Archives de Catégorie: LIVRES

DJIHAD et Cie : CONSEQUENCES CATASTROPHIQUES DES GRANDES INVASIONS BARBARES DU XXIe SIECLE AVEC LA COMPLICITE DE NOS GOUVERNANTS

______________________________________________

Être islamophobe est un devoir !

Se battre jusqu’au bout contre la barbarie est également notre devoir le plus absolu à tous, sans hésiter une seule seconde à éliminer l’attaquant si on en a l’occasion avant d’être nous-mêmes vaincus par les poings, les pieds et les couteaux de l’assaillant Sarrasin  : c’est la loi divine. En effet, SUR LES TABLES DE LA LOI IL EST DIT : « TU N’ASSASSINERAS PAS », (ET NON « TU NE TUERAS PAS »), CE QUI EST UNE MAUVAISE TRADUCTION DE L’HEBREU. OR, TUER L’ASSAILLANT POUR SAUVER SA PROPRE VIE EST PERMIS SELON LA LOI DU CREATEUR, LA SEULE QUI DEVRAIT ÊTRE RECONNUE ET APPLIQUEE, CAR C’EST DE LA LEGITIME DEFENSE.ON PEUT COMPRENDRE DE LA QUE CELUI QUI ATTAQUE PHYSIQUEMENT QUELQU’UN POUR LUI ÔTER LA VIE EST ANIME DES PLUS MAUVAISES INTENTIONS ET QUE PAR CONSEQUENT IL MERITE LA MORT. louyehi

Pourquoi faut-il détruire l’islam qui amène à la mort toute forme de pensée évoluée ?

Je vous ai récemment gratifiés d’un cours accéléré de connaissance de la loi islamique (ou plutôt je vous l’ai infligé …).
Je l’ai fait autant que possible sur un ton humoristique, mais

il est grand temps de revenir aux choses sérieuses.

En effet, la progression de l’islam dans le monde est VOULUE CAR INSCRITE dans la pensée coranique qui est impérialiste et hégémonique par essence. Elle signifierait rien de moins que la mort de notre civilisation.

On a employé l’expression « hiver nucléaire » pour caractériser l’épisode de la mort de toutes les espèces vivantes évoluées qu’aurait entraîné un conflit entre puissances atomiques.

L’avènement de l’islam serait par analogie un « hiver islamique » amenant à la mort de toute forme de pensée évoluée.
Ce serait l’étouffoir éteignant la flamme du génie humain.

Pour vous en convaincre, je vous invite à lire in extenso l’analyse de la philosophie par les oulémas d’islam.web telle que livrée dans la fatwa N° 96666 :

Qu’est-ce que la philosophie ?

https://www.islamweb.net/fr/fatwa/96666/La-philosophie

Si vous avez la paresse de lire, je résume :

– Penser est interdit sauf pour convaincre qu’il ne faut pas penser, et encore, avec modération !
« En réalité, il est interdit d’étudier la philosophie, sauf si le but est de dévoiler l’égarement des philosophes et cela avec beaucoup de méfiance et de précaution, après avoir entièrement assimilé toutes les sciences islamiques et les croyances justes. Et même dans ce cas, il est préférable de s’en éloigner. »
– Aucune pensée n’est permise si elle n’est pas régie par la Charia.
La pensée est le résultat de la recherche et cette pensée doit être régie par la Charia pour qu’elle soit islamique, sinon elle est en contradiction avec l’islam.

 

Fort heureusement, comme islam.web est un site progressiste, il ne recommande pas l’exécution de celui qui se risquerait à penser. Sa préconisation est juste une bonne rossée. Si par malchance le malheureux survivait aux verges et aux coups de babouche, il  reviendrait certainement dans le droit chemin :

L’imam Chafiï a jugé que la punition des philosophes était de les traîner dans les villes en les battant avec des feuilles de palmiers et des semelles en clamant que ce châtiment était le sort de celui qui délaisse la parole d’ Allah, Exalté soit-Il, et de Son Prophète .

Voilà la triste réalité.

La charia gouverne toute pensée et régit l’intégralité des actes quotidiens du croyant soumis, car rappelons qu’islam signifie « soumission ».

Elle lui dit sur quel côté dormir, sur quel pied s’appuyer pour déféquer, avec quelle main se torcher, ce qu’il doit manger, boire, comment il doit se vêtir, se raser, comment se comporter dans sa vie sexuelle, comment frapper justement sa ou ses femmes.
Elle lui impose le lavage de cerveau des cinq prières quotidiennes.

Il serait impie de ne pas s’y conformer et tous les châtiments sont prévus en cas de transgression.

Voici ce qu’en disait déjà voici plus d’un siècle le grand Atatürk :

« Depuis plus de 500 ans, les règles et les théories d’un vieux Sheikh arabe, et les interprétations abusives de générations de prêtres crasseux et ignares ont fixé, en Turquie, tous les détails de la loi civile et crimi-nelle. Elles ont réglé la forme de la constitution, les moindres faits et gestes de la vie de chaque citoyen, sa nourriture,

ses heures de veille et de sommeil,

la coupe de ses vêtements,

ce qu’il apprend à l’école,

ses coutumes, ses habitudes et

jusqu’à ses pensées les plus intimes.

L’islam, cette théologie absurde d’un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies.«

Atatürk avait désislamisé son pays en ayant tiré une conclusion :

« Il faut savoir choisir entre la révélation passée et la liberté future

Le pauvre doit se retourner dans sa tombe en voyant que le cadavre putréfié qu’il croyait avoir fait disparaître ressort de la fosse d’où va l’exhumer Erdogan.

Ma conclusion est claire : « Être islamophobe aujourd’hui n’est pas un droit : c’est un devoir. »

Ce message s’adresse tout particulièrement à deux récepteurs : les musulmans de tradition (comme je suis catholique de tradition) et mes amis islamo-gauchistes.

Aux musulmans de tradition :

Vous qui avez compris que le corpus idéologique du Coran n’est qu’un tissu d’élucubrations dictées par un pillard analphabète d’une époque révolue. Vous qui savez apprécier le jambon et le vin, renversez la table !
C’est à vous de dire que la parole du Coran n’est pas la parole de Dieu, mais une histoire écrite par des hommes pour des hommes et que ses enseignements n’ont aucune valeur de loi, ni humaine, ni divine.
Car vous savez mieux que quiconque à quoi ressemblerait votre vie si les religieux imposaient la charia.
Vous êtes à mon sens le plus solide rempart contre l’obscurantisme des fous de Dieu. Réveillez-vous !

 

Aux islamo-gauchistes :

Certes, vous avez le droit d’être gauchistes. Je partage certains de vos combats. Comme vous, je trouve particulièrement inquiétant l’avènement du capitalisme triomphant aboutissant au règne sans partage de multinationales omnipotentes réduisant l’individu à néant.

Mais avez-vous réellement le droit d’être islamophiles ?
Je vous en conjure ! Prenez le temps de réfléchir (pendant que vous en avez encore le droit).

Votre aspiration à détruire le capitalisme tant haï vous donne-t-elle le droit de vous allier avec les tenants d’une idéologie avec laquelle vous n’avez rien en commun ?
Croyez-vous que le modèle saoudien soit fondamentalement anticapitaliste ?

Ne soyez pas les idiots utiles de vos futurs bourreaux !
Si vous les aidez à conquérir le monde, vous aurez perdu sur tous les tableaux.
Vous aurez à la fois le capitalisme ET la Charia.

Est-ce vraiment ce que vous souhaitez ?

Raoul Girodet
(Source : Résistance Républicaine)
-==-
______________________________________________

Première partie : https://resistancerepublicaine.com/2021/03/17/quizz-seriez-vous-un-bon-musulman-1ere-partie/

Deuxième partie : les progrès restant à faire 
Malgré les colossales avancées exposées hier, il existe encore une grande marge de modernisation des fatwas.

En effet, il est encore interdit :

– De jouer aux échecs. En ce qui concerne le jeu d’échec notre fatwa est la suivante :
Nous prenons parti pour l’interdiction du jeu d’échec, car l’imam Ali a dit : « Le jeu d’échec est le Maysir, jeu de hasard, des étrangers (qui ne parlent pas l’arabe). » (Bayhaki)
L’imam Ibn Chihab a été interrogé sur le jeu d’échec, il a dit : « Ce jeu est faux, je ne l’aime pas. »
L’imam Ali est passé auprès de gens qui jouaient au jeu d’échec, il a dit : « Que sont ces statues auxquelles vous vous attachez ? Il vaut mieux à l’un de vous qu’il touche à une braise jusqu’à ce qu’elle s’éteigne que de toucher à ces statues. »
Le Compagnon Ibn Omar a été interrogé sur le jeu d’échec, il a dit : « C’est pire que le jeu de dé. » [qui est illicite].

– De jouer au Monopoly puisqu’on y utilise également le dé.

– D’avoir un chien, sauf pour motif valable indiqué dans le Coran : « Quiconque garde un chien, à l’exception d’un chien utilisé pour la chasse, l’élevage du bétail ou la garde des cultures (ferme), un Qîrât (quantité de la taille d’une montagne) sera déduit chaque jour de sa récompense.»

– D’acheter un chat : il est préférable que vous vous absteniez d’acheter un chat par prudence, afin de tenir compte de la divergence des savants à ce sujet.

– De faire des poissons d’avril. Une des principales raisons justifiant cet interdit est:

La célébration du Poisson d’Avril relève de la pure imitation des mécréants qui célèbrent et ont même inventé cette occasion. Selon le Prophète,  : « Celui qui imite des gens est considéré comme étant l’un d’eux. ». (Rapporté par Abou Dawoud). Le Prophète, , a dit encore: «Ne fait pas partie de notre communauté celui qui imite les autres. N’imitez ni les chrétiens ni les juifs ». (Rapporté par At-Tirmidhi).

– De faire de la plongée profonde en raison du risque d’ivresse des profondeurs…

– De mettre une sonnerie musicale sur son téléphone portable : il n’est permis d’écouter aucune musique qu’elle provienne du téléphone mobile ou de n’importe quel autre instrument. Le Prophète ( ) a dit :
« Il y aura des gens, dans ma nation, qui considéreront comme licites la fornication, le port de la soie, les boissons alcoolisées et les instruments de musique. » (Boukhari)

– De fêter les anniversaires : Comme il n’est pas permis d’accepter ou d’offrir des présents à l’occasion des anniversaires, vu qu’il est interdit de fêter ces occasions. En effet, cet acte est une imitation des mécréants qu’Allah le Très-Haut nous a ordonnés de récuser et nous éloigner de leurs traditions. Le Prophète, , dans les Sounanes d’Abou Dawoud, a souligné que celui qui imite un groupe en fait partie, Hadith authentifié par As-Sayouti.

– D’aller au cinéma:

En réalité, dans les cinémas, il y a toujours des transgressions religieuses évidentes, que ce soit dans les films ou par les péchés commis dans ces salles mixtes. Telle est la situation dans les pays musulmans et c’est plus grave dans les pays mécréants. Il ne vous est donc pas permis d’y aller, que votre mari vous accompagne ou non.

– D’exercer la profession d’humoriste : L’humour s’associe fréquemment au mensonge et au sarcasme pour faire rire les gens, or ce sont des interdictions légales. 

Ajoutez à ça qu’il est déconseillé de dormir en chaussettes, de rire d’un pet, de s’endormir devant la télé et d’insulter les licornes.
Inversement, il est conseillé de couvrir les récipients la nuit, d’entrer aux toilettes du pied gauche et de manger les dates en nombre impair.

Enfin, la charia nous enseigne également qu’on a le droit de s’amuser, moyennant quelques précautions toutefois : Nous voudrions vous dire que l’amusement devrait non seulement se faire selon les bonnes manières [islamiques], mais aussi aux moments appropriés. Un musulman ne devrait pas s’y engager dans les moments de travail et de sérieux. [Aussi], l’humour devrait être modéré, c’est-à-dire limité à ce qui est approprié.

L’Humour « modéré »… Formule admirable !

.

Je pense avoir gardé le meilleur pour la fin :

Un imam accusé d’actes contre-nature
Fatwa No: 136430

Question :
Dans notre quartier, un cheikh travaille comme imam dans notre mosquée. Certains jeunes du quartier l’accusent de les avoir sodomisés, mais cet imam réfute ces accusations. Que doit-on faire dans cette situation à la lumière du Coran et de la Sunna
Réponse :
Louange à Allah et que la paix et la bénédiction soient sur Son Prophète et Messager, Mohammed, ainsi que sur sa famille et ses Compagnons :

La règle de base est de considérer le musulman comme étant innocent de toute accusation à son encontre et de penser du bien de lui jusqu’à preuve du contraire. Allah, exalté soit-Il, dit (sens du verset) : « ô vous qui avez cru ! évitez de trop conjecturer [sur autrui] car une partie des conjectures est péché. […] » (Coran 49/12) Abû Hurayra, qu’Allah soit satisfait de lui, a rapporté que le Prophète ( ) a dit : « Méfiez-vous des conjectures, car elles sont les pires mensonges. » (Boukhari, Mouslim)

Partant de cela, il est donc interdit d’accuser cet imam en se basant sur les dires de ces jeunes, surtout qu’il est imam d’une mosquée, et que ce dont il est accusé est grave et que cela peut pousser les gens à avoir une mauvaise opinion de ceux qui sont des exemples à suivre. Ces jeunes doivent donc prendre garde à ne pas répandre ce genre de calomnies et il ne faut pas y prêter attention.

Et Allah sait mieux.

Conclusion : circulez, y’a rien à voir !
L’imam, il peut y aller à fond puisqu’ il ne faut surtout pas y « prêter attention », par crainte d’avoir « une mauvaise opinion de ceux qui sont des exemples à suivre ». Logique irréfutable !

Il me fait marrer le pape François avec sa repentance pour des curés qu’auraient tripoté les gamins au catéchisme voici trente ans… Quel petit joueur !

Afin de savoir si vous avez bien compris cette magnifique religion dont la sagesse guide la moindre de vos actions quotidiennes, je vous ai préparé un petit questionnaire. Les meilleurs gagneront un voyage à La Mecque !

Demain vous saurez si vous avez gagné un voyage à la Mecque ! 

Si cet article vous a plu, n’hésitez pas à commander le roman de notre ami Raoul:

Dans ce roman, un groupe de personnages hauts en couleur se réunissent pour se venger après un énième attentat islamiste sanglant. On trouve dans ce commando, un para, une hackeuse chinoise, un maronite, un agent secret un peu particulier. Ils préparent un coup extraordinaire destiné à frapper l’islam en son cœur, une sorte de 11 septembre inversé et à la puissance 10. Réussiront-ils ?

10 euros

Vous pouvez commander par courrier à Résistance républicaine, 101 avenue du Général Leclerc, 75685 Paris cedex 14 avec un chèque à l’ordre de Résistance républicaine.

Ou sur notre site via PayPal ou en utilisant votre carte bleue.

Objectif la Mecque
1 exemplaire €10,00 EUR
2 exemplaires €18,00 EUR
3 exemplaires €24,00 EUR

(Source : Résistance Républicaine)

-==-

A lire aussiAttaque au couteau en Suède : le terroriste Afghan a crié Allah Akbar !

Montpellier : un homme égorgé près de l’église Saint-Roch, son pronostic vital est engagé

« Ne venez pas » : face à la crise migratoire Joe Biden demande aux migrants de rester chez eux

Jérusalem, capitale historique

____________________________________________________

L’attribution du territoire d’Israël commence en Genèse 15 à 17 et se poursuit dans le livre de Josué 33 : 2 et 34 : 11.

En 2003, feu le pasteur Duvernoy, qui a été un pionnier en matière de défense d’Israël, a écrit un ouvrage intitulé « Le Sionisme de D.ieu« *.

Pour tout lecteur et croyant en la Bible, la délimitation d’Eretz Israël est mentionnée dans Exode : 23 : 31, Deutéronome 1 : 7 – 3 : 8 – 11 : 24, Josué 1 : 4, 1Rois 5 : 1, Nombres 34 : 1-12 ainsi que dans Ezéchiel 47 : 11-21.

Quant à la bande de Gaza, l’Eternel a déjà tranché : voir Sophonie 2 : 4-7.

Jérusalem, capitale historique

Reproduction autorisée avec la mention suivante : ©Denise Lorthois pour Dreuz.info.

Abonnez vous sans tarder à notre chaîne Telegram au cas où Dreuz soit censuré. Cliquez ici : Dreuz.Info.Telegram.

*En achetant le livre avec ce lien, vous soutenez Dreuz qui reçoit une commission de 5%. Cette information est fournie pour assurer une parfaite transparence des conséquences de votre action, conformément à la recommandation 16 CFR § 255.5 de la Federal Trade Commission.

*En achetant le livre avec ce lien, vous soutenez Dreuz qui reçoit une commission de 5%. Cette information est fournie pour assurer une parfaite transparence des conséquences de votre action, conformément à la recommandation 16 CFR § 255.5 de la Federal Trade Commission.

L’argent de la drogue doit faire vivre environ 240.000 personnes sur le territoire français

 

Pour recevoir le livre de Frédéric Ploquin, cliquez sur l’image ci-dessous.

Frédéric Ploquin est journaliste spécialisé dans les domaines de la police, du banditisme et du renseignement. Pour son livre d’enquête Les narcos français brisent l’omerta, il a rencontré des narcotrafiquants français. Il y raconte la réalité du trafic en France. Il détaille concrètement la façon dont ces bandits blanchissent l’argent de la drogue dans des kebabs, restaurants, ongleries, salons de massage…, des « usines à blanchir ».

