
En résumé il n’a rien fait pendant tout ce temps.
Pas un mot pour la famille.
Il essaye de sauver la face, l’hypocrisie est en marche.
Extrait vidéo de ce menteur pathétique :
Près de trois semaines après le suicide de Lindsay, la famille de cette collégienne de 13 ans qui s’est donné la mort le 12 mai après avoir subi du harcèlement scolaire, a dénoncé lors d’une conférence de presse les défaillances, les dysfonctionnements, le manque de soutien et de réponse apportés face à la situation vécue par la jeune fille.
“On nous a lâchés” affirme la mère de la jeune fille, en larmes lors de cette conférence. Quant à l’avocat de cette mère désespérée il a regretté que le Ministre de l’Education n’est pas pris soin de passer un coup de fil à cette mère de famille en détresse.
Invité hier soir de BFM TV, Pap Ndiaye a annoncé avoir saisi l’Inspection générale d’une enquête administrative. Mais interrogé sur le fait de savoir si il avait contacté la famille, le Ministre s’est noyé dans des explications vaseuses, finissant par admettre “qu’il n’arrive pas à la joindre” mais qu’il pense réussir à lui parler dans les prochaines heures. (https://www.jeanmarcmorandini.com/)
Cet hypocrite a attendu que la famille parle publiquement : ce n’est pas maintenant qu’il fallait la contacter, c’était bien avant…Mais une fille française blanche n’est pas la priorité de ce gouvernement.
Tout est faux… il n’ a pas appelé, son cabinet a envoyé un SMS… l’ignominie d’un ministre trop occupé avec l’éducation sexuelle :
Lecteur vidéo
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Ce tocard magistral n’a rien à faire à l’Education nationale !
“Salauds de Français, si vous ne m’obéissez pas au doigt et à l’œil, je vous emmerderai jusqu’au trognon”avait promis le despote. Il a tenu parole. Jusqu’aux Trogneux.
Faux vaccins mais vraies victimes partout en France
Alors que, du monde entier, des informations inquiétantes continuent à nous parvenir, on s’obstine en France à nier la corrélation entre les piquouses et la mort, quelques heures ou quelques jours plus tard, de personnes en excellente santé… Avec des victimes qu’on ne peut plus cacher, les enfants et les sportifs, à la différence des vieux qu’on estompe dans les comorbidités.
Fièvres, fatigue, céphalées, allergies, quand la vaccination se passe à peu près bien. Maladies cardiovasculaires, paralysies, embolies pulmonaires, phlébites, AVC quand ça tourne au désastre. Troubles psychologiques quand les neurotransmetteurs modifiés altèrent durablement le comportements des cobayes.
Une vache folle dans les vaccins ARNm
La protéine Spike « favorise » les prions, ces agents pathogènes qui utilisent dans l’organisme hôte des cellules saines ou des fragments de virus pour provoquer des dégénérescences du cerveau et du système nerveux, proches de l’encéphalite spongiforme.
Les nanoparticules d’ARNm ne restent pas dans le tissu musculaire comme prétendent les médicastres soudoyés par Big Pharma. Elles migrent de cellule en cellule dans tous les organes avec des concentrations parfois létales. Absorbées en continu par le foie et la moelle osseuse, elles occasionnent des cancers. Sévissant dans les gonades elles contribuent à générer des débiles.
Vaccinators, des tueurs en série payés par le gouvernement
Les gouvernants ne pouvaient plus dire qu’ils ignoraient les conséquences des mixtures de Big Pharma. Trop de témoignages à charge et d’expertises. Pourtant, malgré les effets nocifs constatés, ils continuaient d’inciter des médecins corrompus à piquer le maximum de cobayes. Avec des primes et avantages financiers. Un scandale qui s’ajoute à celui du Rivotril.
Tandis que le nombre de victimes des pseudo-vaccins, morts et handicapés à vie, ne cessait de s’accroître, la mafia macronesque multipliait les menaces, intimidations et chantages contre les médecins honnêtes qui dénonçaient leurs crimes contre l’humanité. Tout en traitant les lucides, réticents à leurs expérimentation criminelles, comme des sous-citoyens privés des droits élémentaires garantis par la constitution.
L’appareil d’État au service de la mafia des faux vaccins
Malgré la propagande provax matraquée sur les chaînes de désinformation continue par des toubibs à la ramasse et des journaleux perroquets, la rengaine selon laquelle les opposants seraient tous des ignares, sinon des analphabètes, perd toute crédibilité quand des pointures remettent en cause les mensonges officiels. Pour les museler, on en fait des délinquants. Comme dans toutes les dictatures.
L’acharnement abject à viser de nouveau Didier Raoult, pourtant à la retraite, vient de la crainte que les crimes des piquousards finissent par apparaître en pleine lumière. Y compris aux yeux des crétins téléphages, restés patraques après avoir reçu leurs doses de poison. Alors, ils anticipent des ripostes tortueuses.
« L’immonde » torchon subventionné du gouvernement mène le bal. Selon cette officine de propagande, seize « sociétés savantes » ont exigé le 28 mai 2023 que les autorités infligent de lourdes sanctions à Didier Raoult. Dénonçant par une inversion accusatoire devenue l’arme de prédilection des crapules « le plus grand essai thérapeutique sauvage connu » mené par l’ancien patron de l’IHU de Marseille, avec l’hydroxychloroquine.
Les délateurs considèrent que « la prescription systématique, aux patients atteints de Covid-19, de médicaments tels que l’hydroxychloroquine, le zinc, l’ivermectine ou l’azithromycine était dépourvue de bases pharmacologiques solides. Ce qui, selon eux, n’était pas le cas des thérapies expérimentales non homologuées, mijotées à la va-vite, qualifiées de vaccins-miracle imposés en violation des disposition du Code de Nuremberg… Et dont on mesure à présent les nuisances criminelles.
