Le Club des 60 familles impose le mondialisme

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Que veut dire le mot liberté quand tout est dorénavant interdit, ou censuré, ou strictement obligatoire ? Que veut dire le mot égalité quand une poignée d’hommes, de familles se partagent toute la richesse mondiale ? Que veut dire le mot fraternité quand ceux qui nous gouvernent ont du sang sur les mains en se prévalant du titre de « responsable mais pas coupable » ? Que veut dire le mot démocratie quand il ne sert qu’à maintenir la caste au pouvoir ?

Notre médecine nous tue, nos aliments nous empoisonnent, les cartels détruisent nos sols, l’élite système et son clergé médiatique stérilisent nos intelligences, le paupérisme devient endémique dans les pays prétendument les plus riches du monde et dans une opulence jamais vue dans l’histoire de l’humanité.
Il y a pire. À partir de la victoire politique et de l’instauration de la République en France, et ensuite à travers le monde, les francs-maçons occultistes se regroupent dans des rites d’initiation qui engendrent les pires gourous des temps modernes.

Les Anglo-Saxons fondent la Fabian Society et la Pilgrims Society pour conquérir le monde. Leurs doctrines suprématistes sont diffusées par les mouvements WASP pour le petit peuple (protestant blanc anglo-saxon). Herbert George Wells et Aldous Huxley gravitent autour de ces groupes. Les idées de leurs romans d’anticipation sont glanées dans les plans de ces élites qu’ils fréquentent assidûment.

Tous les grands maîtres de la pensée socialiste puisent leurs sources dans La République de Platon. Marx, Engels, Proudhon et Saint-Simon s’abreuvaient à la même source. John Ruskin, professeur de dessin à Oxford, utopiste qui, le premier, tente d’appliquer un gouvernement communiste, tire la plupart de ses idées et de son inspiration, directement du maître livre de toutes les dictatures, La République de Platon. Ruskin enseigne que la classe dirigeante d’Angleterre a une mission mondiale.

Aujourd’hui, le système, soi-disant démocratique, peut perdurer grâce à la prise en main de l’enseignement dit supérieur dans le monde anglo-américain et ensuite européen.
La franc-maçonnerie impose l’école dite laïque et exerce une suprématie de l’enseignement pour la piétaille. Grâce à cette omnipotence, les soi-disant élites favorisent de façon indécente la finance internationale. Les grandes écoles restent réservées pour ceux qui sont amenés à diriger.

La Fabian Society préconise une transition graduelle et non révolutionnaire vers le socialisme fondé sur des principes humanistes, elle enseigne une variante des théories de Marx. Les fondateurs du cercle d’initiés de la Round table profitent largement de ce mouvement de réforme sociale.

Durant tout le XIXe siècle, en Angleterre, les ouvriers sont soumis aux conditions les plus épouvantables, de nombreuses révoltes ouvrières sont réprimées dans le sang, la société est la plus inégalitaire d’Europe. Pourtant, l’Angleterre ne subit jamais de révolutions. Par quel mystère ? Les révolutionnaires se réfugient régulièrement à Londres pour fomenter des révolutions ailleurs. Pourquoi ? La franc-maçonnerie anglaise est la plus puissante du monde.

Le monde évolue vers des États grands et puissants. Les Fabiens diffusent les principes éclairés de la gouvernance dans le monde. Aujourd’hui, le monde occidental plie sous ce joug anglo-saxon.

Peter Sutherland, mystérieux et infatigable mondialiste, pion sur l’échiquier du pouvoir mondial, un homme au centre des réseaux de pouvoir mondialiste, né en 1946 en Irlande, est un visage de la racaille mondialiste.

