Français, ne vous laissez pas égorger comme des moutons de l’Aïd par le barbare islamiste !

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Le 16 juin prochain sera la journée de la « fête » du mouton. Ce jour-là, les militants de la cause animale, seront, espérons-le, vigilants pour éviter un massacre des béliers de France et de Navarre mais comme ils sont dans le déni face à l’islam, cette merveilleuse religion d’amour, il est sûr et certain qu’ils se coucheront devant Allah, le Seigneur des cieux et de la Terre. Et la peur les poussera dans les sanctuaires de la tolérance et du vivre-ensemble à reculons avant d’expliquer le bien-être animal aux imams déjà armés de poignards aiguisés prêts à égorger leur mouton de l’Aïd.

Malheur à celui qui voit le mal et qui détourne le regard.

Pour les adeptes du sacrifice du mouton en l’honneur d’Allah, il est hors de question de badiner avec la sunna. Ils ne voudront pas pour tout l’or du monde renoncer à leurs futures épouses éternelles, ces fameuses soixante-douze houris du paradis, même sous la contrainte du glaive.

Et pour se soumettre à cette obligation islamique, les gauchos et les progressistes de France et de Navarre scanderont : nous sommes la France créolisée. Car ils savent par avance que les oulémas et leurs suiveurs n’accepteront pas de céder leur place au Ferdous pour une idée farfelue, ce fameux bien-être animal, qu’ils tentent de leur imposer, eux  les maudits mécréants, les ennemis d’Allah.

Priver les musulmans des délices du paradis, c’est les obliger à nier l’existence d’Allah et de son prophète Mohamed Ibn Abdallah. C’est de l’hérésie !

C’est haram et c’est contraire à la charia.

Blablater sur le bien-être  animal en présence des oulémas, c’est comme  se masturber l’esprit.

Allah et Mohammed sont les seuls maîtres ici-bas et dans l’au-delà, scandent les mahométans.

La dhimmitude de certains Français est tellement ancrée dans leur esprit qu’ils sont incapables de se rendre compte qu’ils sont en train de préparer le purgatoire sur terre à  leurs rejetons en acceptant les bras ballants la fête du mouton.

Il faut savoir que l’Aïd Al-Adha (ou Aïd El-Kébir) a été plagié auprès des Hébreux. Il a pour origine l’holocauste qui était un sacrifice religieux afin de satisfaire le dieu Yahvé.
Selon le récit biblique, ce sacrifice pouvait être un animal mâle et parfois même un être humain, entièrement consumé par le feu de l’holocauste.
La marque déposée du sacrifice n’appartient pas à l’islam des Abbassides.
L’Aïd AL-Adha appelé  couramment la fête du mouton fait référence au prophète Abraham (ou Abram) le premier musulman sur terre  selon le tradition islamique.

Il est écrit dans la Genèse que Dieu avait demandé à Abraham de sacrifier à l’holocauste sur le mont Moriah (Mont de Salomon) son fils Isaac qu’il avait eu avec Sarah sa première épouse. Au moment où Abraham était sur le point de sacrifier Isaac, Dieu fit venir un bélier pour être immolé à la place de ce dernier. Et ce bélier fut sacrifié pour l’holocauste. Depuis lors, l’animal est devenu le symbole du sacrifice de  cette tradition abrahamique.

Dans le récit islamique, ce n’est pas Isaac dont il est question mais Ismaël qu’Abraham avait eu avec Agar, sa servante égyptienne.

L’islam avait fait un vrai hold-up sur la légende biblique pour endoctriner les masses musulmanes et ceci depuis le VIIIe siècle.

Pour les musulmans, l’Aïd El-Kébir commémore la force de la foi d’Abraham à son Dieu, symbolisée par l’épisode où il avait accepté de sacrifier son fils Ismaël. Le Coran ne précise pas s’il s’agit d’Isaac ou d’Ismaël.
Dans la tradition biblique, cet épisode est appelé ligature d’Isaac.

Après qu’Abraham se soit soumis  à l’ordre divin pour égorger son fils Ismaël, Dieu envoya l’archange Gabriel (Jibrīl) substituer l’enfant et  le remplacer par  un bélier comme offrande sacrificielle. En souvenir à cette soumission d’Abraham à son Dieu, les familles musulmanes immolent, chaque année, le jour de l’Aïd-El-Kébir, un animal (le mouton de six mois, la chèvre de deux ans, le bovin de trois ans ou le chameau de cinq ans d’existence) selon les règles en vigueur établies par les oulémas.

