L’Iran veut attaquer Israël par le Golan

iran20a_414_276L’Iran peut certes faire de gros dégâts en Israël et faire de nombreuses victimes, mais ce qu’il ne sait pas, c’est que le peuple de l’Etat hébreu est sous Très Haute Protection, celle du Ciel ! Alors quelle que soit la haine que les ayatollah portent à ce pays, ils ne pourront jamais détruire ce peuple ! louyehi ___________________________________________________________

L’objectif de l’Iran est d’attaquer Israël

Le ministre israélien de la Défense Moshé Yaalon a assisté à un exercice de la brigade d’infanterie Kfir sur le plateau du Golan.

Lors de sa visite le ministre a indiqué que le régime iranien tente régulièrement d’ouvrir un nou veau front contre Israël depuis la partie syrienne du Golan.

Il a pointé du doigt l’organisation terroriste libanaise du Hezbollah, bras armé de Téhéran le long des frontières nord d’Israël ainsi que d’autres mouvement affiliés. M. Yaalon a souligné que grâce à Tsahal ces tentatives ont pour le moment échoué mais a averti qu’elles se poursuivront à l’avenir car il s’agit d’un objectif stratégique de l’Iran.

Sur les ondes de Galei Tsahal, le ministre de la Défense Moshé (Boguy) Yaalon a con firmé que l’Iran et le Hezbollah sont de plus en plus actifs sur le versant syrien du Golan afin d’ouvrir un véritable front contre Israël le long de cette frontière qui était relativement calme depuis plus de quarante ans. Il a qualifié cette opération de « hautement stratégique » pour Israël.

L’Iran fournit des missiles de pointe au Hezbollah

Un colonel du système de défense antimissile affirme mercredi que l’Iran fait passer en contrebande des missiles d’une extrême précision en vue de frapper Israël.

Cette source haut placée au sein de la sécurité israélienne a révélé que l’Iran faisait de la contrebande de roquettes de type avancé en faveur du Hezbollah au Liban, menaçant directement l’Etat juif depuis sa frontière nord…

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(Source : JForum)

Guerre entre barbares – Yarmouk : guerre de clans Hamas-Daesh à 8 kms de Damas

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L’Etat Islamique s’empare du camp de réfugiés palestiniens de Yarmouk, dans les faubourgs de Damas (8 kms du centre)

Les Jihadistes Islamistes radicaux de Daesh combattent Aknaf Beit al-Maqdis, une faction palestinienne appartenant au Hamas, pour le contrôle de Yarmouk, le camp de réfugiés qui se trouve dans les faubourgs Sud de la capitale syrienne, menaçant ainsi directement le pouvoir d’Assad. 

Les Jihadistes de l’Etat Islamique se sont emparés de vastes quartiers du camp de réfugiés de Damas, mercredi, et combattent les dernières poches de résistance d’un groupe palestinien à l’intérieur même du camp.

C’est l’incursion la plus profonde réalisée à ce jour par les Jihadistes de Daesh à l’intérieur même de couronne de la capitale syrienne. S’ils prennent définitivement le contrôle de Yarmouk, ils peuvent menacer directement le siège du pouvoir du Président Bachar Al-Assad.

« Les combattants de l’Etat Islamique ont lancé un assaut, ce matin (mercredi) sur Yarmouk et se sont emparés de la majeure partie du camp » a déclaré Anwar Abdel Hadi, directeur des affaires politiques de l’Organisation de Libération de la Palestine à Damas.

Jabhat al-Nusra fighters in Yarmouk (Photo: AFP/Archive)
Des combattants du Jabhat al-Nusra à Yarmouk (Photo: AFP/Archive)

 

Au deuxième jour des affrontements, les Palestiniens auraient repoussé l’attaque à Yarmouk. 

Les Jihadistes de Daesh ont déferlé dans le camp palestinien à la suite de l’arrestation d’un de ses membres pour l’assassinat d’un responsable du Hamas. 

BEYROUTH : Des combattants palestiniens ont fait reculer l’offensive de l’Etat Islamique dans le camp de Yarmouk, qui se serait déclenchée  à la suite de l’arrestation de certains de ces membres pour l’assassinat d’un responsable du Hamas, dans le camp de réfugiés palestiniens en état de siège.

L’Observatoire syrien des Droits de l’Homme a déclaré, jeudi que le groupe appartenant au Hamas, l’Aknaf Beit al-Maqdis,soutenu par d’autres rebelles islamistes soit, était parvenu à reprendre la plupart des zones concédées la veille à l’Etat Islamique, soit « certaines parties de ce camp’ », selon des rapports conflictuels.

« Les affrontements entre l’Etat Islamique et l’Aknaf Beit al-Maqdis, dans le camp de Yarmouk, se sdont poursuivis jusqu’après minuit, mercredi », selon le groupe d’observation, au lendemain de la prise du camp ar Daesh, qui se trouve encerclé par le régime depuis la fin 2012.

Selon un membre de l’observatoire, Rami Abel Rahman, « D’autres groupes rebelles syriens sont venus à la rescousse des bandes armées palestiniennes pour repousser l’Etat Islamique, au prix d’affrontements féroces ».

