Le saguinaire boucher tueur d’enfant Samir Kountar reçu à Damas

Le terroriste Samir Kuntar, relâché par Israël en 2008 dans le cadre d’un « échange » et installé depuis lors au Liban, a été l’hôte personnel du président syrien Assad qui a su lui réserver un moment malgré un emploi du temps chargé. Kuntar, rappelons-le, a commis un crime atroce en 1979 à Nahariya, dans le Nord d’Israël : il a assassiné un père de famille, Danny Haran, et sa fillette de quatre ans dont il a fracassé la tête sur des rochers. Emprisonné pendant des années, il doit sa liberté à un accord conclu entre Israël et le Hezbollah qui a permis la restitution des corps des deux soldats Ehoud Goldwasser et Eldad Réguev.

Au cours de l’entretien entre Assad et Kuntar, les deux hommes ont évoqué la situation tendue au Liban, où l’on attend avec appréhension les conclusions du rapport sur le meurtre de l’ancien Premier ministre Rafik Hariri, mort à Beyrouth dans l’explosion d’une voiture piégée en 2005. Ensuite, Kuntar a remis à son hôte un exemplaire de son livre qui est une autobiographie et relate ses années de détention en Israël.

C’est déjà la seconde visite de Kuntar à Damas depuis sa libération. La première fois, quelques mois seulement après son retour au Liban, le meurtrier libanais avait fait le voyage pour recevoir, de la main du président syrien, une médaille. Bachar Assad l’avait alors félicité pour « son attitude ferme et son combat pour les droits des Arabes ». Il aurait même ajouté qu’il était devenu « un véritable symbole pour le monde arabe et pour le monde entier ». (Juif.org – Lessakele)

http://www.israel7.com/2010/12/samir-kuntar-recu-a-damas/

(petit rappel pour se souvenir des crimes perpétrés par Samir Kuntar)

Sous le crâne de Samir Kuntar

Que se passait-il, précisément, sous le crâne de Samir Kuntar ce jour de juillet 2008, à la veille de l’échange de « prisonniers » avec le Hezbollah ? Difficile de faire parler davantage son regard bovin, ou d’imaginer des sentiments derrière son imposante moustache de « beauf », version moyen-orientale. Connaissant son crime et voyant sa tronche, on aimerait le qualifier de boucher – mais ce serait insulter la corporation des bouchers …

Dans le « Haaretz » du 15 juillet, Bradley Burston (lire l’article en anglais sur ce lien) souligne, justement, qu’il s’agit d’un tel monstre que le qualificatif de terroriste serait trop aimable. Pour celles et ceux qui ne l’auraient pas lu – rendons pour une fois hommage aux agences de presse qui auront rappelé le raid terroriste de 1979 où il avait fini par être capturé -, ce (à l’époque) jeune « militant » de 16 ans et demi appartenant au « Front de Libération de la Palestine » avait été condamné à plusieurs siècles d’emprison-nement pour le meurtre brutal de presque toute une famille que la destinée avait mis sur son chemin, les Haran qui vivaient dans la petite ville côtière de Nahariya, à quelques kilomètres de la frontière libanaise … Tous sont morts victimes des « héroïques combattants palestiniens » : le père Danny, la fille aînée de 4 ans, Einat (le crâne fracassé contre un rocher par le sinistre Kuntar), après avoir assisté au meurtre de son père ; et la cadette, Yaël, 2 ans, ayant suffoqué sous la main de sa mère qui voulait l’empêcher de pleurer dans leur cachette, alors que les tueurs fouillaient leur appartement : « je me souvenais de ma mère, me racontant comment elle se cachait des nazis sous la Shoah », devait raconter Smadar Haran.

29 ans ont passé depuis, le plus clair de la vie de Kuntar … D’après son frère, Bassem, « Il a étudié par correspondance et décroché un diplôme en sciences humaines d’une université israélienne », explique-t-il. L’un de ses sujets de recherche était « les contradictions entre sécurité et démocratie en Israël ». Les cours n’étant dispensés qu’en hébreu, le combattant libanais a, en outre, appris la langue de l’ennemi. « Il a eu 96 sur 100 au test de langue », précise son frère (source : article de « La Libre Belgique »). Là-dessus, il faut aussi noter que JAMAIS Samir Kuntar n’aura manifesté le moindre regret pour son crime de jeunesse. Et surtout, surtout, qu’il a écrit une lettre de remerciements à Hassan Nasrallah, proposant de rejoindre le mouvement dans son combat contre les « Sionistes » ! (Source Juif.org du 17 juillet 2008)

5 réponses à “Le saguinaire boucher tueur d’enfant Samir Kountar reçu à Damas

  1. comment une racaille peut vivre encore,beaucoup de nous légionnaire on se ferat un plaisir de lui faire subir le meme sort que ses pauvres gosse si c’est le mien je lui donne pas 48 heure de vie

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