La Rédaction

L’argent de la drogue doit faire vivre environ 240.000 personnes sur le territoire français

(Source : La Lettre Patriote)

Nous avons voulu savoir combien de personne mouraient de la drogue, par an, en France; Si on en croit le site France Inter, en 2015, selon le rapport, il y a eu 8.441 morts directes liées à des surdoses de drogue dans les 28 pays membres de l’Union européenne, ceci, sans compter les décès indirects. Pour la France : rien trouvé ! louyehi

Balbutiements et justice divine, de Thérèse Zrihen-Dvir

Balbutiements et justice divine, de Thérèse Zrihen-Dvir__________________________________________________________

Quand la dialectique tourmentée de l’âme et de la chair devient chef-d’oeuvre littéraire …

Peut-être, aurais-je pu retenir l’expression “dialectique du convenable et de la folie d’un moment”, un moment composé d’un seul quart d’heure où femme et homme ennivrés par l’énergie de leur jeunesse dans une harmonie fiévreuse, sont persuadés de saisir une part inouïe de paradis, sur cette terre qui n’est faite que de malheurs. Mais un moment qui voit immédiatement le paradis se transformer en enfer jusqu’à traverser plusieurs générations !

Le héros, ou plutôt l’héroïne de ce roman est Miriam, une pauvrette juive car Miriam vit dans le Mellah de Marrakech au Maroc c’est à dire l’endroit réservé aux seuls Juifs. Elle a un petit frère et dès leur plus jeune âge, tous les deux deviennent orphelins et finissent par échouer chez des cousins très pauvres qui sont impitoyables avec ces nouveaux petits êtres. Miriam devient comme Cosette chez les Thénardier. Il y a en effet une atmosphère qui ressemble à celle des Misérables de Hugo. Mais notre petite Cosette juive qui est d’une grande beauté est engrossée (quel vilain mot !) par une petite gouape, Paul, fils de riche qui bien sûr refuse de l’épouser. Thérèse Zrihen-Dvir évoque “le fossé de la perversité du genre humain”. Et dans le monde Juif comme dans le monde chrétien de l’époque, c’est à dire avant la guerre, les petites victimes comme Miriam sont immédiatement poussée dans “le fossé”, c’est à dire dans la prostitution : car elles ne sont plus pour la collectivité (qui elle bien sûr est parfaite !) que saleté repoussante. On a là, au passage, la preuve de l’imbécillité de l’antisémitisme tant les moeurs se ressemblent d’un côté comme de l’autre ! Les Juifs -mais est-il besoin de le rappeler- sont des êtres humains comme les autres !

Mais Dieu, qui a le défaut de souvent sommeiller quand il s’agit de protéger Ses enfants, se réveille d’un coup à la synagogue, en la personne d’un jeune homme au nom de Mardoché qui accepte de prendre la toute jeune Miriam pour femme avec l’enfant qu’elle porte, considérant celui-ci comme son propre fils. Un peu plus tard, Mardoché et Miriam enfanteront et très très vite ils vont s’aimer. Paul qui était parti en France faire ses études, essaiera de relancer la très belle Miriam mais n’aura pas le temps de parvenir à ses fins puisqu’il sera décapité lors d’un horrible accident de camion. Doit-on considérer cet horrible fait comme une punition de Dieu qui retombera sur les parents du jeune homme, parents qui avaient été de connivence pour refuser la trop jolie souillon inconsciente et de petite extraction comme le disaient les aristocrates des temps anciens, ces parents qui eux, croulaient sous l’argent. Comme l’écrit l’auteure : ” … la vie est pavée d’erreurs et de malentendus sous le dôme de la stupidité, d’une fierté vaine et du manque d’indulgence”.

L’histoire ira ainsi de rebondissement en rebondissement à travers le couple, leurs enfants et les parents de Paul. Et c’est avec une analyse exhaustive et pleine de tendresse et d’application que l’auteure nous dévoilera les sentiments et les émotions de chaque être qui, au-delà des générations sera touché ou plutôt affecté, et souvent dans une douleur parfois indicible. C’est comme si, tout au long de cette saga juive, le moment premier de la rencontre entre Miriam et cet inconstant de Paul était une cicatrice, une marque au fer rouge indélibile, que chaque descendant récupérait comme un fardeau à porter toute sa vie. Dieu n’avait-il pas dit d’ailleurs dans la Torah et plus exactement dans Exode 20/5-6 : “Moi, l’Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui fais miséricorde jusqu’à mille générations à ceux qui m’aiment et qui gardent mes commandements”. C’est le grand fleuve d’une famille avec ses cascades et ses méandres tortueuses que dévoile Thérèse Zrihen-Dvir et le courant impétueux laisse peu de place à une eau limpide et calme. D’ailleurs, lorsqu’on achève la lecture du roman, on pousse un soupir de soulagement car on est convaincu que la miséricorde divine, dans le cimetière du Monts des Oliviers à Jérusalem, va enfin ! comme un zéphir bienheureux, caresser cette fois tous les descendants de Miriam quasiment tous désormais installés sur la terre d’Israël. En fait, Mirian, son époux, Salomon et Mercédès sa demi-soeur  et même, le père repenti de Paul auront été toute leur vie d’une exemplarité sans faille. Elle est là à coup sûr la “JUSTICE DIVINE” ! Leur exemplarité existentielle aura donc été bénéfique à leur descendance.

Dans le monde fou, pourri même dans lequel nous vivons et qui nous enlève chaque jour qui passe encore et encore de l’espoir, le livre de Thérèse Zrihen-Dvir par la nostalgie des temps pas si éloignés que cela et dans lequel elle nous invite, est un réconfort et un apaisement. Je me demande d’ailleurs si bientôt un réalisateur ne va pas en faire un film. Sûr qu’il y aurait un sacré paquet de monde dans les salles de cinéma et à la sortie, sûr aussi qu’il y en aurait … des “balbutiements” !

Philippe Arnon

Balbutiements et justice divine, de Thérèse Zrihen-Dvir

(Source : Riposte laïque)

CONSEQUENCES CATASTROPHIQUES DES GRANDES INVASIONS BARBARES DU XXIe SIECLE, DE PAR LA TRAHISON DE NOS GOUVERNANTS – 10 janvier 2021

___________________________________________________

Maurice Berger : « Aux origines de la violence contre l’homme occidental »

FIGAROVOX/TRIBUNE – Le pédopsychiatre Maurice Berger, qui travaille dans un Centre Éducatif Renforcé, estime que la virulence des thèses postcoloniales découle en partie des violences familiales et éducatives dont sont victimes de trop nombreux jeunes dans les quartiers.

 

Maurice Berger est pédopsychiatre, psychanalyste, ex-professeur associé de psychologie de l’enfant. Il travaille en Centre Éducatif Renforcé et enseigne à l’École Nationale de la Magistrature. Il a publié, Sur la violence gratuite en France. Adolescents, hyperviolents, témoignages et analyses (L’Artilleur, 2019).


Le titre du livre de Pascal Bruckner, «Un coupable presque parfait. La construction du bouc émissaire blanc», et l’utilisation du terme «privilège blanc» par le Président Macron lors d’un entretien, m’incitent à évoquer un processus peu mentionné bien qu’essentiel: les personnes qui font la chasse à l’homme blanc, en tout cas en France, ont peut-être été victimes, mais elles se trompent de coupable.

Berger,

Pour ces supposées victimes, non blanches par définition, mon hypothèse, qui repose sur ma pratique de clinicien, est que la colère contre l’homme blanc est en réalité le déplacement d’une colère qu’il est interdit d’exprimer contre l’homme du pays d’origine, père, mari, ou frère ainé. Il y a des cultures où il est interdit, à vrai dire littéralement impensable, de critiquer ses parents, surtout son père.

Le faire, ce serait perdre le lien avec son groupe familial, être «excommunié», en clair renoncer à une partie de son identité.

Une caractéristique des cultures d’origine des personnes qui critiquent l’homme blanc : l’éventualité d’un fonctionnement patriarcal violent

Les personnes d’origine occidentale ne mesurent pas l’effort et la solidité interne qu’un tel positionnement nécessite, la douleur et l’angoisse que cela génère.

Certains font ce choix et au cours des entretiens que j’ai avec eux, ils m’expliquent considérer notre société comme salvatrice pour leur devenir et vouloir éviter de telles épreuves à leurs enfants.

Pour les autres, l’homme qui sera accusé de tous les maux, ce sera l’homme blanc.

Pourquoi?

De quelle colère déplacée s’agit-il? Dans le Centre Educatif Renforcé où je travaille comme pédopsychiatre et qui reçoit des adolescents délinquants et violents majoritairement issus de l’immigration, Malik*, 16 ans, déclare:

«Tu n’imagines pas à quel point mon père frappe fort, quand il te gifle ça te décapite».

Cette phrase, prononcée avant l’assassinat de Samuel Paty, n’est pas une critique, mais un constat, et le «projet de vie» de ce mineur est d’aller vivre chez ce père plusieurs fois condamné, qui ne s’est jamais occupé de lui, et qui n’a rien à lui proposer comme cohérence éducative.

Sakina*, toujours dans ce Centre éducatif, me dit:

«j’ai été massacrée, mon père me défonçait à coups de pieds, de poings, de gifles, il me tirait les cheveux» ;

elle n’émet aucun reproche et elle aussi est en admiration devant cet homme non critiquable.

Et quatre ans d’entretiens sont nécessaires pour que Djamila*, 45 ans, parvienne à se formuler qu’il n’est pas normal qu’elle ait été elle aussi élevée de la sorte.

Heureusement, seule une partie des familles issues de l’immigration est concernée par de tels processus ; mais ceci attire l’attention sur une caractéristique des cultures d’origine des personnes qui critiquent l’homme blanc: l’éventualité d’un fonctionnement patriarcal violent, en particulier sur les femmes, mais aussi sur les enfants. En témoignent, que ce soit au Maghreb ou dans l’Afrique sahélienne, la fréquence des violences conjugales, des mariages «arrangés» parfois à 13 ans au Sahel, l’inégalité successorale, l’impossibilité pour une femme de circuler seule à pied à certains endroits sans être insultée sauf si elle se rend à son travail, la difficulté de faire condamner l’auteur d’un viol, l’impossibilité pour un adolescent de s’opposer à son père, etc.

Je propose aux hommes blancs de penser au chemin qu’ils ont parcouru sur le plan sociétal, légal, personnel, et de refuser d’endosser une honte qui ne leur est pas desti

À l’opposé, au fil des siècles, l’homme blanc a progressivement renoncé au pouvoir que lui donne sa force physique sur la femme et sur l’enfant.

En témoigne une succession de lois qui vont de la suppression des lettres de cachet à l’égalité des droits dans le domaine de l’autorité parentale, la facilitation du divorce, la loi sur les violences faites aux femmes, la légalisation de l’IVG, la loi de 2016 sur la protection de l’enfance.

Et dans le domaine des mœurs, de l’habillement par exemple, l’acceptation que les jupes s’arrêtent au-dessus du genou pour ceux qui se souviennent de cette période-à comparer à l’imposition du voile, etc.

Pour chacune de ces dispositions, il a fallu vaincre des résistances, et tout est loin d’être parfait dans notre pays, en témoignent des accusations d’harcèlement sexuel.

Mais ce mouvement existe réellement, sans retour possible.

Les personnes qui ne parviennent pas à sortir du lien incritiquable qu’elles ont avec l’homme violent et dominateur de leur famille, de leur culture, se considèrent comme des victimes, mais sans se permettre de se représenter de qui elles sont victimes.

Et elles vont déplacer l’origine de ce sentiment sur la société occidentale et sur l’homme blanc.

Dit autrement, ce qui est insupportable chez l’homme blanc, c’est qu’il ne cherche plus à soumettre le et la plus faible, ce qui déclenche une envie féroce à son encontre.

«Ce respect de ma personne, je ne l’ai pas eu, j’en ai été privé(e), j’en éprouve de la rage, alors je détruis, et j’attaque la société blanche en général».

Je propose aux hommes blancs de penser au chemin qu’ils ont parcouru sur le plan sociétal, légal, personnel, et de refuser d’endosser une honte qui ne leur est pas destinée. Au contraire, il est à leur honneur d’avoir accepté de renoncer à leurs privilèges.

*Les prénoms ont été modifiés.

Illustration : Est-ce qu’il faut avoir honte ou se sentir coupable d’être soi-même? Je ne crois pas, non !  ____________________________________________________

Peu d’Arabo-musulmans s’inté-ressent à la danse classique, à la musique classique…  la faute à qui ?

Bon maintenant, j’aimerais que l’on m’explique : »c’est quoi la diversité ». C’est quoi le délire de certains gauchistes et de ceux qui ont réussi comme ce Ibrahim Maalouf voulant à tout prix une pseudo diversité ? Pour ma part, cela ne veut rien dire, même pire c’est d’une mesquinerie sans nom car ces injonctions font fi des réalités les plus élémentaires !

https://resistancerepublicaine.com/2021/01/02/le-facho-ibrahim-mazouf-veut-plus-de-diversite-ethnique-dans-lorchestre-philharmonique-quil-aille-vivre-a-beyrouth/

Ce discours est fatigant, usant car il enferme toujours les gens dans leur supposée communauté, leur supposée appartenance. C’est ainsi d’ailleurs que de nombreuses personnes issues d’Afrique du Nord se retrouvent, à présent, en otage dans leur communauté d’origine et empêchées de s’intégrer complètement dans la communauté nationale. Les gens souhaitant vivre simplement comme tout bon citoyen français sont assimilés à des traîtres, des lèche-culs, des fayots et j’en passe. Cela est le signe qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond au royaume de France. Cela veut aussi dire qu’il y a un élément infranchissable qui différencie et l’on sait ce que c’est. C’est un mot qui s’écrit en cinq lettres. I.S.L.A.M.

Sinon pourquoi il ne serait pas possible de se sentir comme les autres, se sentir faisant partie du collectif français. La couleur, le faciès est-ce si important ? N’est-ce pas plutôt les valeurs nous réunissant qui importent ? C’est comme cela que je conçois les choses. Voyez Jean Messiha, se sentant Français à part entière, raillé, ramené toujours à ses origines. Par qui ? Pas par les Français de souche ! Non par les hypocrites accusant la France de racisme, de discrimination. Le plus bel exemple ! Sieur Bellatar, soit dit en passant qui réussit en France. En aurait-il été ainsi au royaume du Maroc ? Rien n’est moins sûr !

Et c’est toujours pareil ! Qui critique ceux qui se fondent dans les valeurs de la France, ceux qui affirment leur amour de notre si beau pays ? A votre avis ? Ce sont les adeptes du concept de diversité, de racialisme, d’indigénisme…et personne d’autre !

Il est temps de dire, Stop ! Basta !

Que l’on arrête de nous bassiner avec « il n’y a pas assez de diversité ». C’est une ineptie de croire ou de nous faire croire que cette pseudo diversité doit être visible, doit être de force de partout, quand une bonne part de celle-ci ne se sent pas concernée le moins du monde.

C’est une aberration de toujours ramener à l’origine des gens plutôt qu’à leur valeur, professionnelle, artistique, humaine. Je me fiche comme de ma première chemise d’où vient la personne que j’ai en face de moi, ce qui m’intéresse c’est le respect mutuel partagé, les valeurs et principes humains nous unissant, nous permettant une relation de qualité. Moi j’ai envie d’être sur la même longueur d’onde avec les gens fréquentés, et force est de constater que ça n’arrive pas souvent avec les disciples du chamelier. Il y a un mur d’incompréhension insurmontable sans oublier le fossé incommensurable entre nos valeurs respectives. Vais-je donc rechercher cette diversité dans ma vie de tous les jours ? Va-t-elle être présente de fait ? Non ! Puisque mes centres d’intérêt sont tellement à l’opposé des leurs, rendant dès lors notre rencontre improbable.

Personne ne les a exclus, c’est eux-mêmes qui le font par leur désintérêt de la culture, des arts, de l’histoire et du patrimoine de la France. Il n’y a de barrières nulle part pour aller dans les lieux culturels et pourtant je ne les y vois vraiment pas souvent. Tout simplement car une grande majorité ne se sent pas concernée par l’essence de l’âme française, pire beaucoup la méprisent, la regardent de haut et même la raillent. « Tout ça c’est pour les femmelettes, c’est le truc des céfrans». Je l’ai entendu dire tellement de fois par un nombre non négligeable d’arabo musulmans. Cela n’a rien à voir avec les moyens financiers dont seraient dépourvus ceux-ci. Pour la frime, pour les baskets derniers cris, smartphone et plus, ils les ont sans aucun problème !!! Mais les gauchos préfèrent nous attendrir, nous blouser avec ce discours de victimisation ou plutôt de justification du manque d’intérêt flagrant pour la culture française d’un nombre non négligeable de mahométans. Ne pas oublier le sondage montrant que 74 % des moins de 25 ans mettent les valeurs de la charia avant tout. Celles-ci, on les connaît, elles sont anti liberté, anti Occident, donc pas de musique, chant etc.

https://resistancerepublicaine.com/2020/10/14/qui-donc-a-eduque-les-jeunes-musulmans-qui-a-75-mettent-la-charia-avant-nos-lois/

https://www.ladepeche.fr/article/2008/12/09/505568-albi-la-prof-de-danse-agressee-temoigne.html

Les chiffres, les statistiques, les faits sont là, implacables, pour dire les réalités. Alors, la parlotte, les complaintes incessantes des zigs du genre du Maalouf, on sait ce que ça vaut ! Zéro plus zéro égal la tête à Toto.

