Vers 23h15, le 9 mai, à Marseille, dans le quartier des Arnavaux, des policiers de la compagnie de sécurité routière (CSR) procédaient à des contrôles routiers. Un mineur de 16 ans conduisant un véhicule a refusé de se soumettre au contrôle et a foncé délibérément sur la voiture des policiers avant de prendre la fuite.
Les trois fonctionnaires ont été légèrement blessés lors du choc et ont pu diffuser l’immatriculation de la voiture du délinquant.
La BAC a fini par intercepter le chauffard, âgé de seulement 16 ans, qui a été placé en garde à vue.
Guillaume Bigot est politologue, éditorialiste sur CNews et Sud Radio. Il vient de publier, aux Éditions L’Artilleur, un livre co-écrit avec l’avocat Ghislain Benhessa. Son titre, On marche sur la tête, est inspiré bien sûr du célèbre slogan des agriculteurs en colère, victimes emblématiques, après les gilets jaunes, de cette Union européenne.
Pour lui, l’UE est une camisole qui emprisonne les peuples, mais les politiques n’osent pas avouer leur impuissance. Parce que les Français le savent, l’abstention est massive à ses élections. La trahison de Lisbonne n’est pas un accident mais le résultat logique de la construction européenne. Il pointe la responsabilité des juges : « Le peuple dit non, les juges disent si. » Mais rien n’est irrémédiable, Guillaume Bigot ouvre des pistes de solution.
Malgré le silence -complice- des medias, tweeter ne bruit que de cela…
Preuves – à vérifier – que macron aurait déjà envoyé nos troupes et/ou légionnaires sur le sol ukrainien : ce sont des commentaires d’internautes en dessous d’un journal de TVL…
Preuves – à vérifier – que macron aurait déjà envoyé nos troupes et/ou légionnaires sur le sol ukrainien : ce sont des commentaires d’internautes en dessous d’un journal de TVL…
Le 5 mai dernier, Édouard Balladur ancien Premier Ministre, est sorti du silence dans une tribune du Figaro, pour appeler à certains changements institutionnels nécessaires et vitaux.
L’homme s’est penché sur la situation de la France et n’a pu que constater la validité de ce que nous écrivons dans les colonnes du RPF depuis des mois, et d’en tirer des conclusions similaires aux nôtres. Lorsque tout dérape au point de mettre en péril les fondements de notre nation et son existence même, les voix de la raison et de la sagesse s’élèvent enfin.
Bien entendu elles ne peuvent faire écho dans la macronie, qui est par définition apatride, vouée au mondialisme heureux sans racine, sans foi ni loi. Face à ce qui apparaît désormais pour tout observateur honnête, comme une catastrophe politique économique et sociétale, il explique qu’il est urgent de remettre la raison et le bon sens au centre du débat. La fuite en avant idéologique doit cesser. Il fustige la volonté d’intégrer de nouveaux membres au sein de l’Union européenne, considérant que ce n’est pas la priorité, faute de moyens financiers criants, et d’une stabilité politique suffisante.
Une remise à plat des pouvoirs et attributions de la commission lui parait évident, tant la confusion est grande dans le qui fait quoi et le qui décide de quoi. Il poursuit en dénonçant le projet de fédéralisme qui ne fait plus aucun doute dans l’esprit de Macron et de ses amis. Pour lui, comme pour tout démocrate qui se respecte, un tel projet devrait au préalable être soumis au vote des Français. La rupture se prolonge avec le passage sur l’immigration, faisant écho aux récentes affirmations de Fabius, dont il remet en cause et à juste titre, le ton impératif qu’il a adopté notamment en refusant le RIP, dans une vision des choses dont la seule évidence est l’usurpation du concept de souveraineté nationale.
À considérer les propos de Fabius, cette souveraineté ne serait pas pleine et entière et certains thèmes seraient incompatibles avec elle. L’étrangeté de l’argument n’a pas échappé à Balladur qui suggère pour en finir, avec cette confiscation faussement juridique mais totalement politique, une réforme de l’article 11 de notre constitution. Le peuple doit reprendre le contrôle des sujets qu’il estime opportun de débattre, dont celui de l’immigration et de déterminer qui a le droit d’entrer sur notre sol.
