Mahomet était-il réellement un prophète prônant l’amour et la paix ? (1)

(Le prophète Mahomet, illustration d’un manuscrit ottoman du XVIIe siècle)

Prétendre que l’islam est une religion d’amour et de tolérance est une escroquerie, un mensonge aussi vaste que ce bas-monde. Pourtant dans les faits, tels que décrits par la tradition islamique, il est pire que l’idéologie barbare du nazisme, du fascisme ou bien du communisme et ses avatars. L’islam est une idéologie fabriquée à base de mythes et de légendes par les Abbassides et véhiculée depuis quatorze siècles dans le seul but de maintenir les musulmans dans un asservissement permanent du berceau au tombeau, et par un endoctrinement quotidien des plus sévères qui n’existe dans aucune doctrine d’essence divine, sans possibilité de s’émanciper, de douter et encore moins de réfléchir par eux-mêmes.

Le récit islamique édulcoré qui est en vogue actuellement en Occident, est un piège mortel pour faire oublier le vrai visage barbare et belliqueux de Mahomet. Et sans se rendre compte, les progressistes, les mondialistes, les multi-culturalistes, les néo-féministes et les islamo-gauchistes occidentaux obnubilés par leur idéologie oviste qu’ils tentent de vendre au reste du monde, sont dans le déni. En vérité, ils veulent détruire la culture judéo-chrétienne qui leur rappelle d’où ils viennent. Ils sont animés par la détestation de soi. Et à la fin des fins, tous ceux qui auront contribué à l’islam de s’implanter durablement dans la vieille Europe occidentale, seront pendus comme les communistes iraniens du Tudeh qui avaient aidé Khomeiny à prendre du pouvoir à Téhéran, en 1979.

N’oublions pas que l’histoire revient toujours par le même chemin.

En regardant le film Al-Rissala sorti en 1976, l’oligarchie occidentale s’en est sûrement inspirée pour donner carte blanche à l’islam de prendre pied en l’Occident sans même dégainer l’épée du djihad. Ce film l’a probablement beaucoup influencée, car il est propagandiste,  mensonger et ne reflète aucunement la biographie de Mahomet telle que rapportée par la Sira ennabawiya.

Ce film avait pour seul but de redorer le blason de l’islam, d’effacer  son image négative auprès des Occidentaux et surtout de motiver les musulmans afin qu’ils reprennent le chemin du djihad.

Dans ce film, la Sira ( la biographie de Mahomet) écrite par Ibn Ishaq, Ibn Hichem ou Tabari, soit deux siècles à trois siècles après la mort du soi-disant  Mohammed Ibn Abdallah, l’Envoyé d’Allah- y est  largement occultée pour ne pas effrayer la majorité des musulmans qui ignorent le comportement sanguinaire de leur ‘Beau Modèle de Médine’.

Ce film fait l’apologie d’un islam  magnifié en niant la vraie Sira ennabawiya, tout en présentant la figure  légendaire de  Mahomet sous un aspect angélique.

La réalisation de ce film, à coups de millions de pétro-dollars, avait pour but de présenter une  image de Mahomet  comparable à  celle de Jésus, animé d’un grand amour pour  son prochain.

Mais en lisant la biographie du prophète de l’islam, telle que rapportée par la tradition islamique, on reste perplexe en regardant ce film. On reste sans voix!

A noter que sur instruction de la mosquée d’Al-Azhar, la figure de Mahomet n’a jamais été montrée durant cette superproduction cinématographique du réalisateur américano-syrien Mustapha Akkad.

Finalement,  ce film ne reflète pas de ce qui est écrit dans le coran et  la sunna.

Alors voyons, le vrai visage belliqueux et guerrier de Mahomet, tel que rapporté par la Sira ennabawiya.

En  622 ( Hégire), en installant à Médine ( Yathrib), Mahomet commença à lancer les expéditions punitives  contre ses ennemis dans le but de les voler et de s’enrichir.