Un responsable de l’OLP à Damas,  Anwar Abdel Hadi, prétend, quant à lui, que l’Etat Islamique aurait été repoussé à la périphérie du camp.  =

Qasion news, un site proche de l’opposition,  rapporte que les heurts se poursuivent, cejeudi, dans les faubourgs du Sud de Yarmouk, à) la suite du retrait de Daesh au milieu de la nuit.

Aknaf Beit al-Maqdis aurait alors repris sa progression et des zones conquises par l’Etat Islamique, la veille, avec l’aide de formations militaires de Beit Sahm et Babila. Ces formations auraient été alertées et ramenées par aysh al-Islam et Sham al-Rasul, selon cette agence de presse. ..

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(Source : JForum)

La « Palestine » divisée n’est plus une priorité / Quelle sera la riposte d’Israël à l’adhésion de l’Autorité Palestinienne à la Cour Pénale Internationale ?

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En parti cipantà la 26e session du sommet de la ligue arabe, samedi et dimanche à Charm Echeikh, en Égypte, la direction palestinienne savait que la cause palestinienne ne représentait plus la première priorité pour le monde Arabe.

Cette Palestine divisée, qui s’entretue, n’est plus une priorité pour les leaders Arabes en conflit eux aussi.

Les problèmes au YEMEN, la formation d’une force Arabe commune, la guerre civile en Syrie et en Libye, représentaient autant de points qui suscitaient l’intérêt des dirigeants Arabes. Malgré tout, cela, le président palestinien qui s’est rangé aux côtés de l’Arabie Saoudite et sa campagne militaire contre les Houthis au Yemen, a réussi à arracher de ce sommet, des positions assez importantes en faveur de la cause palestinienne. En premier le soutien par les états Arabes du budget de l’état palestinien, dont la dépendance de sommes contrôles par l’état hébreu a fait un point faible et un moyen de pression contre les Palestiniens.

En effet, le gel par le gouvernement israélien des montants des taxes prélèves sur les marchandises palestiniennes depuis le mois de janvier a crée beaucoup de difficultés financières et économiques dans les territoires palestiniens. Cet ar gentcollecté pour le bénéfice de l’autorité palestinienne, près de 120 millions de dollars américains mensuels, sur les marchandises destinées aux marchés palestiniens transitant par les ports et les aéroports israéliens représente une grande partie du budget.

Son gel a empêché le versement de la totalité des salaires des emplo yés de l’autorité palestinienne, près de 180 mille, durant trois mois consécutifs. Cette mesure punitive israélienne à l’égard de la direction palestinienne pour avoir déposer une demande d’adhésion de la Palestine à la Co ur pénale internationale a eu des retombées néfastes sur le fonctionnement de la machine économique.

Celle-ci souffrait, déjà, du blocus israélien sur la bande de Gaza et des difficultés de déplacements entre les différentes villes de la Cisjordanie, à cause des barrages militaires israéliens et beaucoup d’autres mesures restrictives. Le soutien au budget de l’état palestinien est prévu pour une année à partir du mois d’avril.

Les Arabes expriment leur soutien, aussi, aux décisions du conseil central de l’organisation de libération de la Palestine appelant a un réexamen des relations politiques, économiques et sécuritaires avec l’état hébreu, visant à le forcer à respecter les accords signés, ainsi que les résolutions internationales garantissant les droits inaliénables du peuple palestinien. Ce soutien politique est aussi important que le soutien financier, particulièrement en ce moment. La direction palestinienne sait qu’elle aura affaire de nou veau à l’ancien Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, chef du Likoud, le plus grand parti de la droite israélienne, vainqueur aux dernières élections législatives.

Netanyahou avait tout fait pour pousser les Palestiniens à quitter la table des négociations surtout en refusant de mettre un terme aux implantations qui avale chaque jour plus de terrain. Les déclarations de Netanyahou à la fin de la campagne électorale dans laquelle, il a clairement exprimé son refus de l’établissement d’un état palestinien indépendant et tout retrait de la Cisjordanie y compris de la ville sainte d’el Qods (Jerusalem-Est) ont finalement convaincu la direction palestinienne de la justesse de la décision de se diriger vers les instances internationales.

Le conseil de sécurité de l’ONU pour obtenir une résolution demandant la fin de l’occupation et vers la cour pénale internationale pour faire juger les dirigeants israéliens ,mesure qui pourrait se retourner contre les dirigeants Palestiniens. Les Palestiniens qui sont habitués à de telles promesses durant les sommets Arabes précédents, dont certaines n’ont jamais ete respectées, espèrent que, cette fois, elles se concrétiserons sur le terrain, dans les délais promis. L’espoir fait vivre.

Mais la réalité est tout autre à présent, car certains états Arabes sont devenus les alliés objectifs d’Israël et n’entendent pas pour les Palestiniens se priver d’une collaboration sécuritaire qui devient pour eux vitale.

Mahmoud Abbas appelle la Ligue arabe à bombarder la bande de Gaza

Le Jihad Islamique condamne fermement les propos d’Abbas appelant à une opération « Tempête décisive » contre la bande de Gaza…

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(Source : JForum)

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Quelle sera la riposte d’Israël à l’adhésion de l’AP à la Cour Pénale Internationale ?