Les attaque contre l’HCQ entre mensonges et crimes d’État
« The Lancet » était une revue médicale de référence. Jusqu’à ce qu’en 2020, des preuves de fraudes, de corruption et de partialité ternissent son image lors d’une évaluation succincte de l’hydroxychloroquine. Avec une étude à sens unique, aux conclusions dictées par Big Pharma, d’un parti pris insensé de la part de gens se prétendant scientifiques. Lesquels furent fustigés par leurs pairs en grand nombre. Sans qu’on le mentionne jamais en France.
Quand plus de 50 pays ont publié des comptes rendus médicaux prouvant que ce médicament a épargné des centaines de milliers de vies et aurait pu en sauver beaucoup en France sans les indignes polémiques et l’interdiction d’une molécule utilisée sans dommages depuis 70 ans, afin de ne pas écorner les super-profits de Big Pharma.
Jusqu’à Macron, les dictatures néofascistes s’installaient en montrant leur force et en pratiquant l’intimidation et la violence avant même d’arriver au pouvoir.
Le paltoquet a attendu d’y être installé pour révéler sa vraie nature, tout en surjouant le numéro du conducator BCBG à visage humain. Avec un CV sur mesure, une invraisemblable histoire d’amour, des propos mielleux masquant son air chafouin, et une emphase rhétorique pour enrober son hystérie. Ainsi ce caractérielpsychopathe a détourné les institutions verticales de la Ve République pour faire de la France un royaume d’Ubu Roi sous la férule de ses tontons macoutes.
Des flics obtus et des juges ignares évaluent les savants !
Parmi les victimes de la vindicte de Big Pharma, le premier otage servant à intimider les réfractaires fut le professeur Jean-Bernard Fourtillan, moins bien traité qu’un malfaiteur de bas étage. Privé de la présomption d’innocence, d’une procédure contradictoire et d’un jugement public. Sans que personne parmi les prétendus défenseurs des droits humains ne s’en émeuve.
Ce brillant universitaire alors âgé de 78 ans, dépositaire de 50 brevets internationaux, avait osé dénoncer publiquement sur divers médias et dans le film « Hold-Up » les crimes sanitaires d’un tyran caractériel qui ne supporte pas d’être contredit par des gens infiniment plus calés que lui, et recourt aux lettres de cachet pour les bâillonner.
Libéré après une mascarade de 10 jours d’emprisonnement politique psychiatrique, Fourtillan fut aussitôt réembastillé pendant 5 mois, sans procès. Et enfin libéré sur l’engagement de ne plus jamais faire aucune déclaration publique sur le covid. Moralement brisé. On le serait à moins.
Dans la foulée, le professeur Didier Raoult se voyait retirer la plupart de ses habilitations avant d’être « placardisé », tandis que le professeur Christian Perronne, ancien président du Haut conseil de la santé publique et spécialiste des maladies virales émergentes, était révoqué. D’un trait de plume. Sans autre grief que d’avoir contrarié le psychopathe élyséen.
De leur côté, la généticienne de réputation internationale Alexandra Henrion-Caudé, ancienne directrice de recherche à l’INSERM, fut mise à la retraite d’office à 50 ans, tandis que le professeur Luc Montagnier encore vivant à l’époque, prix Nobel 2008 de médecine et de physiologie, subit les invectives, les quolibets, les injures et l’acharnement de crapules médiatiques qui ne lui arrivaient pas à la cheville, stipendiées pour le faire passer pour un vieux fou.
Ces sommités ne doivent pas faire oublier les milliers de médecins, infirmiers, biologistes, pharmaciens, soumis aux pressions constantes de leur autorité de tutelle ou de leur hiérarchie pour falsifier les diagnostics et les résultats, et menacés quotidiennement d’être interdits d’exercer leur métier s’ils émettaient seulement des réserves sur les diktats d’Ubu Roi imposant les expérimentations aussi crapuleuses que juteuses de ses sponsors de Big Pharma.
Didier Raoult, l’homme à abattre pour l’exemple
En avril 2023, l’Agence du médicament (ANSM) a estimé que l’utilisation de l’hydroxychloroquine « expose les patients à de potentiels effets indésirables qui peuvent être graves ». Tandis que les faux vaccins, naturellement inoffensifs, seraient la panacée universelle !
Le parquet de Marseille avait déjà ouvert en juillet 2022 une information judiciaire, reprochant à Raoult d’avoir fait des expériences non autorisées sur des personnes humaines… L’HCQ, utilisée depuis des décennies sans effets nocifs, ayant été brutalement interdite et classée comme poison par la Buzyn… que le dictateur a su récompenser à sa juste valeur. Postes juteux, décorations et immunité judiciaire.
En attendant, des médias serviles claironnent que Raoult serait devenu partisan des merveilleux vaccins ! Et les macronards le menacent de prison sans procès, comme Fourtillan, s’il dément cette désinformation… Pour l’intimider, on a perquisitionné deux fois ce scientifique de premier plan, alors que les flics ont ordre de ne pas forcer la porte des trafiquants de drogue exotiques. Pour éviter des incidents, paraît-il.
Mais Raoult a répondu publiquement qu’il utilise HCQ depuis 30 ans contre les maladies infectieuses sans effets secondaires néfastes. Etqu’en ce qui concerne le Covid, « le taux de mortalité constaté auprès des personnes hospitalisées à l’IHU de Marseille était inférieur à n’importe quel service en France ».
Les Africains l’ont échappé belle !