Par ailleurs, est-ce inutile de rappeler que ceux issus d’Afrique du Nord s’intéressant aux arts, la musique classique, la peinture sont trop souvent regardés comme des bêtes curieuses voire carrément désapprouvés par leur famille, leur entourage, dans ce choix de vie, surtout pour les filles ? Pour ces dernières, les métiers artistiques sont mal vus, voire même considérés comme des voies pour les femmes de mauvaise vie. Quant aux garçons, ce n’est pas assez viril, c’est pour des gens efféminés et ça c’est quand même grave de donner une telle image de soi vis à vis de la communauté. Alors, pourquoi n’y a-t-il pas assez de « diversité » ? Est-ce que c’est dû à un pseudo racisme systémique de l’Europe, ou plutôt le fait d’un désintérêt quasi général pour tout ce qui fait le monde occidental ? Sa musique, son art, son patrimoine, sa gastronomie… Les professeurs enseignant dans les zones à forte concentration diversitaire vous le diront. Beaucoup de leurs élèves se fichent éperdument de la musique classique, les orchestres philharmoniques, le théâtre classique, la peinture, la littérature etc etc. Ce sont des trucs de kouffars tout ça, de gwères, de toubabs. Il ne manquerait plus qu’on s’y mette. Beurk !!!

Regardons ce qu’en dit par exemple Abdellah, fils d’ouvrier marocain pratiquant de la danse contemporaine :

« Je me suis fait emmerder parce que j’étais arabe et que je ne ressemblais pas à un arabe, parce que je disais pas « Ta mère » à tout le monde, je me suis fait emmerder parce que je faisais de la danse et pas de la mécanique. Quand je prenais le bus le week-end pour rentrer chez moi, il y en avait toujours un qui s’asseyait à côté de moi et qui me demandais : « Tu es de quelle origine, toi ? » et je répondais « Marocain » et eux me disaient « T’es pas marocain toi, t’as vu comment t’es habillé ». J’étais pas en jogging, je parlais pas comme eux, j’avais une voix fluette. J’aurais préféré me faire emmerder par des Français de mon âge que par ceux qui étaient de la même race que moi… Je traînais qu’avec des Blancs, le milieu de la danse classique c’est assez bourgeois, je n’avais pas la même vie qu’eux. Peut-être qu’ils étaient jaloux que quelqu’un comme eux à la base puisse faire autre chose que de la mécanique — je ne dénigre pas mon petit frère qui fait de la mécanique, s’il est content c’est très bien —, qui ne vole pas, ne fume pas, ne crache pas et ne traite pas les filles d’un « Elle est bonne ». Évidemment, je me faisais traiter de pédé… ».

https://www.cairn.info/revue-sociologie-de-l-art-2004-3-page-9.htm

Et puis, comme par hasard, le RAP, lui, ne manque pas de ladite diversité. Les Arabo musulmans, les Noirs ! Il en est même blindé, on y voit très peu de Blancs. C’est vrai que ce genre musical, si je puis l’appeler ainsi, prend lui plutôt sa source dans la violence, les récriminations, la victimisation, la misogynie et donc c’est plus adapté à bien de leurs habitudes.

Dès lors, est-ce honnête, correct de cracher ainsi dans la soupe en disant que le monde musical classique est raciste et refuse « la diversité » en son sein ? Est-ce normal de vouloir donner des passe-droits à certains pour donner l’illusion qu’ils seraient nombreux à être attirés, intéressés par cet art ?

Pour ma part, je ressentirais une honte indicible si je devais bénéficier d’une quelconque facilité due à la prétendue discrimination dont je serais victime !!! Hein quoi ! Victime vous avez dit ? Non jamais, j’ai réussi des concours très difficiles et j’ai eu les félicitations des jurys parce que comme tous ceux ayant réussi, j’ai su montrer mon implication, ma motivation par mon travail. Quand on travaille, on arrive à tout ! Oui tout ! Ce n’est pas plus compliqué que cela !

Par contre, quand on se complaît dans la médiocrité, le statut de victime avec complainte et compagnie, là bien évidemment il y a nada à l’horizon. Et cela en étonne certains ?!? Et c’est cela qui leur fait dire qu’il n’y a pas assez de diversité ?!?Une bêtise sans nom ! Est-ce notre faute si les études et autres ne les intéressent pas ? Est-ce notre faute si certains préfèrent traîner dans les rues jusqu’à point d’heure au lieu de travailler, étudier ? Ceux qui le font quelles que soient leurs origines réussissent et sont reconnus dans leurs compétences. Oui oui ! Soyons en sûrs ! Je l’ai vécu moi-même.

Pendant mes études, j’étais régulièrement moquée par une Arabo-musulmane parce que passionnée par la littérature et la langue française. Les professeurs me félicitaient pour le bon usage de notre langue et pour cela, elle se foutait ouvertement de ma personne. Elle disait, je cite : « Samia, elle se la joue. Elle se prend pour une gwère. Elle fait son intello ah ah. Laissez-la, c’est même pas la peine ». Je dois dire que ça ne me faisait ni chaud ni froid ! C’est tellement bas de gamme ce genre de réflexion ! Faut-il y répondre ? Bien sûr que non !

Elle ne se foulait pas beaucoup en terme d’investissement, en revanche, lors des rendus de note, la demoiselle se plaignait du prétendu racisme de nos enseignants. Elle avait le toupet de dire que la France était raciste avec les gens de son origine, c’était le pourquoi de ses mauvaises notes.

Ces dernières n’étaient sûrement pas dues au fait qu’elle ne s’intéressait pas aux différents apprentissages, aux connaissances nous étant apportés. Elle, les écrivains du 19ème siècle, par exemple, ça la saoulait, elle les trouvait particulièrement ridicules. Et tout le reste, c’était du même acabit !

De plus, à chaque analyse de texte, elle ramenait toujours tout à sa prétendue condition. Le professeur l’avait avertie qu’elle se devait de changer son angle d’analyse, sans grand succès. La petite nana, obnubilée qu’elle était par les misères infligées par la terrible France, n’arrivait pas à produire la moindre réflexion en dehors de son appartenance à sa communauté. Au lieu de se remettre en question, ce qui l’aurait fait avancer, elle se disait victime de discrimination, seul leitmotiv dont elle était capable. Résultat de son comportement dont elle était la seule responsable, elle avait raté ses études. Ai-je été étonnée ? Non ! Bien sûr que non dans la mesure où cette dernière refusait catégoriquement d’être transportée par la splendeur de la littérature française, des différentes connaissances du monde occidental. Elle préférait se morfondre dans son si bel islam, dans ses belles valeurs musulmanes, les seules valables, les seules dignes d’être suivies. Eh bien soit, qu’elle reste dans sa fange jusqu’à la fin des temps !

Et cela s’est traduit par la suite par une présence infinitésimale d’Arabo-musulmans lors de mes études. Est-ce que c’était parce que la France leur refusait d’y accéder ? Non c’est parce que la voie que j’avais choisie ne les attirait pas particulièrement. Devais-je m’en offusquer ? Non, bien au contraire, j’avais la paix ! Trop souvent quand des adeptes de momo sont dans les parages, vos diapasons doivent être, à tous les coups, réglés sur les leurs. Ce qui me fait dire : « Adieu liberté, adieu tranquillité ». Donc c’est tant mieux s’ils sont minoritaires voire encore mieux absents. C’est pas moi qui irais pleurnicher !

Pour finir, je dois dire, certes, Ibrahim Maalouf, est peut-être reconnu comme doué dans son art, pour autant son comportement abject ne me donne vraiment pas envie de l’écouter. Je suis trop écœurée pour ça. Ce genre d’énergumènes non contents de leur réussite personnelle leur étant propre, se permettant de réclamer pour d’autres n’ayant pas forcément demandé quoi que ce soit, me révulsent. Ils devraient aller dans les shitoles islamiques et ils verront ce qu’on leur réservera comme accueil. Ils verront les belles égalités, les belles valeurs d’humanité ayant cours entre les différentes communautés, surtout les musulmans envers les non musulmans. Pourquoi ne part-il pas au Liban pour faire le ménage, rétablir la justice, les droits des non musulmans qui sont en train de tout perdre actuellement. Il devrait garder ses énergies pour cela mais soyons lucide, il est plus facile de se la ramener dans les pays occidentaux que dans les bazars musulmans, n’est-ce pas ?

Les malhonnêtes comme ce musicien, mais il y en a bien d’autres, sont toujours en train de dire, d’accuser les non musulmans de rejet des musulmans. Mais n’est-ce pas plutôt souvent le contraire qui est à l’œuvre ? Hein dites-moi ? Voyez Hamid Zanaz, auteur de l’essai « l’islamisme, vrai visage de l’islam, un homme ayant vécu parmi les arabo musulmans, qui en sait quelque chose et ne se voile pas la face lui. Il a fait ce constat tant de fois qu’il en est arrivé à la conclusion que le racisme de beaucoup d’adeptes du bédouin dépasse de loin celui de toute sorte de non musulmans.

J’ai fait le même constat que cet écrivain. Les arabo musulmans, ou en tout cas une part importante d’entre eux, passent leur temps à dire qu’ils ne se voient pas se mélanger avec les gwères (Français), ou pire faire comme eux. Donc ma conclusion doit-elle être la même que la sienne ? La réponse est claire comme de l’eau roche, n’est-ce pas ?

Arrêtez de vous plaindre qu’il n’y a pas assez de ceci de cela dans les administrations, à la télévision, dans les films, et aussi à présent les opéras et les orchestres philharmoniques, vous êtes tout bonnement risibles, pathétiques, foi de Samia, qui ne se fait pas d’illusion sur l’origine des problèmes en France !!!

Samia

Peu d’Arabo-musulmans s’intéressent à la danse classique, à la musique classique… la faute à qui ?

(Source : Résistance Républicaine)

-==-

____________________________________________________

Les Hindous protègent leurs filles du « Love djihad » !

Manifestation de femmes contre les enlèvements et mariages forcés au Pakistan.

.Depuis que les Hindous ont repris le contrôle de leur pays et le libèrent du marxo-progressisme qui y a sévi des années durant, les musulmans sont ramenés à ce qu’ils sont.
Les voila privés des droits supérieurs de la meilleure communauté que leur attribue leur prétendue religion suprémaciste !
.Ainsi, dans les Etats tenus par le BJP (Bharatiya Janata Party), se mettent en place des lois protégeant des filles hindoues des mariages et conversions forcés, surtout les filles de famille pauvres, éventuellement sensibles à des arguments sonnants et trébuchants.
..

Dans l’Uttar Pradesh, en Inde, les autorités ont décidé qu’il était désormais impossible, pour un homme musulman, d’épouser une Hindoue. La loi entrée en vigueur le 28 novembre prévoit une peine de prison pouvant aller jusqu’à dix ans pour toute personne reconnue coupable d’avoir usé du mariage pour forcer quelqu’un à changer de religion. Le texte précise que, dans un mariage interconfessionnel, si l’un des partenaires souhaite embrasser une autre religion, il doit en informer par écrit le magistrat du district deux mois à l’avance.
Depuis, une quinzaine d’arrestations seraient signalées.

Les autorités de l’Etat cherchent à combattre le « love jihad », des musulmans voulant épouser des jeunes filles hindoues pour les convertir ensuite à l’islam (ainsi les consignes démographiques, le goût développé pour la polygamie et la « jeunesse » particulièrement encouragés par la prétendue religion).
..

Bien sûr, les bien-pensants occidentaux de dénoncer ces dispositions pour le moins populistes.
Ainsi le Monde n’écrit-il pas, associant le bouddhisme et le christianisme à l’islam à l’occasion « Le gouvernement de l’Uttar Pradesh cible à la fois les conversions individuelles, passibles de un à cinq ans de prison, et les conversions collectives, passibles d’une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à dix ans, pour éviter comme dans le passé des conversions massives au christianisme ou au bouddhisme*. »
* [NDLReffectivement des conversions pour s’extraire de la condition d’intouchable en Inde… rien à voir avec des mariages (In cauda venenum)]!

Faites une recherche internet sur le sujet, outre L’Immonde, vous trouverez les émois du Point, de fRancetvIntox, Ouest-France, La Croix, RFI. S’insère dans la liste La Libre Belgique, puis Libé. pour clore la première page des média fort connus.
.

Le revers de la pièce est-il le même pour les mariages forcés de chrétiennes au Pakistan -pour ne citer que ce pays ?
Là, les média officiels de propagande sont beaucoup plus discrets, voire totalement cois. Heureusement La Croix, Cnews, suivent 5 sites chrétiens, puis Sputniknews et enfin Valeurs actuelles pour la première page. Comme grand média, seul Marianne en 2ème page ! Le Figaro en 3ème page !
Mieux dans l’occultation si j’ose dire, l’enlèvement et le mariage forcé d’une chrétienne de 14 ans, Huma Younus*  n’a pas beaucoup ému la presse de propagande ! Aucun  des média dénonçant précédemment l’Inde populiste dans la première page de la recherche, ni dans la 2ème, pas plus dans la 3ème.
* S’appuyant sur la charia, la Haute Cour de Karachi a estimé, le 3 février dernier, que l’union de la jeune chrétienne avec son ravisseur musulman était bien valide, avant de se dédire le 2 novembre sous la pression internationale (pas de la France assurément, cherchez !).
* Idem le cas de Maira Shahbaz 14 ans, s’est échappée le 15 août 2020 de chez son ravisseur et prétendu mari Mohamad Nakash, qui plus est obligée de se prostituer.
..

D’autres Etats, dont l’Haryana et le Madhya Pradesh, dirigés eux aussi par le BJP(au pouvoir du pays) ont adopté une législation similaire contre les mariages interreligieux.

Question subsidiaire, la France protège-t-elle autant ses filles ?

Complément : mariages forcés en Allemagne.
https://www.breizh-info.com/2020/12/30/156336/allemagne-mariages-forces/

Les Hindous protègent leurs filles du « Love djihad » !

(Source : Résistance Républicaine)

-==-

Maxime Dogot, un des responsables : les initiateurs du projet sont ravis de leur nouveau joujou…

Aucun doute que toutes ces merveilles soient rapidement taguées, les toilettes souillées et les objets volés et revendus ou détruits par les barbares… louyehi ____________________________________________________

Le scandale incessant de l’accueil des migrants en Europe, mais celui-là est de taille : Belgique, un nouveau toit pour les migrants… dans une splendide maison bourgeoise qui date de 1880 !!

Les envahisseurs vont pouvoir « se poser ». 

 « Réfugiés bienvenus »… dans un cadre de rêve.

Admirez  les fresques, le jardin d’hiver, les murs végétalisés, les parquets, les cheminées, les lustres, les miroirs et les dorures…

A l’arrière les attendent d’autres  merveilles pour les beaux jours : un grand  jardin botanique, une sublime  terrasse et une verrière…

Mazette !

        De quelle bêtise crasse font preuve beaucoup de ces imbéciles bisounours mondialistes sourds et aveugles à la réalité ! Mais ne nous leurrons pas : c’est la même chose en France, mais qui en parle ? louyehi

 

Ne soyez pas nostalgiques en voyant les vestiges du monde d’avant filer entre les mains des zentils-zanimateurs et des clandos. 

C’est l’avenir voulu en haut lieu pour  l’Europe, un exemple concret parmi tant d’autres, de la mise en oeuvre du Grand Remplacement et du Vivre-ensemble.

RTBF

Tournai : un nouveau toit pour les migrants en transit

et la lutte contre le racisme

Un nouveau local où la plateforme pour l’interculturalité pourra travailler sereinement.

A Tournai, la plateforme pour l’interculturalité a trouvé des locaux. [avec quel argent ?]

Un rez-de-chaussée situé dans le quartier Saint-Brice, pas loin de la gare, où se trouvait jusqu’à il y a peu le restaurant Patio’nément. Le contrat de location a été signé ce lundi. L’association qui se bat contre le racisme et en faveur des étrangers espère pouvoir y accueillir ses bénéficiaires dès la semaine prochaine.

« Ce sont des locaux qui vont nous permettre de déployer nos missions », explique Maxime Dogot, coprésident de la plateforme.

« Globalement, on essaie de faire se rencontrer différentes cultures pour montrer qu’il y a bien moyen de vivre tous ensemble ».

Mais la mission la plus urgente du moment, c’est l’accueil de jour et l’accompagnement des migrants en transit, ces exilés de passage en Belgique qui rêvent de rejoindre l’Angleterre.

« Après le démantèlement d’un campement à Froyennes qui s’est produit au mois d’octobre, ces migrants n’avaient plus d’endroit où se poser. Ils ont pu être provisoirement accueillis au Foyer Saint-Eloi de Froyennes… Très prochainement, c’est ici qu’ils pourront venir se poser ».

 

[Pour tout un chacun, en Belgique comme en France, les restaurants sont fermés. Cependant…]

L’ancien restaurant est composé de plusieurs pièces, d’une terrasse, d’un petit jardin et surtout d’une belle cuisine. « Les personnes bénéficiaires pourront venir cuisiner ainsi que des bénévoles. Il y aura donc la possibilité de se nourrir, mais également de s’allonger et de se reposer en journée. » Des permanences sociales et juridiques peuvent aussi éclairer ces migrants sur leurs droits.

« L’idée est de les sortir de la situation d’urgence dans laquelle ils se trouvent et de les informer sur les différentes possibilités d’accueil en Belgique ».

 

Vidéo de 2019, à  l’époque où la demeure abritait un restaurant, qui permet d’admirer le cadre :

« Entre patrimoine et botanique, la demeure tournaisienne que nous visitons dans cette émission est pleine d’atouts déco. Après avoir hébergé des occupants très divers au fil de l’Histoire, elle abrite aujourd’hui un restaurant, le Patio’nement. Chacun pourra y admirer les tapisseries d’époque qui ornent toujours les murs ».

