CONSEQUENCES DES GRANDES INVASIONS BARBARES DU XXIe SIECLE – 8 janvier 2020

La France brûle… un rapport avec les conseils de Daesch ?____________________________________________________

La France brûle… un rapport avec les conseils de Daesch ?

Effarante, la carte interactive sur les incendies qui pullulent dans notre pays…

D’avril à décembre 2019 : 5 636 porcs, 4 258 voitures, 139 personnes carbonisés… la carte qui tue Castaner

La France brûle. C’est un fait indéniable quand on regarde la carte interactive  Voir en détail à l’adresse ci-dessous, pour faire apparaître les différentes sortes d’incendies…. https://www.google.com/maps/d/u/0/viewer?mid=1XMlrx8DXz9DlUdNz6sv185sPEeooRnub&ll=46.777934158104365%2C1.7858767785054397&z=6 Qui ? Pourquoi ? Pourquoi ce silence des politiques et des medias ?  C’est le djihad par le feu ! . Félicitations et remerciements à l’auteur de … Lire la suite de D’avril à décembre 2019 : 5 636 porcs, 4 258 voitures, 139 personnes carbonisés…la carte qui tue Castaner

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Cela m’a rappelé cet article d’Atlantico de janvier 2017 : 

Et l’Etat islamique inaugura une nouvelle arme : le feu

Dans le dernier numéro de son magazine, le groupe djihadiste appelle ses partisans à allumer des incendies pour répandre la peur, et menace, entre autres, une église de Dallas.

The Daily Beast par Michael Daly

La nouvelle arme d’ISIS pour semer la terreur c’est le feu. 

« C’est un outil à la portée de toute personne désireuse de se joindre à la campagne de terreur »  dit le dernier numéro de Rumiyah, la revue de l’Etat islamique.

Cette tactique ne nécessite ni armes telles que celles utilisées à San Bernadino et Orlando, ni véhicules tels que ceux utilisés dans d’autres attaques.

« Avec quelques matériaux simples et facilement accessibles (c’est-à-dire inflammables), on peut facilement terroriser un pays tout entier « souligne le magazine.

Le n°5 de Rumiyah a mis des flammes en couverture et il y a une rubrique « Tactiques Terroristes » qui a, par le passé, appelé à des massacres de masse à l’arme à feu et à l’utilisation de véhicules pour écraser les piétons. Un long article commence par un hommage aux «frères», qui, inspirés par un précédent numéro de Rumiyah ont utilisé des véhicules pour blesser 11 personnes à l’Ohio State University en novembre 2016 et pour tuer au marché de Noël à Berlin. Il présente ensuite en détail une méthode supplémentaire pour tuer des innocents.

L’article explique : « Tout au long de l’histoire et jusqu’à nos jours, les attaques utilisant le feu ont joué un rôle important dans la guerre moderne et la guérilla, ainsi que dans le terrorisme style « loup solitaire ». Ces attaques ont été à l’origine de la destruction de villes, de quartiers, et de propriétés publiques, ou privées, tout en détruisant également de nombreuses vies « .

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L’article affirme qu’un djihadiste a été responsable de l’incendie, qui, à Losino-Petrovsky, en Russie, a détruit une usine de meubles de trois étages et une usine de produits chimiques située à côté.

« [Le djihadiste] a donné aux méprisables croisés une leçon montrant combien une opération aussi simple peut être aussi destructrice. Le feu a été allumé au rez de chaussée, il s’est ensuite propagé vers les étages supérieurs et les bâtiments voisins. L’incendie a duré pendant trois jours, provoquant de coûteux dégâts.

L’article poursuit : « Le principe est simple : allumer des incendies en utilisant des produits inflammables pour détruire les propriétés des croisés et, les tuer avec le feu l’enfer. Le moudjahid n’a qu’à acheter le produit inflammable qu’il souhaite utiliser, sélectionner sa cible, avant de déterminer le meilleur moment pour passer à l’exécution« .