En 2012, dans un discours devant une commission parlementaire de la Chambre des Lords, Peter Sutherland déclare à propos de l’immigration : Il s’agit « d’une dynamique cruciale pour la croissance économique … ce qui constitue « l’argument clé en faveur du développement de sociétés multiculturelles … Les États doivent être plus ouverts, tout comme le Royaume-Uni l’a démontré. … Les États-Unis ou l’Australie et la Nouvelle-Zélande sont des sociétés de migrants, ils peuvent donc accueillir plus facilement des populations différentes d’elles-mêmes ».

Peter Sutherland appelle donc l’Union européenne à se baser sur l’exemple des pays anglo-saxons et de « faire de son mieux » afin de « détruire l’homogénéité interne des nations européennes ».
Les 3 et 4 octobre 2013, il participe à une Assemblée générale des Nations Unies. Le rapport de cette conférence relève qu’il s’est félicité « de la tolérance accrue dans certains pays, en particulier en Allemagne, à l’égard des migrants. Ces derniers sont désormais reconnus comme des agents économiques dont les pays d’accueil ont besoin … Mr Sutherland a vigoureusement plaidé pour faciliter les flux migratoires, par le biais de politiques en matière d’octroi de visas plus souples ».

Toute la crème des mondialistes français, à l’image des Attali, Bernard-Henri Lévy, Hollande, Sarkozy, Macron, nous invitent aux mêmes défis. Ces grands chantres de la liberté méprisent la plus fondamentale des libertés qui est celle d’aimer qui on veut. Et se détournent de cet aphorisme philosophique de Blaise Pascal : « Le cœur a ses raisons que la raison ignore ». Certaines choses ne peuvent pas être expliquées par la raison.

Peter Sutherland dévoile lui-même ses plus intimes convictions : « Je demanderai aux gouvernements de coopérer, de reconnaître que la souveraineté est une illusion absolue que nous devons mettre derrière nous. Les jours où nous nous cachions derrière des frontières et des barrières ont disparu depuis longtemps ».
Peter Sutherland est un acteur incontournable de la ploutocratie mondiale, imposant une marche forcée vers la globalisation au moyen d’une politique migratoire associée à une politique de libre-échange, où l’ensemble des ressources de la planète serait mis à la disposition des caprices des multinationales, elles-mêmes pilotées par des êtres économiques.

Peter Sutherland se fait la voix et la voie des États et des institutions supranationales : ultralibéralisme, destruction des souverainistes au nom du sacro-saint marché commun planétaire, pro-immigration sont les maîtres mots qui cernent les visées de son œuvre et de celles de ses semblables, à l’instar des Attali et consorts. Pro-immigration bien plus par un souci d’ajustement économique que par humanisme ou philanthropie.

Aujourd’hui, leur idéologie est dominée par la mise en place de guerres, de révolutions colorées, de pandémies, de décarbonation, de famines organisées, toutes crises planifiées et provoquées. Les vagues migratoires du tiers-monde vers l’Occident constituent une nouvelle armée industrielle de réserve, bien moins chère et bien moins exigeante en termes de droits sociaux que leurs semblables européens. Et peut-être une véritable armée de combat contre les Blancs autochtones.

Cette plèbe se contente de ce que Aldous Huxley définissait comme un minima si facile à atteindre : « La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader, un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude ».

Le Club contrôle les Banques, les Multinationales, les Think Tanks, les Sociétés secrètes.
Les Banques financent le Complexe militaro-industriel, les Organisations Non Gouvernementales, ONG, les agences de notation, les médias et les Fondations.
Le Complexe militaro-industriel produit les armes qui alimentent les guerres, les révolutions colorées et le terrorisme.

Les ONG financent les révolutions colorées.
Les Think Tanks et les sociétés secrètes influencent Washington et les élections américaines.
Les agences de notation, les Instituts financiers comme le Fonds Monétaire International, FMI, Washington, influencent l’Union européenne et les élections européennes.
Les Fondations financent les élections américaines et Big Pharma.
Big Pharma déclenche famines et maladies. Washington vend des armes.
Les peuples participent aux élections et les élections donnent naissance aux gouvernements nationaux. Les gouvernements nationaux déclenchent guerres et révolutions colorées.
Les gouvernements nationaux contrôlent les peuples.

