« Le petit monde de Don Camillo » avec Fernandel, l’un des plus gros succès du cinéma français

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En Haute-Vienne, au village de Solignac, on refait « Don Camillo » !

En Haute-Vienne, le village de Solignac est divisé depuis l’arrivée dans son abbaye, fin 2021, d’une dizaine de moines catholiques traditionalistes dont l’attitude hérisse des habitants et épuise le maire.

« Les habitants se regardent en chiens de faïence. Vous avez les pro-moines, les anti-moines et au milieu, la mairie »,

suite de l’article ici :

https://www.lanouvellerepublique.fr//a-la-une/tags-etron-dans-l-eglise-la-revolte-de-villageois-contre-des-moines-conquerants-en-haute-vienne

Et :

https://www.francebleu.fr/infos/societe/haute-vienne-discorde-autour-de-l-abbaye-de-solignac-4251280

« Le petit monde de Don Camillo »

Inspiré du roman de Giovannino Guareschi publié en 1948, « Le petit monde de Don Camillo » fut l’un des plus gros succès du cinéma français avec l’inégalable Fernandel jouant le curé, et a généré quatre suites, plus une sans la distribution initiale.

Don Camillo est un curé de campagne, pieux et engagé,  est face à son antagoniste principal, Peppone le maire du petit  village de Brescello dans la Bassa Padana.

Ces deux protagonistes vont se livrer à travers cinq films (Fernandel, malade, ne terminera pas le tournage du sixième) à des escarmouches verbales et parfois physiques, mémorables.

Les  face-à-face truculents donnent son âme au film. Avec entre eux un fond de tendresse réciproque qui fait tout le prix de l’histoire

Les échanges entre le curé et Jésus dans l’église sont savoureux et spirituels.

Bande-annonce

https://ok.ru/video/42862119487

Extraits : 

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Le film se passe dans l’Italie rurale de l’immédiat après-guerre et raconte l’affrontement entre ‘Peppone’ le maire communiste d’un petit village (Gino Cervi) et ‘Don Camillo’ (Fernandel), le curé querelleur au caractère de cochon. Si le scénario décrit avec ironie une situation politique explosive, il le fait avec bonhommie et renvoie dos-à-dos les « rouges »  et les gros propriétaires repliés sur eux-mêmes.

Ici tout le monde s’exprime en français avec l’accent du midi et le duo formé par un Fernandel bagarreur et Cervi, massif et dissimulant un cœur d’or, fonctionne à merveille.

Don Camillo renvoie à une époque où notre continent n’était pas encore envahi par l’islam et la diversité façon Omar Sy.

On mesure en revoyant les images l’ampleur du basculement démographique et culturel dont nous sommes victimes.

L’humour est par nature irrespectueux et transgressif.

Avant la soumission de France à l’islam, la règle du jeu était la suivante  :

« On doit tolérer l’inconvenance, grossière et provocatrice, l’irrévérence sarcastique sur le bon goût desquelles l’appréciation de chacun reste libre, qui ne peuvent être perçues sans tenir compte de leur vocation ouvertement satirique et humoristique, qui permet des exagérations et des déformations et présentations ironiques (source) ».

Une transposition en 2024 de Don Camillo en imam serait tout simplement impensable et ne ferait rire personne, du reste.

Même au pays de Voltaire, l’islam dicte sa loi et l’on se fait tuer au nom d’Allah pour moins que cela.

L’humour est un genre particulier qui participe de la liberté d’expression, à l’opposé du dogme islamique et de la charia.

Le retour de Don Camillo-1953 :

https://ok.ru/video/2544134720026

La Grande Bagarre de don Camillo 1955 :

 Don Camillo et les contestataires 1972

Don Camillo en Russie :

https://www.tokyvideo.com/fr/video/don-camillo-en-russie-vf

Quand Fernandel parlait de son rôle dans « Don Camillo » :

Jules Ferry

Source : RESISTANCE REPUBLICAINE – « Le petit monde de Don Camillo » avec Fernandel, l’un des plus gros succès du cinéma français

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