« De nombreux produits inflammables font partie de la vie quotidienne, et les incendies criminels sont extrêmement difficiles à éviter. En effet, il suffit d’un grand récipient d’essence pour réussir une attaque. Bien entendu, l’essence peut être achetée dans n’importe station-service. Cette procédure n’éveille pas les soupçons, car elle peut servir pour une tondeuse à gazon, par exemple ».

Dans un paragraphe intitulé « Revendiquer la responsabilité de l’attaque», l’article suggère « d’écrire avec de la peinture en aérosol ou un marqueur permanent quelques mots sur un mur ou sur le sol près de la cible en déclarant que l’attaque a été menée par un soldat de l’État islamique. »

« En outre, on peut préparer un message simple sur un morceau de papier déclarant la même chose en expliquant brièvement le motif. Le document peut alors être collé sur une brique, puis jeté par la fenêtre d’un immeuble occupé près du lieu de l’attaque. »

L’article souligne, « les incendies ne doivent en aucun cas considérés comme moins efficaces. Ils provoquent de gros dégâts économiquement parlant et un choc émotionnel tout en pouvant être très facilement répétés. Même si de telles attaques ne se traduisent pas toujours par la mort d’ennemis, Allah a promis de récompenser le moudjahid qui leur nuit ou les provoque simplement »

L’article montre une photo de l’église baptiste de Dallas. L’Etat islamique n’est pas dérangé par le fait que le pasteur Robert Jeffries de cette grande église du Texas ait une fois dénoncé l’homosexualité comme « sale … dégradante … au-delà de toute limite » ou qu’il qualifie le catholicisme de « satanique. » Mais Jeffries a également dénoncé l’islam comme le « mal, la religion du mal » qui favorise la pédophilie.

« Un lieu de rassemblement populaire de croisés attendant d’être brûlé » dit la légende de la photo de l’église.

L’article montre aussi une photo d’un incendie combattu par les pompiers de New York, qui sont le contraire des meurtriers d’ISIS. L’incendie est presque certainement celui qui s’est produit dans le bas de Manhattan en mars 2015, il était le résultat non pas d’une action criminelle, mais d’une explosion de gaz.

Un pompier hors service nommé Mike Shepherd était en train de déjeuner dans le coin au moment de l’explosion. Il était aussi hors-service le 11 septembre 2001, et  il avait couru vers le pied des Twin Towers, où il a sauvé des vies. A un moment il a arraché sa chemise pour nettoyer la plaie d’un pompier blessé, révélant le grand « S » tatoué sur sa poitrine, qui signifiait pour une personne, qu’il a sauvé lors de l’effondrement de la deuxième tour, non pas Shepherd, mais Superman.

Quatorze ans plus tard, Shepherd était venu de Brooklyn à Manhattan pour manger du corned-beef et du chou. Il  était devant le restaurant en train de prendre une photo pour un couple de touristes quand il a entendu l’explosion. Il n’a pas hésité, et a couru jusqu’à l’immeuble en feu. Il a grimpé l’escalier de secours situé sur la façade au milieu des flammes et de la fumée suffocante.

« Descendez, le feu  est trop important! » criaient les gens dans la rue.

Personne n’aurait pu être plus différent d’un djihadiste mortifère que Mike Shepherd pendant qu’il montait pour s’assurer que personne n’était coincé à l’intérieur, en risquant sa vie juste pour être en mesure de sauver celle de quelqu’un d’autre. Il a continué jusqu’à ce qu’il atteigne le dernier étage supérieur, alors seulement il est descendu.

Ce n’était pas un loup solitaire, mais un ange solitaire.

Les sirènes ont retenti lorsque d’autres anges sont arrivés sur place, chacun d’eux s’est précipité pour risquer sa propre vie pour sauver les autres. Les premiers d’entre eux arrivaient lorsque Shepherd est revenu sur le trottoir. Le bâtiment s’est effondré huit minutes plus tard. Celui d’à côté a suivi deux minutes après.

