Archives de Catégorie: DEFENDONS LES PRODUITS ISRAELIENS !

DEFENDONS LES PRODUITS ISRAELIENS ! Tenir bon face aux boycotteurs « palestiniens’ et ‘pro-palestiniens’ qui veulent la destruction d’Israël

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Des tomates en plein désert

Oubliez tout ce que vous savez sur le désert et venez visiter le Néguev, le désert d’Israël. Ses 13 000 km², qui constituent 60 % du territoire israélien, accueillent une agriculture qu’on peut sans exagération qualifier de « miraculeuse ». Hamodia s’est rendu sur le terrain et a visité un des principaux joyaux de l’agriculture du Néguev : le centre de recherche et développement (R&D) de Ramat Hanéguev.
Le désert du Néguev. Nous sommes en plein hiver, mais un pull y est difficilement supportable, alors qu’à Jérusalem et même sur la côte, les manteaux sont de rigueur. 80 mm d’eau tombent en moyenne chaque année dans ce qui constitue 60 % du territoire israélien et, désert oblige, il y fait très chaud le jour et très froid la nuit.
Le MOP (acrostiche de « centre de recherche et de développement ») de Ramat Hanéguev se situe en plein cœur de ce désert. Ce centre abrite l’une des plus fameuses stations expérimentales agricoles au monde et sa renommée est telle qu’on vient de loin pour y apprendre les techniques d’agronomie qui font la notoriété d’Israël. En ce moment, une délégation du Vietnam est ici pour apprendre comment les agriculteurs de la région sont parvenus à surmonter les écueils qu’elle leur offrait – peu ou pas de pluie, chaleur torride, sol composé de limons et de sable, aquifère salé – et faire littéralement fleurir le désert.
S’il fallait résumer en un mot la principale particularité de l’agriculture dans le Néguev, ce serait le mot « sel » : en effet, toute l’eau utilisée par les agriculteurs du désert provient de l’aquifère salin qui fournit 10 millions de m³ d’eau salée par an. Le miracle réside dans le fait que de cette eau saumâtre, les agriculteurs font pousser les tomates les plus douces du pays !
« L’eau tirée de l’aquifère du Néguev contient entre 1 100 et 2 400 milligrammes de sel. Pour comparaison, il faut savoir que l’eau dessalée contient 25 milligrammes de sel et l’eau du Movil Haartsi (le principal réseau de transport d’eau du pays NDLR) en contient 200 milligrammes par litre », nous explique Tsion Chemer, du mochav Kadech Barnéa, qui dirige la station expérimentale. Au début, personne ne croyait vraiment que l’eau saumâtre allait porter ses fruits, souligne-t-il, et c’est la raison pour laquelle la Compagnie des eaux n’a pas créé suffisamment d’infrastructures pour le pompage et le transport de cette eau salée.
« Aujourd’hui, nous pompons notre eau d’un aquifère situé à 800 mètres de profondeur. Les hydrologues nous permettent d’en pomper jusqu’à 12 millions de mètres cubes par an. Mais en dessous de cette couche en existe une autre, située 300 mètres plus bas, contenant une eau à la concentration de 3 000 milligrammes de chlore par litre. Je suppose que notre prochain défi consistera à développer une agriculture capable de pousser avec une eau si salée. Pour le moment, nous ne pompons pas cette eau, mais cela ne saurait tarder… », prévoit Chemer.
Après cette introduction, direction une des serres de la ferme expérimentale où nous découvrons des rangées de tomates, certaines grosses comme des citrouilles, dont les racines sont plantées dans le sable. À droite, les tomates irriguées à l’eau douce, à gauche, celles irriguées à l’eau salée : « Les tomates irriguées à l’eau douce affichent un rendement dix fois supérieur à celui des tomates arrosées à l’eau salée. Seulement, les ” tomates au sel ” sont dix fois meilleures ! », explique-t-il avec une bonne dose de fierté dans la voix. À la ferme expérimentale qu’il dirige, on essaie donc de « rattraper le retard » niveau rendement sans pour autant déroger à la douce saveur des tomates du Néguev. Et c’est quasiment chose faite pour les tomates-cerise – qui représentent 90 % de la production agricole du Néguev – avec seulement 10 % de rendement en plus pour les tomates d’eau douce. Ces tomates sont appelées en dehors des frontières d’Israël « douceur du désert »… (Hamodia) Lire la suite ici :  Des tomates en plein désert, Israël in Hamodia
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Les dattes israéliennes et palestiniennes exportées par Israël envahissent le monde

Publié le 28 octobre 2012

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Tout a commencé avec la medjool, une datte marocaine qui a déménagé en Californie, a immigré en Israël, et représente aujourd’hui 60% du marché de la datte israélienne. Grâce à la medjool, Israël a conquis le marché mondial de la datte.