Il juge par ailleurs normal de lui laisser le soin de choisir la constitution qu’il veut. Un souverain décide sans contrainte, or avec Fabius, il est mis sous tutelle et l’article 3 n’est pas respecté. Laurent Fabius est allé trop loin en confisquant cette souveraineté, lors du refus du RIP présenté par les parlementaires. Peu importe que la question ne soit pas conforme à ce que prétend comprendre Fabius, c’est au peuple de trancher et d’affirmer ce qui devient constitutionnel puisque c’est lui qui détient ce pouvoir suprême. L’outrage n’a pas échappé à Édouard Balladur qui s’est justement permis de déclarer que le Conseil constitutionnel rendait des arrêts politiquement motivés mais non fondés sur le droit. Fabius paye là ses excès de zèle à servir son mentor et maître. L’ancien socialiste, le précieux bourgeois dandy tombera. Personne ne pleurera ce personnage.
Edouard Balladur se démarque et prend de la hauteur, c’est ce qu’on attend d’un homme qui a le sens de l’État. On peut simplement regretter que la prise de conscience intervienne aussi tardivement. Voilà une personnalité de droite qui s’élève contre une partie du système jugé jusque-là intouchable par de nombreux parlementaires. La remarque venant d’un ancien responsable des LR, il faut souhaiter que les nouveaux patrons étudient avec attention ses recommandations. On peut craindre qu’anesthésiés par des années de soutien inconditionnel à l’adolescent roi, ils attendent la réalité du 9 juin pour comprendre le sens du message et agir. Au RPF nous sommes favorables à cette tribune. Il est effectivement urgent de changer notre constitution pour redonner au peuple la souveraineté qui lui revient de droit. Après l’article 11 il faudra s’attaquer au 49.3, et revoir l’ensemble du fonctionnement du Conseil constitutionnel, en virant le fossoyeur qui en tire les ficelles.
Il sera impératif de donner au peuple la possibilité de choisir dans des conditions acceptables de soumettre une loi à sa validation, de lui permettre d’en révoquer certaines, ainsi que de se débarrasser d’élus qu’il ne veut plus voir. La tâche est énorme, mais nécessaire, indispensable pour redonner le goût de la chose publique aux citoyens. Que feront les différents représentants politiques de cette tribune et surtout les LR, dont est issu Balladur ? Auront-ils le bon sens de suivre ses recommandations, ou vont-ils les écarter d’un revers de main ? Il serait opportun pour eux de ne pas se précipiter à couvrir d’opprobres ses propos, mais au contraire de les développer, non pas pour un éventuel argument électoral sans lendemain, mais bien dans le but d’en faire accepter l’idée et la réalisation immédiate à ce pouvoir mortifère et au besoin d’en changer si la macronie, comme à son habitude ne veut rien entendre.
Les cabinets ministériels macroniens ressembleraient-ils à des cours de récréation de classes primaires ?
De nombreux collaborateurs de Hervé Berville, secrétaire d’État chargé de la Mer et de la Biodiversité se plaignent des humeurs du patron, capricieux, désinvolte.
En réalité, depuis l’élection de Macron et de son « soyez fiers d’être des amateurs », les démissions de conseillers ministériels, particulièrement ceux issus de la jeune génération de cadres, sont régulières.
La réputation exécrable de la porte-parole du gouvernement Prisca Thévenot, n’est pas un secret et trois membres de son équipe, dont les plus éminents, ont jeté l’éponge. Ils sont huit au total, sur neuf membres du cabinet, a avoir claqué la porte.
Sarah El Haïry, la ministre déléguée chargée de l’Enfance, de la Jeunesse et des Familles, est également connue pour les départs de ses conseillers et est pointée du doigt pour des démissions au sein de son équipe ministérielle.
Aurore Bergé, ministre chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations ferait elle-aussi tourner en bourrique les membres de son cabinet.