Israël prépare sa riposte à l’adhésion de la Palestine à la cour pénale international

Quatre mois après y avoir adhéré, l’Autorité palestinienne est officiellement devenue ce 1er avril le 123e membre de la Cour pénale internationale (CPI). Au grand déplaisir des dirigeants israéliens pour lesquels « l’Autorité palestinienne ne devrait pas être admise à la CPI puisqu’elle n’est pas un Etat »…

Qu’espèrent les Palestiniens ?

Selon Jibril Rajoub, l’un des «bonzes» du Fatah longtemps homme fort de la Cisjordanie avant de tomber en disgrâce, l’adhésion de l’Autorité palestinienne à la CPI «conforte les bases de son futur Etat et nous explorons toutes les voies susceptibles de protéger notre peuple contre l’agression».

Interviewé par la Voix de la Palestine, le ministre palestinien Saeb Erekat, qui a qualifié d’«historique» la journée du 1er avril, a déclaré que les premières plaintes contre Israël «concerneront l’occupation ainsi que la poursuite de la colonisation».
Il a ajouté qu’elles n’ont pas encore été déposées, mais que «des équipes y travaillent sérieusement». A l’en croire, l’Autorité palestinienne n’entamera pas de procédures visant nommément des politiques ou militaires israéliens. Du moins, pas dans un premier temps.

A quelle réaction doit-on s’attendre ?

Peu après la demande palestinienne d’adhésion à la CPI, le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a montré sa mauvaise humeur en gelant le transfert mensuel des taxes et droits de douanes qu’Israël perçoit pour le compte de l’Autorité palestinienne.

Cette mesure a cependant été levée au lendemain des élections israéliennes du 17 mars. Indépendamment, à Jérusalem, le ministère de la Justice prépare de longue date, avec de gros cabinets d’avocats internationaux, sa riposte aux éventuelles plaintes palestiniennes.

L’idée maîtresse de cette riposte est que les procédures prendront du temps et qu’il faudra les faire traîner le plus possible.

Est-ce qu’Israël va contre-attaquer ?…

Des projets de plaintes pour «crimes de guerre» ou «crimes contre l’humanité» visant le Hamas sont à l’étude…

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(Source : JForum)

Anglais : Israël devrait juger Obama comme Eichmann, par Albert Soued

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Jeremy Zeid, candidat au Parlement britannique, a suggéré sur FaceBook qu’Israël enlève le président Obama pour le juger, comme il l’a fait pour Eichmann

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Y a-t-il une Morale en Politique ?

Le commandant Reza Naqdi de la milice de volontaires iraniens Bassiji, issue des Gardiens de la Révolution, a confirmé une fois de plus ce que son guide suprême Ali Khamenei ne cesse de répéter: « Effacer l’état d’Israël de la carte du Moyen Orient n’est pas négociable » (1)

L’Arabie saoudite n’est pas en reste puisqu’elle est menacée du sort de Saddam Hussein en Irak, si elle poursuivait son offensive anti-shiite au Yémen. En effet la tribu shiite Houthi s’est emparée des points clés du pays avec l’aide de l’Iran.

Ces invectives de l’Iran contre le seul état juif viennent-elles à propos, alors que l’Iran,  — pour que les sanctions qui lui sont imposées soient levées –, négocie son programme nucléaire depuis plusieurs années, en louvoyant avec un groupe de 6 pays (2) ?

Toujours est-il qu’on peut se poser quelques questions sur la moralité politique des négociations en cou rs.

– Comment se fait-il que les principaux intéressés, Israël et les états du Golfe, — puisqu’ils sont directement menacés par l’Iran des ayatollahs, — ne fassent pas partie du groupe qui négocie avec l’Iran ? Est-il cohérent que ces états menacés soient obligés de dépendre d’autres états pour leur sécurité ?

– Comment se fait-il que les Etats-Unis, qui ont toujours clamé que « toutes les éventualités étaient sur la table » – sous-entendant l’éventualité d’une attaque contre les instal lations nucléaires iraniennes – aient renoncé à cette solution ?

– Comment se fait-il que les 6 pays qui négocient avec l’Iran puissent accepter que ce pays conti nue  à enrichir de l’uranium à des fins militaires et qu’il cache à l’AEIA (organisme international chargé du contrôle et des inspections) des sites nucléaires secrets, dévoilés par l’opposition ?

– Comment se fait-il que l’administration Obama soit si pressée d’aboutir à un accord considéré comme dangereux par des pays qui ne font pas partie de la négociation ?

– Comment se fait-il que l’administration Obama soit si pressée d’aboutir à un accord avec l’Iran, alors que ce pays sème le chaos au Moyen Orient directement ou par milices interposées ?

 

Devant les invectives criminelles des dirigeants iraniens, les puissances du moment ne disent mot. De temps à autre, des voix solitaires s’expriment, mais aussitôt bâillonnées.

Michèle Bachmann, ex-représentante républicaine au Congrès américain, a comparé dans FaceBook Obama menant sa nation et sa politique étrangère au pilote Andreas Lubitz de la compagnie Germanwings qui, délibérément, a écrasé son avion avec 149 personnes contre un massif des Alpes.