«Aujourd’hui, les dattes israéliennes peuvent être achetées sur les cinq continents», explique Chezi Almog, vice-président du marketting chez Hadiklaim, une coopérative de palmeraies en Israël.

« Quelque 8 millions de tonnes de dattes sont cultivées dans le monde chaque année. Environ 95% d’entre elles sont mangés « sous l’arbre » et n’arrivent même pas sur le marché« , explique Hadiklaim.

Des 5% qui sont commercialisés, 90% des dates sont utilisées à des fins industrielles – gâteaux, sauces, confitures, etc – et un autre 5%, soit environ 100.000 tonnes par an, sont exportées pour le marché du luxe culinaire à l’étranger.

« Dans ce petit marché de la datte, l’acteur principal est la Medjool, et son prix moyen est 10 fois plus élevé que le prix d’une simple datte, » explique le comptable de Hadiklaim. « Nous avons une part d’environ 35% du marché mondial de la Medjool».

Depuis la création du Hadiklaim, l’exportation des dattes a atteint des sommets de plus de 1000% en termes financiers. « En 1982, nous avons exporté environ 1.500 tonnes de dattes pour 4 millions de dollars. En 2011, nous sommes allés jusqu’à 7.000 tonnes pour 60 millions de dollars», explique Almog.

Cette année, selon les estimations de la coopérative, la récolte comprendra 30.000 tonnes de neuf variétés, principalement des Medjool, et suivi par des Barhi, Deglet Noor et Hayany.

Environ 50% de la récolte des dattes en Israël est exportée, mais en raison de sa haute qualité, il est responsable de 75% des revenus des producteurs.

Hadiklaim s’enorgueillit du fait qu’il travaille avec quelque 100 producteurs, dont 60 entreprises coopératives et des kibboutz et des dizaines de producteurs privés. Si des palestiniens travaillent dans ces récoltent, ils touchent en moyenne deux fois et demi le salaire moyen d’un agriculteur qui travaillerait au sein de l’Autorité palestinienne.

« L’Israélien moyen mange environ 1 kg de dattes par an, mais nos voisins dans les pays arabes mange environ 10 kilos par an, donc nous avons encore un long chemin à parcourir » explique la coopérative.

D’ailleurs, cette année, Hadiklaim a déjà commencé à exporté des dattes… Palestiniennes ! Tout ce qui a été envoyé à l’étranger est produit dans la région de Jéricho. Les palestiniens préfèrent travailler avec Israël pour l’exportation, plutôt amusant quand on sait le nombre de campagnes de boycott contre les dattes israéliennes.

Elinor Cohen-Aout – avec le Yediot Ahronot – JSSNews

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LES DETRACTEURS ET BOYCOTTEURS D’ISRAËL :

Voici ce que l’un des détracteurs d’Israël publie

Des dattes, fruits et légumes israéliens à Grenoble

“Grand Frais, Magasins Bio l’Eau Vive, Magasin Bio l’Epicerie… Les magasins Bio “l’Eau Vive” (situés à Echirolles et Meylan, notamment) vendent des dattes en provenance d’Israël. Je n’ai pas pu avoir d’information sur la région de production, les employés se retranchant derrière la centrale d’achat. Le magasin Bio ” L’Epicerie “, situé à l’intérieur des halles Sainte Claire à Grenoble, vend également des dattes israéliennes. Enfin, le CCPP (Collectif Caladois pour le Peuple Palestinien) appelle au boycott des magasins Grand Frais et nous invite à participer à l’action suivante : Grand frais continue à vendre des produits d’”Israël” : nous n’irons plus chez Grand frais. Les supermarchés Grand frais vendent des fruits et légumes d’Israël (dattes, pomelos…), dont bon nombre viennent des territoires illégalement occupés de Cisjordanie.”

Oui, en effet, la Judée Samarie, dite Cisjordanie par les ignares et les pro-palestiniens, est bien occupée, mais par les islamistes !

Les boycotteurs imbéciles des produits israéliens, véritables moutons de Panurge, ne savent pas ce qu’ils ratent du point de vue du goût des produits israéliens ! Tant pis  pour eux !