On ne sait pas s’il faut y voir une marque de la « jeune génération », censée être plus autocentrée, avoir été élevée et éduquée de manière « positive », ne supportant pas la frustration et assez peu apte à la concession et la discussion, par rapport à une génération précédente, qui a grandi autrement et avec une autre forme d’expression de la parentalité. Toujours est-il que les démissionnaires dénoncent pêle-mêle, des caprices, des humiliations à répétition, une communication arrogante et cruelle, un régime de copinage et des exigences sans limites, en résumé, l’ensemble des caractéristiques d’une certaine nouvelle jeunesse, carriériste, individualiste, sans limite et sans empathie, lesquelles sont relevées par les psychosociologues dans la population ordinaire. Pour tout dire : beaucoup d’immaturité.
Même si la doxa voudrait qu’être jeune ne soit pas source d’inexpérience, dans la réalité, ça l’est et si on pouvait savoir avant d’avoir appris, cela se saurait. Le résultat d’un enseignement voulu horizontal et qui préconise que le prof et les élèves soient à égalité, comme en famille, parents et enfants sur le mode copains. Et si la jeunesse était une qualité, alors, autant demander à un enfant de 10 ans de diriger la France. Il y a une forme très moderne de négation de l’expérience et des jeunes pour vous expliquer que « c’est pas parce qu’on est jeune qu’on ne sait pas faire », sauf que dans la réalité, cela ne marche pas et pour cause, l’expérience est une valeur construite sur des années de vie et le diplôme, ou même l’absence de diplôme, ne la remplace pas.
Dans les faits, on a clairement à faire à un rajeunissement sans précédent des équipes dirigeantes : le plus jeune président, le plus jeune premier ministre, des « conseillers » d’à peine 30 ans… on se demande bien ce qu’un « conseiller » de moins de trente ans, qui n’a que peu d’expérience de la vraie vie, peut bien conseiller à un Ministre, tant en plus, l’existence de participants à ces sphères de pouvoir est déconnectée de la vie ordinaire des gens du peuple.
La moyenne d’âge du gouvernement de Gabriel Attal est de 46 ans et on peut penser que le cumul d’une juxtaposition des egos, d’une incapacité au compromis, d’un manque d’expérience de la négociation et de ce qu’on appelle en psychologie, le mi-chemin, c’est à dire, chacun faisant un pas vers l’autre, peut générer des crises permanentes. On en a l’exemple fréquent avec un président radicalisé qui pratique le « qui n’est pas avec moi est contre moi » et utilise à tour de bras le classement comme « complotiste » ou « d’extrême droite », de tous ceux qui ne sont pas d’accord avec ses visions. Il le paye régulièrement à l’international, où il se ridiculise systématiquement avec son inexpérience.
Mais il y a aussi cette ambiance de fin de règne et certains, finalement avisés, peuvent être tentés de quitter le navire macroniste en train de couler, histoire de ne pas être associés à tous les scandales économiques, aux dettes, à la gestion mortifère de la pandémie. Si ceux là, qui seraient un peu plus que d’autres dans la conscience, veulent avoir une carrière ministérielle dans des gouvernements futurs, le mieux serait encore de ne pas être associés de trop près à cette engeance macronienne qui va quitter la scène avec 3000 milliards et plus de dettes, une France déclassée, en ruine industrielle et au bord de l’explosion sociale.
Les Portes de la nuit succède immédiatement aux Enfants du paradis et aux Visiteurs du soir, deux des films les plus importants de Carné tournés durant l’Occupation.
Avec Jean Vilar, Yves Montand, Pierre Brasseur, Serge Reggiani, Nathalie Nattier.
Durant une nuit de février 1945, un vagabond, qui se présente comme le Destin, orchestre le coup de foudre entre Diego, jeune résistant, et la belle Malou, dont le frère est un collaborateur.
Les rôles des amants devaient à l’origine être tenus par Marlene Dietrich et Jean Gabin. Le désistement des deux stars fut un coup dur pour le film
Étoile montante du music-hall, le jeune Montand se voit offrir le rôle de Diego, sur les conseils d’Édith Piaf.
Un rôle qu’il appréhende, prévu à l’origine pour Jean Gabin. Marcel Carné lui dit : « Sois ce que tu es, un grand garçon souriant ».