La brigandage fut la base de son idéologie afin de motiver ses adeptes qui sont en grande majorité constitués d’anciens saäliks ( bandits des grands chemins).

A son arrivée à Médine, Mahomet rédigea un écrit ( un modus vivendi) entre les musulmans venus de la Mecque (Émigrés) et ceux de Médine (Ansars) et par lequel il s’engagea à rester en paix avec les juifs. Il prescrivit les droits et les obligations des juifs sans que leur consentement n’apparaisse dans cette écrit. Le sang et la rançon étaient des thèmes qui revenaient souvent dans ce pacte, appelé à tort, « constitution de Médine » par certains auteurs islamiques et orientalistes qui tordent le cou à l’histoire. Ce pacte ne fut jamais respecté pas Mahomet.

La première expédition se déroula à Al-‘Is soit 9 mois de la première année de l’Hégire (622), Mahomet  ordonna l’ordre à son oncle Hamza d’attaquer  une caravane mecquoise. Ce dernier, à la tête d’une troupe de trente hommes, voulut prendre par surprise cette caravane qui était défendue par près de trois-cents cavaliers mecquois. Ce fut un échec.

La deuxième expédition commandée par Ubaydat Ibn Al-Harith, à la même époque,  fut aussi un échec. Mahomet envoya une soixante d’hommes  dans la vallée de Rabigh, située  entre Médine et la Mecque,  pour y capturer une caravane mecquoise protégée par deux cents soldats mecquois.

La troisième razzia de Kharrar à la fin  de la première année de l’Hégire (622), commandée par Sa’d Ibn Abi Waqqas, ne porta pas ses fruits. Arrivés sur les lieux de l’embuscade, les hommes de Mahomet constatèrent que la caravane avait déjà pris le large.

La quatrième expédition de Waddan se déroula le deuxième mois de l’An II de l’Hégire  (623) et fut commandée par Mahomet lui-même, mais sans réellement de combat, ni succès. Il rentra à Médine les mains vides.

La cinquième expédition de Buwwat, se déroula  durant le 3ème mois de l’année II de l’Hégire (623). Mahomet à la tête de cent-cinquante hommes n’arriva pas à intercepter  la caravane mecquoise, car elle avait changé d’itinéraire et évita l’embuscade tendue.

La sixième attaque de Mahomet contre les mecquois se déroula le 6ème mois de la deuxième année de l’Hégire(623). A La tête de 200  hommes, Mahomet n’arriva pas capturer la caravane mecquoise.

La septième expédition dite la Nakhla s’était déroulée  au 7ème mois l’An II de l’Hégire(623). Mahomet nomma Abdallah Ibn Jahch à la tête de ce raid de reconnaissance. ‘Les soldats d’Allah’ attaquèrent les quatre hommes qui composaient cette caravane mecquoise et tuèrent l’un d’entre eux. Ce crime fut commis pendant un des quatre mois sacrés où les Arabes du Hedjaz s’interdisaient de faire la guerre. Et pour faire face à cette violation délibérée de cette trêve sacrée, Allah était venu au secours de Mahomet en lui transmettant le verset 217 de la sourate 2 qui autorisait le meurtre de toute personne mécréante. Il en était fini des mois sacrés. Mahomet paya alors le prix du sang de la victime et remis en liberté les autres mecquois capturés lors de cette expédition.

 Le 8ème raid se déroula au 9ème mois de l’An II de l’Hégire ( mars 623) lorsque Mahomet apprit qu’une importante caravane mecquoise se dirigeait vers la Mecque, il mobilisa alors ses troupes pour l’attaquer. Ce fut la bataille de Badr où les mahométans tuèrent cinquante (50) mecquois et  firent soixante-dix (70) prisonniers. Selon la tradition, le butin de guerre fut partagé conformément à la tradition et un  cinquième  (1/5ème) en revint au prophète. Ce fut à cette occasion que les versets 66 et 67 de la sourate 8  furent soufflés à l’oreille de Mahomet par l’ange Gabriel ( Jibril).