Alors, une seule  chose à retenir de cet article : mangez des fruits et légumes d’Israël et si vous habitez près de l’un de ces magasins : Grand Frais, Magasins Bio l’Eau Vive, Magasin Bio l’Epicerie… allez-y vite et fournissez vous chez eux en fruits et légumes !!

Extrait d’un article sur un site pro-palestinien : “La chaine d’alimentation IGA vend dans sa section des fruits et légumes des carottes provenant d’Israël. Sous la marque Dorot Farm, des emballages de 2 et 5 livres sont offerts à la clientèle de IGA.” la responsable des relations avec les médias, madame Anne-Hélène Lavoie a expliqué qu’en cette période, il est difficile de trouver de bons produits… “ 

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Le boycott d’Israël : un meurtre symbolique, par Meïr Waintrater

Bien des gens ne comprennent pas pourquoi nous, Juifs, sommes si sensibles à ces menaces de boycott. Pourquoi certains Juifs, qui par ailleurs ne ménagent pas leurs critiques envers le gouvernement israélien, réagissent de manière épidermique dès qu’il est question de boycotter l’État d’Israël. Pourquoi nous sommes blessés, mortellement blessés, quand on veut mettre à l’index un film (À cinq heures de Paris, bluette dont le tort est d’avoir Israël pour cadre), un écrivain (de gauche ou de droite, peu importe), des fruits et légumes, un universitaire (quels que soient son domaine de travail et ses opinions politiques), une équipe de football (Hapoël Tel-Aviv, le club aux origines prolétariennes qui porte encore la faucille et le marteau sur son maillot et dont les supporters s’appellent toujours « Les Rouges »), un médicament (produit par Teva, le leader mondial des génériques), une marque de chaussures et que sais-je encore, tout cela au seul motif qu’une naissance israélienne les rendrait impurs à jamais.

Nous pourrions sourire, face à cette agitation où le puéril le dispute au grotesque. Nous pourrions faire observer que les ordinateurs sur lesquels les boycotteurs écrivent leurs philippiques sont contaminés par la présence de composants inventés en Israël. Nous pourrions nous moquer de ces pasionarias de l’antisionisme, lointaines héritières des tricoteuses de 93, hantant les rayons des supermarchés à la recherche de la marchandise portant le fatidique code d’origine.

Nous pourrions jeter un regard dédaigneux sur les enragés qui dénonçaient la récente invitation à Paris de jeunes footballeurs israéliens juifs et arabes. Nous pourrions plaisanter de ­l’acharnement avec lequel les adeptes du boycott dressent des actes d’accusation contre les grandes sociétés complices du sionisme (ainsi Coca Cola, déclaré « fidèle partisan d’Israël depuis 1966 »… car c’est cette année-là que la multinationale a cessé de boycotter l’État juif).

Mais nous n’avons pas le cœur à rire. Parce que ces pantalonnades cachent des tragédies. Ce qui se joue ici ne relève pas du commerce entre les hommes, au propre ou au figuré. Avec le boycott d’Israël, il n’est pas question de politique ni de diplomatie : c’est affaire de vie ou de mort.

Le meurtre symbolique auquel procèdent les militants anti-israéliens sur l’objet Israël, au travers des représentations qu’ils s’en font, est si violent qu’on ne saurait honnêtement croire que le peuple d’Israël serait épargné. Et par « peuple d’Israël » j’entends aussi bien les citoyens de l’État d’Israël que ce peuple à la nuque raide dont nous faisons partie… (Un Echo d’Israël) Lire la suite ici : Le boycott d’Israël : un meurtre symbolique, par Meïr Waintrater

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Nous vous rappelons, ci-dessous, la liste (non exhaustive) des produits israéliens à acheter en priorité :

