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Oui, l’antiracisme signifie le génocide des Blancs !
Loin d’un discours suprématiste, mon coup de gueule se veut un cri dans le « grand désert d’hommes », suivant la formule de Charles Baudelaire. Car je sais combien je ne serai entendu que de mes semblables idéologiques, les autres hurlant comme des oies capitolines au… racisme !
Ce coup de gueule m’a été inspiré par le témoignage déchirant d’un petit-fils, venu ce matin raconter sur CNews – pas sur France Inter, vous vous en doutiez ! – qui était sa grand-mère, assassinée par une immondice entrée illégalement chez nous comme d’autres milliers, avec très souvent la complicité de milices antiracistes, lesquelles justifient par ailleurs à peu près tous les crimes de leurs violents protégés. Ces traîtres-là ont même un parti qui, dans un pays sain d’esprit, serait purement et simplement interdit pour son intelligence avec l’ennemi : la bien mal nommée France insoumise, tant elle est soumise à la diversité qui n’a rien à voir avec ladite France !
(Berthe avec son petit-fils)
Marius Larrivé était aussi sur le plateau de CNews pour expliquer le calvaire qu’il vit, lui et sa famille, depuis que sa grand-mère Berthe, alors âgée de 90 ans, a été frappée à mort par un Pakistanais sous OQTF. Mais de Berthe, qui se soucie ?
Parce que Berthe, malgré une famille « Benetton » selon les propos de son petit-fils – c’est-à-dire issue de divers horizons comme beaucoup d’entre nous si nous creusons un peu dans notre arbre généalogique, sauf à vouloir devenir dégénérés comme disait le Papet dans Jean de Florette, de Claude Berri : « C’est mauvais pour les lapins, c’est pas bon pour les hommes » –, a été une énième victime de la haine allogène des autochtones, le 10 juin 2021, jour commémoratif du massacre d’Oradour-sur-Glane, où le sournois élyséen va encore aller prêcher sa parole supérieurement inepte dans quelques jours.
Oui, pauvre Berthe, vous n’aviez aucune importance et, à la lumière de mon expérience personnelle, des vieilles dames comme vous, lorsqu’on les défend, on risque l’ire de l’in-justice. Personne ne se soucie de cette vie de labeur et de partage que nous a décrite votre petit-fils qui, malgré son teint hâlé, est assimilé aux Blancs parce qu’il mène une vie convenable et, horreur, ne déteste pas la France.
Votre vie, Berthe, c’était celle-ci :
« Née en 1930, la victime n’a pas eu une vie oisive. Issue d’un milieu modeste, elle connaît l’exode lors de la Seconde Guerre mondiale. Arrivée à Paris, elle travaille dans les chais de Bercy. La vie y est dure. Elle va ensuite travailler des années chez Citroën comme manutentionnaire.
En parallèle de ce travail éreintant, la jeune femme mène seule sa vie de famille. « On était très fusionnelles. Elle a tout sacrifié pour moi. Nous avons toujours vécu dans le 13ᵉ arrondissement », se remémore sa fille unique à la barre. Devenue grand-mère, Berthe fait pendant des années des allers-retours entre la capitale et Saint-Germain-en-Laye pour s’occuper de son petit-fils. »
Ah, si vous aviez été noire ou maghrébine, Berthe, et pourvu que votre petit-fils ait multiplié les actes de délinquance, alors là, oui, on aurait manifesté pour vous une empathie débordante. Mais hélas, vous et les vôtres étiez de ces Français qui vivent leur existence avec une certaine droiture, ce qui est insupportable pour une Rima Hassan, par exemple, cette femme qui se rêve sûrement en nouvelle chienne de Buchenwald – Ilse Koch – pour épancher sa soif haineuse des Juifs et des Blancs en général. Cependant, comme elle est d’appellation antiraciste, diversitaire et anti-France contrôlée, elle peut se permettre d’exciter à la détestation de notre pays et son peuple, de préférence blanc. Rima Hassan aurait même pu faire entrer illégalement votre assassin, Berthe.
Ce qui me fait dire que, oui, l’antiracisme est devenu génocidaire, tant dans ses intentions que ses actes. Ce n’est même plus un Grand Remplacement, c’est une extermination programmée et, pire, tolérée voire favorisée, par de nombreux médias et politiciens.
Et je suis convaincu que, si par aventure, il se levait parmi nous des Henri de La Rochejaquelein, Charette et autre Bonchamps – trois chefs vendéens –, alors Macron et sa clique n’hésiteraient pas un instant à leur envoyer de nouvelles colonnes infernales. Ce sinistre individu l’a encore prouvé hier soir, en polluant de sa présence la sublime abbaye aux Hommes de Caen où il était interviewé par deux journaleux collabos – Anne-Sophie Lapix et Gilles Bouleau –, pérorant sur l’extrême droite et sans un mot pour le racisme dont sont victimes les Blancs et tous ceux qui choisissent leur mode de vie.
Dans l’attente du verdict de votre assassin – que j’ignore à l’heure où j’écris mais dont on sait qu’il n’aura aucune incidence sur les faveurs dont jouira cette vermine en prison ! –, je salue votre mémoire…
Charles Demassieux
(PS : le verdict est tombé hier soir et l’abject assassin de Berthe a été condamné à 22 ans de prison. Mais il pourra être renvoyé au Pakistan après 12 ans, c’est-à-dire qu’il sera libre comme l’air et célébré en héros puisqu’il aura tué une mécréante blanche, malgré ce que croit naïvement le petit-fils de Berthe qui pense qu’il y sera très mal reçu ! Vive la justice française !)
Source : RIPOSTE LAÏQUE – L’antiracisme, c’est le génocide des Blancs, Berthe en est morte !
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