Ou l’avantage d’être pauvres. Ne pouvant acheter pour des millions de dollars les mixtures pourries de Big Pharma, ils se sont soignés avec les moyens du bord. Phytothérapie, baumes, décoctions, placebos et auto-persuasion. Après tout, le covid n’était pas pire qu’une méchante grippe. Loin de l’image effrayante d’une pandémie pangolinesque assénée par les médias-menteurs.
Tous les pseudo-scientifiques qui la ramènent à la télé doivent ignorer que l’Afrique, dont le maillage sanitaire laisse sérieusement à désirer, fut le continent le moins touché par le covidus macronibus. Même un béotien qui a un peu voyagé sait que, là-bas, les dispensaires et les ONG distribuent de la nivaquine sous diverses formes et marques, à titre curatif ou préventif contre la malaria.
Or ce médicament est chargé en chloroquine. Laquelle circule à travers l’organisme avant de se fixer dans les globules rouges et dans les tissus contenant de la mélanine (peau, rétine). Un avantage pour les Noirs. Mais pas que… Le soleil ou des bronzages UV pour les épidermes clairs peuvent compenser.
Et tandis qu’on empêchait les gens de se soigner, Big Pharma capitalisait les dollars
Bien avant les batailles d’experts téléguidées pour accabler les vrais soignants qui avaient choisi de combattre la maladie plutôt que de s’en remettre aux instructions tendancieuses des autorités, des chercheurs en neurosciences du « King’s College » de Londres avaient publié des études portant sur 24 épidémies récentes : Sras, Ebola, grippes saisonnières.
Leurs conclusions : les affections physiques et psychiques liées au confinement dans l’immédiat et, par la suite, provoquées par des vaccins inadaptés dans un contexte de crainte irrationnelle entretenue par une propagande délirante, sont plus préjudiciables que les effets d’un virus.
On peut alors se poser la question : la panique hystérique soutenue par les médias justifiant l’enfermement policier de tout un pays, puis le port obligatoire d’un masque inefficace pour protéger d’un virus que les vrais médecins savaient combattre, des couvre-feux aux horaires surréalistes et des documents ubuesques associés à des amendes arbitraires assénées sans discernement par des flics obtus, ne trahiraient-ils pas l’intention d’instaurer une dictature à la chinoise ? Le rêve fou d’un psychopathe agressif qui n’hésitait pas à ordonner qu’on éborgne, mutile et gaze des manifestants, tout en prétendant être à leur écoute !
À cela s’ajoute le soupçon d’agir délibérément au détriment de la santé des Français pour optimiser les profits de ses sponsors du NWO et tout particulièrement ceux de Big Pharma, entité avec laquelle il entretient des rapports d’intérêt depuis son passage chez Rothschild.
S’il y a un sujet sur lequel on nous prend ouvertement pour des débiles, c’est bien celui-là.
Il suffit de reprendre les arguments invoqués par les immigrationnistes pour se rendre compte à quel point ils se moquent du monde et dressent un tableau qui nie en tous points la réalité.
Tout d’abord, il y a le problème du voyage des migrants.
Rappelez-vous l’Océan Viking en octobre-novembre 2022, il avait accosté le 11 novembre à Toulon… date symbolique. Le jour où on glorifiait les défenseurs de la patrie, ils faisaient débarquer avec tambours et trompettes un nouveau type d’envahisseurs dans le port militaire de Toulon. On ne me fera pas croire que cette date était un hasard. Ni que ça n’avait valeur de symbole.
De plus, tout le monde sait que d’un bout à l’autre de la chaîne les mafieux collaborent avec les ONG pour faire passer les migrants vers notre pays, notamment en organisant des sauvetages bidons dès que les migrants atteignent les eaux internationales.
Les passeurs pour se gaver d’argent, les ONG – subventionnées – pour contribuer à la destruction de notre pays qu’ils détestent et veulent détruire en commençant par noyer la population « de souche » sous un flot d’immigrés qui n’ont pas notre culture, ne veulent pas s’intégrer – encore moins s’assimiler – et vont donc, pour l’immense majorité d’entre eux, construire une société parallèle à la nôtre avant de la submerger par la loi du nombre.
Ensuite, il y a le problème de la situation juridique de ces arrivants.
À de multiples reprises j’ai écrit que le statut de « réfugié » dont ils sont affublés est une escroquerie juridique inventée par les avocats des ONG.
Dans une très intéressante interview au Figaro, Philippe Fontana – avocat – démonte complètement les arguments de ceux qui prétendent que ceux qui arrivent relèvent du « droit d’asile » et qu’on ne saurait leur refuser la protection de notre pays.
Il explique :
« Tout étranger doit solliciter un visa ou un titre de séjour pour entrer sur le territoire national, à l’exception d’un demandeur d’asile. Même si son entrée en France est illégale, il se verra remettre une autorisation provisoire de séjour (APS), le temps de l’instruction de sa demande, prolongée en cas de recours devant la Cour nationale du droit d’asile (CNDA). En outre, il sera logé dans un Centre d’accueil pour demandeur d’asile (Cada) et percevra une allocation (ADA). Six mois après sa première demande, il sera autorisé à travailler ».
Et même débouté du droit d’asile, ce qui est le cas de la plupart de ces pseudo-réfugiés, l’arrivant ne quittera pas le sol de notre pays.
En 2021, il y a eu 123 000 demandeurs d’asile. Ils seront plus de 200 000 en 2023 selon les prévisions des services compétents.
Tout le monde voit que c’est une escroquerie des avocats des ONG.
Tout ce petit monde, y compris les médias, partis et associations, sait parfaitement que ces gens ne sont pas des réfugiés politiques et que ce qualificatif sert uniquement à rendre impossible leur refoulement à leur arrivée en cas de contrôle.
Pourtant ils continuent à culpabiliser tout Français qui soulève le problème en disant que quiconque s’oppose n’a pas de cœur et déshonore la France qui est une terre d’accueil… et bla bla bla.