De même, Jeremy Zeid, candidat au Parlement britannique, a suggéré sur FaceBook qu’Israël enlève le président Obama pour le juger, comme il l’a fait pour Eichmann.

En effet, Obama est coupable d’avoir divulgué des secrets militaires sur le nucléaire israélien, déclassifiant un document important sur le sujet.

Par ailleurs, un groupe de sénateurs des 2 partis américains est décidé à ne pas laisser l’administration Obama signer un accord boiteux et dangereux pour le monde, avec l’Iran des mollahs. Obama devra soumettre au Congrès tout projet d’accord et son administration ne doit pas pouvoir lever les sanctions contre l’Iran pendant les 2 mois de réflexion du Congrès sur le projet. Ce groupe a averti aussi les dirigeants Iraniens que tout accord qui ne sera pas considéré comme sûr sera dénoncé par le Congrès après le départ d’Obama de la présidence.

Barack Obama est pressé d’aboutir dans les négociations avec l’Iran, car c’est sa seule et dernière occasion de se glorifier d’avoir abouti à un accord, en politique étrangère. Car pour le reste, ce « prix Nobel de la paix » a installé le chaos partout où il est intervenu. Et pendant les 21 mois qui lui restent comme Président des Etats-Unis — supposés être la nation la plus forte sur terre –, il n’aura pas à s’inquiéter des conséquences désastreuses de son accord avec l’Iran, puisqu’elles se manifesteront plus tard…

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(Source : JForum)

A lire aussi : Dossier iranien : Obama, prix Nobel du désastre

L’islamisme se nourrit de l’islam et de l’immigration

Affiche métro gassar sans compter

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Y-a-t-il une frontière hermétique entre l’islam qui se voudrait « paisible» et l’islam radical, celui qui a pour fin de détruire les démocraties, de rayer Israël et les juifs de la terre, de convertir ou d’assassiner les chrétiens  et d’opprimer les fem mes ? La réponse est non : l’islam calme peut  nourrir l’islam violent. La raison ? Outre les propos agressifs qui figurent dans le Coran, la matrice culturelle liée aux représentations symboliques, matrice qui façonne l’inconscient des individus, agit par d’autres ressorts. Comme toute pensée  totalisante qui devient totalitaire, elle assène d’abord un dogme qui divise le monde en deux : Juifs et Aryens, réactionnaires et progressistes et ici mécréants et bons croyants. Cela survient lorsque le marché du travail s’installe ou dépérit et s’oppose à son hégémonie. Les « bons croyants », les « frères », sont alors chapeautés par un moule dont l’objet est de réguler la sexualité sous domination masculine et de fournir une imagerie parentale à l’origine : Le Prophète est orphelin, il épousera une veuve âgée, figure de substitut maternel et à sa mort une fillette de neuf ans. Vénération de la mère et prédation conditionnent alors le rapport aux fem mes : « Les hommes sont supérieurs aux fem mes à cause  des qualités par lesquelles Dieu a élevé ceux-là au-dessus de celles-ci…Vous réprimanderez celles dont vous avez à craindre l’inobéissance, … vous les battrez » (Sourate 4, 38)… ’image d’un père à l’origine est refoulée et s’incarne alors dans l’imaginaire dans le Juif qui dérange l’idylle de la veuve et du jeune homme au statut divin. Contre le juif naît une pulsion de mort et une suspicion de complot et de retour. La violence enfouie-là ne demande qu’à sortir. Il faudrait allonger l’islam sur un divan pour qu’il puisse devenir compatible avec la République.

La deuxième « nourriture » de l’islamisme radical, c’est évidemment  l’immigration des masses musulmanes en attente de travail. La raison est économique : nous sommes dans une société de salariat, le travail y est une marchandise concurrentielle sur un marché. Plus les travailleurs revendiquent, plus le capital exporte ses fabriques ou importe des mains d’œuvre moins chères venues d’Afrique, marchandise les activités humaines, développe et renouvelle les produits. Ce qui engendre la déperdition culturelle. La gauche, et les syndicats  qui ont toujours réduit le rapport travail-capital à l’exploitation et suscité la revendication en défendant la société multiculturelle, ont gommé le lien avec le travail-marchandise et la nécessité de la fin du salariat. Ils sont ainsi les meilleurs agents de son extension  et du capitalisme qu’ils croient combattre !…

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(Source : Riposte laïque)

De la diversité culturelle (7) : Les dogmes de l’antiracisme et de la diversité, ou comment une culture s’autodétruit

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Dans le précédentarticle de cette série (1), j’ai évoqué l’expansion de notre civilisation occidentale, qui fut fondée sur la pro motion  de la religion chrétienne, mais aussi en partie sur le racisme. Cette dernière croyance, développée jusqu’à l’absurde par le nazisme allemand, a conduit au massacre d’environ six millions de Juifs (1940-1944), connu sous le nom hébreu de « Shoah », et dont nous allons voir ici certaines conséquences culturelles.