Le code barre sur la plupart des produits israéliens commence par : 729 Parmi les produits israéliens:- Carmel (fruits et légumes)
Jaffa (fruits et légumes)
Kedem (avocats)
Coral (Cerises)
Top (fruits et légumes)
Beigel (biscuits apéritifs)
Hasat (agrumes)
Sabra (repas complets)
Osem (soupes, snacks, biscuits, repas complets préparés)
Dagir (conserves de poissons)
Holyland (miel, herbes)
Amba (conserves)
Green Valley (vin)
Tivall (produits végétariens)
Agrofresh (concombres)
Jordan Valley (dattes)
Dana (tomates cerises)
Epilady (appareils d’épilation)
Ahava (cosmétiques de la Mer morte)
Les produits des entreprises qui soutiennent l’Etat d’Israël (américaines ou européennes)
COCA-COLA – Marques du groupe : Aquarius, Cherry Coke, Fanta, Nestea, Sprite, Minute Maid, Tropical. Cette entreprise soutient l’Etat d’Israël depuis 1966. DANONE – Marques du groupe : Arvie, Badoit, Belin, Blédina, Phosphatine, Chipster, Evian, Galbani, Gervais, Heudebert, Lu, Taillefine, Volvic. Danone vient d’investir dans le Golan, territoire syrien occupé depuis 1967 par Israël.NESTLÉ – Marques du groupe : Aquarel, Cheerios, Crunch, Frigor, Friskies, Galak, Golden Grahams, Kit Kat, Maggi, Mousline, Nescafé, Ricoré, Quality Street, Vittel, Perrier, Buitoni. La société suisse possède 50,1 % des capitaux de la chaîne alimentaire israélienne Osem. La firme est accusée depuis les années 50 de détruire l’économie et la santé des peuples du Tiers-Monde, notamment par l’imposition de ses laits en poudre pour bébés en Afrique, en Asie et en Amérique latine.
INTEL – Cette grosse entreprise produit la plus grande partie des puces électroniques PENTIUM 4 utilisées par les ordinateurs PC dans son usine de Kyriat Gat, installée sur le site de Iraq Al-Manshiya, un village palestinien rasé après son évacuation en 1949 par les soldats égyptiens. 2 000 habitants furent chassés de leur terre, malgré un engagement écrit, supervisé par les Nations unies, des sionistes à ne pas toucher à la population. Une campagne de leurs descendants aux USA en 2003 a amené INTEL à suspendre un projet d’investissements de 2 milliards de dollars pour une extension de l’usine Fab 18 de Kyriat Gat.
L’ORÉAL – Marques du groupe : Biotherm, Cacharel, Giorgio Armani Parfums, Lancôme, Vichy, La Roche-Posay, Garnier, Héléna Rubinstein, Gemey-Maybelline, Jean-Louis David Shampooings, Le Club des créateurs de beauté (vente de produits cosmétiques par correspondance), Redken 5th Avenue, Ralph Lauren parfums, Ushuaïa. L’Oréal a ainsi investi des millions en créant une unité de production à Migdal Haemeck, à tel point que le Congrès juif américain a exprimé sa satisfaction de voir l’Oréal « devenir un ami chaleureux de l’Etat d’Israël ».
ESTÉE LAUDER – Marques du groupe : Aramis, Clinique, la Mer, DKNY, Tommy Hilfiger. Outre ses investissements, le directeur est le président d’une des plus puissantes organisations sionistes US, le Fonds National juif.
DELTA GALIL – Cette entreprise israélienne est spécialisée dans la sous-traitance de produits textiles notamment dans celui des sous-vêtements. De nombreux sous-vêtements de marques étrangères proviennent ainsi directement des usines de Delta Galil. C’est le cas pour Marks & Spencers, Carrefour (Tex), Auchan, Gap, Hugo Boss, Playtex, Calvin Klein, Victoria’s Secret, DKNY, Ralph Lauren.
LEVI STRAUSS JEANS ET CELIO (magasins spécialisés dans les vêtements pour hommes) Ces entreprises fort bien implantées en France financent les nouvelles colonies en Palestine mais également les écoles des religieux extrémistes dans le monde.
TIMBERLAND (Vêtements, chaussures, chaussettes) – Tout comme son homologue Ronald Lauder, le PDG de Timberland Jeffrey Swartz est un membre actif du lobby sioniste US. Il a conseillé ainsi d’encourager la communauté juive US à se rendre en Israël mais également d’envoyer des soldats israéliens pour mener la propagande pro-israélienne aux USA.
DISNEYLAND – L’entreprise Disney n’a rien d’idyllique et contribue par son soutien à Israël à semer la mort en Palestine. Elle approuve ainsi tacitement l’occupation illégale de Jérusalem-Est en faisant de Jérusalem lors d’une exposition au Centre Epcot en Floride la capitale d’Israël, cela en violation des résolutions internationales de l’ONU. NOKIA – Le géant finlandais de la téléphonie commerce activement avec l’Etat d’Israël. Dans une interview au Jérusalem Post, le manager du groupe déclarait : qu’ Israël faisait partie des priorités de l’entreprise. Un centre de recherche Nokia a ainsi vu le jour en Israël.
MC DONALD’S – Entreprise emblématique de l’impérialisme culturel US, la célèbre chaîne de restaurants fast-food apporte un soutien non négligeable à l’Etat israélien. McDonald’s dispose de 80 restaurants en Israël et y emploie près de 3000 personnes. Elle y interdit à son personnel de parler arabe. Aux USA, l’entreprise figure parmi les heureux partenaires de l’organisation sioniste «Jewish Community » basée à Chicago. Cette organisation travaille en effet pour le maintien de l’aide militaire, économique et diplomatique apportée par les USA à Israël.
CATERPILLAR – (Equipement pour bâtiment mais également, vêtements, chaussures) – Une large campagne doit être menée en France pour dénoncer la participation criminelle de Caterpillar aux destructions des maisons en Palestine par ses bulldozers géants. C’est avec un Caterpillar que la pacifiste américaine juive Rachel Corrie a été tuée par un soldat israélien en 2003.
La chaîne hôtelière ACCORHOTEL (Etap, Ibis, Mercure, Novotel, Sofitel) – Cette chaîne a plusieurs hôtels en Israël, et récemment, elle a ouvert une succursale dans les territoires syriens occupés, dans le Golan.
Les chaînes alimentaires présentes dans les colonies israéliennes : Domino Pizza, Pizza Hut, Häagen Daaz, Burger King
Autres produits : Cigarettes Morris (dont Marlboro), Produits Kimberly-Clarck (Kleenex, Kotex, Huggies), SanDisk (informatique), Toys RUs (jouets) Nous comptons sur vous tous !
Avocat