Et puis, il y a aussi le problème des ONG et autres associations pro-migrants.
Alors que tant de Français sont en difficulté et n’arrivent pas à finir leurs fins de mois, alors que certains sont obligés de dormir dans la rue – abandonnés à leur triste sort par leur propre pays – car les logements sociaux sont réservés en priorité aux migrants, alors qu’il y a 10 millions de Français pauvres… malgré cette situation épouvantable, des ONG et associations n’ont les yeux de Chimène que pour les migrants. Les Français, ils n’en ont rien à faire. Ils peuvent crever dans leur coin.
Mais s’occuper des migrants et en faire venir toujours plus, ça c’est l’affaire du siècle. Surtout qu’en plus ça rapporte gros.
Dans son interview au Figaro, Philippe Fontana nous apprend que :
« Le ministre de l’Intérieur a communiqué en avril 2023 le chiffre de 750 millions d’euros de subventions bénéficiant à 1 350 associations pour l’année 2021. Certaines d’entre elles souhaitent abolir les frontières et aident des migrants à les traverser puis les hébergent ».
Oui, vous avez bien lu… 750 millions de subventions chaque année pour ces associations. Et bien sûr ça ne fait qu’augmenter d’année en année.
Un rapide calcul permet de constater que cela représente 555 000 € par association et par an.
Vous l’avez compris, c’est un business qui permet à de nombreuses personnes de vivre, et grassement !
J’avais d’ailleurs dénoncé dans mon livre « Callac, la mère des batailles » (www.synthese-editions.com) le business de l’immigration et le train de vie de nombreux dirigeants et responsables de ces associations pourries.
L’État, qui a besoin de complices pour mener à bien sa politique immigrationniste, n’y va pas par quatre chemins. Il achète fort cher (avec les impôts que nous payons) la complicité des ONG et associations qui acceptent de se vendre pour détruire notre pays, en habillant leur soutien et actions diverses comme étant « humanitaires ».
Et aussi, il y a le problème de l’insécurité et de la délinquance.
Ce qui était un tabou, il n’y a encore pas si longtemps, a été reconnu par le Président de la République et le ministre de l’Intérieur : oui, il y a un lien entre délinquance-insécurité et immigration.
Pas un jour sans que la presse, pas celle des bien-pensants qui cache tout, mais la presse qui informe encore les citoyens, ne rapporte des faits sordides dont la plupart sont causés par des « chances pour la France ».
Des femmes très âgées violées, des coups de couteau en veux-tu en voilà, des meurtres à coups de kalachnikov ou de revolver pour des problèmes liés à la drogue, des vols, des agressions en tous genres. C’est un véritable festival.
Ce qui est nouveau par contre, c’est que plus l’immigration s’étend à travers le pays, plus ces problèmes s’étendent en parallèle.
Jamais ces questions n’existaient dans les petites villes de province, ne serait-ce que 20 ans en arrière. Maintenant, quasiment aucune ville moyenne n’est épargnée. Et ce sont même les petites bourgades qui commencent à être frappées par le phénomène.
Mais il se trouve encore des gens bien-pensants pour nier les faits constatés par tous les Français.
Pour ceux-là, seule leur propre agression leur ouvrira les yeux, qu’idéologiquement ils gardent obstinément fermés. Et encore, ce n’est même pas sûr.
Enfin, il y a la transition démographique de Macron.
Il s’agit d’envoyer dans les campagnes les migrants, ces « chances pour la France ».
En priorité pour désengorger Paris, en prévision de la Coupe du monde de rugby en septembre-octobre 2023 (dans un peu plus de 3 mois) et pour les JO de 2024, afin que ces évènements se passent bien. L’image de la France étant en jeu.
Même là-dessus les autorités et leurs complices nous montrent à quel point il nous prennent pour des abrutis qui ne comprennent rien et sont prêts à tout gober.
Ainsi, on nous dit que cela va désengorger Paris et permettre de faire disparaître les campements sauvages. Sans blague… ?
Si c’était vrai, plus exactement pour que ce stratagème fonctionne, il faudrait impérativement que ces migrants évacués de Paris ne soient pas remplacés.
Or, c’est justement le problème. L’immigration est totalement incontrôlée. Ceux qui sont expédiés en province seront immédiatement remplacés par de nouveaux arrivants.
En fait c’est un argument du pouvoir pour essayer de convaincre les habitants des campagnes de l’utilité de la démarche, mais seuls les naïfs incurables peuvent croire à cette mauvaise blague.
Ajoutons que nombre de ceux qui feront le voyage vers nos campagnes ne tarderont pas à prendre la poudre d’escampette pour revenir à Paris, car vivre dans un village de 1000 ou 2000 habitants, cela va vite devenir une purge pour eux. Donc la plupart voudront retrouver rapidement les rues de la capitale où ils pourront voler, agresser, trouver de la drogue… etc.
Je parie que cette opération va être un véritable fiasco, très rapidement.
La Coupe du monde de rugby et surtout les JO 2024 à Paris… vont donc être une catastrophe. Le Stade de France généralisé à toute la région parisienne. Et ce ne seront pas les « Anglais » cette fois-ci, mais ouvertement la racaille que nous hébergeons aimablement, notamment dans les cités.
On en a eu un exemple avec une vidéo récente où l’on voit des racailles en scooter… attaquer des voitures et les obliger à s’arrêter sur l’autoroute A1 entre Roissy et Paris afin de les détrousser ou en dévaliser d’autres, tranquillement, à l’occasion d’embouteillages. Vous imaginez ce qui va se passer quand des dizaines de milliers de touristes vont débarquer à Roissy pendant les JO ? Vous imaginez ce qui va se passer quand tous ces touristes vont déambuler dans les rues de Paris ? Darmanin n’aura jamais assez de policiers et de gendarmes pour protéger tous ces touristes. Cela va être le Far West.