Un personnage qui, s’approchant des limbes du bonheur, se heurte aux obstacles de la réalité. Les images de nuit d’hiver glacial et d’île rêvée du Pacifique enchantent.
Mais nous sommes en 1946 et le sujet de la collaboration, au sortir de l’Occupation, incommode.
Le septième film du tandem Carné-Prévert – le dernier qu’ils feront ensemble – connaît l’échec à sa sortie.
Contrairement à la chanson de Prévert, jouée à l’harmonica par le Destin-Jean Vilar et fredonnée par Yves Montand : Les Feuilles mortes tournera sur tous les phonographes du monde, à jamais associée au chanteur-acteur.
“Les feuilles mortes”…
Dans “Les portes de la nuit” (1946), Yves Montand immortalise le célèbre texte de Jacques Prévert
Jacques Prévert
Yves Montand et Jean Vilar : le public découvre la chanson “Les Feuilles Mortes” dans “Les Portes de la nuit” de Marcel Carné.
…et tant d’autres interprétations à l’international, souvent ratées, car il ne faut pas seulement une voix et du rythme, il faut aussi l’interpréter avec le coeur. Sans surprise, Sinatra passe à côté. Certaines versions jazz la massacrent.
Mais Eartha Kitt est sublime et ose quelques mots de français, merci madame (on entrevoit ce qu’aurait donné une version par Marlène Dietrich).
LES PORTES DE LA NUIT – Saturnin Fabre, extraordinaire en collabo.
Saturnin Fabre et Serge Reggiani, salauds de père et fils, livrent dans Les Portes de la nuit des interprétations mémorables, à l’instar de Pierre Brasseur en mari bourgeois éconduit.
Carné décrit un climat de suspicion et de mépris où d’anciens collabos essaient de se payer une virginité et s’inventant une conduite irréprochable et même des actes courageux pendant l’Occupation.
LES PORTES DE LA NUIT – Raymond Bussières, Yves Montand et Julien Carette
LES PORTES DE LA NUIT – Serge Reggianni
LES PORTES DE LA NUIT – Julien Carette
LES PORTES DE LA NUIT – Pierre Brasseur
“Les enfants qui s’aiment”…
Les enfants qui s’aiment S’embrassent debout contre les portes de la nuit Et les passants qui passent les désignent du doigt Mais les enfants qui s’aiment Ne sont là pour personne…
Musique de Joseph Kosma : “Les Portes de la Nuit”, Introduction et Valse
L’Orchestre philharmonique de Radio France joue l’Introduction et la Valse tirées du film “Les Portes de la Nuit” composées par Joseph Kosma sous la direction de Bruno Fontaine. Extrait du concert donné le 11 janvier 2019 en direct de l’Auditorium de la Maison de la Radio.
Macron veut des idées pour sauver son quinquennat et il les cherche du côté de l’extrême centre, celui qui navigue à vue, à très courte vue, celle des postes à récupérer… C’est que Macron est aux abois…
Je ne suis pas la seule à savourer ses angoisses répercutées d’une plume habile par le Parisien : le président a une obsession : « Tuer la petite musique disant que le quinquennat est fini », résume l’un de ses intimes.
Les sondages mettent la calamiteuse Valérie Hayer à 15%, Macron espère encore pouvoir activer réseaux et autres machinations pour que sa liste soit à 22… Va falloir pédaler dans la choucroute, pépère ! Et la première choucroute est, je vous le donne en mille… caresser dans le sens du poil les LR ! Macron va essayer de se maintenir au pouvoir grâce à ce qui est devenu une espèce d’extrême-centre sans programme.
Le quotidien macronien (l’occupant de l’Elysée peut dire un immense merci à son ami Bernard Arnault) évoque donc un dîner privé à l’Elysée passé par Macron à chercher des idées pour éviter la Bérézina le 9 juin et préparer le jour d’après en limitant la casse.
Quelques fidèles ou ralliés de la dernière heure avec les dents longues qui espèrent encore et n’ont pas tourné casaque, ayant compris que le vent tournait. Ils ont pour caractéristiques principales d’avoir des ambitions et un certain poids là où Macron veut peser, (voire faire un coup de Jarnac ? ).
