Affaire Adama Traoré, ou plutôt scandale Assa Traoré ? Le gang Traoré : rien que de la racaille à ré-expédier là d’où elle est issue

La famille d’Adama Traoré n’a vraiment pas de chance. Depuis la mort du jeune homme le 19 juillet 2016, la justice ne veut rien savoir. Pleurons avec sa sœur Assa Traoré.

Adama est poursuivi par le mauvais sort jeté par ces sales Blancs racistes que nous sommes. Tous coupables de supposées violences policières.

Une ordonnance de non-lieu a été rendue le 30 août 2023. Les Traoré ont fait appel de cette ordonnance, et ont perdu le 16 mai 2024. L’ordonnance de non-lieu a été confirmée.

Les mauvaises langues insinuent qu’Adama Traoré n’est pas aussi blanc que ce que le « Comité vérité et justice pour Adama » créé par son ineffable sœur Assa, voudrait nous faire croire. Ce comité est un ramassis de racailleux frustrés, de surcroît décoloniaux, racisés, selon la novlangue, et faussement indignés, qui hurlent que la France est systématiquement raciste.

Pour se remettre les faits en mémoire, voir cette vidéo déjà ancienne mais toujours d’actualité :

En gros, et pour ne pas les stigmatiser car ce serait trop triste, la famille Traoré se tient pas la barbichette pour commettre infraction sur infraction.

Le frère d’Adama, Bagui, a commis des extorsions de fonds sur personne fragile  sous tutelle. Il aurait été idiot de ne pas en profiter, n’est-ce pas ? Il a quand même ramassé pour cela deux ans et demi de prison ferme. Et quand on connaît le laxisme des juges, cela fait beaucoup… Il a été condamné à nouveau pour de nouveaux faits d’extorsion, à trois ans de prison, en novembre 2023.

Pendant son séjour en prison, il a, tant qu’il y était, organisé un trafic de drogue depuis sa prison, avec la participation de son frère qui de l’extérieur gérait le business. Deux ans ferme pour cela.

Après la mort d’Adama, Bagui a organisé cinq nuits d’émeute. Avec des tirs à balles réelles. Comment se fait-il que ces gens là aient des armes ?… Les gendarmes ont reçu 60 tirs de carabine. Treize gendarmes ont été blessés. Bagui a été mis en examen pour tentative de meurtre.

Ensuite, il y a eu des violences en marge d’un conseil municipal de Beaumont-sur-Oise. La maire ayant reçu des menaces de la part des frères Traoré, la question était de lui attribuer une protection. Les deux frères ont voulu assister à cette réunion. Refoulés, ils ont provoqué une bagarre. Une policière a reçu un coup de poing dans la figure. Les autres frères ont arrêté un bus et y ont mis le feu.

Samba, un autre frère, avait un chien. Ce chien s’est bagarré avec un autre chien. Samba a cassé un balai sur la tête du propriétaire de l’autre chien, qui en gardera toute sa vie des séquelles.

Quant à Adama Traoré, il était connu pour recel, violences volontaires contre les forces de l’ordre, outrages à agent public, extorsion avec violences, menaces de mort, conduite sans permis, usage de stupéfiants et vol à la roulotte. On se demande ce qu’il faisait en liberté. Il aurait en prison violé son codétenu en lui demandant plusieurs fellations par jour. La victime a été tabassée par Yacouba Traoré pour avoir porté plainte. Ben voyons.

Ce sont cinq des frères d’Adama Traoré qui ont des problèmes et non des moindres, avec la justice : Bagui, Yacouba, Youssouf, Samba et Serene Traoré. Un cousin également a des problèmes. Une belle famille de délinquants.

Bien sûr, ce qui concerne les frères d’Adama n’a rien à voir avec Adama lui-même. Mais comment peut-on encore écouter cette famille, qui sème le chaos et la violence partout où l’on s’oppose à elle, et qui a dans son ensemble des casiers judiciaires assez salés ?

Les circonstances de la mort d’Adama Traoré sont maintenant bien connues.

Ne nous étendons pas, car c’est un vrai feuilleton judiciaire, avec multiples rebondissements, des versions différentes, des expertises contestées, des manifestations, des émeutes, etc.

Et même une lettre de sa sœur, Assa, un « j’accuse » qui fait d’elle la star de l’affaire. Surtout aux USA, où elle a fait la une du Time Magazine, désireux de propager l’idée que la France est xénophobe. L’affaire, en fait, est l’affaire Assa Traoré. Sans elle, sans sa pugnacité, son agressivité, il n’y aurait pas eu d’affaire, car Adama a eu une mort très banale, très simple à expliquer.

Deux juges d’instruction, des femmes, ont « obtenu leur mutation ». Parions qu’elles ont reçu des menaces. Un troisième juge a demandé à en être dessaisi. Un autre a été déplacé. L’affaire a été dépaysée. C’est une affaire vraiment empoisonnée.

Les gendarmes n’ont commis aucune violence sur Adama. Adama en se réfugiant chez son comparse avant d’être pris par la police, avait déjà des troubles respiratoires, et avait de manière habituelle de l’essoufflement. Il était malade. Il avait une sarcoïdose.

Il a été jugé qu’il n’y avait en l’espèce ni l’élément matériel ni l’élément moral de l’infraction. Donc, pas d’infraction à reprocher aux gendarmes.

Cette mort est très triste, mais ce n’est absolument pas la faute des gendarmes s’il est mort. Le parquet a estimé que « les trois militaires ont employé la force strictement nécessaire et proportionnée, tant dans son niveau, que dans sa durée, aux fins d’atteindre l’objectif visé : immobiliser et menotter un individu en fuite qui résistait à son interpellation ».

Mais voilà : la famille, sûre de son bon droit, ayant même une partie de la gôche et des hommes politiques corrompus pour la soutenir (Méluche, pour ne pas le nommer) se pourvoit en cassation. Le feuilleton va continuer. Car si la famille Traoré gagne, le non-lieu sera annulé et l’action contre les gendarmes entamera alors une procédure au fond devant le tribunal judiciaire, par une ordonnance de renvoi.

On a tout à craindre de la Cour de cassation, qui comme le Conseil d’État est très (trop) politiquement correcte…

Si seulement l’engeance Traoré pouvait cesser de faire parler d’elle. Si elle pouvait, par exemple, être renvoyée au Mali. Mais rien ne semble pouvoir lui clouer le bec. Ces gens-là ont un pouvoir de nuisance exorbitant.

Mais qui leur a donné ce pouvoir ? Notre faiblesse, notre laxisme, nos droits de l’homme bien exploités et retournés contre nous, l’inversion des valeurs.

Yassine Bouzrou, avocat de la famille, vient de dire que cet arrêt de la cour d’appel déshonorait la justice. Il avait pourtant dit que la famille accepterait la décision si l’arrêt démontrait qu’il n’y avait pas d’infraction. Retournement de veste ?

Et si au contraire, pour une fois, cet arrêt était tout à l’honneur  d’une justice décimée et absente la plupart du temps, et pire, qui donne presque toujours raison aux nouveaux venus, au détriment de la police et des Français de souche, et de la vérité ?

Sophie Durand

Source : RIPOSTE LAÏQUE – Affaire Adama Traoré, ou bien scandale Assa Traoré ?

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