Enfin pour terminer, il y a aussi les réactions de la population et des élus des petites villes, villages et bourgades qui auront la chance d’être choisis pour « accueillir » ceux dont la capitale ne veut plus.
Déjà de nombreuses localités s’insurgent contre les décisions arbitraires des préfets. D’autant que la plupart du temps les élus apprennent la bonne nouvelle la veille seulement du jour de l’arrivée des migrants et donc que l’État a tout manigancé dans le dos des élus et de la population.
L’affaire est fort risquée pour Macron.
D’une part, il n’a aucune garantie que les migrants vont rester là où ils sont envoyés. C’est même le contraire qu’on va sans doute constater.
D’autre part, en agissant sans aucune concertation et avec un total mépris pour les populations et les élus locaux, il prend le risque de mettre le feu à tout le pays et de créer une multitude de Callac.
Notre Coordination « Partout Callac » est justement là pour les aider et les faire profiter de notre expérience (www.partoutcallac.fr) afin d’empêcher l’invasion de nos campagnes.
Tous ces éléments, de plus en plus de Français les comprennent malgré les efforts déployés par les bien-pensants pour brouiller les cartes et cacher la situation réelle.
Macron, ses soutiens et complices devraient méditer cette maxime :
« On peut tromper quelqu’un tout le temps… on peut tromper tout le monde une fois… mais on ne peut pas tromper tout le monde tout le temps ».
Il va sans doute l’apprendre à ses dépens dans les mois qui viennent.
Macron, qui a perdu toute crédibilité à l’international, tant il dit tout et son contraire, en est réduit à tenter des coups médiatiques pour exister à défaut de peser sur les événements. Sur l’Ukraine, il a été mis sur la touche, alors que la France avait une carte à jouer en tant que puissance moyenne, dans le rôle du médiateur.
Mais encore eût-il fallu ne pas abuser Poutine en lui parlant de paix tout en livrant des canons Caesar à Kiev, qui tuent des militaires et des civils russes dans le Donbass. Le résultat de ce pitoyable “en même temps”, est que le Tsar ne lui parle plus et le méprise à juste titre. Macron est dans le camp des va-t-en-guerre qui mettent sans arrêt de l’huile sur le feu et cirent les bottes de Biden.
Il s’est donc invité au Globsec 2023, le forum de Bratislava où les pays de l’Europe de l’Est débattent des questions de sécurité européenne, afin de faire son mea-culpa auprès des dirigeants de l’Est qui jugent sa position très ambiguë sur la Russie et l’Ukraine. Un retournement de veste dans le discours, car dans les faits, Macron est devenu un anti-Poutine enragé depuis que celui-ci le snobe superbement.
Après avoir affiché sa volonté, au début du conflit, de ne pas humilier la Russie et de lui offrir des garanties de sécurité, notre versatile président s’est lancé dans un discours éminemment creux, à 180° de la situation militaire sur le terrain. À croire qu’il choisit ses sources chez les “Gamelin” des plateaux TV comme dirait Xavier Moreau. Mais il paraît que c’est un discours historique !
“Il n’y a qu’une seule Europe”, a affirmé Macron en précisant qu’il n’y aurait plus “d’Occident kidnappé” (Milan Kundera) après la chute du communisme et la libération des pays de l’Est. Soit, mais c’est oublier que la Russie de 2023 n’est plus l’URSS de Brejnev ou de Khrouchtchev. Diaboliser la Russie n’est pas la meilleure solution pour assurer des garanties de paix durable, à la fois pour la Russie et l’Ukraine. On ne fera pas la paix en armant l’Ukraine, qui n’intéresse aucun leader occidental, mais plutôt en arrimant la Russie à notre continent, comme le voulait Gorbatchev.
Rappelons que la Russie est incontestablement un pays plus démocratique que l’Ukraine, dont le régime est issu d’un coup d’État fomenté par la CIA en 2014. Et tandis que Poutine a nettoyé le pays de ses prédateurs et de ses oligarques corrompus, le sauvant de l’anarchie et de la faillite, Zelensky s’est entouré de mafieux et de têtes brûlées qui vénèrent le nazisme. J’ajoute à titre personnel que je me suis toujours senti davantage en sécurité à Moscou qu’à Paris. Et en France tout empire. Le droit à la sécurité, exigence élémentaire de toute démocratie, a disparu.
Pour tout dire, je ne connais aucun leader occidental capable de prendre les rênes d’un pays en état de décomposition avancée, comme l’était la Russie en 2000, pour en faire une grande puissance redoutable, capable de résister militairement, économiquement et culturellement à une coalition internationale de 40 nations.
Il ne faut donc pas s’étonner que le peuple russe suive son leader Poutine, avec des scores de popularité trois fois supérieurs à ceux de Macron. Il faut dire que celui-ci se livre depuis six ans à une entreprise de démolition de la nation France, comme jamais vu au cours de notre histoire. Mais revenons à Bratislava.
“Vous pouvez compter sur la France. Elle a parfois été perçue comme arrogante ou ne s’intéressant pas à cette région. Assumons ensemble ce que doit être notre Europe, une grande puissance démocratique”.
Une Europe qui a confisqué leur souveraineté à tous les pays membres et qui mène une guerre contre la Russie sans consulter ni les Parlements ni les peuples, je ne pense pas que ce soit une référence démocratique !
Par ailleurs, je ne crois pas que les pays de l’Est aient la même vision mondialiste et multiculturaliste pour l’Europe de demain. Macron flatte ces pays, mais ne cesse de fulminer contre Orban ou d’autres patriotes qui refusent la submersion migratoire, que notre président appelle de ses vœux. Hypocrisie encore et toujours !