Les avocats d’Israël, un vrai délice !!

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La scandaleuse résolution secrète que l’UE prépare pour délégitimer Israël, par Jonathan-Simon Sellem

28 décembre 2011 – Comment bien attaquer Israël ? C’est la question à laquelle des diplomates européens tentent de répondre actuellement. Selon des sources très fiables de JSSNews en Europe, il s’avère que la traditionnelle critique européenne d’Israël “n’a plus aucun impact ni sur le grand public, ni sur les Israéliens eux-mêmes” alors… Comment faire pour remobiliser contre l’Etat Juif ?

La solution est toute trouvée : des diplomates auraient rédigé une résolution, longue de 27 pages, dans laquelle ils se préparent secrètement à “critiquer la politique intérieure israélienne”, mettant particulièrement l’accent sur “la discrimination contre les Arabes israéliens.” Et le texte de dé-contextualiser une série de “preuves” au sujet de ces inégalités.

Ainsi, il est une preuve de ce qu’ils avancent, dans le fait que seulement 3% des propriétaires terriens sont Arabes israéliens. Autre preuve : 50% des Arabes israéliens vivent en dessous du seuil de pauvreté. La résolution met aussi en avant l’initiative de rabbins quasi-inconnus appelant au “refus de vendre des terres aux Arabes.” Initiative condamnée par Netanyahu. Les rabbins expliqueront plus tard que leur initiative n’est “même pas le pendant des lois palestiniennes qui punissent de la peine de mort tout musulman qui vend un centimètre carré de terre à un juif.”

Notant que “certains dirigeants de la société arabe sont accusés de déloyauté envers l’Etat”, et rendant hommage à “certains changements positifs dans la politique du gouvernement envers le secteur arabe” (y compris une attention accrue de la police contre la criminalité dans ce secteur), le document souligne que le gouvernement n’a pas suivi toutes les recommandations de la commission Ora, établie après la mort de 12 Arabes lors des émeutes de l’an 2000.

Initialement, le projet de résolution comprenait un certain nombre de mesures “pratiques” que l’Union Européenne voudrait recommander aux Israéliens pour améliorer la situation des Arabes israéliens. L’UE voudrait par exemple que les bourses d’études soient augmentées pour les Arabes et non pour les Juifs; l’UE voudrait qu’Israël investisse massivement dans le secteur high-tech arabe… En fait, peut-être que l’UE voudrait tout simplement que son échec total en matière économique soit enfin appliqué à Israël qui réussit à garder la tête hors de l’eau ?

Et que penser du fait que 82% des Arabes israéliens préfèrent garder la nationalité israélienne que de prendre la “nationalité palestinienne” le jour où elle existera ? Et que dire du fait que c’est un juge arabe israélien qui a envoyé le Président Moshe Katsav en prison ? Et que dire de l’élection d’une Arabe israélienne comme Miss Israël ?…

Joint par JSSNews, le Ministère israélien des affaires étrangères affirme avoir “demandé des éclaircissements” sur “les questions soulevées” auprès de l’Union Européenne.