Jules Ferry

Belgique : un nouveau toit pour les migrants… dans une splendide maison bourgeoise de 1880

(Source : Résistance Républicaine)

-==-

 

 

CONSEQUENCES CATASTROPHIQUES DES GRANDES INVASIONS BARBARES DU XXIe SIECLE, DE PAR LA TRAHISON DE NOS GOUVERNANTS – 9 janvier 2021

__________________________________________________

L’immigration a entraîné l’échec de notre système éducatif

Suite à la parution de son livre, Mme Meunier-Berthelot a été interviewée par André Bercoff puis par Martial Bild. Nous avons pu entendre des choses intéressantes sur Blanquer ou sur l’infiltration de l’islamisme dans le système éducatif français. Par contre cette dame a une vision complètement erronée des Réseaux d’éducation prioritaire. Elle affirme que ces REP constituent une école d’excellence sans que les journalistes chevronnés qui l’interrogent ne sourcillent. La moindre des choses aurait été de lui demander pourquoi les parents soucieux de la réussite de leurs enfants qui ont la malchance d’être domiciliés dans un secteur scolaire rattachés à un REP cherchent à fuir cette école d’excellence. Par des demandes de dérogation de secteur scolaire, par l’utilisation d’adresses fictives ou en se tournant vers l’enseignement privé sous contrat.

Les REP sont la dernière appellation d’un coûteux dispositif qui a changé de nom à de multiples reprises depuis sa création sous le nom de Zone d’éducation prioritaire. C’est après l’arrivée au pouvoir de Mitterrand en 1981 qu’ont été créées les ZEP dans ce que l’on appelait encore les banlieues, qui sont très vite apparues comme des zones de non-droit, des zones ethniques disent même certains.

Quelques années auparavant Chirac et Giscard, aussi nuisibles l’un que l’autre, avaient autorisé le regroupement familial remplaçant ainsi l’immigration de travail dont on avait plus besoin par une immigration de colonisation. Il a fallu loger toutes ces familles nombreuses en enfants et parfois en épouses. Ça tombait bien, les HLM se vidaient du fait du départ de familles de souche qui pouvaient accéder à la propriété. Départ volontaire ou forcé. Malgré la crise pétrolière les salaires et retraites progressaient et le deuxième salaire au foyer, celui de la femme, était de plus en plus fréquent. Pour forcer les ménages devenus trop riches à abandonner leur appartement on inventa le surloyer.
Les cases vacantes furent immédiatement comblées par les nouvelles familles de création chiraquo-giscardienne. Ce qui accéléra le départ des autochtones. À cause des odeurs si l’on en croit Chirac qui avait parfois des moments de lucidité.

Ce changement de population n’entraîna pas seulement la dégradation de l’habitat et de l’environnement mais aussi celle de l’école du quartier. Finie l’époque où le petit écolier de souche ou issu de l’immigration européenne intégrée (polonaise, italienne, espagnole et portugaise), poussé par ses parents, respectait le maître et savait qu’il fallait étudier pour s’en sortir et éventuellement profiter de l’ascenseur social. Quelques années plus tard, la dégradation du système éducatif était si flagrante dans les zones d’immigration extra-européenne que les socialistes, dès leur arrivée au pouvoir, inventèrent les ZEP, zones dans lesquelles les écoles recevraient plus de moyens financiers, seraient mieux dotées en enseignants et bénéficieraient des lumières d’intervenants extérieurs certainement plus compétents que les instituteurs. On allait en revenir à la discipline dans les classes et les galopins allaient retrouver de l’appétence scolaire. Tout serait réglé en deux coups de cuiller à pot. D’ailleurs la circulaire instaurant les ZEP précisait qu’il n’était pas souhaitable d’envisager une assistance permanente qui conduirait à ghettos scolaires. C’était il y a 40 ans.

Malheureusement la potion miracle socialiste n’a pas fonctionné. Les ZEP renommées REP englobent des territoires toujours plus étendus. Le niveau scolaire dans ces zones ne cesse de baisser malgré les moyens financiers et humains considérables déversés par tous les gouvernements qui se sont succédé en 40 ans. Baisse des effectifs des classes et même dédoublement en CP et CE1. Généreuses primes de risque pour les enseignants et chefs d’établissement exerçant dans ces zones peu attractives, primes d’installation à l’arrivée et prime d’ancienneté pour ceux qui tiennent le coup 5 ans. Recrutement de « grands frères » pour l’aide aux devoirs. Intervention d’associations extérieures douteuses copieusement rémunérées. Tentatives de rattacher des zones pavillonnaires aux secteurs des REP pour forcer l’impossible vivre-ensemble. Et pour couronner le tout, des programmes allégés et expurgés de tout ce qui rappelle trop la grandeur de la France. Sans résultat probant. Mais ce n’est pas parce que l’on échoue qu’il ne faut pas persévérer.

Si le gaspillage d’argent ne lèse que le contribuable, la révision à la baisse des programmes, qui sont nationaux, lèse tous les élèves. Pendant que les experts et autres pédagogistes viennent nous expliquer que le niveau monte car les taux de réussite aux examens explosent, les études internationales, que ce soit PISA ou TIMSS prouvent le contraire. La dernière étude TIMSS relative aux sciences montre que le niveau moyen en mathématiques des élèves de quatrième est identique à celui qu’il était en cinquième il y a 25 ans. L’ancien ministre Ferry nous dit que si l’on enlève les 10 % d’établissements pourris, entendre par là les ZEP ou REP, nos résultats sont excellents. C’est inexact. Il est clair que les ZEP ou REP – 14 % des collèges se trouvent en REP – tirent les résultats vers le bas mais la baisse du niveau due à l’allègement des programmes est générale.

Mais le problème ne porte pas que sur la transmission du savoir disciplinaire. Il est même peut-être encore plus aigu en ce qui concerne la transmission de ce que l’on appelle les valeurs de la République. Un récent sondage de l’IFOP nous indiquait que 57 % des jeunes musulmans plaçaient la charia avant les lois françaises. Ces jeunes ne sont absolument pas des immigrés clandestins fraîchement débarqués du Pakistan, d’Afghanistan ou de Tchétchénie. Ils ont été scolarisés en France, bien souvent en REP. Mais, et c’est aussi l’IFOP qui nous le dit, 49 % des enseignants de lycée ou collège reconnaissent s’autocensurer dans leurs enseignements afin d’éviter de possibles incidents qui pourraient être provoqués par certains élèves. On devine lesquels. Et 49 % c’est une moyenne, le pourcentage est bien plus élevé en REP. Avec une telle frilosité on ne peut donc guère espérer une amélioration dans l’adhésion de ces élèves de REP à nos valeurs.

Oser qualifier les REP d’écoles d’excellence est donc une supercherie qui ne trompe pas les rares parents sensés domiciliés dans les territoires relevant de ces réseaux. Ils savent que les classes sont parasitées par des cancres et perturbateurs et que les enseignants perdent énormément de temps pour obtenir un calme relatif en classe. Que ces enseignants doivent se limiter à des exercices simples pour pouvoir mettre des notes pas trop basses comme le demande la hiérarchie. Qu’il y a des portions de programmes, en histoire ou en sciences naturelles par exemple, qui ne seront jamais traitées pour ne pas choquer l’auditoire. Que l’étude de la langue française est réduite à sa plus simple expression, que les œuvres de nos plus grands auteurs classiques ne seront jamais étudiées.

Alors existe-t-il une solution pour la scolarisation de la jeunesse issue de l’immigration extra-européenne ? Je suis assez pessimiste. Je ne suis pas sûr qu’un arrêt total de l’immigration soit suffisant pour résoudre le problème. Car même si l’on arrête les flux, il y a un stock problématique. Ayant passé autant d’années que Mme Meunier-Berthelot dans l’Éducation nationale, comme enseignant puis comme proviseur, j’ai pu observer non seulement la lente décadence du système éducatif mais aussi l’évolution de l’état d’esprit de la fraction musulmane des utilisateurs de l’école. Il y a bien longtemps, en tant que professeur principal, j’ai eu l’occasion de rencontrer des parents tout à fait corrects, j’oserais dire presque intégrés, on n’entendait pas parler de ramadan ni de repas sans porc, on pouvait même les apercevoir au café. Ils soutenaient les enseignants lorsque leur enfant devait être sanctionné. Puis plus tard, alors qu’en tant que proviseur je devais convoquer des familles dont la progéniture était grandement perturbatrice, j’ai vu arriver les grands frères, au prétexte que les parents ne savaient pas bien s’exprimer en français. Généralement arrogants et souvent aigris même lorsqu’ils avaient réussi dans les études. Toute sanction était considérée comme un acte raciste. C’était la deuxième génération. On en est maintenant au moins à la troisième génération sur le sol français et ça ne rêve que de charia. Quel échec des ZEP et REP ! Quel échec du système éducatif !

Bernard Waymel

ZEP et REP : l’immigration a entraîné l’échec de notre système éducatif

(Source : Riposte laïque)

-==-

____________________________________________________

La source de la violence islamique est dans le coran

Ces dernières années, les terroristes islamiques ont été présentés dans la presse comme des «déséquilibrés», probablement avec l’intention de jeter de l’eau sur le feu, en évitant toute corrélation entre leur violence et leur religion. Mais après des milliers d’attentats un peu partout dans le monde depuis le 11 septembre 2001, l’existence d’un lien entre les deux ne peut plus être «camouflée» par des raisons psychiatriques.

L’islam, une fabrique de déséquilibrés ?  

Parmi ceux qui l’ont compris depuis longtemps, il y a la musulmane d’origine syrienne Wafa Sultan, qui, depuis 1989, réside aux États-Unis, où elle pratique la profession de psychiatre. En 2016, elle avait publié un livre au titre éloquent: «L’islam, fabrique de déséquilibrés?», où elle décrit comment “les règles islamiques ont enfermé, depuis 1400 ans, les disciples d’Allah, les empêchant – par un devoir de soumission à des textes sacrés – de créer, d’inventer et d’être heureux”. Des règles qui “sont en grande partie responsables de la pauvreté, intellectuelle, morale et matérielle des sociétés islamiques”. On peut donc expliquer les nombreux actes de violence “par l’oppression mentale qu’exerce l’islam contre ses disciples, dès leur plus tendre enfance”.

La psychiatre était devenu célèbre dans le monde entier en 2006 pour avoir critiqué sur la chaîne Al Jazeera l’influence néfaste exercée par l’islam sur l’esprit de nombreux jeunes qui avaient commis des attentats suicides au nom d’Allah (un phénomène que le politologue italien Giovanni Sartori, dans un article publié dans le Corriere della Sera le 10 janvier 2005, avait ainsi expliqué: «le martyr de la foi qui se tue pour tuer et qu’aucune autre culture n’a jamais produit»).

Le Coran de la Mecque et de la Médina 

On peut comprendre qu’après chaque attentat commis au cri d’ »Allahu akbar » (Allah est le plus grand), tous les imams à l’unisson se précipitent pour rassurer leurs interlocuteurs occidentaux en leur disant que  «ce n’est pas le vrai islam» car le leur est une «religion de paix, d’amour et de tolérance: mentir pour défendre l’islam fait partie de leur mission et ce mensonge est justifié par Allah lui-même (Coran, 3:28). Il est surprenant, cependant, que de nombreux politiciens et journalistes qui n’ont peut-être jamais ouvert le Coran croient en ces balivernes.

Voici donc une explication qui devrait ouvrir les yeux à tous ces angéliques bien mal informés.

Dans le Coran, il y a des versets pacifiques et spirituels (plus d’une centaine), révélés par Allah au début de la prédication de Mahomet à la Mecque (dans la période de 610 à 622). Mais quand le Prophète, pour échapper aux menaces des autorités locales, s’est déplacé avec ses disciples à Médine (où il a exterminé une tribu de Juifs), a commencé à piller des caravanes à destination de la Mecque et a commencé des guerres d’expansion, les versets sont devenus de plus en plus violents et belliqueux et imprégnés de haine envers tous les « infidèles ».

Tant et si bien que Sami Aldeeb, un palestinien chrétien qui vit près de Lausanne et qui est un grand spécialiste du droit arabe et islamique, avait déclaré il y a quelques années dans une vidéo, que «le Coran médinois est mille fois pire que le Mein Kampf». Et il est significatif que la naissance officielle de l’islam remonte au départ même (connu sous le nom de «Hégire») de Mahomet de la Mecque: c’était en 622 après Jésus-Christ, et c’est à partir de cette année-là que le calendrier musulman commence, comme pour souligner que le véritable islam est bien celui de Médine (où Mahomet est mort en 632), qui est politique et militaire, et non pas celui de la Mecque, qui est pacifique et spirituel.

Versets pacifiques abrogés et remplacés par des versets violents 

Ce que les imams rusés ne disent pas, c’est que, selon les différentes écoles de pensée islamique, les versets révélés à Médine priment par rapport à ceux révélés à la Mecque ou pendant la période initiale de Médine, parce que ce qui compte est l’ordre chronologique de la révélation ( Coran, 2:106) .

Ainsi, en cas de contradiction entre un verset pacifique de la période «mecquoise» et un verset belliqueux de la période médinoise, le second est prédominant, c’est-à-dire celui qui, selon la doctrine islamique, doit être appliqué par tout bon musulman qui souhaite aller au Paradis.

Et voici un exemple concret.

Le verset 256 du deuxième chapitre du Coran dit qu’«il n’y a pas de constriction dans la religion», et est souvent cité par les imams pour faire croire aux naïfs occidentaux qu’il y a une liberté de religion dans l’Islam.  En réalité, ce verset doit être considéré comme abrogé parce qu’il a été révélé avant le «verset de l’épée» (Coran, 9: 5), c’est-à-dire celui qui exige le meurtre de tous les polythéistes qui refusent de se convertir à l’islam; il a aussi été révélé avant le verset (Coran, 9:29) qui exhorte à combattre contre les chrétiens et les juifs qui refusent de se convertir ou qui n’acceptent même pas de payer une taxe humiliante de capitulation (appelée «jizya»).  Bref, ces deux simples versets ont à eux seuls effacé à jamais les plus de 100 versets de la Mecque relatifs à la paix, à la tolérance, au respect, à la prédication, au dialogue…

En outre, pour ceux qui auraient encore des doutes sur la liberté de religion dans l’islam, il suffit de rappeler que Mahomet lui-même a dit que les musulmans qui se convertissent à d’autres religions (crime d’apostasie) “méritent de mourir”: comme plusieurs pays islamiques appliquent encore cette funeste législation aujourd’hui… Et que dire des femmes musulmanes qui ne peuvent pas se marier avec des “infidèles”.

L’ambiguïté de l’islam réside dans le fait que l’ordre chronologique des versets n’est pas respecté dans le Coran, où les versets mecquois et médinois sont mélangés: ce «désordre» est habilement exploité par les imams pour faire valoir –  face aux naïfs occidentaux – que l’islam est une religion de paix et d’amour, citant comme preuve des versets pacifiques… qui sont ,de facto, considérés comme abrogés.

À ce propos il faut savoir que Sami Aldeeb a écrit une version du Coran unique au monde (en vente sur Amazon) qui sépare  les versets de la Mecque de ceux de Médine, en respectant ainsi l’ordre chronologique de la révélation: ce Coran pourrait fournir un bon point de départ pour une réforme pacifique et spirituelle de l’islam, visant à réévaluer les versets de la Mecque et à déclarer obsolètes les autres.

Sans une réforme de l’islam, il y aura un choc des civilisations 

Il y a eu (et il y a encore) des musulmans «éclairés» qui ont proposé de réformer l’islam. Mais ces réformateurs – accusés d’hérésie et d’apostasie – ont été emprisonnés ou tués ou exilés par les représentants de la religion d’amour…

En fait, contrairement à la Bible (qui, dans l’Ancien Testament, contient des pages de violence qui sont interprétables et ont été contextualisées depuis des siècles), chaque verset du Coran est considéré comme «la parole» d’Allah et donc ce texte sacré est considéré comme incréé, éternel et inaltérable, et doit être appliqué à la lettre partout et toujours. C’est pourquoi une réforme de l’islam (surtout en cette époque de radicalisation dans tous les pays islamiques) est presque impossible, car cela signifierait remettre Allah lui-même en question.

Mais sans réforme, il y aura tôt ou tard un choc des civilisations entre l’islam et l’Occident, parce que tant que l’islam politique l’emportera sur l’islam religieux et cherchera à remplacer la démocratie par la charia (ce qui se passe en Turquie devrait faire réfléchir…), il ne pourra jamais devenir compatible avec les valeurs de notre société et avec les droits de l’homme (liberté de religion, égalité entre homme et femme, séparation entre l’Église et l’État, etc.).

La différence entre la violence des musulmans et celle des chrétiens 

Il y a ceux qui, pour relativiser la violence de l’islam, font des comparaisons avec les siècles «sombres» du christianisme (pensez à l’«Inquisition»). Mais heureusement, l’Occident a depuis longtemps dépassé ce fanatisme religieux, alors que l’islam est resté ce qu’il était il y a 1400 ans. C’est pourquoi le problème aujourd’hui est l’islam et non le christianisme!

Et toujours sur le thème de la violence, il y a une autre différence entre ces deux religions qui devrait faire réfléchir: les chrétiens peuvent devenir violents lorsqu’ils ne suivent pas les enseignements d’amour de Jésus rapportés dans le Nouveau Testament, tandis que les musulmans le deviennent justement quand ils suivent  littéralement leurs textes sacrés, où se trouve la racine de leur violence.

Parce que Dreuz est censuré pour le crime de désaccord avec la gauche, suivez notre fil Twitter, et retweetez-nous. C’est un important geste de résistance pour faire circuler vos idées.

Parce que Dreuz est censuré pour le crime de désaccord avec la gauche, suivez notre fil Twitter, et retweetez-nous. C’est un important geste de résistance pour faire circuler vos idées.

Lesobservateurs

La source de la violence islamique est dans le Coran

(Source : Dreuz.info)

-==-

Déplacement de 2500 migrants par mois dans nos campagnes : SOS ma France ! _____________________________________________________

Déplacement de 2500 migrants par mois dans nos campagnes : SOS ma France !

