Le coup de la carte électorale de Jean-Michel : erreur fatale de l’avocat de Brigitte !

Cette histoire à dormir debout de la carte d’électeur peut faire tomber le procès, maître Enocchi et ses clients (qui ne font qu’un ?) ont commis une erreur analogue au coup de l’université d’Alger et Amstrong sur la Lune en 1969.

D’abord il faut une carte d’identité pour voter, si elle existe donc, pourquoi ne pas l’avoir photocopiée et mise dans les pièces, ce qui permet ensuite d’en vérifier l’authenticité avec les numéros et dispositifs de sécurité difficiles à falsifier ?

Quand Jean-Michel était Jean-Michel (avant 1984) s’est-il inscrit sur la liste électorale ? Il y a une boîte à son nom au 14 rue des Vergeaux ?

Si c’est le cas il reçoit sa carte d’électeur lors des renouvellements (ce qui est le cas pour moi ; pour cette élection européenne j’avais une carte neuve, est-ce le cas à Amiens ?) même s’il n’est jamais allé voter. Les électeurs sont radiés à leur demande, sur décision de justice, ou en cas de décès.

L’avocat de l’individu connu sous le nom de Brigitte Macron a exhibé une carte d’électeur de Jean-Michel TROGNEUX “tamponnée” “à l’occasion des derniers scrutins” (au pluriel). Il y aurait donc plusieurs tampons à date dont celle du 9 juin. Or, personnellement, ma carte d’électeur a été renouvelée et ne comporte qu’un seul tampon, celui des européennes.

De plus il s’agit de simples tampons à date du commerce qu’on trouve dans les papeteries, une falsification est aisée (apposer un tampon sans être allé voter).

Il me paraît difficile de falsifier une carte d’électeur actuelle (QR code, code-barres, numéro national d’électeur).

Il faut donc vérifier sur la liste électorale si Jean-Michel TROGNEUX est bien inscrit à son bureau de vote qui est le suivant :

AMIENS-6 Bureau de vote n° 3 Madeleine Michelis  —  Lycée rue Vincent Auriol

Concerne Rue des Vergeaux (côté pair) (il “habite” au 14)

La préfecture et la mairie sont dans l’obligation de communiquer la liste électorale sur simple demande d’un citoyen qui fournit une copie de sa carte d’électeur, de sa carte d’identité et s’engage à ne pas utiliser les données à titre commercial.

Lors du futur vote du 30 juin, tout citoyen, mais aussi un délégué de parti peut demande à consulter le registre au bureau de vote pour voir si la case d’émargement de Jean-Michel TROGNEUX est signée et avec quelle signature (en cas de procuration).

Cueillir l’individu ou pas le 30 juin ne va pas manquer de sel.

Problème : les présidents de bureaux de vote sont en général des élus et les assesseurs des citoyens du quartier, si l’individu Jean-Michel TROGNEUX, compte tenu de sa notoriété, passe au bureau, tout ce monde s’en souvient. Un électeur amiénois ou un “brigitologue” distingué peut poser la question au bureau.

Pour le vote passé du 9 juin, il faut demander une copie de la feuille concernée du registre du bureau au maire ou à la préfecture (?) qui collecte les originaux (maître Danglehant est habilité à le faire). Comme les votes sont additionnés page par page, ils peuvent truander des copies, sauf que les originaux et les décomptes sont à la préfecture et signés par le président du bureau, les assesseurs et les scrutateurs dont les noms sont relevés. Il est facile de recompter. Apposer une signature a posteriori, après la clôture des opérations est possible mais très risqué si quelqu’un se met à fouiller au bon endroit.

Quelles sont les hypothèses (pour éviter un procès !) ? : soit Jean-Michel TROGNEUX ne figure pas sur la liste électorale, soit il n’est pas venu voter et a falsifié sa carte, soit une personne s’est présentée avec une procuration (ces documents sensibles sont archivés). Il est intéressant de savoir qui, la ravissante Tiphaine par exemple ?

S’il y a une anomalie, les carottes sont cuites pour l’individu qui se fait appeler Brigitte MACRON.

Colonel Napoléon de Guerlasse

Source : RIPOSTE LAÏQUE – Le coup de la carte électorale de Jean-Michel : erreur fatale de l’avocat de Brigitte !

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