De la Shoah au dogme antiraciste

Ce génocide n’a été, dans l’histoire de l’humanité, ni le premier (massacre des Cananéens, évoqué dans l’article précédent), ni surtout le dernier (massacre des Tutsis au Rwanda en 1994 : environ 800.000 morts). Il a néanmoins frappé durablement les esprits parce qu’il a été perpétré de sang froid par une nation « évoluée » qui a mis en œuvre pour cela une planification et une organisation systématique. D’où, à la découverte des « camps de la mort », une compréhensible réaction d’horreur, suivie d’un « Plus jamais ça ! ». C’est dans ce contexte que diverses associations se créèrent (MRAP) ou se reconstituèrent (LDH, LICRA), pour lutter contre le racisme : Un objectif tout à fait louable au départ, mais qui, malheureusement, s’est traduit un peu différemment dans les faits.

Il existait deux façons de combattre le racisme : La première aurait consisté à éduquer les citoyens sur l’ineptie du racisme, biologiquement démontrée par des généticiens tels qu’Albert Jacquard ou André Langaney (2). La seconde consistait à légiférer pour, tout simplement, interdire l’expression du racisme – c’était évidemment plus facile, et c’est cette voie qui, sous la pression des associations, a été choisie. Ainsi a été votée, en 1972, la loi contre le racisme (dite loi Pleven) condamnant « la provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence », ou même seulement « la diffamation », à raison de « l’origine » des personnes visées « ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée », les associations antiracistes pouvant en outre se porter parties civiles. Pétrie de bonnes intentions – celles dont l’enfer, comme chacun sait, est pavé – cette loi s’est révélée extrêmement utile pour, à la demande de n’importe quelle association « bien-pensante », poursuivre en justice tout discours, même parfaitement véridique, sous prétexte qu’il serait « diffamatoire » pour une quelconque communauté ethnique ou religieuse : Autant dire que c’était la fin de la protection juridique jusqu’alors attachée à la vérité, et l’émergence d’une nouvelle Inquisition politiquement correcte au détriment de la liberté d’expression (3).

Cette loi a fait le bonheur des associations concernées qui y ont trouvé un moyen pratique, en poursuivant en justice tout polémiste jugé incorrect, d’y gagner à la fois une publicité et des indemnités financières – d’autant que les minorités à protéger (et les dispositions légales y afférentes) se sont multipliées : migrants et demandeurs d’asile, musulmans (femmes voilées en particulier), homosexuels, etc. Dans la France d’aujourd’hui, dont ces associations militantes du nouveau dogme antiraciste offrent une caricature emblématique, toute critique comportementale d’une communauté « genrée », ethnique ou religieuse ainsi protégée (car toutes ne le sont pas, les chrétiens notamment) est devenue passible de poursuites judiciaires sous prétexte de « racisme » – un mot dont on ne sait plus très bien, à vrai dire, ce qu’il signifie réellement.
Et pourtant, ce mot a bien une signification : C’est le péché originel de l’homme blanc, tel qu’il est perçu dans le dogme antiraciste, sur fond de culpabilisation judéo-chrétienne. Certes, nous avons une sérieuse autocritique à faire : L’expansion impérialiste de notre patrimoine culturel, confortée par l’illusion raciste, a engendré le colonialisme, l’esclavagisme, et finalement la barbarie nazie. Mais d’une part – même si ce n’est pas une excuse – la majorité des peuples du monde, à commencer par ceux d’Afrique et d’Arabie, a commis des fautes semblables à divers degrés. D’autre part et surtout, dans ce dogme antiraciste que nous avons intégré dans nos croyances à la manière d’une véritable religion, la culpabilisation ne se limite pas à nos méfaits impérialistes. Elle englobe jusqu’à la simple affirmation de notre patrimoine culturel, qui est considérée en soi, sous le nom de « racisme », comme le mal absolu. Perversion de la critique du vrai racisme, ce « sanglot de l’homme blanc », comme l’a appelé Pascal Bruckner (4), ne conduit donc qu’à un culte masochiste, autodestructeur, de la honte et de la haine de soi.

Le dogme de la diversité, complément du dogme antiraciste

Selon le dogme antiraciste, la rédemption de notre civilisation criminelle ne peut passer que par le renoncement à la foi en nos valeurs face à celles des peuples que nous avons autrefois dominés – peuples considérés comme victimes, donc, par hypothèse dogmatique, innocents de tout esclavagisme, racisme, etc. . Par opposition à notre patrimoine culturel ainsi maudit, les cultures de ces peuples ne peuvent qu’être acceptées chez nous avec enthousiasme : C’est le dogme de la diversité – « La diversité est une richesse pour la France », nous rabâche-t-on –, qui apparaît ainsi comme complémentaire du dogme antiraciste. Ce dogme de la diversité dépasse largement le cadre sociologique. Il s’appuie en effet sur l’idée, jamais prouvée mais soigneusement entretenue dans l’esprit du public, selon laquelle la diversité biologique serait un bien absolu, sans limites ni réserves, dans tous les domaines du monde vivant. Cela justifie que nous nous arrêtions un instant sur ce sujet, pour y apporter quelques petits bémols.