Le plan criminel du gouvernement : le déplacement de 2 500 clandos par mois dans les campagnes, soit 30 000 à la fin de l’année. Égalité républicaine devant la délinquance et le crack ! C’est un véritable génocide culturel imposé à la France des Gilets jaunes.

http://www.interieur.gouv.fr/Actualites/L-actu-du-Ministere/Schema-national-d-accueil-des-demandeurs-d-asile-et-d-integration-des-refugies-2021-2023

Ce sont Darmanin et Schiappa qui sont chargés de ce plan criminel. Ordures ! SOS ma France !

On appréciera le terme “soulager” : l’immigration si “enrichissante” serait donc un poids, on nous aurait menti ? Article fort instructif à ne pas manquer pour tout savoir sur cette nouvelle usine à gaz prétendant gérer le ruineux tonneau des Danaïdes :  https://www.lefigaro.fr/actualite-france/migrants-ce-que-prevoit-l-executif-pour-soulager-la-region-parisienne-20210108?fbclid=IwAR1NG2AC_Qnqw6FBWYwp_4wtPCy5nTLwZwuAZZ7oPX4a8XiV49hROsVujqw

Très pertinentes remarques de Damien Rieu :

 

Et de Gilbert Collard : “L’État veut réorienter 2 500 #migrants par mois de la région parisienne aux régions où la pression migratoire est moins forte. Remplir nos campagnes vides de ses habitants pour les remplacer par des demandeurs d’asile, comment peut-on qualifier cette pratique ?”

Après le « risque covid », le « risque pollution » ! Quoi d’autre, les paris sont ouverts ! https://www.valeursactuelles.com/societe/toulouse-un-bangladais-obtient-le-statut-de-refugie-grace-la-pollution-dans-son-pays-127308?fbclid=IwAR1Q6JvDjmYIqu7ZabCvy7A6MeMYlRUN9s5lJVkbG4wcY-mTFpRZS37j9Sg

Vaulx-en-Velin, le jeune clando syrien cherche un logement : https://www.leprogres.fr/faits-divers-justice/2021/01/04/vaulx-en-velin-un-jeune-etranger-fracture-des-appartements-pour-y-loger-sa-famille?utm_campaign=Echobox&utm_content=LeProgres&utm_medium=SMO&utm_source=Facebook&utm_term=LeProgresRhone&fbclid=IwAR2He6FF7PrHLIppiIMaJyt4M3UX6t94ZKKTWCjd_s6FGlqIyMQKwy8JiEM#Echobox=1609772732

Et hop ! “Dans le Nord, les migrants soumis à l’obligation de quitter le territoire se contentent de franchir la frontière belge puis de revenir, en toute légalité. Ce dispositif ubuesque mais parfaitement légal a été mis en place par un collectif d’aide aux étrangers pour leur éviter d’être expulsés.” Immigration : “Dans le Nord, les migrants soumis à l’obligation de quitter le territoire se contentent de franchir la frontière belge puis de revenir, en toute légalité” – Fdesouche

Les archives du CCIF montrent l’ampleur du désastre musulman.  Il demeure quelques résistants qui prennent des risques énormes, s’ils sont pris. https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/exclusif-ce-que-les-archives-confidentielles-du-ccif-revelent-de-lampleur-de-la-radicalisation-en-france-127172

https://www.ouest-france.fr/bourgogne-franche-comte/dijon-21000/des-messages-racistes-peints-sur-des-restaurants-halal-de-dijon-depuis-les-attentats-d-octobre-7054730

Et, “enmêmetemps”

 

Vraiment étonnant, n’est-ce pas Castex, n’est-ce pas le Yéti ? « La France aurait beaucoup de mal à encaisser un nouveau 13 novembre. Il y a une sortie de prison massive des djihadistes qui n’ont absolument pas baissé leur détermination et leur volonté de nous frapper. Nous avons reculé sur le terrain de l’islamisme…https://www.fdesouche.com/2021/01/08/thibault-de-montbrial-les-djihadistes-qui-sortent-de-prison-nont-absolument-pas-baisse-leur-determination-et-leur-volonte-de-nous-frapper/

Il y en a qui crurent à la bienveillante neutralité des “grands frères”. La “République” allait digérer tout cela. La France ? On verrait bien mais, pas de souci, elle en avait vu d’autres. Quelle superbe et tragique naïveté, sublimée par les remords de l’un des principaux responsables du désastre : Valéry Giscard d’Estaing. Et, comme toujours, il aura fallu attendre que la Gauche ouvre enfin les yeux pour que le constat passe dans le domaine public. Quand on vous dit qu’elle terrorise les autres depuis toujours… https://www.lyonmag.com/article/112301/andre-gerin-les-grands-freres-a-venissieux-une-erreur-monumentale

Fatiha Boudjahlat prise pour cible par les islamo-gauchistes de Sud et de la CGT pour avoir signalé que 5 de ses élèves avaient refusé la minute de silence pour Samuel Paty. Ces soi-disant syndicats sont des rouages devenus essentiels de la terreur islamique. Leur engagement aux côtés de nos pires ennemis, la caution qu’ils apportent aux tueurs et la protection qu’ils leur garantissent sont le fait des traîtres historiques. Force est de constater que ces jours-ci, leurs pairs d’outre-Atlantique sont à leur tour entrés publiquement en action. http://www.ladepeche.fr/2021/01/06/toulouse-fatiha-boudjahlat-demande-la-protection-fonctionnelle-9294936.php

Colmar : un encorané tabasse le curé avant la messe. Grande discrétion médiatique. Surtout ne pas stigmatiser et puis, quoi, il n’a pas été décapité, le bon père, alors… https://francais.rt.com/france/82547-colmar-pretre-roue-coups-dans-eglise

Il ne fait pas bon d’être vieux et handicapé en France. Sordide à Versailles. L’assassin serait un Brésilien arrivé en France en mars 2020. Vraiment ? https://www.leparisien.fr/yvelines-78/yvelines-un-homme-de-85-ans-tue-par-son-voisin-a-qui-il-s-etait-plaint-du-bruit-07-01-2021-8417828.php

À Toulouse, c’est un handicapé de 72 ans et sa famille qui se font massacrer. https://www.fdesouche.com/2021/01/07/toulouse-pour-une-remarque-deux-ados-de-14-et-16-ans-agressent-un-homme-de-72-ans-en-fauteuil-roulant-dans-le-metro-ils-ont-egalement-frappe-son-epouse-et-le-fils-du-couple/

Toulouse. Agression nocturne : il l’entaille au visage pour lui soutirer argent et téléphone | Actu Toulouse

Saint-Sauveur, Toufik est chatouilleux de la hache : A Saint-Sauveur, il menace de «découper la tête» de son voisin à la hachette – Le Parisien

Drogue, enrichissement marocain : Paris d’Hidalgo : Origine des deux frangins SDF (= clandos) pyromanes, siouplaît ? Paris : deux frères SDF soupçonnés d’être les pyromanes du 18e arrondissement – Le Parisien

Bordeaux, suriné du jour : https://www.sudouest.fr/2021/01/08/-8264063-4583.php

Hicham et Ayoub n’aiment pas les homos ; serait-ce culturel ? https://www.fdesouche.com/2021/01/08/bruxelles-hicham-et-ayoub-ont-tendu-un-veritable-guet-apens-a-un-transexuel-et-lont-violente-a-coups-de-taser/

« Justice » : Et le flic n’a pas tiré !!! Un policier marseillais condamné à 10 mois avec sursis pour avoir sorti son arme face à un détenu – Le Parisien

CORONACORANOBOBO

Crise sanitaire : aucun commerce rouvert, et le couvre-feu à 18 heures dans 10 départements de plus. Bonne démarche unitaire : Philippot, Asselineau et Dupont-Aignan demandent des comptes à Véran. https://francais.rt.com/france/82539-covid-19-conference-presse-jean-castex

https://francais.rt.com/france/82540-covid-19-trois-figures-souverainistes-fran%C3%A7aises-demandent-comptes-olivier-veran

La mort des commerces, un plan bien établi, selon Charles Sannat.

 

CORONA

Le Pr Cahill explique que les effets des vaccins à ARNm se manifesteront des mois plus tard, et que nous ne voulons pas qu’ils soient étiquetés comme décès covid, alors qu’en réalité ils meurent des effets des vaccins ARNm. https://by-jipp.blogspot.com/2021/01/limmunologiste-dolores-cahill-et-la.html

Le Dr Louis Fouché, pas mieux !

 

Et encore une boulette ! https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/alpes-maritimes/nice/vaccination-covid-19-seringues-inadaptees-livrees-au-chu-nice-1912360.html?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR2LVQSRYQHu4-vCIFCsJjtVTG7RWb8FKSazxymZvfVARfjUqdLmdugU0PA#Echobox=1610092454

CHEZ LES RÉSISTANTS

Jean-Frédéric Poisson serait-il donc le seul à s’émouvoir de cette atteinte flagrante à nos libertés ?  « Devant ce qui s’apparente à une esquive juridique de pure forme, ne prenant pas en compte la gravité des conséquences des décrets incriminés sur les libertés fondamentales des Français, VIA | la Voie du Peuple et son président Jean-Frédéric POISSON décident de ne pas lâcher le combat juridique et de saisir la Cour européenne des Droits de l’Homme » https://www.breizh-info.com/2021/01/08/156883/fichage-des-francais-selon-leurs-opinions-la-cour-europeenne-des-droits-de-lhomme-saisie/

CHEZ LES RUINEUX

Souriez, quelle joie de participer au fleurissement de l’Élysée !  « 600 000 euros de fleurs coupées et autres agréments floraux : le montant de la commande publique faite par la présidence de la République en août 2020 est inédit. Le montant dépensé par les prédécesseurs de Macron était 4,5 fois moindre.

Déjà les 930 000 euros de rénovation du Palais ajouté aux 450 000 euros de vaisselles avaient fait bondir. Il reste qu’au moins, ces dépenses s’inscrivent un peu dans la durée : là, 400 000 euros sont dédiés à des fleurs coupées et donc périssables. Il semble que pour l’Élysée, l’argent public le soit aussi. » https://www.politis.fr/articles/2021/01/en-pleine-crise-sanitaire-lelysee-explose-son-budget-fleurs-42697/?fbclid=IwAR2LkZD-n7P4exw82RLOXYavd7KOnXkwLub2dkCtSJ91UgeAus3DY-BlMDA

CHEZ LES GROTESQUES

Mon pauvre Duhamel, tes copains t’abandonnent, c’est pire que le Titanic ! Mais c’est la France que tu as fabriquée pendant quarante ans : réseaux, secrets, lâchetés, petits meurtres entre amis, liquidations discrètes, ascenseurs et  pourriture à tous les étages. “Jouis sans entraves”, Olivier, ton projet aboutit enfin. https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/01/07/quand-bernard-cazeneuve-sempresse-de-faire-oublier-ses-liens-avec-olivier-duhamel/

AUTRES FRONTS

À propos de ce qu’il est impérativement conseillé de nommer “l’assaut contre le Capitole”. Zemmour a remarquablement, dans la première partie de l’émission, décortiqué l’hypocrisie des pleureuses, en expliquant que ce n’était rien, à côté d’autres événements sanglants de l’Histoire.  http://www.toutelatele.com/face-a-l-info-intervention-scandaleuse-pour-eric-zemmour-christine-kelly-s-oppose-sur-cnews-126319

La gauche, Mélenchon en tête, qui est fascinée par la violence révolutionnaire, surtout quand elle vient des diversités, est vent debout contre une révolte populaire… de Blancs, qu’ils classent à l’extrême droite, tout en profitant encore pour exonérer l’islam. Mélenchon, c’est le type qui te donne un coup de pied dans la tête après que ses camarades du Croissant Terrible t’ont planté quarante coups de couteau dans la gorge. Mélenchon, c’est le type qui, en 1940, sciait les culasses des fusils destinés à mon père sur le front nord. Mélenchon, c’est du rien parfumé à “Grand Collecteur” de chez Zordure.

 

Retailleau, la “droite dure”, exige des sanctions contre Trump, rien de moins. Au bal des faux-culs, les danseurs sont aussi musiciens.

 

Quant à Marine, sans un mot sur les fraudes, elle condamne Trump et les émeutiers. Ralliements, ralliements…

 

La capitulation de Trump (qui annonce vouloir continuer à se battre…) ne suffit pas aux démocrates, qui veulent le destituer, ce qu’ils ont essayé de faire 4 années durant. Et ses comptes dans les réseaux sociaux sont définitivement bloqués par les néo-fascistes de la Toile. C’est la curée ! Cannibales ! https://www.lci.fr/international/etats-unis-le-capitole-envahi-a-washington-donald-trump-peut-il-etre-destitue-avant-le-20-janvier-25e-amendement-2174831.html?

https://fr.sputniknews.com/amerique-nord/202101071045033769-les-comptes-facebook-et-instagram-de-trump-seront-bloques-pour-une-duree-indefinie-selon-zuckerberg/

L’Indonésie veut un vaccin halal ! (Candide lève les yeux au ciel) https://www.agenceecofin.com/vu-dafrique/0701-83939-lindonesie-veut-un-vaccin-halal?fbclid=IwAR2u6zZ9xSvLDPE4fLx4IUDiVKbBWpRZAoOTfOFGElPtrhTp472wT4FgaEY

Belgique, qui se ressemble s’assemble, un pote à Ramadan adepte de pratiques fidèles à l’islam : https://www.fdesouche.com/2021/01/08/belgique-condamne-entre-autres-pour-faits-de-moeurs-a-bruxelles-sur-un-jeune-eleve-bresilien-sans-papier-le-professeur-de-religion-islamique-pourra-encore-enseigner/

Autriche : Favoriten (quartier de Vienne): “L’arbre de Noël n’a pas sa place dans un quartier musulman”. – Les Observateurs

“Mort aux Juifs mais longue vie à Zuckerberg ! Et Vienne semble redevenir fréquentable !”  (Allah)

Danielle Moulins et Jean Sobieski

Déplacement de 2500 migrants par mois dans nos campagnes : SOS ma France !

(Source : Riposte laïque)

-==-

Amazon.fr - CHARLIE HEBDO N? 712 du 08-02-2006 MAHOMET DEBORDE PAR LES INTEGRISTES - C'EST DUR D'ETRE AIME PAR DES CONS.. - Collectif - LivresBARBARIE: deux abrutis dans le désert. – Le blog de Plantu___________________________________________________

 Islam : un professeur sur deux déclare s’être déjà autocensuré

3 mois après l’assassinat de Samuel Paty, l’enseignement de la laïcité à l’école est toujours aussi délicat… Une enquête de l’IFOP pour la fondation Jean Jaurès et Charlie Hebdo révèle aujourd’hui que presque 50 % des enseignants se sont déjà autocensurés dans les cours autour de l’enseignement religieux par crainte de choquer.

Par ailleurs 53 % des professeurs déclarent que leurs cours ont déjà fait l’objet de contestations. Certains élèves tentant de s’y soustraire, notamment en classe d’éducation physique, de laïcité ou de sciences. Ces difficultés auxquelles font face les professeurs concernent tout le territoire mais beaucoup plus régulièrement en Île-de-France et dans le sud-est du pays.

Islam : un professeur sur deux déclare s’être déjà autocensuré

(Source : La Lettre Patriote)

-==-

Déconstruire l’histoire mondiale de la France

____________________________________________________

« L’histoire mondiale de la France » vient de paraître… ou comment faire croire que la France n’existe pas, qu’elle ne serait rien sans les étrangers ou les migrants.

Sur n’importe quel étal de librairie s’entassent des dizaines d’ouvrages qui portent dans leur titre les deux mots « histoire mondiale » suivis d’un complément, tel que du vin, du communisme, de la table, de la guerre économique, de l’anarchie, des cartes à jouer, de la magie, de la sorcellerie, du livre, de l’astrologie, du diable, etc. Il semble que de tels titres fassent vendre les ouvrages sur la couverture desquels ils sont imprimés en gros caractères. De toutes les réalités du monde, il y en a une qui, jusqu’à présent, avait échappé à l’épreuve de l’histoire mondiale. C’est la France, à qui pourtant les avanies les plus diverses et les plus perverses sont prodiguées depuis quarante ans. Voilà qui est fait : elle aussi, comme la ou les mafias, comme le crime organisé, comme l’esclavage, comme le trafic d’êtres humains, comme la déforestation, comme la pollution, comme la surpopulation, comme le sida ou la grippe ou n’importe quelle autre pandémie, comme le diable, comme l’horoscope, etc., elle a son histoire mondiale ou, pour dire les choses avec plus d’exactitude, elle est la cible des militants de la mondialisation historique.

Il faut vraiment qu’elle soit tombée bien bas pour subir un pareil outrage. Pourquoi y échapperait-elle ? Qu’est-ce qui empêche les stipendiés de l’idéologie dominante d’étendre à la France les fléaux qui touchent la planète entière ? Comme elle est près de disparaître dans les poubelles de l’histoire, 122 idéologues se disant « historiens » lui fabriquent, vite fait bien fait, une « histoire mondiale ». Pourquoi pas une histoire universelle ? Ou une histoire planétaire, interstellaire, galactique ou, mieux intergalactique ? Voilà des oxymores qui en jetteraient plus que le petit oxymore de l’histoire mondiale. A l’intention des béotiens, rappelons que l’oxymore consiste à rapprocher dans un même groupe syntaxique deux mots, monde et France par exemple, qui ont des sens contraires ou opposés ou mutuellement exclusifs. Cette histoire mondiale de la France va remplacer l’obscure clarté ou la lâcheté courageuse des exemples qui illustrent l’oxymore. Il est vrai que le titre est porteur : au porteur aussi, comme dans les banques d’autrefois. Les ventes vont faire gonfler le chiffre d’affaires du Seuil.