Macron promet que “l’Ukraine ne sera pas conquise”. Voilà une affirmation pour le moins osée. Il se peut que les légions de Poutine poussent jusqu’à la frontière polonaise, si la sécurité de la Russie est menacée par une entrée de l’Ukraine dans l’Otan. Seul Poutine sait ce qu’il en sera. Je ne vois pas le tsar accepter à ses frontières, des missiles nucléaires que Kennedy avait refusés en 1962 lors de la crise de Cuba.
“Il ne peut y avoir qu’une seule paix, celle qui est choisie par le peuple ukrainien”. Rejetant toute idée de “cessez-le-feu” ou de “conflit gelé” de type coréen. “Il nous faut nous préparer à soutenir l’Ukraine dans la durée”.
Il est assez sidérant d’entendre tant de niaiseries. Selon Macron, la paix se fera aux conditions du perdant, qui a laissé 300 000 soldats sur le terrain et a vu détruire la totalité de ses armements. On croit rêver. Voilà 15 mois que la Russie résiste à toutes les sanctions économiques et à une escalade militaire sans fin, 15 mois que l’armée ukrainienne se fait laminer sans le moindre succès tactique, mais c’est le pantin Zelensky qui va dicter ses conditions de paix au tsar Poutine ! Macron devrait lire les articles de Boris Karpov, cela lui éviterait d’aligner ânerie sur ânerie.
Ce que dit Macron est tellement grotesque que je me fais un plaisir de citer Boris Karpov :
“N’oublions pas que la plupart des 300 000 mobilisés il y a quelques mois ne sont pas encore intervenus. Actuellement en Russie une campagne très active visant à recruter des volontaires sous contrat dans l’armée va amener 400.000 nouvelles recrues, toutes volontaires au contraire des pauvres gars arrêtés dans les rues d’Ukraine puis incorporés de force dans les forces ukrainiennes.
Nos stocks de matériel sont pleins, certains n’ont jamais encore été mis en service car nous savons que le conflit va s’étendre très prochainement contre les forces de l’OTAN. Elles interviendront directement quand elles comprendront que l’armée ukrainienne aura perdu la partie. Tant au sol que dans les airs, sous la mer et dans le cyber-espace, nous avons des moyens que l’ennemi n’appréhende même pas.
Qui peut déclencher des tsunamis au large des côtes ennemies, qui engloutira leurs villes ?
Qui peut, par des missiles hypersoniques, détruire n’importe quelle place dans le monde ?
Qui peut mettre hors service, par des moyens cyber, l’économie des pays ennemis en mettant hors service les sites administratifs et bancaires ?
Qui peut couper les pays ennemis du réseau internet en coupant les câbles transatlantiques ?
Qui peut en quelques clics couper l’électricité de grandes villes de pays ennemis, déclenchant ainsi des paniques inimaginables dans des villes sans hôpitaux, sans feux de circulation, sans eau, etc. ?
Qui peut activer des équipes d’agents dormants dans la plupart des pays ennemis, frappant alors l’ennemi chez lui ?”
Est-ce ce genre de périls que Macron veut expérimenter pour la France ?
Macron, qui est un véritable perdreau de l’année en matière militaire, un gamin immature, n’a toujours pas pris la mesure de la situation. C’est un combat existentiel que mènent Poutine et le peuple russe. Ce qui veut dire que Moscou ne reculera jamais et ne se pliera à aucune menace, aucun diktat occidental, quel que soit le prix à payer. Est-ce si difficile à comprendre ?
Favorable à l’adhésion de l’Ukraine à l’Otan, Macron veut donner “des garanties de sécurité tangibles et crédibles à l’Ukraine”.
Mais intégrer l’Ukraine au sein de l’Alliance pour assurer sa sécurité, c’est menacer celle de la Russie. Un risque impensable pour le maître du Kremlin. Si Zelensky espère obtenir des garanties d’adhésion au prochain sommet Otan de Vilnius, il se fait de douces illusions. La vérité est que l’Ukraine sera tôt ou tard écrasée et qu’il ne sera plus question d’intégrer l’Otan. Jamais Poutine n’acceptera des missiles ennemis à sa porte.
Quant à l’autonomie stratégique de l’Europe voulue par Macron, elle passe d’abord par un budget Défense de 60 à 70 milliards par an au minimum pour reconstruire un outil de combat digne de ce nom. Avec nos 200 Rafale et nos 200 chars Leclerc, il y a de quoi tenir huit jours.
La France consacre 850 milliards aux dépenses sociales qu’elle distribue sans aucun contrôle, au point que la fraude sociale est largement supérieure au budget Défense. Dans ces conditions, notre autonomie stratégique n’est pas pour demain. Et avec 3 000 milliards de dettes, les seuls intérêts annuels (50 milliards), dépassent eux aussi le budget Défense. Nous sommes ruinés, contrairement à la Russie qui ne s’est jamais aussi bien portée.
Comme toujours, tout ce que dit Macron, c’est du vent, des sornettes sans lendemain que l’establishment fait semblant de croire.
C’est Poutine qui écrit l’histoire en ce moment et certainement pas Biden, Macron ou Scholz, qui se contentent de saigner le peuple ukrainien, sachant très bien que l’ours russe serait impitoyable en cas d’affrontement direct.
Poutine poursuit son objectif et les actions terroristes menées en territoire russe par les Ukrainiens, incapables de lancer leur contre-offensive, ne feront qu’aggraver le sort de l’Ukraine. Comme vient de le dire Medvedev, pour en finir avec le terrorisme, “il faut détruire le nid de frelons à Kiev”.