Mahomet a dit : « Certes Allah a prescrit l’excellence dans toute chose. Ainsi lorsque vous tuez, tuez de manière parfaite et si vous égorgez, égorgez de manière parfaite. Que l’un de vous aiguise son couteau et qu’il apaise la bête qu’il égorge » hadith rapporté par sahih Muslim.
Ce  hadith authentique autorise  les pratiques barbares de l’Aïd Al-Adha et du djihad.
Le sacrifice de l’animal se déroule à la fin du pèlerinage à la Mecque. C’est une tradition (sunna) qui n’est pas obligatoire. Elle ne fait pas partie des cinq piliers de l’islam.
Il est écrit dans la sourate 37, verset 102 :
« « Ô mon fils, je vois en rêve que je t’égorge. Qu’en penses-tu ? »
« Père, répondit le fils, fais ce qui t’est ordonné. Tu me trouveras, si Dieu veut, parmi ceux qui supportent [l’épreuve] ».
Dans le verset ci-dessus, les rédacteurs du coran avaient brouillé les pistes en occultant le prénom de l’enfant à sacrifier

Le but recherché est que La Mecque remplace Jérusalem comme premier lieu saint de l’islam.

L’islam, né au milieu du VIIe siècle en Asie Centrale, est venu pour enterrer les religions qui lui étaient antérieures afin de garder uniquement les récits bibliques et  maintenir aussi la filiation abrahamique.

C’est une escroquerie historique qui est devenue vérité pour les musulmans.
En un mot, l’islam avait commis un parricide, en déclarant que le judaïsme et le christianisme étaient caduques, parce qu’ils avaient été falsifiés.
Abraham est décrit comme ‘l’ami intime de Dieu’, « Khalîl Allah » dans le coran. Il était un Hanif, un monothéiste, ni Juif, ni chrétien (sourate 3 versets 67 et 68).
L’Aïd Al-Adha fait partie du djihad au même titre que les mosquées, le halal, l’abaya, le ramadan, le voile, le kamis qui s’affichent en toute légalité sur l’espace public français avec la complicité des tenants du pouvoir, de droite ou de gauche.

La France est en train de subir une guerre de conquête  islamique, dans l’indifférence la plus totale de l’oligarchie politico-médiatique qui, de plus, lui déroule le tapis rouge.

Cette conquête est aussi facilitée par l’islamo-gauchisme et le wokisme qui lui ont ouvert les portes de la cité au grand mépris des Français qui ont baissé la garde.

La lâcheté, la trahison et la compromission font le reste.
Lors de la prochaine journée du 16 juin 2024, à la fin de la grande prière de l’Aïd Al-Adha, tous les musulmans du monde se tourneront vers la Mecque pour égorger leur mouton, leur chameau, leur bœuf ou leur bouc. Et le sang coulera à flot alors pour satisfaire Allah et son Apôtre.

Selon la tradition de la sunna, cette coutume d’immolation du mouton, Mahomet l’avait intégrée à sa religion de la soumission et de la razzia, après l’hégire 622, date du calendrier musulman (lunaire), une fois installé à Médine (Yathrib) et au contact des Juifs qui pratiquaient déjà le sacrifie des bêtes comme le recommande la Thora, en se tournant vers le Temple de Jérusalem.
Il puisa sans vergogne dans les rites religieux israélites pour consolider sa foi. C’est ainsi que le jeûne, l’aumône, la prière, la circoncision et les ablutions furent intégrés à l’islam qui s’enrichit aussi d’autres rites chrétiens, mazdéens (zoroastriens) et sabéens (mandéens).

L’Aïd Al-Adha revêt une place importante pour les musulmans. Il se déroule le jour de la station de Arafat( waqfat Arafat) à la Mecque et qui marque la fin du hadj.