Rendre compte d’un tel ouvrage, même de façon critique, comme l’ont fait Finkielkraut et Zemmour, c’est, en fin de compte, y reconnaître du mérite. Il vaut mieux s’en gausser, car tout dans cet énorme ouvrage prête à la rigolade. Pendant cinq ans, Hollande, ses ministres, ses députés, ses sénateurs, ses soutiens ont joué matin, midi et soir, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, le Dîner de Cons. Persuadés que le rideau va bientôt tomber sur ces franches rigolades, les « historiens » prennent le relais. Ils osent tout : c’est à cela qu’ils se reconnaissent, et d’abord entre eux. Ils sont formatés pour écrire la première histoire mondiale de la connerie, car le processus de crétinisation des intellos est irréversible.

Le titre est purement rhétorique – le contenu aussi. Au moins, de ce point de vue, les lecteurs qui aiment la belle rhétorique ampoulée, trompeuse, faite pour abuser, salir, dissimuler, ne seront pas déçus. Quant à ceux qui aiment la rigolade, ils ne seront pas déçus non plus. Le promoteur, non pas immobilier, mais mobilier, du projet se targue d’avoir fondé son entreprise sur les dates. Les dates, qui sont généralement honnies par les concepteurs de l’histoire enseignée au collège ou au lycée et à l’université, sont ou seraient réhabilitées, parce que les 145 entrées du livre ont pour titre une date : millésime et quantième du mois. Il ne manque que l’heure, les minutes et les secondes, pour que ces dates fassent date. En fait, tout cela n’est que leurre. Les dates ne sont rétablies en surface que pour mieux discréditer ce qui fait l’histoire, à savoir la chronologie, c’est-à-dire l’inscription des faits, des événements, des hommes dans le temps et dans l’espace. L’espace est aboli, puisque la France est dissoute dans le monde sans frontières, sans limites, sans bornes : le temps aussi est aboli, puisque des moments minuscules et insignifiants effacent la durée, l’époque, les siècles.

Des exemples ? En voici deux.  Tout commence ou commencerait en – 34 000, il y a donc 340 siècles ou plus ou moins. Dans le Reich de l’idéologie, on n’est pas à dix ni même à cent siècles près : mille ans, dix mille ans, c’est kif kif bourricot. Mais pourquoi diable ce pays n’a-t-il pas changé de nom ? Pourquoi cette histoire n’aurait-elle pas commencé il y a 1 000 000 d’années ? Ou même il y a cent millions d’années ? Ou même au début de l’histoire de la Terre, avec la Pangée, il y a quatre ou cinq milliards d’années ? Les spéléologues qui, il y a une vingtaine d’années, ont découvert par hasard dans le plateau ardéchois une grotte ornée, à laquelle a été donné le nom de l’un des leurs, la « francisant » de fait (Chauvet est un nom bien français), ne se doutaient pas qu’ils allaient mettre en transe les pythies de l’histoire immédiate. Il y a 35000 ans, la France n’avait pas d’existence, l’Europe non plus, l’Afrique non plus. Des hommes et des femmes, évidemment, qui avaient fait du plateau ardéchois leur terrain de chasse, nous ne savons ni leurs noms, ni la langue qu’ils parlaient, ni ce qu’étaient leurs aspirations, leur sensibilité, leurs moeurs, leur identité, si tant est qu’ils en eussent eu une. Cela n’empêche pas des historiens (ou des histrions ?) de faire de ces hommes des Français et du territoire où ils chassaient la France. La France existe depuis 10 ou 15 siècles, ou moins encore : tout cela fait débat. Que nenni, dit-on en haut lieu. La France a 340 siècles ou davantage encore : c’est le plus ancien pays du monde et le premier pays au monde aussi. On croyait l’arrogance française disparue à Waterloo ou à Sedan. Que nenni ! Elle est toujours là à tarauder les histrions de collège qui sont convaincus que le monde se résume ou se réduit à la « seule France ». Ce n’est pas de la fierté, c’est de l’hubris. Et ces histrions, évidemment, croient être de la race supérieure des seigneurs, celle qui regarde de très haut les ploucs qui vivent encore en France.

Un autre exemple ? L’ottoman Zizim, frère ou fils du Sultan, contre qui il a tenté un coup d’Etat, s’est enfui, le coup d’Etat ayant échoué, à l’étranger. Il est resté prisonnier dans la France profonde des années 1480 au château de la Rochechinard trois ans environ et deux ans à Bourganeuf, chef-lieu d’un canton de la Creuse, où la tour où il a été enfermé s’appelle désormais Tour Zizim  : 5 ou 6 ans dans des prisons en France, puis 7 ans en Italie, où il est mort. Zizim était un soudard à peine alphabétisé, riche à millions de pillages et d’exactions. Que dire de cela ? Qu’il a eu de la chance de ne pas avoir été égorgé par les sbires du Sultan. Rien de plus. Pour les histrions de l’Histoire mondiale, cela serait la preuve que la France est une terre d’islam, qu’elle a été fécondée par le court séjour qu’y a fait ce Zizim, qu’elle s’est enrichie des différences dont ce soudard était porteur, qu’elle est donc diverse, plurielle, multiculturelle depuis la nuit des temps, depuis au moins 350 siècles…

Entre un fait minuscule et la conclusion qui en est tirée, il y a des milliers de marches, de paliers, de degrés qui sont escamotés en une page. En réalité, cette histoire mondiale n’a pour but que d’illustrer les thèses de l’idéologie dominante, celle de l’Union européenne, des médias mainstream, des financiers, de la globalisation des échanges, des bobos, du gauchisme culturel. Ces histrions sont fonctionnaires et, en leur qualité de fonctionnaires, ils sont formatés à la docilité que les puissants attendent d’eux et qui leur est rémunérée en promotions, avancements, sinécures, moyens, crédits et, évidemment, chaires au collège. Depuis x années, ils serinent le même air : tout est relatif, tout se vaut, il faut tout déconstruire, haïssons le roman national, détestons la nation, aimons l’étranger, fût-il nazi, l’heure est au métissage, au nomadisme, à l’altérité. Jeanne d’Arc n’a pas existé ou c’est une pure invention de l’idéologie patriotique ; la France libre a commencé en Afrique équatoriale, pas à Londres ; il n’y a pas eu de bataille à Marignan, ni à Poitiers, ni à Roncevaux, ni à Austerlitz, ni à Rocroi, ni à Verdun, ni dans la Somme ; les grandes invasions, celle d’Attila et des Goths, n’étaient que de paisibles migrations, comme celles que l’on observe depuis 1970 ; ou encore les Français sont naturellement racistes et la France est raciste par essence, ce qui, pour que ces propositions aient un vernis de vérité, implique que le mot  raciste signifie désormais « qui est d’une race inférieure, nuisible, à faire disparaître » : pourquoi pas « à exterminer » ? Les laquais des puissants de l’heure se spécialisent, tout « professeurs » ou « chercheurs » ou « enseignants-chercheurs » qu’ils soient, non pas dans le révisionnisme, mais dans le négationnisme. Ils ont devant eux de vastes champs de recherche. Indiquons-leur en quelques-uns. L’invasion commencée en mai et juin 1940 n’était qu’une paisible migration et l’occupation qui s’en est suivie une première ébauche de la société multiculturelle qui s’établit aujourd’hui en France. Ceux qui ont accueilli les migrants allemands et ont partagé avec eux la France étaient les précurseurs du monde divers et multiculturel ; ceux qui leur ont résisté étaient les méchants, racistes, xénophobes, altérophobes, nazismophobes, etc. qu’ils se nommassent Gabriel Péri, Honoré d’Estienne d’Orves, Guy Moquet, colonel Fabien, Charles de Gaulle, Jean Moulin, etc. Ce champ de recherche devra aussi s’étendre à l’Europe de l’Est, mais il est peut-être trop tôt pour inverser les rôles des bons et des méchants à Sobibor ou à Treblinka…  Quoi qu’il en soit, le chantier est vaste et il y aura du travail pour les disciples que vont former les 122 histrions de la France mondiale.

Ce qui est consternant dans cette entreprise, c’est l’ignorance sur laquelle elle s’assied, aux côtés de la suffisance et de la bien-pensance. N’importe quel Français sait ce qu’il doit au monde : le tabac, la café, le chocolat, les épices, les tomates, les pommes de terre, la soie, etc. et, il y a plus longtemps encore, la vigne, le vin, les oranges, les cerises, les pêches, les abricots, etc. La culture française, la vraie, pas celle des histrions de l’histoire mondiale, en a conservé des empreintes profondes dans les turqueries (Bajazet, Le Bourgeois gentilhomme, les Lettres persanes), dans les récits de voyageurs, dans le japonisme et l’orientalisme des peintres, dans la découverte de l’Egypte, dans la passion pour l’écriture du chinois, chez les grands voyageurs, Léry, Chardin, Cartier, dans la Nouvelle France, à Bucarest, au Brésil, dans les missions catholiques qui ont alphabétisé des millions d’êtres humains et les ont initiés à la culture, dans les grandes Alliances, Israélite Universelle et Française, dans le réseau culturel de la France, la France étant, ou ayant été, la première multinationale culturelle au monde, etc. Penser les relations du monde et de la France, c’est enfoncer des portes ouvertes depuis fort longtemps. En revanche, essayer de faire croire que la France n’existe pas et qu’elle ne serait rien sans les étrangers ou les migrants, c’est inédit, sauf bien entendu chez ceux qui, par bêtise, racisme, atavisme, ont haï la France et les Français et continuent à les haïr, non pas pour ce qu’ils font, mais pour ce qu’ils sont.

On objectera le collège. Et alors ? Il y a en France 7100 collèges et les petits travaux des professeurs d’histoire qui y exercent ne sont pas publiés à Paris chez un éditeur « renommé ». Et les sommités au collège, on sait ce que c’est. On en a connu de belles brochettes dans les années 1970-80 : Barthes, Berque, Foucault, Bourdieu, Veynes. Il est impossible de lire aujourd’hui leurs livres sans pouffer de rire. Alors un bûcheron de plus ou de moins !

Parce que Dreuz est censuré pour le crime de désaccord avec la gauche, suivez notre fil Twitter, et retweetez-nous. C’est un important geste de résistance pour faire circuler vos idées.

Libertyvox

Déconstruire l’histoire mondiale de la France

(Source : Dreuz.info)

Les défis de l’éducation juive

Rabbi Adin Steinsaltz: A Life - Vos Iz Neias___________________________________________________

Intervention prononcée le 20 novembre 2012 à Paris par le rabbin Adin Steinsaltz devant les directeurs et enseignants de l’Alliance israélite universelle. Il y parle de l’importance de l’hébreu, du rôle de l’enseignant et de l’étude pour les femmes.

« Je sais que le réseau scolaire de l’Alliance israélite universelle considère l’enseignement de l’hébreu comme l’une de ses priorités. Je voudrais commencer par préciser que, bien que né à Jérusalem, l’hébreu n’est pas ma langue maternelle. Jusqu’à l’âge de 3 ans, je parlais le yiddish avec ma mère et ma grand-mère. J’ai appris l’hébreu dans la rue !

Il est clair que le niveau d’hébreu est meilleur en France qu’aux Etats-Unis, car en Amérique, c’est tout simplement une honte ! Ils ont fait un calcul et ont estimé que chaque mot d’hébreu enseigné coutait 1000 dolars à l’école ! En France, je crois que cela coûte moins cher !

Il y a trois dimensions dans l’hébreu. Il y a bien entendu le lien avec Eretz Israel, mais ce n’est pas le plus important. En Israël, on peut très bien se débrouiller en anglais.

Il y a un autre aspect, beaucoup plus important, qui n’a pas été suffisamment souligné. Parler hébreu, c’est l’une des choses que l’on peut faire en tant que peuple et qui peut tous nous réunir. Sur le plan théologique, nous ne sommes pas toujours d’accord. Même au sein de l’alliance israélite universelle, il y a des Juifs qui mettent deux paires de Tefilin et d’autres qui n’en mettent pas du tout. Il y a des Juifs de tous ordres, le peuple d’Israël est ainsi fait.

De mon point de vue, sociologiquement et anthropologiquement, le peuple d’Israël n’est ni un peuple, ni une religion : c’est principalement une famille. Une famille avec beaucoup de définitions et, selon moi, c’est la relation que nous avons sur le plan psychologique avec D.ieu qui est spécifique. Donc, l’un des marqueurs sociologiques le plus simple, c’est que nous sommes une famille. Une famille au sein de laquelle on peut se disputer, une famille où on se donne parfois le droit de frapper son frère mais où on serait prêt à tuer l’étranger qui oserait faire de même. Et la langue de cette famille, c’est l’hébreu. L’hébreu a permis aux Juifs tout au long de l’histoire de construire des ponts, des liens, de pouvoir dans n’importe quel endroit du monde, en Inde, en Chine, rencontrer un coreligionnaire et lui demander « Comment vas-tu ? ». Cela a modelé toute notre existence, y compris sur le plan économique.

Enfin, il est impossible de vivre éternellement sur des traductions. J’ai essayé, une fois, de l’expliquer à une communauté américaine, mais ils ont eu du mal à comprendre. Il y a 2 000 ans, il y avait une communauté qui peut à beaucoup d’égards être rapprochée de la communauté juive américaine contemporaine : une communauté riche, au statut politique très élevé et qui avait développé des liens forts avec Israël. Cette communauté parlait le grec, et non l’hébreu. C’était la communauté d’Alexandrie. Qu’en est-il resté ? rien. Les Juifs d’Alexandrie ont écrit des pièces de théâtre en grec, qu’on a oubliées.Le seul dont on se souvient, c’est Philon d’Alexandrie, connu essentiellement grâce aux non juifs. Cette histoire montre qu’une communauté juive qui ne se construit pas sur l’hébreu n’a pas de continuité historique. C’est ce qui risque de se produire en France, aux Etats-Unis, en Russie…

La traduction peut être utilisée pour un certain laps de temps, mais les Juifs doivent parler l’hébreu en tant que langue première. Quand j’étudie la Torah, même dans une excellente traduction, si je dois, dans ma tête, passer d’une langue à une autre, cela prend beaucoup de temps, et le résultat n’est pas satisfaisant.

Nous devons arriver à une situation où les Juifs parleront hébreu, non parce que c’est la langue de l’Etat d’Israël, mais parce que c’est notre langue. Si l’un d’entre vous veut approfondir la philosophie, la théologie, il doit savoir que l’hébreu est la langue des Textes. Il est dit que D.ieu et les anges parlent hébreu ; dans le jardin d’Eden, on parle hébreu. C’est à Babylone qu’on a commencé à parler d’autres langues. La langue hébraïque, c’est la langue sans laquelle nous ne pouvons pas entrer dans le judaïsme.

Rabbi Adin Steinsaltz, who brought the Talmud within reach of millions, dies at 83 - The Washington Post

LES ANGES PARLENT HEBREU

Avec précaution, j’avancerai une autre hypothèse. Peut-être que certains maîtres n’aiment pas enseigner aux élèves trop d’hébreu parce qu’ils veulent rester en position de maîtrise sur leurs élèves. Dès lors que l’enfant peut lire l’hébreu tout seul, le maître perd de sa toute puissance. Vouloir conserver ce pouvoir est une faiblesse. Dans un pays comme la France, il faut enseigner l’hébreu dès le début de la scolarité. Cela ne présente aucune difficulté. L’hébreu est une langue comme les autres, y compris pour les grossièretés et les injures. Si les enfants veulent se lancer des insultes en hébreu, ils pourront le faire !

On peut non seulement enseigner les études juives en hébreu, mais aussi les mathématiques, la physique et d’autres matières. J’ai été moi-même professeur de mathématiques, la physique et d’autres matières, je peux donc vous le dire en connaissance de cause. Dans les écoles de l’Alliance et dans les autres écoles, il faut enseigner beaucoup plus l’hébreu. C’est nécessaire de tous les points de vue.

Je sais que l’on dit des Français qu’ils n’apprennent pas facilement les langues étrangères. Je me souviens d’avoir rencontré Sartre.Il prétendait ne pas comprendre un mot d’anglais. Je crois que ce n’était pas vrai. C’était une façon d’être « à la française ». Les Français ont des raisons de s’opposer à l’anglais dont ils jalousent le succès. Mais rien de semblable ne peut justifier un rejet de l’hébreu.

Si les maîtres ne parlent pas suffisamment bien l’hébreu, il faut les envoyer en Israël. Qu’ils fassent un séjour dans un village où on ne parle qu’hébre et là, ils apprendront à parler, à jurer, à rêver en hébreu ! Et pendant cette formation, en classe, celui qui dira un mot en français devra payer 100 euros d’amende ! Je peux vous assurer qu’ils progresseront très vite.

Vous me promettez que la prochaine fois que nous nous rencontrerons, vous parlerez tous l’hébreu ? Si la prochaine fois, cela signifie dans 80 ans, c’est-à-dire 5 ans après l’arrivée du Messie, l’apprentissage de l’hébreu sera alors devenu une obligation légale, et vous l’aurez appris car vous n’aurez plus vraiment le choix… Il est écrit que les anges ne connaissent pas d’autre langue que l’hébreu, donc quand vous voudrez demander une tasse de thé, il faudra le faire en hébreu !

Adin Steinsaltz, génie et traducteur du Talmud | Alliance le premier magazine de la communauté juive, actualité juive, israel, antisémitisme info

RESTAURER LE STATUT DE MAÎTRE

Lorsque je me rends dans une école, et cela m’arrive souvent, j’essaie de dire aux maîtres quelque chose qui n’est pas toujours facile à entendre. Si un enseignant parle dans sa classe 90% du temps, cela signifie qu’il est en situation d’échec. Le meilleur enseignant, c’est celui qui parle le moins possible. Je ne sais pas si certains d’entre vous jouent au football ou s’y intéressent un peu : le rôle de l’enseignant, ce n’est pas d’être un joueur mais d’être l’entraîneur. Ce n’est pas lui qui doit marquer les buts mais il doit montrer aux autres comment s’y prendre pour y parvenir. C’est très compliqué d’enseigner cela aux professeurs, parce que, lorsqu’un maître n’est pas bon, il se cache derrière son impuissance. Si je n’ai rien à dire, alors je parle ! Mai si j’ai quelque chose à dire, je le fais sortir des élèves des petits, des grand. Je me suis adressé à des publics allant de 2 ans et demi à 90 ans et plus. Dans tous les cas, c’est exactement la même chose.Le rôle de l’enseignant c’est de faire en sorte que les élèves posent de bonnes questions.