Dimanche, Shepherd a reçu un appel téléphonique l’informant que le magazine d’ISIS semblait avoir utilisé une photo du feu de 2015 et de ses collègues pompiers qui luttent contre lui. Shepherd a parlé d’un de ses amis, une légende des pompiers de New York (FDNY), le capitaine Patrick Brown, qui est mort dans l’attaque du 11 Septembre. Shepherd s’est rappelé que quelques jours avant, Brown lui avait parlé de l’importance d’être un pompier.

« Tu n’as pas peur, tu as de la compassion, tu as de la gentillesse » lui a dit Berger.

Voilà comment sont les anges, qui sont prêts à faire face à tout, y compris à la dernière-née des techniques de destruction d’ISIS.

https://www.atlantico.fr/decryptage/2931820/et-l-etat-islamique-inaugura-une-nouvelle-arme–le-feu

chris

La France brûle… un rapport avec les conseils de Daesch ?

(Source : Résistance Républicaine)

Le feu est l’élément de prédilection naturel de ces êtres inhumains et sulfureux venus de l’enfer et qui y retournent quand ils crèvent… louyehi

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L’islam, ce cancer de l’humanité

 

L’islam, ce cancer de l’humanité

Protéger les marchés de Noël de qui et pourquoi ? L’ennemi en question n’a plus besoin d’être nommé. Il rôde dans tous les coins de rue, semant la mort quand bon lui semble, il peut frapper partout chez soi et dans les églises. On n’est en sécurité nulle part avec lui. Le plus grand péril de notre temps.

L’Occident imprudent et laxiste, à moins qu’il ne soit mû par des motivations inavouées de caractère vénal, plutôt que s’en méfier comme de la peste, a ouvert grandement ses portes, majoritairement aux migrants musulmans au lendemain des indépendances de ses anciennes colonies, au point qu’il en paye le prix fort. Il perd son âme, son identité, sa culture, et ne ressemble plus à rien ; il est l’ombre de lui-même à cause d’une migration incontrôlée et sauvage portant la couleur d’une idéologie innommable, nuisible et toxique. Aucun parallèle possible avec le bolchevisme et le nazisme, car ces deux idéologies n’ont été que des parenthèses douloureuses dans l’histoire humaine contrairement à l’islam dont la page n’est toujours pas refermée, et ça fait 1 441 ans que ça dure.

Son nom est synonyme d’effroi et de peur. Le mal absolu que je me garde, moi aussi, de nommer, car rien que le prononcé de son nom peut provoquer chez moi un sentiment de dégoût profond. Il n’y a pas de mots pour le traduire.

Après avoir transformé en champs de ruine de grands empires, réduit à néant tout espoir de résilience et de réveil des consciences chez les peuples tombés entre ses griffes radioactives, il est en train de miner lentement et sûrement les fondements humains et civilisationnels des vieilles nations occidentales.
Elles sont comme tétanisées et inhibées par sa présence. Mettant un voile sur leur mode de vie et leur culture, elles se cachent de lui, n’osent plus célébrer leurs fêtes traditionnelles pour ne pas troubler les musulmans dans leurs convictions et ne pas provoquer leur courroux.

Noël ne doit plus désormais avoir une connotation religieuse et être une manifestation du caractère chrétien de leur civilisation car les sociétés occidentales ne le sont que de nom ; elles changent en profondeur pour finir par prendre les allures des sociétés islamisées, un cimetière pour des morts-vivants.

Non seulement les populations occidentales ne se sentent plus chez elles, mais elles doivent faire des concessions à ces femmes et hommes venus d’ailleurs qui regardent le monde à travers la pierre noire de la Ka’aba, porteurs du pire virus négateur de l’altérité et à la nature incompatible avec le vivre-ensemble, la modernité et les humains. Elles vivent depuis trois décennies sous le régime soutenu d’attaques terroristes et de procès en inquisition pour leurs donneurs d’alerte sur la haute toxicité de l’islam.