Pierre Charon,ancien sénateur LR, décoré de la légion d’honneur la semaine dernière.
Richard Ferrand ex-socialaud rallié de la première heure à Macron.
Hervé Marseille, sénateur de l’Union des démocrates et indépendants. Et un bon centriste, un !
Franck Louvrier, maire LR de La Baule.
Édouard Courtial, sénateur LR qui a rejoint Horizons.
Frédéric Péchenard, et un LR de plus !
Laurent Solly,ex-directeur adjoint de la campagne de Sarkozy en 2007, directeur général de Facebook France (tiens, tiens…)
Ange Mancini, ex-coordonnateur du Renseignement (tiens, tiens…) et proche de Sarkozy (tiens, tiens…), se décrit comme “un voyou peinard”. Exactement ce dont Macron a besoin en ce moment.
Bayrou… l’inévitable centriste.
Alors, ça cogite dur !
“Lors de cette fameuse nuit du 1er mai, ses convives ont, eux, ainsi posé l’équation : après les européennes, il y aura le risque d’une motion de censure de LR, la possibilité d’une dissolution ou alors — plaident certains — l’urgence à prendre une initiative politique pour avoir un coup d’avance. « De toute façon vous paierez l’addition le 9 juin au soir », lance cash un élu au président. D’où ces questions : comment parvenir à gouverner pendant les trois prochaines années ?Quand bouger ? Au soir du 9 juin, après les JO ?”
Bon, la stratégie est déjà en place, et Macron a beau jouer les imbéciles suppliant ses invités de trouver des idées, il en a une, d’idée, lumineuse : élargir sa majorité en tendant la main aux LR…
Mais cela ne suffirait pas à lui assurer une majorité et il le sait: ” « Si on récupère 25 députés LR, ça ne suffit pas. Il faut aussi récupérer la frange sociale-démocrate », a ainsi planté le président, quand il a reçu la bande des ex du quinquennat Sarkozy à l’Élysée”. Il va falloir, en plus du dévoiement de nombre de LR, trouver autre chose… Avec Macron, attendons-nous au pire ! Il serait capable d’annoncer la régularisation de tous les migrants mais ça ne lui rapporterait pas grand-chose en termes de voix pour le 9 juin prochain.
Le scénario qui fait paniquer Macron c’est que sa liste se prenne une déculottée monstre le 9 juin, que le RN appelle à une dissolution et que la pression monte pour un gouvernement d’union nationale autour de Larcher. Avec qui il a dîné en mars, une coïncidence, sans doute… La peur panique de la motion de censure fait faire des cauchemars à Macron !
« Envoie-moi des idées ! » lance Macron ! J’en ai des dizaines mais aucune ne conviendrait au traître en chef qui ne jure que par ce que je hais. Le gros problème de Macron c’est qu’il se fiche totalement d’être impopulaire avec la politique désastreuse qu’il mène et dont il ne changera pas un iota, il a été mis là où il est pour achever son sale boulot. Son seul problème est de pouvoir rester aux manettes pour achever le boulot, pour achever la France.
Tous ceux qui étaient à l’Elysée la nuit du Premier Mai doivent savoir qu’ils seront comptables du terrible bilan de Macron et devront s’expliquer devant les Français, au tribunal de l’histoire forcément, mais aussi, il faut l’espérer devant le tribunal spécial qui jugera Macron et ses complices.
En attendant, surtout, n’allez pas à la pêche le 9 juin, si le vote pour les Européennes a peu de chances d’ébranler l’UE, il pourrait peut-être, par répercussion, nous débarrasser de Macron !
Toute voix exprimée pour le camp patriote diminuera le score de la liste Macron… augmentera sa défaite et aura des répercussions sur la politique française, sans dépendre de l’UE, pour une fois.
Cette émission de France télévisions existait depuis 52 ans.
C’était une gymnastique intellectuelle autour des mots et des chiffres, une sorte de scrabble à la télévision.