Le concept de diversité a été initialement développé à partir de l’étude des écosystèmes : On a observé qu’une insuffisance de la diversité (nombre et variété) des espèces présentes dans un écosystème pouvait affecter la productivité et la stabilité de celui-ci…

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(Source : Riposte laïque)

La question musulmane en France : l’influent Bernard Godard nous trompe ! Par Pascal Hilout

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Mal nommer la question  islamique, c’est ajouter aux malheurs de la France  et des musulmans ! Voilà, en somme, ce que je pense du dernier li vre de Bernard Godard paru chez Fayad sous le titre « La ques tion musulmane en France », et un sous-titre tout en majuscules : UN ETAT DES LIEUX SANS CONCESSION. Il s’agit plutôt d’un tour d’horizon complet.

Bernard Godard est arabisant. Il est un ancien haut fonctionnaire du ministère de l’Intérieur. Il a travaillé aux côtés de plusieurs ministres successifs chargés des cultes. Il est une des chevilles ouvrières qui a fait passer l’idée (et qui la fait encore passer dans ce livre) que l’islam est simplement une religion comme les autres, avant même que l’Etat n’ait obtenu des représentants ce cette vision liberticide du monde un quelconque engagement sur au moins deux points cruciaux :

1 – La Liberté de la musulmane d’épouser des juifs, des chrétiens et des non-musulmans et donc le renoncement à l’injonction coranique faite aux musulmans de ne pas prendre les juifs, les chrétiens et les non-musulmans comme alliés ou amis.

2 – La Liberté de conscience des « nés musulmans ».

Connaissant la très célèbre conférence d’Ernest Renan à la Sorbonne – puisqu’il y fait référence – M. Godard sait donc ce qu’est une Nation. Instruits que nous sommes par ce grand philosophe du XIXe siècle et érudit des langues sémitiques, nous comprenons aisément que la prescription coranique de l’endogamie permet à l’islam de torpiller le creuset de fusion que la France a toujours été. En privant le cœur de la musulmane de tout amour pour l’Autre, totalement autre, il institue un apartheid au sein de TOUTE société qui lui fait une place en son sein. L’Amour et la Liberté d’aimer sont ainsi anéantis. L’Egalité entre les hommes dans le cœur et dans le lit de la musulmane l’est tout autant et, par conséquent, il n’y a plus de place pour la Fraternité entre les êtres humains. L’islam est aussi contraire à la notion française de la Nation qu’il est antinomique avec les principes fondateurs de la République.

Nul Amour de l’Autre en islam ! Voilà ce que Monsieur Bernard Godard et nos idiots utiles à l’islam savent parfaitement, mais n’énoncent pas clairement aux Français et à la face des Musulmans. Expert et conseiller de la République, notre auteur sait parfaitement que Marianne fut niquée (du mot niqah en arabe qui veut dire épousailles) la nuit où Sarkozy avait officiellement accepté que le CFCM s’installe, à la table de la République, alors que les complices de ce mariage arrangé et contre nature venaient de rayer un des articles   fondamentaux de la charte de ce futur conseil (j’y reviendrai). Cette nuit-là, Marianne fut trahie et, du même coup, tous les Français, qu’ils soient musulmans ou non, furent bel et bien cocufiés.

« Mal nommer les choses …. ». Mon jugement n’est pas un pastiche d’une phrase célèbre, trop souvent galvaudée, mais sa mise à l’épreuve sur le terrain concret de nos relations humaines. Nous savons très bien que notre entendement, notre raisonnement, passe par l’usage plus ou moins correcte, plus ou moins imprécis du langage qui est pourtant le liant qui assure plus ou moins notre entente et conditionne, bien des fois, l’effritement plus ou moins accéléré de nos liens sociaux.

Et pour être plus précis, je dirais : lorsque nous savons, comme M. Bernard Godard, et n’osons pas désigner les souches pathogènes qui rongent notre société humaine, nous commettons une faute. Une faute morale, si ce n’est une faute politique, l’équivalent d’une faute médicale, lorsqu’on a été en charge de grandes responsabilités au ministère de l’Intérieur, chargé des cultes, comme c’est bien le cas de M. Bernard Godard.

Si ça peut le consoler, bon nombre de nos « experts » ès islam n’osent pas désigner les deux souches pathogènes que sont le Coran et Mahomet. Au lieu de cette mise au point salutaire, ils nous donnent à bouffer tant de « boucs émissaires », malodorants à souhait, mais qui, au fond, ne sont rien d’autres que des être humains, atteints de cette maladie qu’est l’islam (vénération du Coran et de Mahomet). Et c’est ainsi que, sous la plume de M. Godard, la question islamique se nomme question musulmane. C’est comme si les musulmans ne la subissaient pas et que c’étaient eux qui l’avaient inventée.

Non Monsieur Godard, la question qui se pose aux musulmans, à leurs concitoyens et à tous leurs voisins, en France, en Europe et partout ailleurs dans le monde, se nomme « Question islamique ». C’est l’islam, c’est à dire le Coran et l’exemple historique de Mahomet qui sont à remettre en question, à soumettre à notre questionnement. Les Musulmans, toutes écoles et nuances confondues, sont les victimes-vecteurs-reproducteurs de cet apartheid idéologique qu’est l’islam. Mis en pratique, Ici et Maintenant, par toute musulmane, il se transforme en apartheid anthropologique et social. Mais avons-nous encore des anthropologues et des sociologues dignes de ce nom ?!

