Pour garder son hégémonie, l’Amérique montre son visage le plus odieux, celui d’un état terroriste. Il m’est pénible de désigner « l’Amérique » car je n’ai rien contre le peuple américain laissé dans l’ignorance méprisante de Washington. C’est DC et son deep state que je montre du doigt.
Sébastopol, dimanche 23 juin 2024, une plage paisible sous un soleil ardent. Les baigneurs évoluent dans une eau bleu azur. Les enfants turbulents piaillent comme des oiseaux insouciants. C’est jour de fête orthodoxe, raison pour laquelle tant de monde évolue sur la plage. Une bombe à fragmentation, ou sous-munitions vient d’atteindre la ville. Des hurlements de terreur montent vers les cieux salis par un épais nuage provoqué par l’explosion. Une centaine de blessés 5 morts dont 2 enfants. Une bombe à fragmentation « Made in USA ».
L’escalade US continue, afin de provoquer la Russie. Les « élites » de Washington ne peuvent supporter la débâcle en Ukraine. Pas question de perdre la face. Elles-y ont tant investi, en Ukraine. La presque totalité des terres cultivables a été vendue par Zelensky à BlackRock. Pourtant, ces « élites » restent persuadées que Vladimir Poutine bluffe avec ses représailles en formes de menaces nucléaires. Elles ne comprennent pas la Russie, ni les Russes, ou refusent de comprendre.
Comme leur nature, à ces « élites », est de mentir constamment, elles restent convaincues que tout ce que peut avancer Moscou est mensonge. Une attitude risquée, dangereuse. Peu importe, on continue en donnant son aval au régime ukrainien pour frapper des civils à l’intérieurs de la Russie. C’est ce qui s’est passé dimanche en Crimée sur la ville de Sébastopol. Ce n’est pas une offensive de guerre, mais du terrorisme pur affirment horrifiés, tous les analystes de références anglo-américains.
Particulièrement remonté par l’attitude de Washington, Scott Ritter éructe, surtout sur le fait que les médias de son pays dissimulent ces actes à la population américaine. Le professeur Jeffrey Sachs, tout aussi emporté contre ces « élites » washingtoniennes qui sont dans le mensonge perpétuel, dont elles imposent le narratif au reste de l’occident collectif dégénéré, qui gobe tout, ou feint de tout gober, en parfaite soumission à l’encore hégémon US.
Tous ces analystes de haut niveau, absolument fiables, se revendiquent patriotes, tout en s’opposant ouvertement à leur administration décadente, dont ils estiment qu’elle se rend détestable aux yeux du monde. Tous qualifient Washington d’état devenu terroriste. C’est ainsi que finissent les empires en déclin, ils passent au terrorisme. Les Russes n’ont plus aucune confiance dans la parole US, encore moins dans celle des Européens. Après les promesses de James Baker, à la suite de la chute du communisme, qui lançait que jamais l’OTAN n’approcherait les frontières de la Russie, la mascarade des accords de Minsk, on peut les comprendre.
Le Prof. Jeffrey Sachs, qui partage sa joie sur la libération de Julian Assange, le lanceur d’alertes, qui montrait au monde la duplicité des administrations US, continue, hors de lui, accusant la politique étrangère américaine, de ne fonctionner que sur la base de mensonges, de dissimulations non-stop, que Julian Assange a aidé à exposer au monde.
Par exemple, quand Wikileaks, en 2008 a révélé un memo de l’actuel patron de la CIA, William Burns, qui prouvait les agissements de Biden, qui alors poussait à la progression de l’OTAN vers la Russie. Sachs souligne que, jamais le peuple américain n’aurait été informé, si Julian Assange n’avait pas exposé ouvertement ce memo.
Il s’agissait du fameux memo intitulé : « Niet means Niet ». « Personne n’aurait su comment ces gens nous conduisaient et nous conduisent toujours vers la guerre en toute conscience » tonne Sachs, estimant que William Burns n’est pas à sa place en tant que patron de la CIA, mais devrait être Secrétaire d’État, connaissant la réalité de la situation. « Nous sommes dirigés par un petit nombre de gens pas très intelligents, qui nous mentent et nous mènent vers la troisième guerre mondiale. Le fait est que, les États-Unis d’Amérique sont en guerre directe avec la Russie, honte sur nous ».
Je n’oublie pas l’attentat sur le NordStream2, qui est en train de mettre l’Allemagne économiquement à genoux, sans que Scholz ne bronche. Heureusement qu’il est en train de la payer en ce moment en politique électorale.
Je suis effarée quand l’Europe, l’Allemagne et la France en particulier, dont les administrations savent bien tout ce qui se trame à Washington, gardent leur attitude de soumission inconditionnelle. La Grande Bretagne, sortie de l’UE, autre puissance nucléaire à nos côtés, est désespérément alignée sur les États Unis d’Amérique, tout en ruminant sa haine viscérale contre la Russie.
Une lueur d’espoir nous vient, nous faisant entendre qu’enfin, l’administration US commence à comprendre la gravité de la situation. Il n’y avait plus aucun contact entre Washington et Moscou, c’est bien ce qui rendait la situation dangereuse et peut-être irrémédiable. SPUTNIK avance ce matin, que Lloyd Austin, ministre de la Défense US, aurait pris l’initiative de téléphoner au nouveau ministre de la Défense russe, Monsieur Andrei Belousov, pour évoquer l’Ukraine. Le contenu de la conversation soumis à notre connaissance et que jamais les Américains n’enverront des troupes en Ukraine …
La France doit refuser être plus longtemps associée à l’état terroriste qu’est l’Amérique, pour se rapprocher de la Russie, toute honte bue de l’attitude contre-productive de ses différentes administrations depuis Sarkozy. La Russie est des nôtres, la Russie est Européenne, je ne cesserai jamais de le souligner.
Conclusion
Les pires ennemis de l’occident collectif dégénéré sont bien les USA et l’islam. L’empire entretient son hégémonie par la guerre, comme l’islam conquérant exerce sa terreur pour soumettre à son hégémonie les kouffars de ce même occident collectif dégénéré. Eux, appellent çà la OUMMA.
Sylvia Bourdon
Source : RESISTANCE REPUBLICAINE – Les USA, un empire en déclin devenu terroriste : Assange en était le révélateur
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