Certes je n’ai jamais eu la patience de suivre cette émission dans son intégralité. Lorsque j’avais la télévision, elle était programmée le matin vers 11 heures et je dois dire que j’avais envie d’occuper mes vacances de façon un peu plus dynamique…
Cette émission à mon avis convenait plutôt au grand âge, aux personnes isolées, handicapées, cloîtrées à domicile et esseulées.
Elle permettait de maintenir actifs ses neurones, de prendre le temps de réfléchir en se sentant moins seul que devant son carnet de mots croisés ou de sudoku.
Loin du tumulte des “touche pas à mon poste” et autres zouaveries contemporaines, elle offrait un espace audiovisuel de temps lent mais non inactif.
Même si elle ne déchaînait pas les foules, elle trouvait toujours son public tant la solitude et le grand âge cohabitent souvent. On n’a pas toujours avec soi un partenaire de scrabble, de jeux de société, qui ait la patience et la disponibilité…
Des activités cérébrales sans prétention, avec un peu d’animation mais sans grande agitation, c’est aussi ce dont certains peuvent avoir besoin si tant est que le service public audiovisuel soit réellement un service public.
Quand on parcourt nos campagnes, on trouve toujours un vieillard assis sur un banc en bord de route qui regarde les voitures passer tant l’ennui est parfois envahissant.
Quand on parcourt les rues de nos villes, il y a toujours une maison ou un appartement d’où sort le son très élevé du téléviseur d’une personne âgée esseulée et un peu sourde qui passe son temps devant la télé…
Alors, pour ces gens qui ont besoin du temps long, et qui souffrent de la solitude, c’était peut-être la seule émission de télévision qui offrait une sorte d’accompagnement quotidien leur permettant de participer à des activités intelligentes sans être réduits à de spectateurs purement passifs d’un programme qui va trop vite pour eux.
Entre deux piqûres d’infirmière et une livraison de repas à domicile…
Je pense aussi aux pensionnaires de maisons de retraite qui pouvaient ne pas se retrouver dans les activités proposées par l’établissement.
De nos jours, on fait participer les pensionnaires à des “défilés de mode”, à des sorties en discothèque privatisées où l’on fait tournoyer les fauteuils roulants, on invite des rappeurs dans les maisons de retraite, et l’on peut comprendre que tous les pensionnaires n’aient pas envie de se livrer à ce genre d’activités.
Il y a des gens qui n’ont même plus la force de s’asseoir avec un livre pour une heure de lecture… ce genre de programme leur permettait d’avoir une activité cérébrale interactive.
Inutile de dire par ailleurs que la France est peuplée de tout un tas de gens qui ne s’intéressent absolument pas à notre langue, qu’ils maîtrisent très peu et que donc “des chiffres et des lettres” fait aussi les frais du grand remplacement.
L’émission plaisait aussi pour le maniement des chiffres aidant à développer l’intelligence :
La fin de l’émission est aussi un regret pour Guillaume, 25 ans, doctorant en chimie. Il fait partie du club Le Mans-Sainte Jamme. “Quand j’avais cinq ans et que j’étais chez ma nourrice, elle regardait Des chiffres et des lettres. Cela m’a intéressé et c’est avec cette émission que j’ai appris à compter. J’aimais beaucoup apprendre les tables de multiplication à l’école et le fait de les appliquer dans une émission télé, je trouvais cela amusant.”
Guillaume affirme avoir acquis des techniques pour compter plus vite. Des techniques qui lui servent encore aujourd’hui “dans la vie de tous les jours“. Alors forcément, cette décision lui fait mal au cœur, mais Emmanuel est catégorique. Si l’émission s’arrête, les tournois interclub continuent.