Leurs gouvernements devaient le savoir, de par leurs histoires coloniales – et notamment dans le cas de la France – qu’on ouvre pas impunément et sans observer les principes élémentaires de précaution ses portes aux musulmans porteurs d’une idéologie négationniste, rétrograde, ultra-violente, haineuse, hégémonique, essentialiste, cosmique, impérialiste, obscurantiste, liberticide, conquérante, altérophobe, totalitaire et dont le fondateur caressait le dessein d’exterminer les Juifs jusqu’au dernier.
Malraux disait : « ne pas nommer le mal, c’est aggraver ses effets mais le nommer c’est nommer le mal par le mal. Il est le mal de notre temps. »

Ses propagateurs et leurs idiots de service font croire qu’il n’est pour rien dans les malheurs des siens et des peuples soumis au régime intensif du terrorisme depuis 20 ans et que c’est la faute des grandes puissances qui œuvrent à étouffer le réveil des consciences des peuples.

Ce mal serait donc victime des autres et des enjeux qui le dépassent. Mais l’Occident et le sionisme, leurs boucs émissaires favoris, n’existaient pas quand il s’était lancé dans l’entreprise la plus dévastatrice, culticide, biblicide, esclavagiste, mémoricide, destructrice de l’histoire humaine.

Tous les pays conquis deviennent des champs de ruine et des rivières de larmes et de sang. Tout s’évapore : leurs vestiges et leurs monuments historiques, témoins de leur splendeur passée, disparaissent de leurs paysages. Plus rien ne peut rappeler aux hommes leur histoire passée, leurs vraies racines à l’image des Nord-Africains qui ont donné à l’église chrétienne trois papes avant le Baptême de Clovis ainsi que saint Augustin, l’un des plus illustres penseurs de la chrétienté. Leur rappeler cette page chrétienne de leur histoire plusieurs fois millénaires est un sacrilège à leurs yeux.

Toutes les grandes civilisations qui ont été contaminées par ce mal ne sont plus aujourd’hui que l’ombre d’elles-mêmes et des corps sans vie.

Salem Benammar

L’islam, ce cancer de l’humanité

(Source : Riposte laïque)

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La France est occupée, il faut donc combattre les ennemis sur deux fronts : ceux de l’extérieur, mais aussi ceux de l’intérieur !

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Quelques beaux spécimens au faciès de prédateurs que nous accueillons chez nous pour enrichir notre culture…

Image associée

Affreuses caricatures d’humains dont on n’aurait nulle envie de croiser le chemin…

Image associée

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L’imam de Brest, qui diffuse, comme il se doit, la « bonne parole » du coran…

https://i0.wp.com/lagauchematuer.fr/wp-content/uploads/2018/05/imam-11.jpg

Résultat de recherche d'images pour "photos d'imams qui vivent en france"  Ici, une armée d’imams  étrangers, (ils sont 300) qui officient désormais sur notre sol, grâce au grand mufti de l’Elysée (Riposte laïque Mai 2018)

Celui-là, bien connu, un serpent à la langue fourchue : ruse et mise en condition ! Aies confiance…

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Ces prédateurs de toutes classes sociales nous viennent d’un ailleurs sulfureux et pourrissent la vie des humains… Absolument tout ce qui sort de leur bouche n’est que haine et mensonges. Leur seule vue donne la nausée…

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Portrait-type de la haine musulmane diffusée par le coran et les imams – louyehi

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« Tuer » ou « combattre » ? Telle est la question !

