Brigitte Gate : cherchez la femme !

Nous avons reçu ce long article du militant qui signe depuis de longues années ses articles, dans Riposte Laïque et ailleurs “Colonel Napoléon de Guerlasse”.

https://ripostelaique.com/author/colonel-de-guerlasse

Le texte publié ci-dessous tourne autour de ce qu’on appelle à présent “l’affaire Brigitte”, voire “le Brigitte Gate”. Nous avons été hésitants au début de cette histoire, ne prenant pas trop au sérieux les premières hypothèses émises par Natacha Rey. Mais des faits troublants nous ont amenés à publier plusieurs articles, sous la signature notamment d’Anne Schubert, Henri Dubost, Christian Navis et d’autres. Nous avons aussi publié un article de notre amie Nancy Verdier, qui contredisait la piste émise par ceux qui pensaient que Jean-Michel Trogneux était devenu Brigitte. Les proches de Natacha Rey et ceux qui défendaient cette thèse nous l’ont d’ailleurs vertement reproché.

Ce jour, une autre hypothèse, assez complexe, est développée, qui contredit la piste soulevée par Natacha Rey. Nous ignorons si les faits évoqués ci-dessous sont fantaisistes ou sérieux. Mais la complexité, pour ne dire que cela, du couple Macron-Brigitte, et sa surmédiatisation, en font une question politique aujourd’hui incontournable. Et le pire est qu’avec des personnages pareils, tout est possible, et que ce qui paraît loufoque et devrait être balayé d’un revers de main finit par susciter de longues enquêtes, parfois pertinentes et interrogatives. Nous portons donc à la connaissance de nos lecteurs cette nouvelle piste, et publierons, bien évidemment, tout article sérieux qui pourrait contredire les hypothèses fort complexes émises ci-dessous.

Dans un contexte où la question Brigitte est largement commentée dans presque tous les pays au monde, et notamment aux États-Unis et en Russie, nous entendons contribuer à une information libre et laissons nos lecteurs juger de la pertinence, ou pas, des propos diffusés ci-dessous.

Comme tous les citoyens qui se sont intéressés à cette affaire, les documents et l’historique n’ont été reconstitués qu’après de très longues recherches pour rester dans la légalité, alors qu’un juge d’instruction peut résoudre le problème en huit jours à l’aide d’analyses ADN et d’interrogatoires précis.

Les propositions et scénarios ci-dessous sont des hypothèses de travail qui seront un jour ou l’autre confirmées ou infirmées par des preuves matérielles.

Les contenus de la vidéo ci-dessous et du dossier Faits et Documents n° 528 ont bouleversé les hypothèses émises par Natacha REY et PRESSIBUS, qui cherchaient une autre femme que Brigitte TROGNEUX, mère des enfants AUZIÈRE, le père étant supposé être le faux mari André-Louis. C’est d’ailleurs pour cette raison que Catherine AUDOY, épouse de Jean-Louis AUZIÈRE, le couple ayant adopté les enfants de Brigitte TROGNEUX, a été un moment soupçonné.

À partir de plusieurs clichés et listes de classes collectés après des centaines d’heures de recherche, et en utilisant un logiciel de reconnaissance faciale chinois, Xavier POUSSARD conclut que Brigitte TROGNEUX est bien la mère biologique de Sébastien, Laurence et Tiphaine. Cela élimine l’hypothèse de double substitution d’une fillette TROGNEUX décédée émise auparavant par certains et d’un décès non déclaré en 1961, ce qui est scabreux.

Sur les photos de communion et du mariage truqué de 1974 avec un André-Louis AUZIÈRE fictif, pour la machine, c’est bien elle, Brigitte TROGNEUX.

Jean-Michel TROGNEUX se marie en 1980 avec Véronique DREUX et a deux enfants, Jean-Jacques TROGNEUX (1982) et Valérie. La ressemblance entre Emmanuel Macron (1977) et Jean-Jacques TROGNEUX est stupéfiante, ce qui permet d’émettre l’hypothèse que Mme MACRON (décédée) née Françoise NOGUÈS aurait quelque peu fauté avec le très séduisant Jean-Michel.