Le mont Arafat signifie en arabe la connaissance et est appelé aussi la montagne de la lumière.
D’après la tradition islamique, c’est au pied du mont Arafat qu’Adam et Ève s’étaient retrouvés  après leur expulsion du Paradis par Allah, le Miséricordieux.
Dans le coran, il est écrit sourate 22 versets 33 et 34 :
« De ces bêtes-là, vous tirez des avantages jusqu’à un terme fixé ; puis son lieu d’immolation est auprès de l’Antique Maison. »

Le coran parle-t-il de la Mecque ou de Jérusalem ?
« À chaque communauté, Nous avons assigné un rite sacrificiel, afin qu’ils prononcent le nom d’Allah sur la bête de cheptel qu’Il leur a attribué. Votre Dieu est certes un dieu Unique. Soumettez-vous donc à Lui. Et fais bonne annonce à ceux qui s’humilient. »
Et dans la sourate 108, verset 2 : « Accomplis la Salat (prière) pour ton Seigneur et sacrifie. »
En vérité, les rédacteurs du coran avaient détourné ce rite sacrificiel que pratiquaient les Juifs au  profit des Abbassides pour structurer la nouvelle religion et la différencier ainsi du Christianisme et du Judaïsme.

Les exégètes de l’islam ont  plagié les textes juifs (les Talmuds de Babylone et de Jérusalem)  pour faire du  hadj (pèlerinage) le cinquième pilier de la nouvelle religion abbasside.

Jérusalem fut reléguée au troisième rang des lieux saints de l’islam (La Mecque et Médine), alors qu’elle fut la première direction (quibla) de la prière des premiers musulmans.
Selon la tradition islamique, il y a la Mecque terrestre qui est le centre du monde et la Mecque Céleste, située à quelques encablures du Trône d’Allah.
Il faut savoir que le hadj (le pèlerinage à la Mecque) existait depuis le quatrième siècle après J.C. selon plusieurs sources arabes. Le mot hadj dériverait du mot arabe haqua qui signifie se frotter à la pierre noire. En effet, cette pratique était connue des Arabes de la Syrie et de l’Irak actuels avant l’avènement de l’islam.

Depuis lors, l’Aïd Al Adha est considéré comme une grande fête religieuse de rapprochement et de soumission à Allah. Et avec le temps, les musulmans ont fait de cette fête une arme de guerre au service de l’islam pour marquer leur territoire. C’est pour cette raison que l’on observe actuellement en France une ferveur bigote qui pousse les adeptes du Dieu de la Mecque à exiger des espaces d’abattement rituel, non conformes aux normes sanitaires. Et certains élus à la recherche de voix pour assurer leur réélection ne se gênent nullement pour leur accorder des facilités au nom de la laïcité, en contradiction avec les lois de la République.

Avec les élections anticipées des législatives du 30 juin et du 7 juillet 2024, il est à parier que des aménagements, qui ne tiendront pas compte des mesures sanitaires, seront accordées aux mahométans pour le sacrifice du mouton dans le but d’acheter leur vote.

De concession en concession et de dérobade en dérobade, les pouvoirs publics ont laissé se développer le communautarisme musulman qui n’est qu’à ses débuts. Et bientôt grâce à la charité bien calibrée de la bien-pensance, la charia fera force de loi dans les quartiers fortement islamisés de France et de Navarre. Au même titre que le halal, le ramadan, les accoutrements (voile, burqa, kamis, barbes), l’Aïd-Al-Adha est un vecteur mobilisateur de l’islamisation de la France.

Cette fête du sacrifice est un djihad à bas bruit qui poursuit une stratégie globale de conquête du monde voulu par Allah et son prophète et dont la secte des frères musulmans fait la promotion.

Les Français ne doivent pas oublier que dans n’importe quelle contrée du monde où une mosquée voit le jour, celle-ci devient de facto une terre islamique et de djihad.

Avec cette fête du sacrifice, la France est en train de s’islamiser plus vite que ne le pensent la majeure partie des Français qui ont oublié qui ils sont et d’où ils viennent.

Lorsqu’on n’a pas de mémoire, on devient incapable de relever le défi auquel on est confronté.

Alors, Français, ne vous laissez pas  égorger comme le mouton de l’Aïd.

Hamdane Ammar

Source : RIPOSTE LAIQUE – Français, ne vous laissez pas égorger comme des moutons de l’Aïd

Une réponse à “Français, ne vous laissez pas égorger comme des moutons de l’Aïd par le barbare islamiste !

  1. Notez la curieuse absence et silence de L214!

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