Au lieu d’examiner les deux souches pathogènes (à l’œil nu, tellement elles sont évidentes), vous continuez de privilégier, Monsieur Godard, comme tant d’autres toubibs, l’observation et l’examen minutieux des malades atteints à divers degrés. Ainsi, vous continuez à mal poser l’équation islamique. Vous vous dupez et dupez, par la même occasion, aussi bien vos concitoyens musulmans que non-musulmans. Votre question continue donc d’être mal posée, votre diagnostic s’en trouvera toujours faussé. Il n’est donc pas étonnant que nos têtes chercheuses et pensantes, ainsi que nos décideurs n’aient pas inventé de remède efficient contre cette infection de l’âme et des relations sociales qu’est l’islam. Je rappelle, encore une fois, que son noyau (son cerveau) est à tout jamais constitué de deux lobes : le Coran et Mahomet…

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(Source : Riposte laïque)

Vandalisme des « nuisances pour la France » à Paris : l’équivalent 45 terrains de foot nettoyés en 2014 !

Résultat de recherche d'images pour "photos de tags"Elle est où, la répression ? Ces sauvages nous coûtent beaucoup trop cher ! Avant leur arrivée massive, les murs de nos villes étaient propres ! ON PEUT REMERCIER JACK LANG, QUI, LORSQU’IL ETAIT EN EXERCICE A LA CULTURE, A ENCOURAGE LES BARBARES PAR SES PROPOS FLATTEURS ENVERS CETTE NUISANCE ZONARDE. Il ose prétendre que les tags sont des oeuvres d’art ! EH BIEN J’AIMERAIS BIEN VOIR SA OU SES RESIDENCE(S) PRIVEE(S) ENTIEREMENT DECOREES PAR CES BARBARES PEINTUR-LUREURS. ON VERRAIT ALORS QUELLE TÊTE IL FERAIT DE VANT CES AFFREUX GRIBOUILLAGES CRIARDS ET AGRESSIFS FAITS DANS L’UNIQUE BUT NON DE PLAIRE, MAIS DE NUIRE A LA SOCIETE !

Ce sont les délinquants eux-mêmes qui devraient être chargés de ce travail de nettoyage, et l’armée serait chargée de les surveiller le temps de la réparation des dommages causés. Les soldats étant vêtus en civils pour ne pas se faire remarquer auraient pour tâche de prendre sur le fait et d’obliger ces petites racailles prises la main dans le sac ou s’apprêtant à commettre leur for fait à effacer ces tags. De plus, ils seraient astreints à une amende conséquente, et si « pas solvables », un retrait d’autant sur leurs allocations (ils en bénéficient tous), qui viendrait combler le déficit qu’ils créent. Afin de les dissuader de récidiver, ils devraient de plus exécuter un travail d’utilité publique pendant 8 jours – bien sûr, à titre de « bénévole » ! louyehi _________________________________________________________

C’est un puits sans fond, un éternel recommencement jour après jour. Dès l’aube, chaque matin, trois sociétés de nettoyage qui se sont partagé les arrondissements, sur décision de la mairie, partent à la chasse aux tags dans les rues de la capitale. Des équipes qui sont sur les dents car la charge de travail ne faiblit pas. 285 000 m² de murs ont été nettoyés en 2011, 339 113 m² (soit la surface de 45 terrains de foot) l’ont été en 2014 et, chaque année, la facture de ce grand lessivage est lourde. 3,8 millions d’euros ont été déboursés en 2011 contre 4,4 millions d’euros, l’an passé, avec à la clé 155 767 interventions.

Cette note plutôt salée ne risque guère de baisser de sitôt, car à « l’oeuvre » abondante des tagueurs s’ajoute un niveau d’exigence accru de la part des Parisiens. Désormais, dès qu’ils voient un mur vandalisé, ils le signalent par les moyens mis à leur disposition par la mairie. Un site, un numéro d’appel et une application sur les smart phones leur permettent de transmettre sur-le-champ l’information aux entreprises. « On recueille la photo, le tag est géolocalisé et on agit », raconte Ali Abedour, président de la société Korrigan qui a la main sur 10arrondissements, de toute évidence les plus exposés. Du IXe au XXe, et exception faite des XVe et XVIe, c’est lui et, dit-il, « la mission est rude ».

Dès qu’un tag est effacé, il est aussitôt remplacé. Et quand il n’est pas immédiatement retiré, il en arrive dix autres sur le même mur, tous les tagueurs du coin s’y mettant alors de bon coeur pour vandaliser une plei ne façade. « Que ce soit du beau haussmannien ou pas, ils s’en moquent ! » , se désole le patron de Korrigan. Sur le terrain, les équipes débordées doivent encaisser les provocations. « Ils nettoient pendant qu’ils sont  suivis par les vandales qui saccagent aussitôt la peinture fraîche » , relate-t-on dans l’entreprise où des consignes de retrait immédiat sont données en cas de tension. Cela n’a pas empêché une agression. Un agent a été molesté parce qu’il avait osé s’en prendre à « la création » d’un de ces voyous. Sans cesse, il faut aussi que les entreprises révisent leurs méthodes d’intervention. Déterminés à exposer durablement leurs dessins et ins criptions,  , leurs auteurs ont recours à des produits donnant de plus en plus de fil à retordre. « Ils ont trouvé une matière qui, dès qu’elle est recouverte de peinture, réapparaît aussitôt » , soupire consterné Ali Abedour…

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(Source : JSS News)

L’injustice française a encore frappé ! 2 ans de prison ferme pour un vieil homme qui voulait se défendre !

