Comment les Fondations mafieuses de Soros et Rockefeller financent des étudiants soutiens du Hamas

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L’occupation de Sciences Po et de la Sorbonne à Paris, par des militants anti-israéliens n’est pas un phénomène unique. Depuis l’attaque terroriste du 7 octobre, de nombreux campus américains ont été pris d’assaut par les militants les plus radicaux de la « cause » palestinienne. Mais comment ces protestations peuvent-elles tenir sur une telle durée ? Chacun le sait, l’argent est le nerf de la guerre.

Derrière les organisations des Étudiants pour la justice en Palestine (SJP en anglais) ou de la Campagne américaine pour les droits des Palestiniens (USCPR en anglais), se cachent l’Open Society et la fondation des frères Rockefeller.

Créée par George Soros, cette Fondation a pour but de promouvoir « un monde plus ouvert » et encourager « la construction de démocraties dynamiques et inclusives. » Pour défendre ses valeurs, l’Open Society a donc distribué des centaines de milliers de dollars – et ce n’est pas la seule – à des fonds qui s’occupent eux-mêmes de la redistribution vers les associations anti-israéliennes comme le révèlent nos confrères du New York Post.

Des financements astronomiques

S’il en faut peu pour être heureux, avoir beaucoup c’est encore mieux ! Du moins, c’est ce que doivent penser les militants dont les associations perçoivent une rente via les fondations de Soros et Rockefeller. L’USCPR a, par exemple reçu 300.000 dollars de l’Open Society depuis 2017, et 355.000 dollars de la fondation des frères Rockefeller – qui justifie ces dons comme faisant partie d’une aide au « développement durable » et à la « consolidation de la paix ». De son côté, la Voix juive pour la Paix (JVP en anglais) – impliquée dans le blocus de l’université de Columbia et épinglée après avoir invité le chef du groupe terroriste Resistance 101, affilié au Hamas  – a perçu 650.000 dollars de l’unique fondation de Soros.

À ce sujet — Antisionisme et wokisme : l’effondrement idéologique de Sciences Po

D’après les analyses du New York Post, l’argent de ces fonds philanthropiques progressistes transitent en premier lieu vers d’autres associations qui s’occupent de les redistribuer afin de mieux camoufler ces soutiens. En effet, l’Open Society a donné plus de 20 millions de dollars à la Tides Foundation qui « distribue de l’argent de donateurs à d’autres organisations progressistes. » D’autres fondations ont également servi d’intermédiaires comme la White Plains, motivées par les mêmes valeurs ou encore la Sparklug Foundation.

Le 7 octobre, « une victoire historique »

L’idée de progrès a bon dos lorsqu’il s’agit de défendre les pires opinions. Et en la matière, les plus farouches opposants à l’État hébreux ont multiplié les propos outrageux. Se répandant dans les campus des plus prestigieuses universités américaines (Yale, Harvard, Massachussetts Institue of Technology…) c’est à l’université Columbia de New York, 12e université du pays, que les protestations anti-israéliennes ont été les plus féroces. Sur les tracts distribués des membres de la SJP, financée par l’Open society, sur les campus, une phrase a choqué : « [l’attaque du 7 Octobre, NLDR] est une victoire historique pour la résistance palestinienne. »

Plus récemment, un des leaders des manifestations anti-Israël de l’université de Columbia, Khymani James, a déclaré dans une vidéo publiée sur YouTube, que les « sionistes ne méritent pas de vivre ». Charmant n’est-ce-pas ? Le jeune homme ne s’arrête pas là : « Leur existence et les projets qu’ils ont construits [les sionistes, NDLR], c’est-à-dire Israël, tout cela est contraire à la paix. Alors oui, je me sens très à l’aise – très à l’aise – pour appeler à la mort de ces gens. » Et de conclure : « Soyez heureux, soyez reconnaissants que je ne me contente pas d’assassiner des sionistes. » Exclu depuis, l’étudiant a largement été soutenu par les associations « pro-palestiniennes » de son campus. Certainement toutes de sympathiques organisations progressistes qui méritent qu’on finance leur antisémitisme à peine voilé.

Julien Tellier

Source : BOULEVARD VOLTAIRE – Comment les Fondations de Soros et Rockefeller financent des étudiants soutiens du Hamas

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