24 mai 2024 : Règlement sanitaire international imposé par l’OMS

24 mai 2024. La 77e assemblée générale de l’OMS votera pour l’adoption du règlement sanitaire international modifié et du nouveau traité pandémies.
Ces textes sont en cours de discussion et donneront, s’ils sont adoptés, tous pouvoirs au directeur général de l’OMS pour imposer sa gestion mondiale des futures pandémies aux 194 États membres.

Ainsi, 194 États dans le monde envisagent de donner tous pouvoirs au directeur général de l’OMS pour gérer seul les futures pandémies au niveau mondial. Un seul homme déciderait notamment de l’existence d’une pandémie, des traitements à mettre en œuvre, des restrictions de déplacement, des mesures de confinement, et de la date de fin de pandémie.

Toute référence à la protection des droits de l’homme et des libertés fondamentales a été supprimée du règlement sanitaire international en cours de révision.
Les références aux droits de l’homme et aux libertés fondamentales seraient remplacées par les concepts de dignité, d’inclusivité et de cohérence, concepts par ailleurs non définis par le projet.

Le projet en cours d’adoption crée de nouvelles obligations financières à charge des États membres. Ce coût a-t-il été chiffré ? Ces obligations sont notamment de soutenir matériellement l’action coordonnée par l’OMS, offrir une assistance aux États parties en développement, acquérir, renforcer et maintenir la capacité à réagir rapidement et efficacement en cas de risque et d’urgence de santé publique internationale.

Les recommandations de l’OMS deviennent contraignantes dans le projet en cours d’adoption. Le terme non contraignant est supprimé du projet.
Différents amendements imposent aux États membres de respecter le règlement sanitaire international et de suivre les recommandations émises, notamment le nouvel article 13A.

Le directeur de l’OMS pourrait en conséquence rendre effectives immédiatement, sans l’avis des États membres, ou même contre leur avis, toutes mesures sanitaires qu’il jugerait utiles du type : tests, « vaccins », fermetures de crèches, d’écoles et d’universités, couvre-feux et confinements, quarantaines télétravail ou interdiction de travail ou d’exercice, interdiction de voyager ou de se déplacer, interdiction de bivouaquer ou de se baigner, méthodes de contrôle à appliquer…

Le projet ne prévoit aucune procédure pour gérer, en cas de pandémie, une situation de conflit entre les recommandations contraignantes du directeur général de l’OMS et les règles de notre droit interne ou des traités ratifiés par la France.

Le Conseil constitutionnel indique : « La France peut consentir à des limitations de souveraineté lorsqu’elle participe à des engagements internationaux. Toutefois, lorsqu’un tel engagement international porte atteinte aux conditions essentielles d’exercice de la souveraineté nationale, l’autorisation de le ratifier appelle une révision constitutionnelle ».

Les projets en discussion à l’OMS entraînent une perte importante de souveraineté des États en matière de santé.
À titre d’exemple : Article 42 du projet de révision du règlement sanitaire international. Mise en œuvre des mesures sanitaires. « Les mesures sanitaires prises en vertu du présent règlement… sont mises en oeuvre et menées à bien sans retard par tous les Etats Parties et appliquées de manière transparente, équitable et non discriminatoire. Les États parties prennent également des mesures pour s’assurer que les acteurs non étatiques ayant des activités sur leur territoire se conforment à ces mesures ».

Les projets en cours reconnaissent à l’OMS, sans poser de limites :
– le droit de définir ce qu’est une information fausse et trompeuse,
– un droit de censure pour contrer la diffusion de ces informations, notamment dans les médias et sur les réseaux sociaux.

Le projet de révision de l’article 44 du règlement sanitaire international appelle l’OMS à collaborer avec les États membres pour « contrer la diffusion d’informations erronées et non fiables à propos des événements de santé publique, des mesures de prévention et de lutte contre les épidémies, ainsi que les activités menées dans les médias, sur les réseaux sociaux et par d’autres moyens pour diffuser de telles informations ».

Pour l’OMS, tout relève de la santé et elle entend aujourd’hui influer sur les questions de santé animale, de santé végétale, d’environnement et de paix.
L’OMS est notamment partie prenante aux projets « One Healh » et « Santé pour la paix », confirmant que la santé physique, mentale et sociale des populations mondiales n’ont plus de limites.

L’OMS travaille à prendre la main la gestion de la santé au niveau mondial en portant atteinte à la souveraineté des États membres. Pourtant, elle n’a aucune légitimité démocratique.
L’OMS est une institution interétatique et technocratique qui n’a aucun lien avec les peuples des pays membres qui la composent. Elle ne rend aucun compte à ces peuples via une information transparente et n’est soumise à aucun contrôle de leur part.

Communication du Collectif des 300 avocats et du Syndicat Liberté Santé.
Pour plus d’informations :

Traité Pandémies OMS et Règlement Sanitaire International (RSI) – Organisation Mondiale de la Santé

https://www.syndicat-liberte-sante.com/traite-pandemies-rsi-oms/embed/#?secret=XslOm01ppQ#?secret=mjEw6RvTLo
https://apps.who.int/gb/wgihr/pdf_files/wgihr1/WGIHR_Compilation-fr.pdf

L’OMS dans les griffes des lobbyistes. Documentaire ARTE diffusé le 4 avril 2017.

