Astra Zeneca change de nom mais tue toujours ! Thrombose mortelle pour une assistante sociale de 38 ans

Astra Zeneca s’appelle donc  maintenant Vaxzevria…

Prêts à tout pour écluser leur poule aux oeufs d’or, dirait-on ! Voilà que Astra Zeneca change de nom… pour tromper le pékin, pour lui faire croire que la cochonnerie qu’il reçoit n’a pas de rapports avec le vaccin responsable de maladies, morts, effets secondaires en pagaille (ce que des médecins complaisants avec le pouvoir lui feront sans doute croire en affirmant que la composition a changé et que ce serait pour cela que le nom du poison aussi).

Naturellement rien n’a changé, sauf la peur du labo de voir ses parts de marché et ses bénéfices fondre comme neige au soleil… 

France Info et BFM cherchent désespérément à justifier l’affaire en nous expliquant à nous, ignares, que c’est normal, qu’un médicament a toujours plusieurs noms… sauf que le nom public Astra Zeneca est celui donné dès le début et qu’on ne change pas en cours de route une dénomination…

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Plusieurs noms pour un même vaccin

Ce nouveau nom ne change rien à la composition du vaccin. « Vaxzevria est composé d’un autre virus (de la famille des adénovirus) qui a été modifié pour contenir le gène permettant de fabriquer une protéine du Sars-CoV-2 », rappelle l’EMA sur son site. Il « ne contient pas le virus lui-même et ne peut pas causer le Covid-19 ».

Comme le souligne BFMTV, un médicament a en général plusieurs noms : un nom chimique utilisé par les chercheurs (ChAdOx1 nCoV-19, du nom de l’adénovirus pour AstraZeneca), un nom générique attribué par l’OMS pour identifier le médicament à l’international et un nom de marque. Le vaccin de Pfizer-BioNTech s’appelle ainsi Comirnaty sous sa forme commerciale. Le personnel qui vaccine doit en être informé pour ne pas commettre d’erreur, précise la chaîne.

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-astrazeneca-change-de-nom-commercial-pour-s-appeler-vaxzevria_4353455.html

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Les effets secondaires, les thromboses, la mort du jeune étudiant nantais, les interdictions de ce vaccin puis à nouveau son autorisation par l’Agence du Médicament, les préconisations qui valsent (interdit aux moins de 65 ans, interdit aux moins de 55 ans…) ne vont pas rassurer le chaland, à mon avis.

Et la dernière en date, une thrombose mortelle à Toulouse… une femme de 38 ans !  Elle était assistante sociale, j’imagine donc qu’elle a fait partie du train des « soignants » à qui l’on a intimé l’ordre de se faire vacciner… Macron assassin ! Véran assassin !

Et les salauds continuent de parler de bénéfices-risques, de parler d’enquête, d’affirmer sans rire que rien ne prouve que la malheureuse serait décédée des suites du vaccin… 

Cette assistante sociale avait été vaccinée juste avant la suspension de l’AstraZeneca mi-mars. Elle ne souffrait pas de problèmes de santé particuliers, selon ces mêmes sources. Les complications sont apparues peu de temps après la vaccination. Elle été hospitalisée au CHU Purpan et plongée dans le coma.

Le 26 mars, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) avait rappelé qu’il existait un risque de thrombose – formation d’un caillot de sang – très rare après l’injection du vaccin AstraZeneca. L’ANSM avait souligné que « le rapport bénéfice/risque du vaccin reste positif, aucun élément n’indique pour l’instant que la vaccination ait provoqué ces troubles. »

Ce cas sera analysé parmi d’autres par l’ANSM et les centres de pharmacovigilance. Il pourra donner lieu à une communication, comme pour d’autres cas, lors d’un point presse hebdomadaire.

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/vaccin-astrazeneca-une-femme-de-38-ans-est-morte-d-une-thrombose-a-toulouse_4353549.html

Christine Tasin

Astra Zeneca change de nom mais tue toujours ! Thrombose mortelle pour une assistante sociale de 38 ans

(Source : Résistance Républicaine)