Les dates collent, Françoise NOGUÈS connaissait Jean-Michel TROGNEUX, elle se marie en 1976 avec Jean-Michel MACRON, Emmanuel MACRON naît en 1977. C’est assez rare, mais environ 3 à 5 % des premiers enfants ne sont pas du mari (ça monte à 30 % pour le dernier de la fratrie, voire plus). Là aussi un test ADN est imparable, Jean-Michel MACRON étant toujours vivant (Françoise NOGUÈS étant décédée).

Tiphaine, qui ressemble aussi fortement à sa mère biologique Brigitte TROGNEUX, naît en 1984, année où aurait commencé la transition de Jean-Michel vers Brigitte devenue MACRON.

La substitution a probablement eu lieu en même temps qu’un changement d’employeur et de résidence (cela doit être corroboré par les articles F&D et Pressibus).

Et la vraie Brigitte TROGNEUX dans tout ça ?

Elle n’est pas morte à l’état civil puisque l’individu qui se fait appeler Brigitte MACRON prétend que c’est elle. Jean-Michel TROGNEUX n’est pas mort non plus puisqu’il a assigné en justice Natacha REY et Amandine ROY, normalement l’avocat et le greffier du tribunal doivent s’assurer de l’existence et l’identité des intervenants à un procès.

Brigitte TROGNEUX est plus jeune de 7 ans que son frère Jean-Michel TROGNEUX, il n’est pas interdit de penser qu’elle est toujours vivante et peut être recluse ou sous un faux nom, elle a 70/71 ans.

Nous sommes dans les années 70, c’est la révolution sexuelle, les femmes sont libres de leur corps, elles couchent avec qui elles veulent, ce qui pouvait faire désordre dans la famille bourgeoise d’Amiens réputée, les TROGNEUX (cf les romans de Maupassant et de Barbey d’Aurévilly).

En 1974, Brigitte TROGNEUX se retrouve enceinte, fille mère. Dans ces cas là, dans ces familles, on planque la donzelle et on abandonne ou éloigne le gosse (ce qui est arrivé à Emmanuel MACRON, élevé par sa grand-mère), ou on force la main au Valentin pour un mariage en grande pompe.

Le problème : qui sont le ou les pères des trois enfants de Brigitte TROGNEUX (la vraie) ?

Il y principalement trois candidats possibles, qui se sont connus durant leurs “études” en Algérie (62/63) : Jean-Louis AUZIÈRE, Jean Marc UHRWEILLER et Jean-Michel TROGNEUX.

Pour faire bonne figure, les compères Jean-Louis AUZIÈRE (en relation avec les services) et Jean-Michel TROGNEUX (forte amitié) inventent alors André-Louis AUZIÈRE, le faux mari (décédé un 24 décembre et incinéré le 28, faire-part en maillot de bain !).

Jean-Marc UHRWEILLER habitait Truchtersheim où une Brigitte AUZIÈRE (née TROGNEUX donc) s’est présentée aux élections.

Il n’y a pas de problème particulier avec ces deux personnages hors de la famille TROGNEUX, ce sont des choses qui arrivent. Comme il sont vivants, autant leur demander et au passage prélever leur ADN.

Rien ne s’oppose non plus à ce que ce soit Jean-Michel TROGNEUX, son frère, qui soit le père. Les manigances qui ont suivi pour cacher la vérité plaident pour cette hypothèse.

C’est un cas d’INCESTE rare, mais cela existe. Une analyse d’ADN résoudra la question. N’oublions pas que Jean-Michel TROGNEUX a fréquenté des milieux sulfureux dont celui du pasteur DOUCET.

Brigitte TROGNEUX a ensuite deux autres enfants, mais étant faussement mariée pour la galerie, ça passe crème.

Jean-Michel TROGNEUX pourrait donc être le père des trois enfants AUZIÈRE avec sa sœur Brigitte, d’Emmanuel MACRON et est avec certitude père de Jean-Jacques et Valérie TROGNEUX.

Jean-Michel TROGNEUX, dont il est établi avec une quasi-certitude qu’il avait entamé sa transition vers 1984 divorce de Véronique DREUX en 1987, mais il pouvait très bien mener une double vie, c’est courant, sauf que lui c’était femme ou homme selon les circonstances. Ses frasques ont-elles été à l’origine du divorce ? Véronique DREUX (vivante) et ses enfants peuvent-ils nous en dire plus ?