Et si Israël proposait une solution à l’intégration des minorités en Europe ? Le fait que les étrangers vivent dans des ghettos-cités n’est-il pas discriminatoire ? Le fait qu’ils soient si peu représentés, tant à l’assemblée que dans les médias n’est-il pas discriminatoire ? Le fait que si peu de musulmans soient propriétaires terriens à travers l’Europe alors qu’à moyen terme ils représenteront 35% de la population totale n’est-il pas discriminatoire ?

En fin de compte : l’UE n’a t-elle rien d’autre à foutre que de s’ingérer dans les affaires internes israéliennes ? Qui plus est pour dire de pareilles énormités ?

Je serais bien curieux de savoir qui de l’Iran, la Syrie, l’Arabie Saoudite ou des Palestiniens eux-mêmes, a écrit ce projet de résolution avant de le donner aux diplomates européens…. (Source JSS News)

Est-ce alors à dire que le boycott sur les produits israéliens va enfin prendre fin ???

DEFENDONS LES PRODUITS ISRAELIENS – Au Chouk Hacarmel de Tel Aviv

Quartier Allenby: ah, l'urbanisme !

 
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Le souk ha’carmel à Tel Aviv est né dans les années 30. C’est le plus grand marché en extérieur et le plus pittoresque de la ville vous trouverez  ici  tout ce dont vous avez besoin parfois même ce qui est introuvable ailleurs, dans une bonne humeur ambiante et sous les cris des vendeurs ameutant les clients. Ses rues étroites, sinueuses sont bordées d’échopes et de magasins. Vêtements et bijoux  sont regroupés a l’entrée du souk (côté de  la rue Allemby), ensuite s’enchaînent pèle mêle, quincailliers, boulangers, primeurs, bouchers, poissonniers, fleuristes et bien sûr comme tous marchés orientaux, les vendeurs offrent aux passants leurs nombreuses épices et olives de toutes les couleurs. Certains étals sont odorants et colorés et tellement beaux que l’on ose a peine y toucher. De plus, les prix sont modiques. Les fruits et les légumes y sont de très bonnes qualité, le pain est délicieux, profitez en pour acheter les produits et soins de la mer morte qui sont un délice pour la peau et les cheveux. Les prix sont souvent différents selon les étales et il est souvent possible de marchander. Pour les touristes de passages, le souk HaCarmel est l’occasion de sentir l’atmosphère méditerranéenne de la ville avec les vendeurs qui crient dans tous les sens, de goûter des fruits et légumes exotiques, mais surtout d’acheter des épices qu’on ne trouve qu’ici.

Artichauts de JérusalemAu Chouk Hacarmel on trouve des topinambours, aussi appelés « artichauts de Jérusalem »

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Souk hacarmel - Tel Aviv - Israël

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Souk hacarmel - Tel Aviv - Israël

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Carmel Market

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One of the many places to have fresh fruit juice
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Ocean of olives
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Carmel Markt in Tel Aviv (Israel)

Enfin, comme il fait généralement très chaud, il est magnifiquement rafraîchissant de boire un jus de mélange de fruits ou de légumes frais pressé devant le client : Un véritable délice !

Que boirez-vous ? Un jus de citron/ananas ou  jus d’orange/carotte  ? Ici ce n’est pas comme à Paris : on est généreux en tout, même sur la quantité des boissons !

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Vive Israël et les oranges de Jaffa !

DEFENDONS LES PRODUITS ISRAELIENS

Au marché d’Ashkelon

Tout d’abord, où est situé Ashkelon sur la carte d’Israël ?

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Modern-day Ashkelon

Ashkelon est une ville balnéaire située à 64 km au sud de Tel-Aviv. La principale attraction est son Parc National situé au sud-ouest de la ville,qui englobe l’ancien Tel Ashkelon. Le Tel  est  un terme en hébreu qui désigne  des vestiges abandonnés émergeant souvent  comme des collines dans le paysage. Ce Tel contient d’anciennes ruines, à commencer par  l’impressionnante porte de la ville de la période canaanéenne (il y a environ 4000 ans), un édifice public et de nombreuses sculptures de l’époque romaine (datant de quelque 2000 ans )  pour arriver aux vestiges de fortifications de la période croisée, qui remonte à un millier d’années.