Suite à cette bataille de Badr, Mahomet commença à expulser de Médine les Banu Qaynuqa, la plus importante  des trois tribus juives de Médine, après un siège de quinze jours. Selon la tradition islamique, les Banu Qaynuqa avait tué un musulman qui lui-même avait assassiné un bijoutier juif qui avait offensé une croyante islamique.  Mahomet voulut exterminer les sept-cents (700) des Banu Qaynuqua mais un chef de l’une des deux tribus des Ansar, du nom de Abdeallah Ibn Ubayy, l’en empêcha. Le coran fait référence à ce dernier par le verset 84 de la sourate 9.

 La 9ème offensive se déroula au 12ème mois de l’an II de l’Hégire ( 623). Mahomet déclencha une course-poursuite contre un groupe de mecquois polythéistes qui avaient fait une incursion à Médine et avaient tué deux musulmans.

La 10ème expédition se déroula en 624. Quelques jours seulement après la bataille de Badr, se sentant pousser des ailes, Mahomet ordonna les assassinats des poètes Asma Bent Marwan et d’Abu Afak, un homme très âgé,  dans leur sommeil. Ils avaient été exécutés parce qu’ils critiquaient le prophète de l’islam. Non content de ce forfait, Mahomet ordonna aussi l’assassinat du chef de la tribu juive des Banu Nadir, Kab Ibn Ashraf

La 11ème offensive islamique fut celle de Dhi Amr, au deuxième mois de l’An III de l’Hégire ( 625). A la tête de quatre-cents-cinquante (450) hommes, Mahomet séjourna pendant un mois dans le territoire du Nejd, à l’est de Médine, sans qu’il n’y livre de combat. Cette expédition fut uniquement une démonstration de force.

La 12ème expédition de Buhran se déroula au 4ème et 5ème mois de l’An III de l’Hégire ( 625). Le prophète de l’islam, avec plus de 300 hommes, séjourna durant deux mois entre Médine et La Mecque sans rencontrer ses ennemis.

La 13ème expédition d’Al-Qarada se déroula au  6ème mois de l’An III de l’Hégire (625). Pour éviter la route habituelle venant du Cham ( Jordanie), à l’Ouest de Médine ( Yathrib), la caravane mecquoise passa par le territoire du Nejd. Elle fut attaquée par un détachement militaire commandé par Zayd ibn Harithah, fils adoptif de Mahomet, qui s’empara d’un énorme butin.

La 14ème  expédition se déroula durant le  10ème mois de l’An III de l’Hégire (625), Ce fut la bataille d’Uhud où les polythéistes de La Mecque vinrent défier les musulmans près de Médine et cherchaient à prendre leur revanche après la défaite de Badr. Après que le corps de son oncle Hamza fut mutilé, Mahomet dit : « Si je prends le dessus, je mutilerai les corps de trente hommes d’entre eux ». Mahomet regrettera ensuite ces paroles et cela se traduira par le verset 126 de la sourate 16.

La 15ème bataille entre Mahomet  et ses ennemis mecquois se déroula  au 2ème mois de l’An IV de l’Hégire ( 626), lorsque ces derniers  piégèrent les musulmans. Ils demandèrent  à Mahomet de lui envoyer des missionnaires. Six à dix d’entre eux furent alors exécutés à Raji’. Et à la même période, quarante  mahométans furent massacrés à leurs tours à Bir Ma’una après  l’assassinat du polythéiste Khalid bin Sufyan dont le père était le chef de la Mecque, par les compagnons de Mahomet.