Diffusée chaque week-end sur l’antenne de France 3, l’émission culte baptisée Des chiffres et des lettres va tirer sa révérence à la fin de la saison. En effet, le plus ancien jeu de l’histoire de la télévision française a été supprimé par la direction de France Télévisions. C’est le directeur général du groupe audiovisuel public, Stéphane Sitbon-Gomez, qui a annoncé la mauvaise nouvelle dimanche 5 mai 2024, lors d’une interview accordée à La Tribune du dimanche. “La programmation le week-end de Des chiffres et des lettres n’a pas été couronnée de succès. Après cinquante ans d’existence, c’est un rendez-vous emblématique. C’est une décision difficile, mais nous avons fait le choix d’arrêter ce programme“, a déclaré le dirigeant de France Télévisions. De passage dans l’émission Culture Médias quelques jours plus tard sur Europe 1, Laurent Romejko a réagi à l’arrêt du programme qu’il incarnait depuis maintenant 32 ans. “C’est une fin qu’on présumait depuis deux ans, depuis le passage de la semaine aux week-ends. Ce n’est peut-être pas de la déception mais de la tristesse”, a-t-il déclaré. Celui qui est également aux commandes de l’émission baptisée Météo à la carte était l’invité de Mouloud Achour dans Clique jeudi 9 mai 2024 sur Canal+.
Laurent Romejko décrit les candidats “Des chiffres et des lettres” comme étant “très singuliers”
Bien évidemment, l’animateur a été interrogé sur la fin Des chiffres et des lettres. Laurent Romejko s’est alors montré plutôt lucide sur les raisons des mauvaises audiences du programme depuis son passage le week-end. “Vous savez, c’est une émission qui ne répond plus aux codes du jeu. C’est-à-dire que c’est une émission qui est silencieuse. Il y a des durées de réflexion qui sont incompressibles, qu’on a conservé plus ou moins”, a-t-il tout d’abord souligné, avant de poursuivre. “Est-ce que c’était une erreur cette petite musique d’ascenseur qui accompagnait la réflexion ? Et des jeux qui sont lents, qui sont silencieux, il n’y en a pas. Il faut du jingle, il faut de l’éclat de rire, il faut de l’applause à chaque coin de phrase. Nous, il n’y avait pas ça”, a aussi précisé Laurent Romejko. L’animateur a ensuite évoqué les spécificités des participants de son émission par rapport à ceux des autres jeux télévisés. “Des candidats aussi très singuliers. C’est-à-dire que contrairement à beaucoup de jeux, le candidat ne vient pas pour gagner une voiture, une machine à laver ou 100.000 euros. On lui offrait un dictionnaire ou 100 euros par match gagné, donc c’est-à-dire rien. Et ils venaient là vraiment pour montrer qu’ils étaient bons, très bons, qu’ils étaient les meilleurs. Ils venaient là pour le jeu“, a finalement conclu le présentateur.
Quand on veut tuer son chien, on l’accuse de la rage… Il est signalé 2 fois dans l’article ci-dessus que c’est le passage de l’émission initialement en fin de journée au week-end qui l’a tuée.
Si on avait gardé le créneau historique de l’émission, ses fidèles, dont elle faisait le bonheur, auraient continué, en silence, de faire travailler leurs neurones. Mais perdre un créneau recherché par les publicitaires pour quelque 800 000 spectateurs, c’est du gâchis, Mâme Michu. Que tous ces vieux Schnocks qui ne comprennent rien au monde de Macron se débrouillent pour occuper leurs temps et leurs neurones. Il y a trop à gagner en faisant du clinquant… la pub et ses revenus de rêve d’abord, bon sang !
Voici une excellente campagne d’affichage pour que ceux qui n’ont pas lu le Coran n’ignorent plus ses préceptes les plus abominables, ce qui est la moindre des choses en ces temps d’immigration massive islamique en notre beau pays, et en ces temps d’élections…
Mais, quelle idée ! Jean-François Debat, le Maire de Bourg-en-Bresse voit rouge, porte plainte, déclenche des perquisitions contre les mosquées, les librairies islamiques, les responsables locaux d’associations musulmanes, les auteurs de la campagne “vérité”.
Quelle mouche l’a donc piqué ? Il a découvert des affiches islamophobes, ciel ! Appréciez la situation à sa juste valeur, amis lecteurs.