Dans les réseaux scolaires que je dirige, notre priorité, c’est l’enseignement du judaïsme, mais l’enseignement général a aussi sa place. Un Juif, c’est un homme avec quelque chose de plus et non en moins. La circoncision des Juifs a pour but de leur ajouter et non de leur enlever quelque chose. Nous faisons tout notre possible pour que les élèves qui sortent de nos écoles soient des « hommes complets », des Mensch », comme on dit en chinois !

Si vous me demandiez si je préfère que les élèves qui sortent de nos écoles soient des génies ou de « bons juifs », je répondrais « de bons juifs ». Aucun génie hors norme n’est pour l’instant sorti de nos établissements. Cela viendra peut-être un jour. Certains de nos élèves sont professeurs d’université, officier de l’armée… Mais on me dit que, en général, ils sont de bons époux. Eh bien pour moi, c’est très important. Nous cherchons avant tout à faire en sorte que nos élèves soient des gens sympathiques. De même, nous faisons en sorte de trouver des enseignants qui s’intéressent vraiment aux enfants. Tout au long de l’histoire humaine, le maître était souvent l’homme qui n’avait réussi ni dans la Torah, ni dans le commerce, ni dans son mariage. Nous, nous essayons de trouver des enseignants qui sont animés par une véritable vocation, qui veulent vraiment faire sortir quelque chose des enfants.

Rabbi Adin Steinsaltz: “A mark of a real teacher.” – Arthur Kurzweil

L’EXEMPLE PERSONNEL

Plus fondamentalement, que cherchons nous à transmettre ? Sur la finalité de l’école juive, il faut être clair: l’objectif, c’est qu’il en sorte de « bons juifs ». Toute école veut former de bons éléments de la société. Mais le monde est fait de cela, d’éléments radioactifs. Ils sont nécessaires à la survie du monde. On a besoin de juifs pour faire progresser le monde. Il n’y a aucune raison de construire des écoles juives et de dépenser de l’argent pour en faire sortir des « gentils » qui ne seraient pas particulièrement antisémites…

Donc, le but, c’est qu’il en sorte de « bons juifs », c’est-à-dire des juifs qui observent les commandements, connaissent la Torah et peuvent en être des interprètes fidèles. Est-ce que tous atteignent ce niveau ? Tout le monde n’arrive pas au plus haut de la montagne. Mais nous essayons tous d’y grimper. La question de l’ « être juif » peut se résumer ainsi : il y a un but que l’on est censé atteindre. Et comme on dit dans nos livres : si ce n’est pas aujourd’hui, ce sera au prochain cycle.

Si l’élève observe les commandements à l’école parce qu’il y a un rabbin qui surveille et que les enseignants et le directeur ne les respectent pas, cela ne fonctionne pas. Les enfants sont très intelligents et savent quand on essaie de leur raconter des histoires ou de faire semblant. Ils voient à travers leurs maîtres. Je leur dis clairement : ne pensez pas que vous pouvez cacher quoi que ce soit aux enfants.

Je ne pense pas que l’important, ce soit la longueur de la barbe de l’enseignant. Il faut que le judaïsme touche profondément ceux qui le transmettent aux enfants.  Je ne suis pas en faveur du fait que le maître impose la crainte des cieux par la contrainte. Le point fondamental de l’enseignement du judaïsme, c’est l’implication du professeur. Les enfants savent si l’enseignant est sincère ou pas. Il faut que les enfants prennent autant de plaisir au cours de judaïsme qu’à jouer au football. Trop souvent, le judaïsme est associé aux vieux et aux rabbins et aucun jeune ne veut être ni vieux, ni rabbin.

J’ai rencontré, ici en France, une femme catholique , professeur d’enseignement général dans une école juive. C’est quelqu’un de très attaché à la religion. Le jour où les enfants ont été assassinés dans l’école de Toulouse, elle m’a téléphoné et m’a dit qu’elle avait jeûné toute la journée. Peut-être qu’une enseignante comme celle-là est plus habilitée que beaucoup d’enseignants juifs par le souci que les élèves soient authentiquement juifs.

Dans l’une de mes écoles, j’ai un enseignant exceptionnel. Ce n’est pas quelqu’un de religieux, ni de pratiquant. J’ai dit à ce garçon qu’il porte en fait une kipa transparente et que, en tant qu’être humain, il fait entrer autant de judaïsme que d’autres enseignants à la longue barbe. Ce qui fonctionne le mieux, c’est l’exemple personnel.

D’une manière générale, il faut que l’enseignant redevienne le personnage important au sein de la communauté ou de la société. Permettez-moi de rapporter quelques anecdotes en ce sens. L’un des commentateurs les plus importants du Shoulkan Aroukh, un rabbin de Franctors sur l’Oder, signait ses lettres « enseignant de petits enfants dans telle communauté ». A ses yeux, c’était beaucoup plus important que d’être appelé « Av Beit Din », président du tribunal rabbinique.

En Italie, quand les gens s’adressent à moi, ils ne m’appellent pas « Harav », mais « Hamoré » (Monsieur l’enseignant). C’est C’est ce que vous devez faire ici. L’enseignant doit être considéré comme la personne la plus importante qui soit. Une autre anecdote : on dit qu’il y a au paradis plusieurs yechivot, dont une réservée aux petits enfants qui n’ont pas vécu longtemps. Eh bien, savez-vous qui enseigne là-bas ? Notre Maître Moïse lui-même. Vous comprenez ce que cela signifie ? Les enseignants , il faut partir à leur rencontre. En Israël, on avait l’habitude de dire « les meilleurs vont à l’armée de l’air ». Je dis qu’il faudrait plutôt que les meilleurs aillent à l’enseignement. Sortez-les de leur métier ! Prenez quelqu’un qui est ingénieur électronicien et dites lui : alors quoi, tu vas construire encore un ordinateur ? A la place, je te donne une autre mission, beaucoup plus compliquée : faire d’un enfant un être « comme il faut ».

Rabbi Adin Steinsaltz: “I cannot eat for someone else, I cannot sleep for someone else” – Arthur Kurzweil

LES FEMMES ET L’ETUDE

Si les femmes veulent apprendre, je ne vois aucune raison pour laquelle elles ne pourraient pas le faire et pourquoi on ne les y aiderait pas. Si en France, elles ne le font pas ou si cela ne se fait pas, peut-être parce qu’elles s’intéressent plus à leurs robes, à leurs confitures qu’à l’étude ? Si une femme veut étudier, il n’y a aucune raison de s’y opposer, à condition que cela ne la conduise ni à rester célibataire, ni à ne plus se préoccuper de la transmission de l’identité juive à ses enfants.

Il faut obliger les femmes à étudier la Guemara ? En général, la réponse est non. Il n’y a pas de raison de les y contraindre. Mais si une femme veut étudier la Guamara et devenir très instruite, il n’y a aucun problème. Je vais même ajouter quelque chose : Si une femme veut, ici, en France, étudier non seulement la Torah écrite mais aussi la Torah cachée, rien ne s’y oppose.

Il n’est pas possible que le niveau d’étude dans le monde en général se développe que dans le monde juif, il reste au plus bas ! Prenons par exemple une femme juive qui va à l’université et obtient un master ou un doctorat. Elle devrait, en judaïsme, en savoir aussi peu que son arrière-grand-mère dans le mellah ? C’est cela que l’on veut ? On aurait donc une personne éduquée, possédant une haute culture générale, peu importe dans quel domaine, et la connaissance juive d’une fourmi, d’un puceron ? Du point de vue de la personne humaine, il n’est pas possible de faire en sorte que l’enseignement général soit de niveau universitaire et que l’enseignement juif soit du niveau de l’école élémentaire. Imaginez un être humain avec une jambe normale et une jambe atrophiée. On ne peut pas faire en sorte, aujourd’hui, qu’au sein d’une famille, le mari soit brillant et savant en Torah et qu’il soit nécessaire de faire signer un contrat spécial à son épouse pour qu’elle accepte d’aller au bain rituel. Si la femme n’est pas partenaire, n’est pas associée à son époux pour créer un véritable foyer, ce foyer sera malade. Et il y a beaucoup de foyers malades et les enfants seront les plus gravement atteints.

Dès lors que les femmes auront plus d’éducation juive, une identification plus forte avec le judaïsme, cela aboutira à un judaïsme plus stable, plus sain. Pour que vous ne vous trompiez pas sur ce que je viens de dire, je précise que je ne suis pas féministe. C’est un problème de société. La société d’aujourd’hui, si elle veut rester une société juive, doit donner aux femmes un maximum d’éducation juive. C’est à cette conditions que les foyers se maintiendront.

Propos recueillis par Ilana Cicurel, traduits par Michel Zlotowski.

(Source : L’Arche n° 640 Janvier 2013)

Rabbi Adin Even-Israel (Steinsaltz), 83, AH – Anash.org

https://www.liseuse-hachette.fr/sites/default/files/epub_content/283/9782213665283/OEBPS/cover/cover.jpg

Le rabbin Adin Steinsalz est connu à travers le monde pour son édition traduite du Talmud. Autre ouvrage, paru en France, avec le Grand rabbin Josy Eisenberg qui date de 2012 : L’alphabet sacré, chez Fayard.

La synagogue dans la vie juive  La Rose aux treize pétales » du Rav Adin Steinsaltz - JForum            –

Livre : Le virus et le président. Enquête sur l’une des plus grandes tromperies de l’histoire

https://static.europe-israel.org/wp-content/uploads/2020/12/le-virus-et-le-president-couv.jpg

_____________________________________________________

Début 2020, le virus de la Covid-19 se propage rapidement dans tous les pays du monde. Mais pas partout de la même façon

Il semble exister une exception « Française d’Origine Contrôlée par l’Union Européenne », dont l’acronyme laisse entrevoir la façon dont le gouvernement traite cette pandémie.

Dans les couloirs de l’Élysée et de Matignon, les dirigeants de groupes terroristes ont ainsi cédé la place au virus. Nostalgie de son ancien boulot à la Rothschild & Compagnie, dans lequel Emmanuel Macron s’efforçait, selon son propos, de « séduire un peu comme une prostituée » ? Toujours est-il que le président s’entiche de ce nouveau tueur qui paralyse pourtant l’économie de son pays.

Mais que cache ce racolage médiatique ?

Dans « Le virus et le Président », co-écrit par le journaliste d’investigation Jean-Loup IZAMBERT et l’écrivain-polémiste Claude JANVIER, plongez dans une enquête sur l’une des plus grandes tromperies contemporaines organisées par un pouvoir politique, main dans la main avec les dirigeants de l’Union « européenne » et les grands propriétaires privés de la finance et de l’économie. Un document indispensable pour comprendre la nature réelle de la crise ainsi que les enjeux d’aujourd’hui et de demain.


Avec Jean-Loup Izambert et Claude Janvier, nous tenons là deux personnages courageux, deux résistants à ce « terrorisme viral » qui nous est tombé dessus comme le ciel sur la tête en mars 2020.

Je vous invite vivement à lire ce livre qui vous ouvrira les yeux et vous permettra de mieux comprendre que ce virus est l’arbre qui cache la forêt du krach financier organisé par une oligarchie qui cherche par tous les moyens à s’enrichir sur le dos des peuples.

Ils ont pris le temps, en tant que vrais journalistes libres et indépendants, de rechercher derrière cet écran de fumée ce qui se trame réellement et ils nous livrent ainsi un témoignage saisissant sur cette immense manipulation mondiale.

Depuis la nuit des temps, pour gouverner les peuples, il faut utiliser la division et la peur. Quoi de mieux qu’un virus grippal manipulé pour instiller la peur dans le cerveau des êtres humains ? Le piège est diabolique et presque parfait : on montre en boucle des morts dans les réanimations en Chine, puis dans le nord de l’Italie, puis dans l’est de la France et enfin à Paris pour justifier des mesures liberticides inadmissibles dans nos démocraties : le confinement, qui est un véritable emprisonnement de toute la population, le rêve de tout dictateur, le rêve qu’a réalisé le grand patronat des sociétés transnationales en promouvant l’ancien employé de la Rothschild and Co. jusqu’à l’Élysée.

Et comment ont-ils réussi ce tour de force dans la plupart des pays qui ont confiné ?

En instillant le virus de la peur qui est bien plus contagieux et dangereux que le fameux coronavirus, qui n’est finalement qu’un virus grippal qui n’a absolument pas augmenté la mortalité globale !

Car curieusement, depuis la fin 2019, lors des saisons grippales, plus personne ne semble mourir de la grippe, mais uniquement de la Covid-19 ! Et, de plus, beaucoup de personnes âgées sont mortes avec la Covid et non pas de la Covid.

Le « dictateur en herbe » de la République, pour justifier le confinement, avait répété dans son premier discours huit fois « nous sommes en guerre », mais une guerre sans masque, sans gel, et sans hydroxychloroquine, le seul médicament efficace avec l’azithromycine. Peu coûteux, il permet de stopper la réplication virale.

Alors, pourquoi a-t-il été interdit de prescription aux médecins généralistes, les seuls à même de venir à bout de cette épidémie, ce qui est un véritable scandale sanitaire ?!

Oui, il s’agit bien d’une guerre, mais pas d’une guerre contre le virus, une guerre contre les peuples et ce virus sert d’écran de fumée pour masquer la triste réalité : une politique mondialiste qui vise à enrichir des transnationales au détriment des peuples avec un transfert colossal d’argent de la majorité vers une minorité.

Moi, Médecin et libre, je ne peux accepter que les classes moyennes et populaires disparaissent – c’était le combat légitime des Gilets jaunes en 2018, qui avaient vu juste, mais qui ont été honteusement réprimés et infiltrés par des milices mondialistes, les blacks blocks et les anti-Fa – pour discréditer cette véritable révolution française populaire aux yeux des indécis.

Je ne peux accepter que des Médecins utilisent notre noble profession pour inculquer la peur et la panique dans le cœur de nos concitoyens : car la majorité des médecins des plateaux télé et du Conseil scientifique – qu’il faudrait plutôt appeler «Conseil pharmaceutique » tant, ainsi que l’a révélé le journaliste Étienne Girard dans Marianne« plusieurs (de ses membres) ont des liens d’intérêts importants avec les laboratoires » – sont là pour vous apeurer, pour vous imposer le masque qui n’est qu’une muselière à streptocoques et staphylocoques.

La raison ? Vous soumettre par des mesures liberticides et ensuite vous mener comme des moutons à la vaccination de masse qui ne sera qu’un moyen de plus d’enrichissement des mêmes transnationales de l’industrie pharmaceutique.

Qu’importe votre santé ! Pour ces transnationales, les profits engrangés passent bien souvent avant toute autre considération, ainsi que l’ont montré ces dernières décennies plusieurs affaires de corruption, de rapports truqués et autres actes délictueux et/ou criminels impliquant des laboratoires occidentaux : l’anglais GlaxoSmithKline (GSK), les français Sanofi, Pfizer ou Servier, le belge UCBPharma, le suisse Novartis, l’étasunien Lilly, les allemands Merck et Bayer, etc. Le diagnostic est clair : nos élites ont trahi et devront être jugées pour haute trahison. Nous devons, comme Gandhi face à l’Empire britannique, désobéir civilement et pacifiquement et plus nous serons nombreux, plus le combat sera facile, et ce livre est une arme dans ce combat de communication face au lavage de cerveau de cette « dictature virale » en marche. Des juges courageux ont retoqué des arrêtés préfectoraux disant que « le masque était une atteinte grave à la liberté d’aller et venir, une atteinte grave à la dignité de la personne », d’autant plus qu’aucune étude scientifique ne justifie le port du masque chez les bien portants qui représentent 99 % de la population. Le mal ne progresse que par l’inaction des gens de bien.

C’est pourquoi je vous invite, lecteurs et lectrices, à diffuser ce livre autour de vous et à refuser de porter la muselière, refuser de vous faire vacciner pour une maladie qui n’est plus mortelle, sachant que le vaccin ne peut être scientifiquement réalisé de façon sérieuse, sûre et non toxique en moins de dix ans pour un virus qui mute tous les ans. Donc, ce vaccin est une arnaque de plus. Renforcez vos défenses immunitaires de façon naturelle par une alimentation saine, une vie sociale harmonieuse. C’est également pour cela qu’il faut refuser la distanciation sociale, qui est aux antipodes de notre mode de vie.

Nous vivons une époque charnière où nous devons faire un choix : ou bien nous soumettre aux injonctions de la peur, du masque, du confinement et de la vaccination de masse qui est la fin de notre monde libre, ou bien résister en refusant le virus de la peur, en défendant nos libertés, en éteignant notre télé et en allumant notre cerveau.

La balle est bien dans le camp des hommes de bien.

Ne vivez pas couchés, mais comme des hommes debout.

N’ayez pas peur, défendez vos libertés !

