La logique des lâches : la Belloubet privilégie l’agresseur en obligeant l’agressée à changer d’établissement !

Ils ont de drôle de façons de voir l’équité, en Macronie. L’agresseur et l’agressé subissent la même peine par mesure d’équité… Oui, oui…

Remarquez, pourquoi est-ce que je m’étonne ? Cela fait un moment que, par mesure d’équité, les volés, violés et autres parents de victimes sont mis en garde à vue et même condamnés à la prison par mesure d’équité (parce que les délinquants font peur aux autorités ?) parce qu’ils ont commis le crime abominable de se défendre, d’essayer de préserver leurs biens, leurs vies ou celle des leurs… Les faits-divers sont tellement nombreux qui nous racontent ce genre d’équité vue par les mondialistes  pervers qui sacrifient avec délectation nos gosses. 

Le dernier exemple en date c’était Charles Demassieux, de Riposte laïque, mis en garde à vue puis condamné pour avoir porté secours à une vieille dame agressée en donnant un coup de coupe-papier à l’agresseur camé et ivre. Après cela on ne s’étonne plus de rien.

Il n’empêche que des envies de tout casser me prennent quand je lis ça. Une gamine de 7 ans violée par une autre…

Et la violeuse de 7 ans, d’où lui vient l’idée et l’envie de faire enlever sa culotte à sa victime et à la pénétrer avec un doigt ? Et il ne va rien se passer ? On ne va pas enlever l’agresseur de chez sa famille qui s’en occupe si mal ? On ne va pas faire suivre cette gosse ? On ne va pas enquêter pour savoir si les fameux cours d’Education sexuelle auxquels tient la Macronie, même en maternelle, ne seraient pas responsables de ces horreurs ?

Et, quel hasard, tout cela se passe en Seine-Saint-Denis, territoire perdu de la République où trop d’habitants ne connaissent qu’une culture de force, de violence, de mépris des enfants et des femmes…

Allo, Dupond-Moretti, il faudrait au moins une commission d’enquête pour étudier tous ces éléments, non ?

Non, apparemment il suffit de changer les gosses de classe puis, comme ça ne marche pas, on les change d’école… et tout le monde s’en lave les mains. Quand l’agresseur va recommencer, parce qu’elle recommencera, on la changera encore d’école, et tant pis pour ces pauvres gosses victimes qui traîneront toute leur vie ce souvenir abominable qui les empêchera peut-être d’avoir une sexualité épanouie. Pas grave, Macron, les gosses il s’en fout !

Dans une école de Pantin (Seine-Saint-Denis), une enfant de 7 ans a été victime de viols de la part d’une des élèves de sa classe. Ne sentant pas leur fille suffisamment protégée, les parents de la victime ont été contraints de la changer d’établissement scolaire. La victime a vécu comme une « punition » le choix fait par l’école pour régler l’affaire. Plutôt que d’exclure son agresseuse, l’école a choisi de déplacer les deux élèves de classe, « par mesure d’équité » selon des propos de la directrice aux parents.

La santé de la petite fille, qui a dû faire face à son agresseuse pendant trois semaines dans la même classe, puis pendant deux mois et demi dans le même établissement, s’est dégradée. Ses parents l’ont finalement changée d’école.

«Je suis tombée de ma chaise, je n’aurais jamais imaginé qu’à cet âge-là, une chose aussi grave puisse se passer. On dépose nos enfants à l’école et on est confiants. » Stéphanie, la maman de Caroline* [Les prénoms ont été changés], est encore abasourdie par ce qui est arrivé à sa petite fille l’an dernier, alors qu’elle n’était âgée que de 7 ans. Fin mars 2023, celle-ci leur a raconté avoir subi plusieurs viols d’une de ses camarades, dans une école à Pantin (Seine-Saint-Denis), comme l’avait révélé Mediapart.

Ce jour-là, après s’être d’abord confiée à son instituteur, Caroline, très agitée et les mains tremblantes selon le récit de sa mère, explique que Rebecca*, qui insistait pour être invitée à leur domicile et se montrait un peu collante, l’a bloquée dans les toilettes, la forçant à enlever sa culotte et lui mettant « les doigts dans la zézette ». « C’est arrivé au moins deux fois », lâche la petite fille, qui avait déjà été auscultée près de dix jours avant ces révélations par un médecin qui avait constaté un « prurit vulvaire », sans que la cause soit identifiée.

Mais ce soir-là, Caroline parle. Elle raconte aussi les menaces que lui a adressées son agresseuse et la sidération qu’elle a vécue. « Elle lui a dit que dans sa famille, tout le monde faisait de la boxe et viendrait la frapper si elle parlait. Elle m’a aussi expliqué que Rebecca avait comme changé de visage lorsqu’elle était entrée dans les toilettes, et qu’elle avait eu très peur. Elle a décrit tous les mécanismes du viol », raconte sa mère.  […]

20 minutes

Christine Tasin

Source : RESISTANCE REPUBLICAINE – Belloubet privilégie l’agresseur en obligeant l’agressée à changer d’établissement

Laisser un commentaire