« Pardon de les accueillir, de les payer à ne rien faire, de les loger dans nos châteaux ? Pardon de supporter leur crimes, de squatter nos maisons, de brûler nos biens, de violer nos femmes et nos enfants, d’assassiner les Français à tour de bras, etc… Quoi que fassent ou disent ces barbares, ils jouissent de la plus grande liberté et on les excuse, avec la plus grande lâcheté. Ce sont toujours les Français, leurs victimes, qui ont tort ! Demander pardon à des criminels qui nous envahissent et veulent nous soumettre à leur secte est un brun ridicule, non ? Houellebecq aurait-il perdu la tête ? au sens figuré, bien sûr !Les patriotes n’auront de cesse que de dénoncer leurs méfaits quotidiens. Tout le monde sait que la haine, ce sont ces barbares qui la diffusent contre nous. – il est normal de repousser ceux qui vous haïssent au point de vous tuer, et on devrait les aimer ? louyehi
–
Imaginez un seul instant… ce que serait votre moral, ce 1er juin 2023, si vous étiez parmi cette dizaine de manifestants contre la réforme des retraites qui ont eu la surprise de recevoir une amende de 68 eurosaprès avoir participé à un rassemblement à Dijon le 6 mai dernier. Et ce, même si personne n’a été interpellé sur place durant les casserolades !
Le pire pour vous serait que vous ayez voté, même une seule fois, pour Macron, et que le remord, le dégoût et la rage s’ajoutent à l’amertume de vous être fait entuber dans les grandes largeurs… Je n’ose imaginer votre désespérance.
Surtout si vous apprenez également, ce jour, que Michel Houellebecq, qui passe chez certains pour être un grand écrivain, donc capable normalement d’analyser les remous sociétaux, avec le détachement nécessaire pour rester « au-dessus de la mêlée »… se couche finalement lamentablement devant l’islam, en demandant pardon aux musulmans pour ses propos islamophobes, puisque d’après lui, le problème n’est pas l’islam, mais la délinquance… laquelle n’a strictement rien à voir avec l’islam…
Respirez profondément, ça va passer… surtout si vous voulez aller au bout de votre lecture.
Tout au long de sa carrière d’écrivain, Houellebecq n’a pas écrit ou dit « que des conneries », mais là, il se surpasse, même pour ceux qui n’avaient effectivement jamais soupçonné des tonnes de courage derrière ses écrits.
Que s’est-il passé pour que l’homme courageux qui, à la sortie de son livre Plateforme, répondait à l’époque exactement ceci au magazine « Lire » :
« La religion la plus con, c’est quand même l’islam. Quand on lit le Coran, on est effondré… effondré ! »
… se prosterne lâchement aujourd’hui devant les plus hypocrites représentants de cette religion nous prouvant chaque jour que nulle autre n’est aussi éloignée de l’amour, la tolérance et la paix… qu’elle ose prétendre ?
Réaction à des menaces sans fin, ou bien simple expression d’une veulerie écœurante ?
Ainsi Ivan Rioufol dans Causeur, parle carrément de capitulation et de trahison !
Les intuitions de Michel Houellebecq sur les évolutions de la société sont souvent exactes, parfois prophétiques. Formé à l’esprit scientifique et à la poésie, il a ce don qui permet aux bons écrivains de voir dans l’obscurité. Mais, cette fois, ce qu’il montre dans son dernier livre (Quelques mois dans ma vie, Flammarion) de sa spectaculaire soumission à l’islam relève davantage d’une faiblesse de caractère que d’une tendance collective au renoncement.
[…] Il est aisé d’observer, à rebours d’un Houellebecq soucieux d’obtenir les bonnes grâces du recteur de la mosquée de Paris et de Bernard-Henri Lévy, le réveil des peuples, des nations, des identités et des cultures.
[…] Dans ce contexte, la capitulation de Houellebecq face à l’islam, au prétexte de s’assurer une image bonasse et pantouflarde, s’apparente à une trahison.
Comment peut-on être un personnage connu, reconnu, et même admiré pour certains, et oser une telle pantalonnade, sur un sujet qui n’a cessé d’endeuiller nombre de familles en France, y compris d’ailleurs chez certaines d’obédience islamiste, tant ce dangereux système politico-religieux met à mal jusqu’à ses propres cerveaux ?
Combien de mères musulmanes pleurent aujourd’hui un enfant qui s’est « fait sauter » avec une ceinture d’explosifs, au nom d’Allah ? Celles-ci sont autant à plaindre que celles qui pleurent leur enfant assassiné par ce même terroriste…
Mais de là à prétendre que l’islam n’a rien à voir avec la délinquance… sauf à dire que cette délinquance n’existe plus puisque carrément passée au meurtre systématique sans état d’âme… ce qui n’est absolument pas ce que Houellebecq a voulu dire dans la vidéo !
Heureusement, pour les patriotes restés debout dans la tourmente, que d’autres savent garder la tête froide, le cœur chaud et la parole ferme pour prétendre au contraire ne rien céder à ceux qui, à l’instar de Houellebecq, sont passés du côté des dangereux extrémistes de cette pseudo-religion… précisément en prenant toujours leur défense, contre le bon sens et les preuves formelles qui pleuvent chaque jour un peu partout dans le monde… et plus précisément en France… à cause d’eux !
Éric Zemmour, qui malgré un indéniable succès d’écrivain, éditorialiste, chroniqueur… a osé mettre en péril son confort personnel, à un âge déjà avancé, en décidant d’entrer dans l’arène politique pour se porter au secours de la France et des Français, et qui, sans agressivité outrancière, ne fait pas mystère de sa position vis-à-vis de l’islam et des musulmans en France…
François Asselineaudont le courage et la droiture ne font plus mystère chez les patriotes, incite les députés encore dignes de ce nom à déclencher l’article 68 de notre Constitution, pour destituer Macron.
