Matteo Salvini a dit à Macron d’aller se faire soigner la tête. A-t-il tort ? Il semblerait que non…

Numéro deux du gouvernement italien, président de la Ligue du Nord, député européen, Matteo Salvini a jugé que Macron était un type dangereux après ses récentes sorties sur ses intentions d’envoyer des troupes européennes en Ukraine… Et foin des considérations diplomatiques, il lui a tout simplement conseillé d’aller se faire soigner !

Pour les Français qui ne sont pas scotchés à Télé-Menteurs, ce n’est pas un scoop

Ils savaient depuis le printemps 2017, avant l’élection pestilentielle, qu’on avait affaire à un psychopathe manipulateur pervers, doublé d’un immature, pouvant devenir extrêmement dangereux si on le contrarie.

C’était l’avis du psychiatre Adriano Segatori qui réitère son diagnostic en 2022, considérant que l’état du malade a empiré. « Comme tous les psychopathes, il a une haute idée de lui-même, mais il n’aime pas la France et ne lutte pas pour le peuple de France. Il s’aime énormément et lutte pour maintenir sa fragile identité. »

Segatori, expert auprès des tribunaux italiens, a une certaine pratique des déments criminels, et il connaît leurs ruses pour masquer leur vraie personnalité. Jamais bien longtemps car chassez le naturel, il revient au galop !

Il a évoqué les problèmes mentaux de Macron en rappelant ses crises d’hystérie liées aux Gilets jaunes. Et plus tard ses réactions capricieuses, incohérentes, face au covid-19. Refusant d’écouter des pointures de la médecine et de la pharmacologie, vexé que des gens plus calés que lui prétendent le conseiller… Démantelant ensuite le système de santé du pays, 57 000 lits d’hôpital supprimés et 15 000 soignants virés. Juste « pour emmerder les Français » comme il l’a lui-même reconnu avec cette jubilation perverse qui le caractérise.

Irresponsable aussi lorsqu’il laisse la dette d’État dépasser les 1000 milliards d’euros, et abandonne à des sociétés de conseil comme McKinsey et Blackrock le soin diriger le gouvernement français… Pour le rôle de Président, les banksters ont trouvé un pantin mentalement instable, orgueilleux, mégalo et cupide, qu’ils peuvent facilement contrôler. En actionnant en prime le bonus de sa composante sadique.

Il suffit de voir avec quelle insouciance d’abord, quelle indifférence ensuite et quel plaisir assumé enfin, il a laissé de dizaines de milliers de Français mourir du covid, puis crever de ses faux vaccins, tout en se délectant des insupportables privations de liberté infligées à une population tétanisée, trop angoissée pour se révolter. Avant de réduire les retraites des rescapés du Rivotril.

Cruel avec les gens qui ne sont rien, servile avec les grands de ce monde

Sous ses airs de matamore se profile le syndrome du loufiat. Impressionné par les gens qui ont plus de pouvoir que lui, et obséquieux avec ceux dont il peut espérer quelques faveurs. La gestuelle et les mimiques faciales sont impitoyables. Il suffit de repasser les photos ou les vidéos où il s’incline humblement devant le roi d’Arabie, ou se fait insignifiant à côté du Président chinois.

Une monographie du FBI consacrée aux tueurs en série par procuration, ces détraqués qui font commettre leurs crimes par des « apprentis » subjugués ou stipendiés, et se délectent du spectacle, correspond assez bien au dictateur. On y retrouve quatre traits marquants de sa personnalité :

Le narcissisme : Moi seul existe, les autres ne sont que des marionnettes. Lemachiavélisme : Ma parole est un outil de pouvoir pour leurrer les naïfs et je change de discours quand ça m’arrange. La sociopathie : Une absence totale d’affect pour les émotions et les malheurs des autres. Le sadisme : La jubilation ressentie à infliger de la souffrance ou de l’humiliation à autrui.

Aujourd’hui, le monde entier sait que c’est un malade mental

Il suffit de parcourir la presse internationale, papier ou numérique, celle d’Asie, d’Afrique, d’Amérique latine, grosso modo celle qui échappe à la tutelle des banksters du Nouvel Ordre mondial pour y lire que Macron est un grand malade dont l’état mental est incompatible avec les fonctions qu’il exerce.

Les moins virulents disent qu’il s’enferme de plus en plus dans un monde imaginaire dont il est le dieu vivant, coupé des réalités, diagnostiquant une forme de schizophrénie. « C’est un enfant qui s’est construit un univers magique dans lequel il s’isole et se complaît » a dit une pédopsychiatre qui préfère qu’on ne cite pas son nom. Le bougre pourrait la faire radier !