1) Euh ! Depuis quand l’islamophobie serait-elle un délit dans le code pénal français ? Il n’y a que pour les prosélytes de l’islam que critiquer l’islam, en avoir peur, en avoir la haine serait passible de poursuites judiciaires. L’islam n’est pas un être humain, juste une religion qui, comme toutes les religions, comme tous les dogmes, peut être critiqué. Bref, le premier argument du premier magistrat de Bourg-en-Bresse ne tient pas une seconde. Mais il y a eu un magistrat pour accéder à sa plainte et faire effectuer des perquisitions ??? Seconde violation du code pénal français. A moins que, à notre insu, députés et sénateurs n’aient voté une modification de notre Constitution, y introduisant le Coran pour tout ou partie, comme dans les 57 pays de l’OCI (organisation de la coopération islamique) ?
2) Euh ! La réflexion de Debat me laisse coîte… Vous affichez des sourates, vraies, pas trafiquées, du Coran… et Debat nous dit que ces affiches disant le Coran seraient islamophobes ! Grandiose ! Où est Molière pour faire des gorges chaudes de ce moderne Tartuffe ? Cachez ce Coran que je ne saurais voir...
Post-Scriptum. Le Maire nous dit que ce serait des affiches détournées… Mince alors ! J’ai sauté sur mon Coran en ligne (je ne veux pas que cette saloperie cotoie mes Voltaire, Molière, Sartre… tous ceux qui m’ont appris à penser et à rester livre.). Et là j’ai retrouvé les mêmes sourates, les mêmes mots… La seule différence est que l’afficheur a précisé pour le chaland moyen ce qu’est un mécréant en islam. Pas de quoi fouetter un chat, c’est juste la réalité.
Où est donc le détournement, monsieur le Maire ? Des réponses simples faites par Mahomet en personne à des questions simples de quelques chalands un peu curieux : « L’islam prône-t-il la paix ? », « L’islam prône-t-il le terrorisme ? » « L’islam prône-t-il la fraternité ? » ! Les musulmans devraient au contraire dire merci à ceux qui ont pris la peine de rappeler à ceux des leurs qui seraient tentés par l’assimilation à la France répubicaine leurs fondamentaux religieux. Qu’ils seraient fondés à abandonner selon moi, mais c’est une autre affaire.
(Merci aux initiateurs des affiches et aux journaleux d’apprendre que, en français, on ne met pas de majuscule aux religions, pas plus à catholicisme ou islam qu’à judaïsme.)
Dites donc, monsieur Debat, vous ne vous paieriez pas notre tête, par hasard ?
Il n’y a nulle affiche détournée. Juste un copié-collé des versets. C’est quoi cette machination ? Ah, oui, je comprends. Bourg-en-Bresse, apparemment, abrite de très nombreux musulmans et le maire a besoin des voix de ces musulmans pour rester en place. Que voulez-vous, pour certains la soupe est bonne, à l’heure où nombre de Maires de petites villes abandonnent devant les contraintes, les obligations, les interdits.. bref tout ce qui est fait par la Macronie pour imposer à tous les Français SES choix, ses priorités.
Mais comme je suis curieuse, je fiche voir la fiche wikipedia de Debat... C’est le petit cadeau de la pochette qui n’est plus vraiment surprise, le gars milite depuis des lustres aux parti Socialiste. Circulez, il n’y a rien à voir. Fermez le ban.
Debat est juste un collabo comme des milliers d’autres. C’est pour cela qu’il cherche une justification ENORME :
« Leur contenu vise de manière explicite à signifier que l’islam serait une religion de haine », indique Jean-François Debat, dans un communiqué accompagnant une plainte déposée simultanément au commissariat de police de Bourg-en-Bresse. « C’est une insulte à l’égard des musulmans de notre ville qui vivent leur religion en paix et n’aspirent qu’à cela. » (…) Source
Bref, pris à son propre piège, le Debat reconnaît que ces versets du Coran font bien du Coran une religion de haine et qu’il était temps que quelques courageux identitaires ouvrent les yeux de pauvres musulmans qui croyaient encore au père Noël à la bonté de Mahomet et de l’islam, le système politico-religieux qui a fait le plus de morts dans le monde. Mais il n’est rien de pire que le dhimmi volontaire…
270 millions selon selon Ibn Warraq.
270 millions de morts selonle chercheur Bill Warner.
Espace détente, poésie, judaïsme et lutte contre la désinformation 