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http://www.midilibre.fr/2015/03/29/l-octogenaire-avait-tire-sur-trois-jeunes,1142557.php

Les faits remontent à la nuit du 16 au 17 mars 2011, et ont eu lieu dans une maison isolée, située en bord de rivière, près de Béziers.

Dans cette maison, un vieux monsieur de plus de 80 ans, atteint de la maladie de Parkinson. Cette nuit-là, il ne parvient pas à dormir car la rivière en crue menace sa propriété. Soudain, il entend du bruit, prend peur, attrape son fusil qu’il charge de cartouches en plastique, et tire  » en l’air, puis à l’horizontale  » – «  Je ne les ai pas visés « , plaide-t-il aussi – blessant ainsi l’un des trois jeunes entrés par  » inadvertance  » dans sa maison. Visité déjà plusieurs fois, l’octogénaire avait donc quelques raisons de penser qu’il s’agissait d’un énième cambriolage.

Que croyez-vous qu’il arriva ? Les trois  » jeunes  » sont -ils poursuivis pour tentative de cambriolage ? Pour l’heure, c’est l’octogénaire qui a dû répondre de  » faits de violence aggravée.  »

« Je ne vis plus depuis les faits (…), je fais des cauchemars « , se plaint…l’un des jeunes malchanceux, pour cause de «  plombs dans tout le corps. » Le vieux monsieur, daltonien, a confondu  cartouches en plastique avec cartouches de plomb.

Le second jeune, quant à lui, ne décolère pas :  « Il vous a raconté n’importe quoi, il a voulu nous tuer. Nous, on est des gens honnêtes.  »

Quant au 3ème larron, il ne s’est même pas présenté au tribunal.

Message reçu 5 sur 5 par le procureur Angélique Dépétris, pour qui le vieil homme, octogénaire,  parkinsonien, daltonien,  » est à lui tout seul un magnifique spot de publicitaire pour la lutte contre la prolifération des armes à feu. C’est aussi un fléau que d’imaginer qu’on a une arme chez soi pour se défendre. Il a été un danger pour la société. »

« Prolifération des armes à feu. » Des fusils à plomb, des fusils de chasse pour chasser le gibier, qui se trouvent bien souvent depuis des lustres, chez les paysans ? La prolifération des armes à feu ne se rencontre-t-elle pas plutôt dans les banlieues, où se procurer une kalach’ est à peu près aussi facile, pour celui qui connaît les tuyaux, que d’aller acheter une baguette de pain ?

Pour exemple, le 9 février, quand Manuel Valls se rendait à Marseille pour vanter les bons chiffres de la sécurité, fut trouvé dans un appartement dans le quartier la Castellanne, 7 kalachnikov et… aucune charge ne sera retenue contre les occupants qui, si l’on en croit la procureur Dépétris, illustraient pourtant autrement plus gravement qu’un vieux monsieur détenteur d’un fusil à plomb, son fameux  » spot publicitaire « …

http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/20/2052911-tirs-de-kalachnikov-a-marseille-deux-nouvelles-interpellations.html

Son âge, sa maladie, son handicap, sa précédente nuit blanche pour cause de stress dû à la montée des eaux, son angoisse d’être une énième fois cambriolé, aucun de ses arguments reposant sur des faits réels n’atteindront les membres du tribunal. Et si la proc’ requérait 1 an de prison ferme, la présidente du tribunal, elle, a jugé qu’un an (quand on a failli tuer de pauvres jeunes introduits dans sa maison sans y être invités, n’est-ce-pas),  ce n’était pas suffisant. Le vieil homme est condamné à 2 ans de prison ferme.

«  Un peine sévère« , dit-elle,  » car le tribunal est inquiet de ce qui peut encore arriver..rien ne justifie de tirer sur quelqu’un avec une arme à feu.  »

Mais qu’est-ce qui pourra bien arriver à cet octogénaire, la prochaine fois qu’il se ferait  » visiter » ? De ne plus avoir 80 ans, de ne plus être Parkinsonien, ni daltonien, et de tirer à la kalach’ sur ces graines de cambrioleurs ? Ou madame la présidente veut-elle dire que la prochaine fois, il n’a qu’à se laisser faire bien gentiment, le vieux ?

Avec semblables arguments, si le tribunal, en prononçant ce jugement, voulait signifier aux Français qu’il déclare illégitime, illégal, le cas de légitime défense, il ne s’y prendrait pas autrement.

Ce n’est pas tout : le vieux monsieur qui avait voulu se défendre devra verser 6.500 euros de provision de préjudices à la victime la plus touchée, celle qui n’avait vraisemblablement pas beaucoup de plomb dans la tête…

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(Source : Riposte laïque)

Dernier message avant Pessah 2015

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Sois fort et courageux !

Un message du Rav Dynovisz avant la fête de Pessa’h

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(Source : Site du Rav Dynovisz)