D’aucuns prétendent que la démocratie représentative est le meilleur système, le rempart ultime contre les maux de notre société occidentale. Or, la démocratie représentative nous précipite vers la catastrophe avec une dette publique supérieure à 3000 milliards d’euros, des crises politiques, économiques, sociales, écologiques, sanitaires majeures et allumées délibérément.

Le mondialisme, cette doctrine libérale, dont les racines sont très anciennes, dicte la politique depuis les années 1970. Elle est soigneusement greffée dans la tête des politiciens, des hauts fonctionnaires, des hauts dirigeants, puis dans nos propres têtes par le biais de l’école et surtout de l’université, par le biais des médias mainstream.

Depuis 1992 et le traité de Maastricht, la France a perdu définitivement sa souveraineté monétaire, la France est aux mains des technocrates européens de Bruxelles. Ces technocrates, élus par personne, imposent la doctrine mondialiste via les directives européennes auxquelles il est impossible d’échapper, sous peine de très lourdes sanctions. Nos représentants ont pour seule prérogative le soin de parquer le troupeau de « mougeons », moutons et pigeons, à charge de le plumer et de le tondre le plus régulièrement possible.

Ce mécanisme de lobbying au service des multinationales et des grandes banques d’affaires fonctionne à la perfection. On retrouve plus de 20 000 lobbyistes à Bruxelles, ce n’est pas un hasard. Ces lobbyistes influencent toutes les décisions politiques européennes sur tous les sujets.

Les députés européens, déjà grassement rétribués, sont facilement corruptibles. Ainsi, la carte de France des élus ayant subi des condamnations est plus chargée que celle des points de vente Mac Donald.
Les Think-Tanks et sociétés secrètes sont à l’origine de cette doctrine mortifère : Fabian Society, Pilgrilms Society, CFR, Round Table, Trilatérale, Club de Rome, Forum de Davos.

Ils imposent le prêt à penser, ils dictent les programmes politiques internationaux, les programmes économiques. Ils gavent tous ceux qui les servent, qui distillent la bonne parole, qui appliquent leurs programmes.

Le Club représente 60 familles. Ces familles possèdent la moitié de la richesse mondiale, financent tous ces groupuscules pour accroître leur hégémonie au détriment des autres. Et ceci n’est que la partie apparente de l’iceberg.

Ces familles, dégoulinantes d’humanisme ostentatoire, cherchent l’opulence et toutes les félicités. Mais elles ne savent plus quoi faire de leur argent. Elles transforment la société la plus riche et la plus confortable de l’histoire en un enfer quotidien pour plusieurs milliards d’individus. Si le diable gouvernait, il ne ferait pas autrement.

Ces laboratoires d’idées, très développés chez les Américains, les Britanniques et les Allemands, se développent en France. Chaque grand parti puise son programme dans un Think-Tank, Terra Nova pour le Parti Socialiste, Idées Nation pour le Rassemblement National, France fière pour les Républicains.

Le club Bilderberg, fondé en 1954, est l’un des Think-Tanks les plus connus. Nos politiciens les plus célèbres, accompagnés de journalistes, de PDG de multinationales, s’y rendent à tour de rôle, chaque année, pour s’abreuver de la doctrine mondialiste, pour y recevoir leur mot d’ordre.
Certains Think-Tanks sont tellement discrets qu’on ne connaît ni les noms des dirigeants, ni la provenance de leurs fonds, et encore moins leurs activités.

Toutes les sociétés du Club ont le même modus operandi, le même mode de fonctionnement que la franc-maçonnerie. Et la franc-maçonnerie forme l’ossature de la majorité des assemblées et des dirigeants dans le monde occidental.

Jean Saunier

Source : RIPOSTE LAÏQUE – Le Club des 60 familles impose le mondialisme

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