Intervention de Macron : Hayer va payer cher la triche présidentielle

Pas très fair-play, M’sieur Macron ; vous n’avez rien à faire en campagne européenne… sinon souligner encore plus la vacuité de la « représentante » de votre clan… encore une mauvaise pioche, c’est ballot !

Macron s’impose scandaleusement à 72 heures du scrutin ! Serait-ce pour mieux terroriser les naïfs ?

Le ridicule Tartarin prétendu président de la France, a décidé, dans le melon enfiévré qui lui sert de tête, que la seule issue qui lui restait pour limiter la casse du choix désespérant pour représenter « sa secte de malfaisants » aux élections européennes, et de la navrante campagne qui s’est ensuivie… c’était d’intervenir « en personne » sur les ondes ce jeudi 6 juin, histoire de noyer le poisson (quel que soit le sujet !) comme à son habitude…

Mais surtout de terroriser les citoyens qui ont encore quelque respect pour lui et ses  œuvres (c’est-à- dire de moins en moinsquand même !)… avec l’épouvantail qu’il ne cesse d’agiter, totalement inconscient des conséquences : la colère de l’Ours russe… qu’il a lui-même induite en cumulant mensonges et simagrées ridicules depuis de longs mois.

La manœuvre consistant à envoyer ses caniches Darmanin et Attal télescoper les interventions de son soldat Valérie Hayer qui, selon les moqueries à peine voilées (sans jeu de mots) était manifestement en train de couler… a fait long feu et s’est terminée en un véritable pétard mouillé.

Du coup, un nouveau numéro de claquettes (usé jusqu’à la corde) du Jupiter de carton-pâte qui squatte l’Élysée depuis trop longtemps, à savoir une nouvelle et innocente « causerie au coin du feu »… lui a semblé indispensable pour secourir le « navire amiral » qui semble prendre l’eau de toutes parts…

Yesssssss !

« Donc jeudi vendredi samedi, ce sera « Fidel Macron » sur toutes les chaînes pour commémorer et s’exprimer sans contradicteur à 20 heures, bref pour faire campagne à un moment où plus personne ne pourra lui répondre », a par exemple twitté le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure

Opposants de droite comme de gauche réclament le décompte du temps de parole présidentiel du temps de campagne de Valérie Hayer. 

Sébastien Chenu, député RN et vice-président de l’Assemblée nationale, se fait carrément un gala sur Public Sénat : « On voit le Président qui s’impose pour sauver à tout prix le soldat Hayer qui coule, qui coule, qui coule » ironise-t-il.

Josiane Filio

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