Jean-Michel TROGNEUX disposait alors d’énormes moyens de pression au scandale, sur sa sœur et sur toute la famille, y compris Jean-Louis AUZIÈRE et Jean-Marc UHRWEILLER ses comparses (n’oublions pas qu’il s’agit d’une famille bourgeoise où tout est fait pour cacher les turpitudes dans les alcôves).

Pour faire sa transition et devenir femme trans, il serait alors venu une idée machiavélique à Jean-Michel TROGNEUX : devenir sa sœur.

Il y aurait donc comme explication un arrangement ou un chantage entre le frère et la sœur. Jean-Michel TROGNEUX avait forcément accès aux papiers d’identité de Brigitte, au livret de famille et au registre d’état civil de la mairie, au numéro de sécurité sociale, à l’époque tout était manuel, facile, surtout avec un coup de main de Jean-Louis AUZIÈRE et ses relations avec les services (cf le séjour en Algérie en 62/63) ET INVERSEMENT. Il suffit de faire une déclaration de perte de carte d’identité (carton à l’époque), puis de se présenter à une mairie quelconque avec un “look” de femme pour s’en faire établir une autre avec une nouvelle photo si on a en sa possession les justificatifs ci-dessus, et le tour est joué.

Avec cette nouvelle carte, il a alors été possible de se faire embaucher en tant que femme dans des établissements d’enseignement prestigieux… probablement avec les diplômes de sa sœur Brigitte ou des diplômes falsifiés, voire aucun.

Brigitte TROGNEUX quant à elle dispose en ” échange” des papiers de Jean-Michel dans les même conditions que ci-dessus. Difficile quand même trouver du travail sous cette identité si elle a conservé un look de femme, sauf si évidemment elle a été employée par l’entreprise familiale puisque tout le monde était de mèche. Ceci expliquerait pourquoi elle a pu élever ses trois enfants avec l’aide du cocon familial.

À ce stade il convient de rappeler que la première chose qu’a faite la République pendant la Révolution est de récupérer l’état civil autrefois tenu par l’Église catholique (les généalogistes se servent encore des registres paroissiaux). Dans la digne suite fut instauré le numéro de sécurité sociale en 1945 (les prémisses datant de 1940 avec la mécanographie par cartes perforées de l’époque).

Ce numéro est donc composé de 1 ou 2 pour le sexe, l’année de naissance, le mois, le numéro de département, le code de la commune, et trois chiffres xxx de l’ordre d’inscription mensuel au registre d’état civil de la commune, les deux derniers chiffres zz étant une clé de contrôle.

Jean-Michel TROGNEUX a pour numéro : 1.45.02.80.021.xxx zz.

Brigitte TROGNEUX : 2.53.04.80.021.xxx zz.

On notera que cette citation des numéros de sécurité sociale a été évoquée dans le dossier PRESSIBUS, sans plus, alors qu’il sont au cœur du problème et la clé du mystère.

Ces numéros sont utilisés par les entreprises et les administrations tout au long de la vie, et en particulier par les CAISSES DE RETRAITES (y compris complémentaires, assurances vie etc.), mais aussi la SÉCU (carte Vitale).

Tous ceux qui ont liquidé leur retraite ont sans doute été frappés par la précision “diabolique” des reconstitutions de carrière, personnellement il n’y avait pas d’erreur.

Dans le dossier PRESSIBUS, la carrière de Jean-Michel TROGNEUX et ses déplacements a été étudiée, et sauf erreur, rien pour sa sœur Brigitte.

L’hypothèse d’une SUBSTITUTION CROISÉE est la plus vraisemblable, Jean-Michel s’appropriant le numéro de Sécu 2.53.04.80.021.xxx zz et sa sœur le 1.45.02.80.021.xxx zz.

En gros :

Jean-Michel TROGNEUX commence à être rémunéré à partir de 1962/63 (agent “secret” en Algérie ?), roule sa bosse jusqu’à sa transition en 1984, où il se substitue à sa sœur (et inversement, c’est croisé). De mémoire il est ensuite rémunéré par l’entreprise familiale (administrateur ?), ni vu ni connu, jusqu’à sa retraite en 2005 environ. Les caisses de retraite effectuant leur paiements par virement, il est enfantin de retrouver les numéros de comptes bancaires concernés et d’en connaître le titulaire. C’est à la portée d’un stagiaire dans un cabinet de juge d’instruction. En clair Brigitte TROGNON touche la retraite de son frère (quid d’une éventuelle réversion à Véronique DREUX ?).