Ashkelon

 La marina

A proximité de la marina, commence la promenade du bord de mer et le Parc Aquatique Ashkelona qui propose de belles attractions et d’activités aquatiques . Avec 12 kilomètres de plages incroyables et un impressionnant parc archéologique, Ashekelon est située dans le cœur du centre touristique. Au fil des années, Ashkelon est devenu une place forte du tourisme en Israel. Située entre les deux plages exceptionnelles de Delila et Bar-Kochva, la marina peut accueillir jusqu’a 600 bateaux. A des distances proches du Canal de Suez, Port Said, Beyrout, Rhodes et Chypre, la marina d’Ashkelon est un des ports les plus attractifs de la Mer Mediterranée.

The lovely Ashkelon beach and marina - May '08

La plage d’Ashkelon

Short-location d'appartement terme en Tel Aviv

C’est la ville la plus méridionale d’Israël sur la côte méditerranéenne.

Un peu d’histoire :

Ashkelon tire son nom d’une ancienne cité dont on trouve les vestiges dans le Tell Ashkelon, qui fait partie du Parc National d’Ashkelon. La ville est mentionnée dans la Bible à plusieurs reprises. Cependant les épisodes principaux qui y sont rattachés font référence à  Samson (c’est là que Dalila lui coupa les cheveux pour lui ôter sa force – Juges 14-16) et au fait que Goliath, le Philistin, était « un homme d’Ashkelon. »  La ville fut habitée tout au long des siècles, mais elle connut des périodes  plus ou moins  fastes.

Cette ville était un grand centre de commerce dans la mesure où elle s’étend le long de la Via Maris, la route reliant l’Egypte à la Syrie et à la Mésopotamie. La cité a été édifiée pour la première fois à la fin du 3ème millénaire avant l’ère commune. Elle fut occupée par les Philistins dans la seconde moitié du 12ème siècle avant notre ère. Après la conquête par les Hébreux de tout le reste du territoire, les deux peuples se sont engagés dans des combats qui ont duré plusieurs centaines d’années.

Après que le roi Saül eût trouvé la mort dans le combat contre les Philistins, le roi David se lamenta : « Ne le raconte pas dans Gath, ne le publie pas dans les rues d’Ashkelon ; ne laisse pas les filles des Philistins se réjouir, ne laisse pas les filles des incirconcis triompher. » (2 Samuel 1, 20) Même après que David eût vaincu les Philistins dans la plus grande partie du pays, il ne réussit pas à les déloger d’Ashkelon.

En 734 avant notre ère, les Philistins furent battus par le conquérant Assyrien Tiglath Pileser qui conquit la ville et ce peuple disparut à jamais.

La cité est passée entre les mains d’envahisseurs successif, pour finir par être envahie par les Grecs, puis par les Romains. On suppose qu’Ashkelon fut la ville natale du roi Hérode (en 37 avant notre ère). Ce dernier a agrandi et embelli la ville, y construisant une maison d’été, des palais et un aqueduc. Sous les Romains, la ville fut exemptée de toute taxe, ce qui en fit une région commerciale florissante, plus particulièrement spécialisée dans la production du vin.

Pendant la période byzantine, Aschkelon est devenue une cité chrétienne. Elle fut ensuite conquise par les Musulmans un peu après leur apparition en 683 de notre ère. Les Croisés y sont revenus en 1153, mais ils ont été battus par Saladin. En 1280, les Croisés, sous la direction de Richard Coeur de Lion ont tenté de la reconquérir. Ils ont été finalement repoussés par le sultan Baybars.

A partir de 1948, à la renaissance d’Israël, les Juifs ont commencé à la reconstruire et depuis elle n’a cessé de s’embellir et de s’agrandir.

POUR VOS VACANCES, QUELQUES ADRESSES DE RESTAURANTS ET « FAST-FOOD »  POUR MANGER CACHER A TEL AVIV : (Adresses testées en juillet 2008)     

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Fast-food hamburger, chinois, pizzas, etc… rien de mieux que les centres commerciaux, les fameux « kanion ». A Tel Aviv, 2 adresses incontournables : Dizengoff Center, en plein centre ville et le Kanion Azrieli, un peu plus excentré, situé dans les fameuses tours rondes et triangulaires. Dans un même espace,au choix, Pizzas chez Sharro, B ouble Whopper chez Burger King, Beignets de poissons chinois ou Soupe Miso, Lafa et Shwarma à gogo, Frozen yogourt, etc, etc… Attention, contrairement à ce qu’on pourrait croire, tous les stands ne bénéficient pas d’une Teouda (certificat de surveillance). Le McDonald’s d’Azrieli par exemple n’est pas casher (Burger King, en revanche l’est). Toujours dans le Kanion Azrieli, Papagayo est un restaurant original. Possibilité de manger à volonté plusieurs sortes de viandes avec les accompagnements correspondants. Boissons et desserts en sus.