Pour revenir à Houellebecq, deux possibles explications, opposées, s’offrent à vous ; selon que vous soyez inquiet chronique, ou au contraire sujet à un optimisme débordant…
1/ Mais que lui est-il donc arrivé, à ce pleutre, pour qu’il capitule ainsi de la plus veule manière ?
J’ignore s’il fait partie des « pro-vaccins Covid », mais si c’était le cas, assisterions-nous alors à une phase « dommages collatéraux » due aux « effets secondaires » de ce qui n’était qu’une vaste entourloupe ?
Laquelle est poursuivie par de nombreuses plaintes devant les tribunaux du monde entier, malgré les énergiques dénégations tant des responsables et coupables que de ceux refusant d’admettre qu’ils se sont faits rouler en mettant sottement leur vie en danger…
2/ En se penchant sur le CV présenté par Wikipédia, on repère que Houellebecq serait également (ou fut) comédien…
Pourquoi, dans ce cas, ne pas supposer que, facétieux bien que ce ne soit pas une évidence au premier abord… l’écrivain ait voulu nous faire une vaste blague, précisément pour accaparer l’espace public, au moment où il est en pleine période de promotion pour son nouveau livre « Quelques mois dans ma vie » ?
Qu’est-ce que vous en dites ?
L’idéal serait que l’immense écrivain-philosophe-soldat… BHL… nous ponde rapidement un nouveau joyau (livre ou film, peu importe…) pour nous aider à y voir clair.
Houellebecq se couche lamentablement et demande pardon à l’islam et aux musulmans, expliquant que le problème c’est la délinquance, qui n’a rien à voir avec l’islam. Une lopette que les islamiques mépriseront encore davantage. https://www.causeur.fr/islam-quand-houellebecq-capitule-260989?
Michel Houellebecq s'excuse pour ses propos islamophobes. Je suis sûr c'est Onfray et sa clique qui l'ont poussé à tenir ce genre de propos. Bien sûr le problème c'est la délinquance et non l'islam. pic.twitter.com/MkgNOU1aqs
— Kader Morocco 🇫🇷🇳🇱🇲🇦 (@KaderMorrocco) May 30, 2023
Les antifas fachos organisent une semaine antifasciste en mémoire des 10 ans de la mort de Clément Méric. Cela promet d’être grandiose, surtout que Médine participe à la fête.Gare aux bébés blancs dans les couveuses ! https://paris-luttes.info/week-end-international-17075
Anthonin Lamoureux : Tout n’est pas si noir ! Les ventes de voitures de luxe, yachts et villas n’ont jamais été aussi élevées. Et puis, des centaines de milliers de migrants ont eu accès aux soins et aux logements en 5 ans. La répartition, c’est ça. La gauche regarde les riches, la droite les pauvres et les migrants.
Big Brother. “Un des articles du projet de loi pour une justice « plus rapide » prévoit la possibilité nouvelle pour les enquêteurs d’activer le téléphone portable ou tout autre appareil connecté d’une personne à son insu. La possibilité pour les enquêteurs judiciaires d’activer à distance les appareils électroniques d’une personne à son insu, prévue par le projet de loi justice, constitue « une grave atteinte à l’intimité et une surenchère sécuritaire », a dénoncé mercredi La Quadrature du Net.” https://www.sudouest.fr/les-telephones-mouchards-de-la-police-la-quadrature-du-net-s-inquiete-15395640.php
Allemagne : Paul, un ado berlinois de 15 ans, est mort après avoir été frappé à plusieurs reprises à la tête par un jeune du FC Metz après un match amical (Màj : éclairage sur le “FC Metz Performance Program” auquel appartenait l’agresseur) https://t.co/Hv50Mdojz1pic.twitter.com/z4hpE1pID0
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) June 1, 2023
L’autre plaie :“À perte de vue, des caravanes, des cabanes bricolées en matériaux de récupération. Au fond du terrain, un tas d’ordures achève de brûler. Dans les allées, des dizaines d’enfants qui cavalent au mépris des branchements électriques sauvages, deux bornes à incendie qui coulent en continu pour tout point d’eau… En quelques semaines, ce qui était une occupation de terrain s’est transformée en un bidonville de dimension sans précédent dans la métropole bordelaise.
Bidonvilles à Bordeaux, l’envers du décor : notre dossier
Immersion dans ces hameaux d’habitats précaires aux quatre coins de la métropole bordelaise. Loin de la carte postale, les familles racontent comment elles sont arrivées là. Les associations s’alarment. « Ici, nous sommes 2 000 personnes », compte Florian. « Ici », c’est le 32, chemin de la Caminasse, à Villenave-d’Ornon. Un espace de 3,5 ha au milieu des bois qui longent la route reliant le quartier de Courréjean au bourg de Cadaujac. « Nous », ce sont quelques centaines de familles roumaines appartenant à la communauté rom.” https://www.sudouest.fr/economie/social/ici-nous-sommes-2-000-comment-un-bidonville-champignon-a-pousse-en-pleine-agglomeration-de-bordeaux-15388988.php
Signez la pétition “NON aux migrants à Réalmont (Tarn, 81). L’objectif est d’atteindre 500 signatures et nous avons besoin de plus de soutiens. Pour en savoir plus et pour signer, c’est ici : https://chng.it/VT8Rggyy9p
Mohamed Haouas n’a pas supporté que sa femme trouve un travail, et y paraisse heureuse, la salope ! Et en plus, elle clopait pendant la pause. Donc, une balayette et un coup au sol, c’est le tarif certifié Coran.
Selon son avocat, Mohamed Haouas “n’a pas supporté que sa femme trouve un travail” pic.twitter.com/OkGVgxgmjE