Il est fort probable que Brichel soit, délibérément ou indirectement, le moteur de son univers onirique. D’abord parce qu’il reste un petit garçon en sa présence et se complaît de façon malsaine dans ce rôle. Ce qui doit convenir à Brichel puisque ainsi le gamin attardé est facilement influençable et manipulable.

En lui laissant croire qu’il peut se comporter comme un homme. Comme quand il trimballe dans tous ses déplacements la petite valise contenant les codes nucléaires. Dont il brûle d’envie de se servir. Tel un enfant trépignant devant un nouveau jouet dont il voudrait bien ouvrir la boîte.

Là encore, la gestuelle est plus parlante que tous les discours. Même si on voit moins Brichel, désormais un peu en retrait dans les cérémonies officielles. Les conseillers en com ont été écoutés. Sur bien des clichés, le dictateur avait l’air d’un bambin craintif amené par sa mamie dans la cour pour jouer avec des petits camarades, pas vraiment motivés.

Simple observateur intrigué, je me posais des questions dès 2016 sur cet individu de 38 ans, pété de thunes, ni plus moche ni plus con que tant d’autres, qui se contentait d’une vieille (un vieux, mais on l’a su après) qui avait l’âge d’être sa grand mère… Alors qu’il aurait pu sans peine lever des stars ou des top models. Fric et renommée attirent ces femmes-là.

Une folie diablement contagieuse et il n’y a pas de vaccin !

Macron n’est pas seulement cinglé, sa folie a contaminé son entourage. Les ministres qu’il choisit à son image, en moins bien forcément, accumulent les bourdes et les extravagances, et par mimétisme, les hauts fonctionnaires et l’appareil d’État s’alignent sur les délires du führer. Son emprise sur ses clones, incapables de penser par eux-mêmes, va beaucoup plus loin que la récitation psittacique des éléments de langage.

« Si les Russes devaient percer les lignes de front, et s’il y avait une demande ukrainienne (ndlr : évidente avec ce mendigot péteux de Zelensky) il serait nécessaire d’envoyer nos troupes en Ukraine. » Quand les hiérarques reprennent à leur compte les délires du caudillo pour en rajouter, on hésite entre flagornerie, soumission et bêtise.

L’ex-chef du gouvernement italien, Mario Monti, nommé en 2011 par l’Eurocrature, sans élections, pour un prétendu « gouvernement de techniciens » partage les vues belliqueuses de Macronescu.

« Ils doivent aller se faire soigner tous les deux, a lâché Matteo SalviniCeux qui veulent faire la guerre à la Russie et le disent comme si c’était une chose naturelle sont des fous dangereux, et cela vaut autant pour Macron que pour Monti (…) S’ils ont tellement envie de se battre, alors qu’ils aillent en Ukraine demain, les Russes les attendent. »

Des propos mettant dans l’embarras Giorgia Meloni qui sait que les électeurs de « Fratelli d’Italia » sont dans leur immense majorité de l’avis de Salvini. Mais comme elle est tenue par Pustula la Hyène qui menace de couper les vivres à l’Italie surendettée, elle se tait et laisse son chef de la diplomatie, Antonio Tajani, rappeler que Rome n’a pas l’intention d’envoyer des soldats en Ukraine.

Et parce que la Ligue de Salvini est associée au niveau européen au Rassemblement national et à l’AfD allemand, c’est la levée de boucliers en France chez les collabos de l’extrême et de l’ultra-gauche. Prêts à se porter au secours de Macronescu. Ça rappelle les alliances contre-nature en faveur de Chiracula en 2002.

Salvini est un des rares hommes politiques d’Occident pour oser dire qu’il admire Poutine

En ces temps où triomphent les lavettes, les mauviettes et les lopettes installées par Soros, Davos, le Bilderberg et tous les autres fossoyeurs de notre culture, il faut un certain courage, même en Italie où les médias sont plus libres qu’en France, pour tenir de tels propos. Entre wokisme et genrisme, on ostracise les vrais mecs capables de taper du poing sur la table.

En mars, Salvini a salué le discours du Président Poutine lors de sa nouvelle investiture au Kremlin :  « Poutine a invité au dialogue et j’espère que 2024 sera l’année de la paix, et plus celle des soldats partant mourir en Ukraine ».

Il aurait pu ajouter « à condition que Trump déjoue tous les pièges qu’on lui tend et soit élu. » Pour la troisième fois.

Christian Navis

https://fascismedefrance.blogspot.com/

Source : RIPOSTE LAÏQUE – Matteo Salvini a dit à Macron d’aller se faire soigner la tête

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