(Paola Mastropietro et son violeur-assassin nigérian, Oseghale)
« Violée par un migrant sous OQTF »
– « un Algérien en garde à vue après le viol d’une femme de 20 ans »
– « Cherbourg : victime de 29 ans violée avec pronostic vital engagé : elle a été empalée (par un diversitaire) avec un manche à balai de 70 cm de long »
– « Paola Mastropietro, 19 ans, violée puis découpée en morceaux par Innocent Oseghale, Nigerian de 33 ans. »
– « une femme de 96 ans, malentendante, cambriolée frappée et violée par Walid… » etc… etc…
Ces « faits divers » abominables, c’est tous les jours qu’on en lit malgré soi la liste effarante et incongrue, autant que barbare.
Les exploits sexuels d’une certaine diversité remplissent tellement les colonnes de faits divers qu’ils sont devenus d’une affligeante banalité. Certains s’habituent : nos hommes politiques qui pour la plupart ne font rien, les féministes, qui ne défendent plus les femmes, les collabos, les islamistes, les islamisés…
Les féministes sont particulièrement coupables et responsables. Elles passent leur temps à dénoncer Depardieu ou autres, mais ne trouvent rien à redire contre nos grands-remplaçants violeurs, qu’elles semblent aimer tendrement.
Mais les autres, les plus nombreux, les plus soucieux de la sécurité de leurs contemporains, écoeurés, indignés, ne s’habituent pas. Ne peuvent pas s’habituer. Ne veulent tout simplement pas s’habituer à cette horreur.
Il y a aussi les aveugles. On en rencontre parfois. C’est de l’aveuglement volontaire. On leur dit ce qu’il se passe, ils répondent que les Français aussi violent. Ils défendent les étrangers et leur trouvent des excuses. Ou pire ils refusent de les dénoncer, comme Clémentine Autain qui aurait longtemps refusé d’avouer que son violeur muni d’un couteau était un étranger, un Algérien.
C’est pour cela qu’une militante du collectif féministe identitaire Némésis, elle même d’origine étrangère, a brandi une affiche avec inscrit dessus : « violeurs étrangers, dehors ». Cela lui a valu une plainte pour incitation à la haine raciale et dix heures de garde à vue, une perquisition chez ses parents. Quelle dangereuse criminelle !
Affiche reprise par le Rassemblement National au conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté. Et aussitôt également, une plainte pour racisme. Le mot étranger est-il porteur d’une connotation raciste ? Non. Les Anglais, les Espagnols, les Suisses sont de la même race que nous en un peu plus roux ou au contraire un peu plus bruns, et pourtant ils sont étrangers.
Pour les furibonds qui portent plainte pour racisme, il est scandaleux de faire le lien entre immigration – ça y est, le mot interdit est lâché – et violences sexuelles.
Et pourtant ! Pourtant, selon le ministère de l’intérieur, les étrangers représentent 17 % du total des mis en cause pour des infractions élucidées en 2023 contre 8 % des personnes résidant en France.
Et ils représentent 17 % en 2023 pour les coups et blessures volontaires sur personnes de 15 ans ou plus (dans le cadre familial ou non). Les individus qui résident en France mais ne possèdent pas la nationalité française sont 13 % pour les agressions sexuelles.
En 2022, les étrangers représentaient 7% de la population. Il est donc clair qu’ils sont sur-représentés dans les viols. Il n’est pas besoin d’être un grand mathématicien pour le comprendre.
Le SSMSI (service statistique ministériel de la sécurité intérieure) déclare que les mis en cause étrangers restent toutefois minoritaires (17 % des mis en cause en 2023). Ceci est un gros mensonge, ils ne sont pas minoritaires si les étrangers représentent 7% de la population. Peut-on encore faire confiance au ministère le l’intérieur ?
Dans le cas précis des agressions sexuelles dans les transports en commun, selon Boulevard Voltaire, la part des étrangers est de 61% en île de France et ils sont surtout originaires d’Afrique et du Maghreb.
Il suffit de mettre les pieds dans le métro parisien pour se convaincre que celui-ci est devenu le terrain de jeu de prédilection des diversitaires, des dragueurs et potentiellement des violeurs importés.
C’est la même chose en Allemagne. Souvenons-nous de l’épouvantable nuit de Cologne en 2015, au cours de laquelle des hommes principalement bronzés ont convergé vers une place où se tenait un festival, pour violer 1200 femmes. En Italie, c’est le même problème. Dans tous les pays d’immigration, en fait.
Mais la gauche continue à vouloir nous imposer des migrants inadaptés et inadaptables, d’une pseudo religion qui leur apprend que la femme est un objet à prendre avec barbarie.
Notre Perruqué, Macronescu Ier, préfère partir en guerre contre l’Ukraine, plutôt que de défendre les Françaises.
Le collectif Némésis a raison : les violeurs étrangers doivent aller en prison puis être renvoyés dans leurs pays. Oui, violeurs étrangers, dehors !
Sophie Durand
Pour sauver Riposte Laïque :
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Chèque à l’ordre de Riposte Laïque, BP 32, 27140 Gisors
Source : RIPOSTE LAÏQUE – Violeurs étrangers sur-représentés : dehors !
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