Le cas de Brigitte TROGNEUX est plus compliqué. En supposant qu’elle a commencé à travailler à 20/25 ans, soit 1965/1970, elle a cotisé pendant environ 14 à 19 ans jusqu’en 1984 où son frère Jean-Michel l’a remplacée en se faisant embaucher dans l’enseignement. Étant supposée née en 1953, la retraite (aux 60 ans de Brigitte) est intervenue en 2013 (sauf retraite anticipée).

Donc l’individu qui se fait appeler Brigitte MACRON touche la retraite de début de carrière de sa sœur, plus celle où elle s’y est substituée dans l’enseignement (caisse IRCANTEC).

Les dossiers de retraite de Jean-Michel TROGNEUX et de Brigitte TROGNEUX seront les juges de paix de ces hypothèses.

Chimérique ? Pas tant que ça puisque personne n’a jamais vu Jean-Michel à son adresse à Amiens.

Beaucoup ont cherché à retrouver Jean-Michel pour prouver par son absence qu’il est devenu le personnage qui se fait appeler Brigitte MACRON.

Il a une boîte aux lettres à son nom dans le couloir du 14 rue des Vergeaux à Amiens, à côté de la chocolaterie.

C’EST L’ERREUR QUE TOUT LE MONDE A COMMISE : IL FAUT CHERCHER UNE FEMME DE 70/71 ans.

En passant ses photos dans un logiciel de vieillissement, pas de souci pour établir un portrait robot. Cette femme peut très bien avoir un aspect d’homme, et dispose des papiers d’identité de Jean-Michel Trogneux, comme ce dernier a utilisé ceux de sa sœur Brigitte. Ça suit toujours ?

Il se trouvera bien quelqu’un qui va la ou le reconnaître dans toutes les personnes qu’a contactées Xavier POUSSARD et ses informateurs.

Il y a aussi un moyen de la retrouver : il est fort probable que Brigitte TROGNEUX était présente dans les différentes cérémonies où les proches étaient invités à l’Élysée (comme celles où étaient présents les parents de Macron). Souvenons-nous qu’un “petit gros” a été un moment soupçonné d’être Jean-Michel TROGNEUX, pour brouiller les pistes sans doute.

Ce scénario explique pourquoi aucune photo de l’individu Brigitte Macron avec ses enfants en bas âge n’existe, forcément, ces photos appartiennent à Brigitte TROGNEUX et sont détenues par elle.

On notera d’ailleurs que les trois enfants AUZIÈRE (adoptés par Jean-Louis !) savent que leur mère existe et est bien vivante et si ça se trouve la rencontrent.

Les machines à analyser les ADN vont y perdre leur latin.

La comparaison entre celui de Brigitte MACRON et d’Emmanuel MACRON risque fort d’être édifiante puisque la ressemblance surprenante entre Emmanuel MACRON et Jean-Jacques TROGNEUX suggérerait que Macron a épousé son père ! C’est aller sans doute un peu loin, mais tout est possible dans cette histoire rocambolesque.

L’étau se resserre, car la “première dame”, du fait de son influence, est allée jusqu’à faire concocter une loi comme celle qui vient d’être votée pour embastiller pour délit de presse : loi LEFÈVRE-YADAN. Un des visés, outre les patriotes en général, est Alain Soral, or E&R est propriétaire de Faits et Documents, tout s’explique.

Le fait que la presse US rentre dans le circuit donne quelques totems d’immunité à Borowsky, Poussard et Soral et votre serviteur, car c’est quand même un scandale planétaire.

On ne sait pas qui, de la CIA ou du FSB, va cracher le morceau en premier, puisque les analyses ADN sont faites : une trace de doigt sur un verre ou une collecte de “dame pipi” lors d’un voyage officiel  et c’est bon.

Une pensée pour Natacha REY qui a un cancer et pour les personnes broyées par cette histoire monstrueuse, et félicitons-la de son intuition bien féminine.

En tous cas, nous sommes dans le registre des fameuses émissions “Les 5 dernières minutes”, avec l’inspecteur Bourel : “Bon Dieu mais c’est bien sûr” !

CHERCHEZ LA FEMME ! Elle a 70/71 ans !

Colonel Napoléon de Guerlasse

www.guerredefrance,fr et www.action-patriote.fr

Source : RIPOSTE LAÏQUE – Brigitte Gate : cherchez la femme !

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