Ceux qui ont pris de force le pouvoir ne l’ont pas fait pour nous gouverner, mais pour nous détruire : Blancs sommés de disparaître… Des signaux inquiétants avec Pap Ndiaye ou l’apartheid dans les marches de la honte LGBT !

Les destructeurs rêvent de faire voler en éclat l’universalisme républicain. Dans cette logique, le Blanc est appelé à devenir inférieur.

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Lyon. La marche des LGBT sera organisée en cortèges «non-mixité», les “queers racisés” seront en tête.

Le débat est relancé : la Marche des Fiertés de Lyon, qui se tiendra cette année le 11 juin, aura lieu en «non-mixité».

En clair : les Blancs seront parqués à l’arrière !

Une décision qui fait l’objet de débats au sein même de la communauté LGBT. «C’est ainsi que progressent la compréhension mutuelle et la solidarité ? Cette atomisation du collectif me navre et m’angoisse»écrit un internaute sur la page Facebook de l’événement. «L’esprit festif de celle-ci n’est plus du tout le même que j-ai connu il y a quelques années, c’est bien triste…», ajoute un autre. «Les racisé·es devant, les blancs derrière» voilà comment j’ai été accueilli l’année dernière. J’ai été parfaitement choqué, car ce slogan était tout simplement raciste. Les associations LGBT sont aux mains des racistes», regrette un internaute sur Twitter. «Avec mon copain on ira avec les blancs. Je ne défile pas avec des racistes et je les hais ces racialistes».

Le Figaro

Pourquoi s’attarder sur cet événement tout à fait marginal ? Certes, la marche LGBT de Lyon ne changera pas le cours des planètes mais ce détail révèle un mal profond qui est en train de saper notre modèle de société.

Infiltrés partout, les racialistes s’activent à faire voler en éclat l’universalisme républicain.

On pense évidemment à la scandaleuse nomination de Pap Ndiaye, militant de la race, comme ministre de l’éducation de notre jeunesse.

Voyons dans ses écrits quel est son combat et en quoi nous devrions nous inquiéter sérieusement.

Pap Ndiaye s’en prend à la France et remet en question le modèle républicain, militant dans ses écrits pour importer le débat américain : 

« Il existe bien un racisme structurel [blanc] en France » Le Monde

Danger ! Pap Ndiaye veut mettre la notion de « race » dans le débat…comme aux Etats-Unis !

Extraits, https://noiriel.wordpress.com/ Blog de  Gérard Noiriel, auteur qui a lu et analysé l’ouvrage de Pap Ndiaye :

La condition noire (Calmann-Levy, 2008) qui est centré sur l’histoire des Noirs de France depuis le XVIIIe siècle.

Pap Ndiaye (,,,) milite pour que la « race » devienne en France aussi une catégorie d’action publique.

Il va de soi, ajoute aussitôt Pap Ndiaye, que les « races » ne peuvent pas être définies par des critères biologiques comme le prétendaient les anthropologues racistes. Selon lui, les « races » n’existent que dans les « imaginaires ». Il s’agit d’« une construction sociale », ce qui explique que, dans son livre, le terme soit toujours mis entre guillemets.

Pour ce qui concerne les Noirs de France, qui font l’objet de son étude, cet imaginaire est un héritage de l’histoire coloniale, construit principalement à partir des « marqueurs historiques » que sont les critères physiques (la couleur de peau, mais aussi la chevelure, la physionomie, etc).

Pour Pap Ndiaye, le terme « race » est synonyme de « minorité » ou même de « groupe social ». Il dit en effet : « il existe ainsi une minorité noire » définie par « le critère de l’expérience sociale partagée selon le marqueur socialement négatif de la peau noire ». Plus loin, il définit la minorité noire comme « le groupe de personnes considérées comme noires et unies par cette expérience même » (p. 65).

La partie sociologique de son étude s’appuie sur un sondage réalisé par la Sofres à la demande du CRAN (Conseil Représentatif des Associations Noires) et sur quelques dizaines d’entretiens qu’il a lui-même réalisés auprès de personnes qu’il a sélectionnées comme faisant partie de la « communauté noire » de France.

Pap Ndiaye admet que plus la classe sociale est élevée, moins l’apparence noire compte. Ce qui ne l’empêche pas de conclure que « l’expérience partagée des discriminations est une fondation suffisante pour délimiter le groupe ». Il existe donc un critère universel, qui définit la population noire comme une « race » : c’est la stigmatisation de son apparence physique qui engendre une expérience commune des discriminations.

Au terme d’un raisonnement qui aboutit à démontrer qu’en ce qui concerne les « Noirs » en tout cas, la « race » existe, Pap Ndiaye en vient logiquement à se demander pourquoi les Français ont eu tendance jusqu’ici à occulter cette réalité ? La réponse tient dans ce qu’il appelle « le modèle républicain » que les Français auraient intériorisé. C’est la critique centrale qu’il adresse aux universitaires français.

Une fois de plus, le modèle américain sert ici de référence pour déplorer un « retard » de la recherche française. 

https://noiriel.wordpress.com/ Blog de  Gérard Noiriel 

Pap Ndiaye  reprend à son compte les thèmes d’Outre-Atlantique pour les plaquer sur la France.

Revenons sur les revendications des Noirs aux USA pour comprendre ce qu’il y a dans la tête des destructeurs racialistes.

  • Les gens ne veulent pas l’égalité, ils veulent être les supérieurs !
  • Dans cette logique raciste qui se met en place contre le Blanc, le Blanc est appelé à devenir inférieur.

On leur proposait l’égalité et l’intégration, ils n’en voulaient pas, disant en substance, « Votre égalité, nous n’en voulons pas, nous voulons beaucoup plus ».

Dans ce texte de 1968, TOUT est dit :

Car l’intégration n’est pas seulement repoussée parce qu’impossible à réaliser mais parce qu’elle est peu souhaitable et néfaste pour les Noirs eux-mêmes. C’est tout le système qu’il faut condamner car le racisme maintiendra toujours cette infériorité du Noir dans la société, simplement parce qu’il est Noir.

Que propose l’intégration ? Assimiler le Noir. L’égalité raciale nie l’originalité du Noir et ne lui propose en fait que l’idéal, le mode de vie et l’avenir de la société des Blancs.

Elle ne tient aucun compte de la culture. de la spécificité de la race à laquelle les Noirs tiennent plus que tout.

« On ne nous a jamais demandé ce que nous voulions » écrit Dan Watts.

« L’égalité. c’est accepter les lois des Blancs » : or une liberté octroyée à regret par les Blancs qui n’ont rien d’autre à proposer que leur liberté. Les Noirs n’en veulent plus.

L‘aube de la révolution noire. Revue Combat, 8 avril 1968, P 7.

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bd6t5325411/f8.item.zoom

Jules Ferry

Les Blancs sommés de disparaître ? Des signaux inquiétants avec Pap Ndiaye ou l’apartheid dans les marches LGBT

(Source : Résistance Républicaine)

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