La 16ème expédition avait eu lieu durant le 3ème mois de l’an IV de l’hégire ( 626), lorsque Mahomet expulsa la deuxième tribu juive de Médine, les Banu Nadir, après avoir brûlé leur palmeraie. D’après la Sira, ils auraient tenté d’assassiner Mahomet, mais celui-ci  ne présenta aucune preuve du projet de son élimination physique. Les premiers versets de la sourate 59 (l’exode) sont consacrés à cette expulsion où il est fait mention de butin revenant entièrement à Mahomet étant donné qu’il n’y avait pas eu de combat.

La 17ème expédition de Dhat al-Riqa’ se déroula durant le 4ème et le 5ème mois de l’An IV de l’Hégire (626). A la tête de 400 hommes, Mahomet s’installa dans le territoire du Nejd  mais sans combattre. Il voulait seulement tester la réaction de ses ennemis mecquois.

La 18ème expédition de Badr se déroula au 8ème mois de l’An IV de l’Hégire (626) mais les  polythéistes mecquois ne répondirent pas à la provocation de Mahomet. Ce fut un rendez-vous du djihad manqué.

La 19ème expédition de Dumat al-Jandal s’effectua au 3ème mois de l’An V de l’Hégire (627), à la limite du territoire byzantin, à plusieurs centaines de kilomètres au nord de Médine, soit quinze (15 jours) de marche. Sans rencontrer d’ennemi, les musulmans rebroussèrent  le chemin les mains vides.

La 20ème expédition se déroula pendant le 10ème mois de l’an V de l’Hégire (627). Ce fut  la bataille du fossé où les polythéistes de La Mecque se coalisèrent avec les Ghatafan, une tribu située au Nord de Médine dans le Nejd, pour attaquer les musulmans. Le fossé creusé à la hâte par les Mahométans et le vent finirent par obliger les coalisés à mettre fin au siège de Médine. Ce fossé défensif  fut suggéré à Mahomet par Souleymane Al-Farissi, un ancien esclave perse.

Aussitôt le départ  des Mecquois et de leurs alliés, Le prophète de l’islam, assiégea durant une vingtaine de jours la tribu juive des Banu Qurayza en lui reprochant de l’avoir trahi, car elle était restée neutre durant la baille du fossé. Tous les hommes des Banu Qurayza, mêmes les enfants mâles pré-pubères qui avaient quelques poils pubiens ( hadith) furent égorgés ( entre 700 et 900). Les femmes et les enfants furent vendus comme esclaves. Seule l’une d’entre elles fut décapitée parce qu’elle avait tué un soldat d’Allah en lui jetant un moulin ( hadith rapporté par Aïcha). On peut dire que ce fut le premier génocide des Juifs en terre  d’islam.

 La 21ème expédition avait eu lieu (627) quelques jours seulement après la bataille de la tranchée (du fossé). Mahomet envoya un groupe de musulmans pour éliminer le vieux poète juif Abou Rafi’. Un certain Abdullah ibn ‘Atik s’était rendu chez lui de nuit et l’avait  tué. Le prétexte était qu’il était un ennemi déclaré de l’islam et que l’une des deux tribus musulmanes originaire de Médine (Khazraj) voulait imiter l’autre (Aws) qui avait assassiné le poète juif Ka’b ibn al-Ashraf. Un par partout !

La 22ème expédition se déroula sous les ordres de Muhammad ibn Maslamah durant le  1er mois de l’An VI de l’Hégire (628). L’Envoyé d’Allah le chargea, à la tête de trente (30) hommes, d’aller razzier la tribu des Banu Bakr sur le territoire du Njed.  Le butin de cette razzia éleva à  cent-cinquante ( 150 chameaux) et   à trois mille ( 3000) chèvre, selon la tradition.

La 23ème expédition de Banu Lahyan eut lieu durant le 4ème mois de l’An VI de l’Hégire ( 628). A la tête de deux-cents (200) de ses adeptes, Mahomet voulait vengeait les musulmans tués à Raji, mais la tribu des Banu Lahyan s’était réfugiée dans les montagnes. Cette razzia fut un échec.

