Lettre au père de Matisse : votre fils est mort à cause de l’immigration

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Monsieur.

Tout d’abord, je tiens à vous adresser mes plus sincères condoléances pour la mort ignoble de votre fils qui ne méritait pas un tel sort à son âge. Sort qu’il n’aurait pas connu si la France aimait encore ses enfants. Mais, à cause de volontés malfaisantes, elle leur préfère désormais l’Autre, celui qui vient d’un ailleurs qui nous hait…

À présent, laissez-moi vous dire combien non pas je regrette mais je condamne vos propos, qui sont les suivants, prononcés au micro de RTL, alors que votre enfant venait d’être assassiné : « Ne mélangeons pas tout. Faites attention à tous les bords de droite ou d’ailleurs qui s’approprient ce genre de choses. » Puis, vous disiez encore de « ne pas partir dans la haine et la violence », comme si la haine et la violence venaient de partout en France et non presque exclusivement de la part d’une catégorie de la population qui n’est pas, précisément, française, sauf peut-être de papiers.

https://www.courrier-picard.fr/id518347/article/2024-04-30/meurtre-de-matisse-chateauroux-un-adolescent-et-sa-mere-mis-en-examen

Monsieur Christophe Marchais, je ne doute pas un seul instant que vous aimiez votre enfant et qu’il va vous manquer jusqu’à la fin de vos jours. Mais songez que vos propos – issus d’une propagande abjecte de minimisation des crimes allogènes au nom d’un antiracisme menteur, puisque le racisme meurtrier vise quasi-exclusivement des Blancs ! sont une incitation inconscience à poursuivre le massacre de jeunes Blancs. Car je suis convaincu que l’assassin délinquant de Matisse – protégé par les juges ! – s’est senti légitime à le tuer du fait de ses origines autochtones et que sa main n’aurait pas été aussi sûre s’il s’était agi d’un autre Afghan par exemple.

Cela en serait resté à une bagarre entre deux adolescents. Tout comme la mère de cette immonde créature n’aurait pas frappé Matisse avec autant d’entrain enragé.

Pire,

issu d’une famille de racailles allogènes connue des services de police et terrorisant son entourage depuis des années, tout en profitant des avantages de notre pays, l’assassin de votre fils a osé l’accuser de « propos racistes », légitimant ainsi son geste meurtrier !

Encore une fois, je ne vous juge pas responsable entièrement de vos propos parce que vous avez, comme beaucoup, subi ce lavage de cerveau multiculturel depuis les bancs de l’école. Lavage de cerveau qui dédouanait tout immigré de ses actes quand, dans le même temps, il accablait les Blancs de tous les maux de la Terre.

Votre fils en est mort de ce lavage de cerveau. C’est pourquoi vous n’auriez jamais dû prononcer ces paroles malheureuses qui, quelque part, salissent la mémoire de Matisse, quelles que furent ses opinions politiques naissantes. Matisse est mort à cause de l’immigration, rien d’autre.

Non, monsieur, il n’y a pas de récupération dans la colère suscitée par la mort d’une Lola, d’un Thomas ou d’un Matisse. Car s’ils n’étaient pas de mon sang, ils étaient mes semblables et j’entends ici exprimer toute ma colère, appelant à ce que des millions de Français fassent de même pour mettre fin à cette extermination ethnique des Blancs qui ne dit pas son nom et dont, je l’affirme, Matisse a été une énième victime.

(Cela exprimé avec tout le respect et l’amitié que j’ai pour les non-Blancs qui désirent vivre en harmonie avec la France enracinée.)

Je ne m’attarderai pas plus longuement, respectant votre deuil et celui de toute la famille et des proches de Matisse, concluant toutefois par ces mots de Balzac qui traduisent exactement mon sentiment présent en songeant à l’assassinat racial de Matisse : « La haine est un tonique : elle fait vivre, elle inspire la vengeance, mais la pitié tue, elle affaiblit encore notre faiblesse. »

À la mémoire de Matisse…

Charles Demassieux

Source : RIPOSTE LAÏQUE – Lettre au père de Matisse : votre fils est mort à cause de l’immigration

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