Pour manger du poisson : Derby Bar. Bon rapport qualité/prix et pour un français la note finale est presque ridicule.A noter également une carte indépendante de japonais (sushi, maki, temaki, etc…). Moins bon évidemment qu’au restaurant japonais du Hilton Tel-Aviv, mais beaucoup moins onéreux. adresse : Derby Bar: 96 rue Ygal Alon, Tel-Aviv (attention, le restaurant est situé dans une allée piétonne où le taxi ne pourra pas vous déposer).

Pour manger de la viande : La quasi-totalité des hôtels du bord de mer hébergent en général des restaurants gastronomiques.

Le Hilton, le Dan, le David Intercontinental proposent des endroits de grande classe avec une cuisine raffinée faite à base de produits frais et d’excellente qualité, avec, bien sûr, l’addition adéquate.

Petite astuce : le restaurant du Crowne Plaza est réputé pour la qualité de ses viandes : tendres, très bien cuisinées pour un prix qui reste extrêmement raisonnable.

Le restaurant Tzel Hayam est le seul restaurant de viande casher sur la Tayelet, mais il ressemble un peu trop à un attrape-touriste lorsque le mois d’août se profile à l’horizon. Attente assez longue.

A recommander : restaurant Meatos (médaillons de boeuf, foie gras, hamburger avec tranche de foie gras, agneau, etc…) Décor magnifique, terrasse, service très agréable. Excellente viande, accompagnement et desserts assez raffinés, prix honnêtes (entre 70 et 140 chekels le plat) Meatos l 2 rehov Weisman, Tel-Aviv.

Pour manger Halavi : Restaurant Hungarian Blintzes.(Blintzes salés ou sucrés – sortes de crêpes gratinées au fromage et, au choix, aux épinards, aux aubergines, aux raisons secs, à la banane…) Petits prix. Hungarian Blintzes : 35, Rehov Yirmiahou, Tel-Aviv.

(liste bien entendu non exhaustive,                dessert Paperblog                (D’après une info Juif.org)

Les cerises en provenance d’Israël vendues … sur les marchés en Iran !

28 juin 2012 –

Les médias de la république islamique  ont rapporté que les cerises israéliennes sont vendues sur les marchés en Iran. Pour 450 gr de cerises, vous pouvez repartir tête voilée et prix non voilé de  1,94 euros. (conversion, pour vous, mes lecteurs français)

Le ministère du Commerce a confirmé que les fruits israéliens sont quand même vendus en Iran malgré qu’il n y a pas de relation commerciale entre Israël et l’Iran et l’importation des produits israéliens de toute nature est strictement interdit…

Source : © Alyaexpress-News

 

(en cours…)

DEFENDONS LES PRODUITS ISRAELIENS – Achetons les fruits et légumes d’Israël, ils sont beaux, juteux et goûteux à souhait !

http://blufiles.storage.live.com/y1poE207f3mppVeqeYSP60D5FERW1CCx_J3lklcN6-fS_zamD4qtMqw5Z_lBW9Fc8m952EGgJ5t-zk mArdi 22 novembre 2011

 

  Les fraises d’Israël

Dans cette rubrique, nous vous présenterons aussi les fruits, légumes et produits Made in Israël à demander en priorité dans vos magasins habituels, parce que défendre l’économie et l’image d’Israël est une priorité !

TROUVE SUR ‘KEF ISRAEL’ : Le Biotut est un label israélien, une photo d’abeille et un drapeau d’Israël comme sur la photo, qui garantit des fraises sans pesticides, issues de cultures qui pratiquent la lutte biologique mise au point au Kibboutz Sde Eliyahou, (voir aussi une Chouette histoire israélienne)

De plus, le génome des fraises vient d’être décodé, deux scientifiques de l’Institut Weizmann, Dr. Asaph Aharoni et Avital Adato ont participé au décodage en mettant en évidence les gènes responsables de l’arôme et du parfum des fraises.

En hébreu, fraises se dit « toutim »,  תותים . C’est le titre d’une chanson culte du groupe Ethnix. (source Kef Israel)

Vidéo « toutim » (les fraises) : Miniature  3:54אתניקס – תותים