Molenbeek, Saint-Josse… La capitale la plus islamisée d’Europe est aussi celle de l’UE !

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Le barrage policier auquel se sont heurtées les personnalités qui devaient animer, à Bruxelles, la National Conservatism Conference, le 16 avril dernier a récemment et brièvement braqué le projecteur sur notre voisine d’outre-Quiévrain. De fait, ce ne sont pas les autorités « bruxelloises » qui furent à l’origine de ce mauvais coup, mais seulement celle du bourgmestre de Saint-Josse (l’une des dix-neuf communes équivalentes aux arrondissements des grandes villes françaises), Emir Kir, fils d’immigré turc, au prétexte avoué que « l’extrême droite n’est pas la bienvenue ».

Étrange, tout de même, de la part d’un homme viré en 2020 du Parti socialiste pour ses liens avec les Loups gris, groupe ultranationaliste turc (c’est un de ses membres, Mehmet Ali Ağca, qui avait tenté d’assassiner le pape Jean-Paul II) et, donc, si les mots ont un sens, d’extrême droite lui-même !

D’ailleurs, s’il ne l’était pas, il est douteux que Wikipédia – dont on connaît la proverbiale impartialité – rappellerait les conditions de son élections de 2018 : « campagne électorale faite de menaces contre des candidats, d’insultes et des tentatives de fraude dans les bureaux de vote, au moyen de fausses procurations ». En 2005, déjà, la Justice belge avait jugé qu’Emir Kir se prétendait faussement titulaire d’une licence en « sciences politiques et relations internationales » (et niait, bien sûr, le génocide arménien.)

À ce sujet — Réunion conservatrice interdite à Bruxelles : encore un coup porté à la démocratie

Bien avant les recommandations de Terra Nova, le virage islamo-gauchiste d’un Mélenchon et les méfaits d’un Kir, le politicien belge Philippe Moureaux (1938-2018) avait compris tous les bénéficies à retirer de la séduction du peuple de substitution. Dans un pays où le vote est obligatoire, ce n’est pas un détail (« Vous n’avez pas d’opinion ? Je vous en prie, prenez les miennes… »).

Né d’une mère héritière de l’équivalent belge de Bouygues et d’un ministre libéral, Moureaux comprit (comme le fils préféré de Mitterrand, Mélenchon) que l’avenir était plutôt à un PS, auquel il adhéra. S’ensuivirent divers postes ministériels, mais aussi et surtout le maïorat (ainsi qu’on désigne, là-bas, la fonction de bourgmestre) de Molenbeeck de 1992 à 2012. La commune fief de Salah Abdeslam et de sa bande de la tuerie du Bataclan, base du terrorisme islamiste et point de passage de centaines de massacreurs islamistes en partance pour la Syrie et autres lieux.

Le successeur de Moureaux à la tête de la commune aux 22 mosquées explique, aujourd’hui, que sa ville n’y pouvait rien et que ces problèmes étaient traités par des services spéciaux à un niveau très supérieur. Peut-être, mais qui a semé et arrosé la graine ?

La démocratie, c’est la démographie, et aujourd’hui, plus des trois quarts (76,6 %) de la population bruxelloise est soit étrangère soit d’origine étrangère. Et tous ne sont pas des fonctionnaires internationaux… La capitale la plus islamisée d’Europe est aussi celle de l’UE. Hasard ? Mais on le sait, le Grand Remplacement est un fantasme.

Richard Hanlet

Source : BOULEVARD VOLTAIRE – Molenbeek, Saint-Josse… La capitale la plus islamisée d’Europe est aussi celle de l’UE

Une réponse à “Molenbeek, Saint-Josse… La capitale la plus islamisée d’Europe est aussi celle de l’UE !

  1. Pas pour rien que c’est cette Europe de Raphaël Glucksulmann qui donne des dérogations au kebab aux phosphates, s’inquiète pour beaucoup pour les musulmans et est aux petits soins pour leurs palestiniens…

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