Docteur Pascal Trotta

Ancien Interne des Hôpitaux de Paris,

Lauréat de la Faculté de Médecine de Paris,

Médecin spécialiste Radiologue,

Fondateur de l’Institut de Médecine Naturelle de Saint-Sébastien

Livre : Le virus et le président. Enquête sur l’une des plus grandes tromperies de l’histoire

(Source : Europe-Israël)

CONSEQUENCES CATASTROPHIQUES DES GRANDES INVASIONS BARBARES DU XXIe SIECLE, DE PAR LA TRAHISON DE NOS GOUVERNANTS – 10 décembre 2020

___________________________________________________

Jacqueline Eustache-Brinio : « Nous devons clairement lutter contre l’islamisme ; quand on ne nomme pas son ennemi, on ne lutte pas contre son ennemi : »

Jacqueline Eustache-Brinio est sénatrice et auteur d’un récent rapport sur la radicalisation islamiste qui faisait suite à une commission d’enquête du Sénat. Elle réagit à la présentation du projet de loi « séparatisme » par le gouvernement Castex aujourd’hui.

 

Le gouvernement présente son projet de loi contre le séparatisme. Certains accusent ce projet de loi de ne pas aller assez loin. Vous sénatrice du Val d’Oise, êtes-vous d’accord avec ces critiques ou cette action du gouvernement attire-t-elle votre satisfaction ?

 

Que cette loi existe et sorte, je trouve cela plutôt bien. En juillet j’avais déposé un rapport suite à une commission d’enquête. Il faisait des propositions et je suis assez contente que certaines de ces propositions aient été reprises. Le financement public des associations, la charte de la laïcité sont des propositions que le Sénat avait faites dans le cadre de cette commission d’enquête.

Le titre ne me plaît pas pour deux raisons. Au début, on parlait du communautarisme, puis après on a parlé des séparatismes puis du séparatisme. Et maintenant, on ne parle plus du tout de cela, mais de valeurs républicaines. Ce n’est pas ça le problème. Le problème c’est que nous devons clairement lutter contre l’. Je pars du principe que lorsqu’on ne nomme pas son ennemi, on ne peut pas lutter contre. Le titre ne me convient pas, mais on ne va pas faire de fixette sur le titre. Il va falloir qu’on aille plus loin.

Ce texte ne parle pratiquement pas de laïcité. Il va falloir clairement rappeler ce qu’est la laïcité et comment elle s’impose à tous celles et ceux qui la remettent en cause. On sait que la bête noire des Frères musulmans et des salafistes est la laïcité.

Je pense qu’il faut aller très loin. Il faut probablement retravailler sur l’article 35. On avait parlé dans le cadre de la commission sur la judiciarisation d’un certain nombre de propos et de faits qui peuvent être posés ou actés dans les mosquées. On dit souvent « armez la République, préservez la jeunesse et les enfants ». La question du voile des petites filles sera évidemment abordée. Mais aussi la question du voile dans les universités et du voile lors des accompagnements de sorties scolaires. Ce sera le moment ou jamais d’aller là où nous voulons aller. Contrairement à ce que peut dire le Premier ministre, il va falloir que l’on bouscule. Nous ne nous battons pas contre les musulmans, mais contre des musulmans.

 

Ce projet de loi doit lutter contre l’islamisme.

 

Évidemment. Le sujet est là. Les Bretons et les Basques ne tuent pas au nom d’un séparatisme. Il ne faut pas exagérer. Le séparatisme islamiste remet en cause les principes républicains et notre pays avec une détestation de la France qui s’inscrit de plus en plus dans certains quartiers, dans certaines familles, chez certains groupuscules et chez certains individus. Cette loi est effectivement nécessaire, mais elle ne va pas régler définitivement le problème. On va mettre des années à se sortir de ce problème.

Il va falloir très rapidement acter pour bien montrer ce vers quoi nous voulons aller aujourd’hui et demain. Nous allons devoir nous y investir, chacun à notre niveau. Tous les élus doivent s’y mettre, de droite comme de gauche. L’État doit aussi s’y mettre, quel que soit son degré de responsabilité. Nous allons y arriver, mais ensemble.

Aujourd’hui, les citoyens de ce pays attendent une clarté. Les gens ne sont pas plus bêtes que les autres y compris les jeunes. Il faut expliquer ce vers quoi nous allons et pourquoi nous le voulons. Il faut expliquer l’intérêt de ce que nous voulons montrer aujourd’hui. Nous voyons qu’une partie de la jeunesse ne comprend pas, ne comprend plus ou ne veut pas comprendre ce que nous sommes et ce que nous devons accepter d’être. À nous, législateurs, hommes femmes politiques, responsables à tous les niveaux. Le monde du sport, le monde de l’éducation, le monde associatif doivent s’y mettre.

 

Les Français ont l’impression que les actes ne suivent pas forcément. On pense notamment au projet de loi Blanquer qui est censé lutter avec son interdiction d’enseigner à la maison. D’après ceux qui défendent l’éducation à la maison, ce projet de loi ne va absolument pas lutter contre les dérives, mais sanctionner un peu plus ceux qui jouent le jeu.

 

Concernant l’enseignement à domicile, je ne voterai pas un article qui consiste à dire « on interdit l’enseignement à domicile ».

Une grande partie des parents ont fait un choix pour telle ou telle raison. Leur enfant peut ne pas être bien dans le système scolaire classique. Les parents peuvent être enseignants et préfèrent le faire eux-mêmes. Seule une partie de ces enfants sortent de la République. Nommons les choses et faisons en sorte que ceux-là retournent à l’école de la République. Mais pour cela, il faut des moyens de les inspecter. Au lieu de dire « on va lutter contre cela », on embête tout le monde. Disons ce vers quoi nous voulons aller et avec qui. Donnons-nous les outils pour ramener dans l’école de la République les enfants que l’on veut sortir de la République en général.

Jacqueline Eustache-Brinio : « Nous devons clairement lutter contre l’islamisme ; quand on ne nomme pas son ennemi, on ne lutte pas contre son ennemi ! »

(Source : Boulevard Voltaire)

-==-

____________________________________________________

Sept prêtres africains visés par un « allah akbar » dans le Vaucluse : qui, pour en parler ?

Tandis que, sur les réseaux sociaux, la polémique sur le « negru » lâché par un arbitre roumain fait rage, d’autres « Noirs », en France, font l’objet de menaces sans que nul ne s’en émeuve ou, en tout cas, que l’information n’ait fait de bruit au-delà des frontières du département.

Il s’agit de sept prêtres africains, dans le diocèse d’Avignon (Vaucluse), ayant chacun reçu un courrier avec deux mots, pas un de plus, inscrits en arabe et en français : « Allah Akbar ». Deux mots dont nul ne peut ignorer le caractère gravissime dans le contexte actuel. L’enquête qui a été ouverte n’a donné, pour le moment, à notre connaissance, aucun résultat. Les sept prêtres, dans une sérénité apparente, disent ne pas vouloir céder à l’intimidation et continuer à exercer comme avant leur sacerdoce. Leur église fait, cependant, désormais l’objet d’une protection par les forces de l’ordre. Notons qu’il y a quelques jours, dans le même département, à Avignon très exactement, des religieuses qui faisaient le plein d’essence de leur voiture sur le parking d’un centre Leclerc ont été visées par un projectile lancé par un homme à scooter, portant djellaba blanche et turban rouge. Sans que la presse ne s’en fasse l’écho.

Bien sûr, pour le moment, rien de grave à proprement parler. Ces provocations peuvent être le fait de déséquilibrés et non de terroristes, encore que l’un ne soit pas exclusif de l’autre. Mais imaginons simplement. Imaginons, un instant, que trois musulmans aient été sauvagement assassinés, il y a un mois, dans une mosquée. Et qu’aujourd’hui, trois imams, à moins de 300 kilomètres de là, soient visés par une lettre anonyme, avec des mots que l’on sait être le macabre préalable de chaque exécution. Pensez-vous que le seul écho, dans les médias, en aurait été une ou deux brèves et quelques entrefilets ?

L’indignation médiatico-politique, en France, est un concours d’élégance. À critères multiples et notes éliminatoires. Il ne suffit pas de cocher une case – la couleur de peau, par exemple – si votre religion est malséante. Si vous êtes prêtre africain, désolé, merci d’avoir participé, mais vous ne serez pas en finale sous les feux des projecteurs, avec la grosse caisse et le chœur des pleureuses. Et l’atout d’être femme, par exemple, ne saurait compenser le mauvais goût d’être de droite, on peut donc continuer à cogner en toute tranquillité sur Nadine Morano ou Marine Le Pen. Avec quelques relations et un peu de talent, on pourra peut-être même décrocher une chronique sur France Inter, dont le caractère « humoristique » permettra de s’affranchir de la légendaire neutralité du service public.

La vérité est que l’orchestre se fiche éperdument du sort des Noirs et des femmes, ou plutôt ne s’y intéresse qu’autant que ceux-ci servent ses idées et ses projets. Si ces Africains ont eu l’idée saugrenue de devenir curés avec le risque d’être menacés par les islamistes que cela comporte, que peuvent-ils y faire, n’est-ce pas ?

Sept prêtres africains visés par un « Allah Akbar » dans le Vaucluse : qui, pour en parler ?

(Source : Boulevard Voltaire)

-==-

https://images-na.ssl-images-amazon.com/images/P/2072934079.jpg____________________________________________________

Livre : Ce grand dérangement. L’immigration en face, de Didier Leschi

 Ce grand dérangement. L’immigration en face : publié en novembre, cet essai de Didier Leschi, actuel directeur général de l’Office français de l’ et de l’intégration (OFII), fait un tour d’horizon précis de la question migratoire en France. « Ces éléments, ce sont des chiffres, des faits, des règles internationales et des lois nationales », écrit-il en préambule.

Page après page, ce sont tous les aspects de la politique migratoire française qui sont abordés. La définition d’un immigré, d’abord : le demandeur d’asile, réfugié politique dont le statut « nous fait, en droit, obligation d’hospitalité », les économiques, dont la vague s’est réduite avec la crise de 1974, et qui a été largement remplacée, à la faveur du funeste décret de 1976 pris sous le gouvernement Giscard, par le regroupement familial, « la première des migrations vers notre pays » (entre 80.000 et 100.000 personnes par an). Et enfin les , déboutés du droit d’asile car ce sont, pour la majorité, des migrants économiques, en provenance principalement du Maghreb et d’Afrique. Le clandestin, celui qui, en France, « conserve des droits au-delà du respect qui lui est dû en tant que personne humaine. C’est pour cela que dans le langage politico-administratif, le clandestin sans papiers prend de plus en plus le nom “d’étranger au droit incomplet” »… On appréciera cette pudique circonlocution qui tente de masquer le véritable marché des droits sociaux que représente la France pour ces clandestins.

En Europe, « destination la plus prisée au monde », la France, par un système d’aides sociales d’une générosité sans équivalent, est une destination privilégiée. Celle-ci, explique-t-il, connaît aujourd’hui une nouvelle vague d’immigration en provenance du sous-continent indien, avec laquelle « la différence culturelle – mœurs, langue et religion – est maximale ». Ce qui rend très difficile toute intégration, toute de la France, de son histoire, de sa civilisation et de son mode de vie, de ses racines qui vont bien au-delà du pacte républicain dont Didier Leschi se réclame. Refus d’intégration, ghettoïsation, alors que l’intégration dans notre système social (aides, allocations diverses, hébergements d’urgence qui deviennent provisoires puis quasi définitifs, logements sociaux, AME, CMU, scolarisation) est revendiquée comme « droit » par ces mêmes personnes.

Les chiffres présentés donnent le tournis, c’est la valse des milliards : savez-vous, par exemple, que pour un clandestin, il existe une prime de 150 euros s’il « retrouve son passeport », 1.800 euros pour qu’il accepte de monter dans l’avion du retour, tandis que « nous lui proposons de prendre en charge, pendant plusieurs mois, une partie du salaire qui éventuellement l’attend ou qu’il trouvera. Nous pouvons investir pour lui jusqu’à 10.000 euros dans son pays, une somme qui pourra lui permettre de monter une activité » ?

Une disposition qui paraît d’une indécence folle quand la France s’enfonce dans le marasme économique.

Il explique, lui l’homme de gauche, l’ex-communiste, ancien membre de l’UNEF-ID et proche de Jean-Pierre Chevènement, que « ce n’est pas trahir ses convictions humanistes que de faire le départ entre le réel et l’utopie, ce n’est pas renoncer à ses idéaux que de prendre en compte ce qui est possible et ce qui ne l’est pas ». Une profession de foi très ancrée à gauche réaffirmée, mais aussi une volonté de répondre à ceux qui « bien légitimement, éprouvent des sentiments d’angoisse, voire de colère, face à des intrus abusant de notre hospitalité, empiétant sur notre territoire, nos ressources et nos héritages ; et ceux qu’indigne, bien légitimement, le spectacle quotidien des naufragés à la dérive, […] d’une Méditerranée transformée en cimetière marin ».

Dans cet essai, l’auteur, selon la tradition immigrationniste de la gauche, entend défendre cette exception française de la générosité de l’accueil et lever les critiques d’une France qui serait repliée sur elle-même. Ce serait son point de départ.

Or, ce livre est un constat très étayé et indispensable, une mine d’informations et une démarche de vérité que l’on peut saluer, car il lève le coin du voile sur la gestion administrative et financière scandaleuse de la question migratoire, à rebours du discours politiquement correct. Comme si cette volonté réelle et honnête de rétablir la vérité échappait à son auteur : tiraillé entre son camp idéologique et la réalité des faits, il semble malgré tout qu’il ait fait son choix.

 

Page après page, ce sont tous les aspects de la politique migratoire française qui sont abordés. La définition d’un immigré, d’abord : le demandeur d’asile, réfugié politique dont le statut « nous fait, en droit, obligation d’hospitalité », les économiques, dont la vague s’est réduite avec la crise de 1974, et qui a été largement remplacée, à la faveur du funeste décret de 1976 pris sous le gouvernement Giscard, par le regroupement familial, « la première des migrations vers notre pays » (entre 80.000 et 100.000 personnes par an). Et enfin les , déboutés du droit d’asile car ce sont, pour la majorité, des migrants économiques, en provenance principalement du Maghreb et d’Afrique. Le clandestin, celui qui, en France, « conserve des droits au-delà du respect qui lui est dû en tant que personne humaine. C’est pour cela que dans le langage politico-administratif, le clandestin sans papiers prend de plus en plus le nom “d’étranger au droit incomplet” »… On appréciera cette pudique circonlocution qui tente de masquer le véritable marché des droits sociaux que représente la France pour ces clandestins.

En Europe, « destination la plus prisée au monde », la France, par un système d’aides sociales d’une générosité sans équivalent, est une destination privilégiée. Celle-ci, explique-t-il, connaît aujourd’hui une nouvelle vague d’immigration en provenance du sous-continent indien, avec laquelle « la différence culturelle – mœurs, langue et religion – est maximale ». Ce qui rend très difficile toute intégration, toute de la France, de son histoire, de sa civilisation et de son mode de vie, de ses racines qui vont bien au-delà du pacte républicain dont Didier Leschi se réclame. Refus d’intégration, ghettoïsation, alors que l’intégration dans notre système social (aides, allocations diverses, hébergements d’urgence qui deviennent provisoires puis quasi définitifs, logements sociaux, AME, CMU, scolarisation) est revendiquée comme « droit » par ces mêmes personnes.

Les chiffres présentés donnent le tournis, c’est la valse des milliards : savez-vous, par exemple, que pour un clandestin, il existe une prime de 150 euros s’il « retrouve son passeport », 1.800 euros pour qu’il accepte de monter dans l’avion du retour, tandis que « nous lui proposons de prendre en charge, pendant plusieurs mois, une partie du salaire qui éventuellement l’attend ou qu’il trouvera. Nous pouvons investir pour lui jusqu’à 10.000 euros dans son pays, une somme qui pourra lui permettre de monter une activité » ?

Une disposition qui paraît d’une indécence folle quand la France s’enfonce dans le marasme économique.

Il explique, lui l’homme de gauche, l’ex-communiste, ancien membre de l’UNEF-ID et proche de Jean-Pierre Chevènement, que « ce n’est pas trahir ses convictions humanistes que de faire le départ entre le réel et l’utopie, ce n’est pas renoncer à ses idéaux que de prendre en compte ce qui est possible et ce qui ne l’est pas ». Une profession de foi très ancrée à gauche réaffirmée, mais aussi une volonté de répondre à ceux qui « bien légitimement, éprouvent des sentiments d’angoisse, voire de colère, face à des intrus abusant de notre hospitalité, empiétant sur notre territoire, nos ressources et nos héritages ; et ceux qu’indigne, bien légitimement, le spectacle quotidien des naufragés à la dérive, […] d’une Méditerranée transformée en cimetière marin ».

Dans cet essai, l’auteur, selon la tradition immigrationniste de la gauche, entend défendre cette exception française de la générosité de l’accueil et lever les critiques d’une France qui serait repliée sur elle-même. Ce serait son point de départ.

Or, ce livre est un constat très étayé et indispensable, une mine d’informations et une démarche de vérité que l’on peut saluer, car il lève le coin du voile sur la gestion administrative et financière scandaleuse de la question migratoire, à rebours du discours politiquement correct. Comme si cette volonté réelle et honnête de rétablir la vérité échappait à son auteur : tiraillé entre son camp idéologique et la réalité des faits, il semble malgré tout qu’il ait fait son choix.

Marie d’Armagnac

Livre : Ce grand dérangement. L’immigration en face, de Didier Leschi

(Source : Boulevard Voltaire)

-==-

https://www.bvoltaire.fr/media/2020/12/clandestin3-1240x698.png___________________________________________________

Heureux comme un clandestin en France ? A vous de juger…

Combien sont-ils ? Combien ça coûte ? Des centaines de milliers de , en France, bénéficient de prestations à titre gratuit : tarifs réduits dans les transports en commun, mesures de protection sociale comme l’AME (aide médicale de l’État), accès aux logements…

Pour mieux comprendre :

Heureux comme un clandestin en France ? À vous de juger…

(Source : Boulevard Voltaire)