Ainsi, un traité doit être voté à l’OMS en mai 2024. Ce traité prévoit que :
1 – Le directeur général de l’OMS aurait, seul, le pouvoir de décider une urgence sanitaire ;
2 – Il aurait le pouvoir de décider seul quelles mesures prendre et quels produits pharmaceutiques retenir ;
3 – Ses recommandations deviendraient obligatoires ;
4 – La censure des scientifiques s’opposant à ses décisions est institutionnalisée : seule l’OMS détiendrait la « Vérité », tout autre discours devant être traqué.
Ceci alors même que l’OMS est infestée de conflits d’intérêts (fondation Bill et Melinda Gates, GAVI, Alliance globale pour les vaccins et l’immunisation, organisation créée en 2000).

Nous refusons que notre santé et nos libertés soient jetées en pâture au directeur général de l’OMS, à Bill Gates, à Rockefeller, et à tous les mafieux criminels qui gravitent autour d’un concept dévoyé de la santé pour asservir les peuples et contribuer à la dépopulation.

Non à la concentration des pouvoirs.
Non à l’aliénation des droits de l’homme et à la perte des libertés.
Non à des obligations financières superflues et improductives.
Non à des recommandations contraignantes.
Non à un conflit de normes.
Non à la perte de souveraineté.
Non à une Vérité universelle arbitraire et tyrannique.
Non à une censure abusive et illégale.
Non à l’absence de légitimité démocratique.
Non à l’empiétement de l’OMS sur toutes les sphères de la vie, environnement, paix, animaux et végétaux.

L’OMS se présente comme une agence spécialisée des Nations unies. Elle a été fondée en 1948 par Rockefeller, un eugéniste et mondialiste obsédé. Les mondialistes visent à contrôler la population mondiale par la santé et par la mort. Ils veulent faire de Gaïa, la Terre-Mère, un endroit meilleur grâce à un seul Ordre mondial. Puis, l’OMS a été intégrée au système des Nations unies.

Jusque dans les années 1950, les produits pharmaceutiques étaient principalement basés sur les plantes et la composition chimique des plantes. Rockefeller, avec la Standard Oil, avait également le monopole du pétrole. Il décida que les produits pharmaceutiques pouvaient être fabriqués à partir de produits pétrochimiques. L’OMS est devenue essentiellement axée sur la fabrication et la promotion des produits pharmaceutiques curatifs.

L’OMS est financée au moins aux deux tiers par le secteur privé, principalement l’industrie pharmaceutique et la Fondation Bill et Melinda Gates. D’où un conflit d’intérêts. L’OMS ne devrait pas être une agence des Nations unies.
En 2020, l’OMS a déclaré covid-19 comme une pandémie mortelle, semant la peur, imposant des confinements, des masques faciaux, une distanciation sociale, et d’autres mesures de détérioration de la dignité humaine.

Finalement, l’OMS, poussée par le Forum économique mondial, a contraint les gouvernements à « vacciner » leurs populations avec des injections d’ARNm génétiquement modifiés jamais testés auparavant, dont personne ne connaît la composition, à part l’industrie pharmaceutique qui les produit. Des chercheurs ont découvert dans les fioles de vaccin des produits toxiques et dangereux comme l’oxyde de graphène. Le contenu des vaccins s’est avéré mortel pour des dizaines de millions de personnes. D’où une surmortalité dans les pays occidentaux.

En fait, tous les prétendus vaccins sont des armes biologiques. La fraude du « vaccin covid » est une affaire de millions de dollars, voire de trillions. La fausse pandémie covid est une affaire de gros sous. Les entreprises pharmaceutiques, les laboratoires, des gens comme Ursula von der Leyden en ont largement profité.

Les vaccins covid contiennent également des substances provoquant la stérilisation pour les hommes et les femmes, ce qui entraîne une chute des taux de natalité dans les pays occidentaux, Europe et pays anglo-saxons. Tout est conforme au programme eugéniste des Rockefeller, Gates, Soros et autres.

L’OMS censure la vérité par le biais des plateformes sociales. Ainsi, NewGuard surveille la crédibilité des sites d’information et de désinformation en ligne. NewGuard fournit régulièrement à l’OMS des listes des plus importants influenceurs de « désinformation » en matière de santé, c’est-à-dire des théoriciens du complot, des personnes qui ne se conforment pas à la version officielle des faits.
L’OMS travaille en étroite collaboration avec le réseau international de vérification des faits du Poynter Institute for Media Studies, une école de journalisme à but non lucratif et un organisme de recherche à Saint-Petersbourg, en Floride.

Le réseau international de vérification des faits, IFCN, dispose d’une banque de données contenant plus de 10 000 « fausses informations vérifiées », la plupart liées aux diktats de l’OMS.
L’IFCN est principalement financé par le Département d’État américain, le National Endowment for Democracy, la Fondation Bill et Melinda Gates, la Soros Open Society Foundation, Google et Facebook. Coïncidence. La Fondation Gates et le gouvernement américain sont également les plus grands donateurs de l’OMS.

Et l’OMS prépare en ce moment un « traité sur les pandémies ». En vertu de ce traité, le directeur général de l’OMS aurait le pouvoir de déclarer des pandémies mondiales. La classe dirigeante pourrait contrôler les populations à l’échelle mondiale. Une autorité au-dessus de la constitution nationale de chacun des pays membres pourrait imposer les vaccinations obligatoires.

Nous vivons dans un culte de la mort satanique, avec un objectif à atteindre : éliminer un large segment de la population mondiale, sinon la grande majorité de cette population.

Le Forum économique mondial et l’OMS dirigent et exécutent ce culte de la mort. L’OMS et les grandes sociétés pharmaceutiques contrôlent un système de santé tyrannique mondial.

Jean Saunier

Source : RIPOSTE LAÏQUE – 24 mai 2024 : Règlement sanitaire international imposé par l’OMS

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