La 24ème expédition fut celle dirigée par  Zayd ibn Haritha ( fils adoptif de Mahomet) qui se déroula à la même période (628). Les Musulmans prirent des captives et un énorme butin de guerre.

La 25ème expédition se déroula à Dhu Qarad pendant le  5ème mois de l’An VI de l’Hégire (628). Elle fut montée pour capturer des païens de Ghatafan qui avaient tué un berger musulman et volé ses bêtes.

La 26ème expédition eut lieu durant le 8ème mois de l’an VI de l’Hégire ( 628) contre la tribu des Banu Mustaliq, à plus de 250 km de Médine, à l’ouest de Médine près des côtes de la mer Rouge. Plusieurs hadiths rapportent que Mahomet attaqua cette tribu au moment où ses hommes  faisaient abreuver leurs troupeaux dans l’insouciance. Mahomet approuva le viol des captives – selon plusieurs hadiths de Sahih Bukhari – en autorisant ses compagnons à ne pas pratiquer le coït interrompu par rapport au risque de grossesse (la valeur marchande d’une esclave enceinte diminuerait). En distribuant les captives, la belle Juwayriyya bint al-Harith, fille du chef de la tribu, tomba dans le lot d’un des guerriers de Mahomet.

Sur le chemin du retour vers Médine, après une halte, la troupe leva le camp, ignorant qu’Aïcha, la jeune épouse de Mahomet, n’était pas dans le palanquin de son chameau. Elle fut retrouvée et ramenée par un guerrier du nom Safwân Ibn  Al-Muattal qui était en retard sur la troupe, mais ils ne purent rejoindre la troupe musulmane que le lendemain. Se répandit alors à Médine la rumeur selon laquelle, elle aurait commis l’adultère. Allah attendit un mois pour déclarer Aïcha innocente ( sourate 24 verset 11).

De retour à Médine, la belle Juwayriyya bint al-Harith, demanda à Mahomet de l’aider à racheter sa liberté. Il lui proposa alors le mariage, ce qui permit la libération de sa tribu qui devint musulmane.

Au courant du  11ème mois de l’an VI (mars 628) fut signé le traité de Houdaybiya qui prévoyait une trêve de dix (10) ans entre les musulmans de Médine et les Mecquois. Durant les négociations Abu bakr, beau-père et bras droit de Mahomet, dit à un polythéiste mecquois : « va sucer le clitoris d’Al-Lat » (Sahih Bukhari). Parmi les conditions de ce traité, Mahomet devait renvoyer à Médine les mecquoises qui le rejoindraient sans la permission de leur tuteur.

Mais il ne respecta pas ce dernier point puisqu’il refusa de remettre, à leur tuteur, des mecquoises converties à l’islam et qui étaient déjà à Médine. Et Allah vint à son secours en faisant descendre le verset 10 de la sourate 60Si, certains  compagnons de Mahomet notamment son gendre et cousin Ali avaient considéré ce traité comme humiliant parce que les Mecquois avaient refusé qu’il y soit mentionné le nom d’Allah, il s’avéra stratégique puisqu’il laissa la voie libre à Mahomet pour attaquer les autres cités du Hedjaz. D’ailleurs, après ce traité, Mahomet envoya des lettres aux souverains voisins, entre autres Héraclius, dans lesquelles il les appelait à embrasser l’islam et dans lesquelles il précisait : « aslim taslem – Si tu deviens musulman, tu auras la vie sauve » ( rapporté par Sahih Bukhari).

En réalité, les attaques contre les caravanes des polythéistes ne cessèrent jamais malgré la trêve. Elles furent l’œuvre de groupuscules d’esclaves nouvellement convertis à l’islam et ayant fui leurs maitres polythéistes.

Hamdane Ammar

Source : RIPOSTE LAÏQUE – Mahomet était-il réellement un prophète prônant l’amour et la paix ? (1)

Laisser un commentaire