 

AVANT-PROPOS

Il existe à ce jour plus d’une centaine de traductions françaises du Coran, depuis la première qui date du XVIIe siècle jusqu’aux traductions contemporaines comme celle de Jacques Bercque ou de Denise Masson, en passant par les traductions dites « agréées par les autorités musulmanes ».
Ces traductions, comparées à l’original « officiel », sont trop souvent bien éloignées et peu fidèles au texte « arabe » de référence. À tel point qu’on est en droit de se demander si elles ne faussent pas le jugement de qui ne manie pas le sabir coranique (fallacieusement appelé « langue arabe »), jusqu’à laisser perplexe et dubitatif. Certes, les traducteurs des autres « Écritures Saintes » ont eux aussi pris beaucoup de libertés à l’égard de l’originel en hébreu et en grec, mais ils se sont tout de même efforcés de ne pas induire intentionnellement le lecteur en erreur. Ce n’est pas le sentiment qui ressort à la lecture des traductions françaises du Coran.

Pourtant ces traducteurs sont ce qu’on appelle communément des « orientalistes », ayant de solides bases linguistiques. Ils sont tous des experts du français et du sabir coranique (création artificielle et arbitraire d’himyarite, d’hébreu et d’araméen – voir par la suite), et parfois non dénués de talent littéraire. Mais si ce n’est pas leur probité ou leur intégrité intellectuelle qui est en cause, ni non plus leur savoir-faire professionnel, est-ce que le problème vient justement de leur « orientalisme » ? Y aurait-il chez eux une quelconque et obscure « allégeance » les poussant à présenter au lecteur occidental un texte coranique édulcoré quoique en français châtié ? Serait-ce là un désir inconscient de « rapprocher » le Coran d’un esprit européen, en sublimant son contenu et sa forme, en lui octroyant une perfection et une qualité littéraire comme s’il s’était agi de l’œuvre d’un écrivain français de renom maniant sa plume homérique ?
Or le Coran est loin de cette excellence linguistique ou littéraire. Tout expert en « arabe » vous le dira : le sabir coranique est pauvre, redondant, souvent indigeste, et pèche par syntaxe fantaisiste. Le texte est même entaché de lacunes grammaticales, et – le comble ! – d’erreurs orthographiques.

Les exégètes musulmans ont certes cru trouver parade en arguant que le Coran vient d’Allah, et que c’est même Lui qui a créé la « langue arabe ». Selon eux, les « prétendues fautes » du Coran sont en fait des insuffisances des grammairiens (y compris arabophones), et non pas du Coran. Et le Coran est d’ailleurs le seul critère pour savoir ce qui est ou n’est pas une faute en langue arabe.

Les apologistes musulmans s’empressent de rétorquer – lorsqu’on s’attache à démontrer que de très nombreux versets dans le Coran prônent le crime -, que la faute est à notre méconnaissance de l’arabe. Si on ne sait pas l’arabe, disent-ils, on ne peut vraiment comprendre le Coran. Le Coran est intraduisible, affirment-ils. Toute traduction est donc viciée, et dans le meilleur des cas « hors-contexte ».
Comme nous l’avons vu, cet argument – qui a souvent piégé le lecteur non arabophone (et non musulman), complexé par son « occidentalisme » -, n’est pas fondamentalement faux. Mais encore fallait-il s’entendre sur l’expression « traduction viciée ». Est-elle viciée du fait de la spécificité de langue dite « arabe » ou bien parce que la langue dite « arabe » du Coran est elle-même viciée ?

Nous avons donc décidé de jouer le jeu et de proposer au lecteur une nouvelle méthode de lecture du Coran. Une lecture « mot à mot ».
Il faut certes se méfier d’une traduction à tout prix littérale. La sentence « traduttore traditore » est là pour nous le rappeler. C’est pourquoi il faut à chaque fois faire le bon choix entre calque et fidèle traduction. Faire du littéral à contresens peut aussi mener à des anachronismes linguistiques et à des absurdités. Néanmoins, et en dépit du piège de la littéralité, une traduction mot à mot du Coran – et parfois résolument et délibérément une retranscription censée coller autant que possible au texte oral initial, aidera le lecteur francophone à se sentir quasiment dans la peau d’un « arabophone » lisant le Coran.
Il faut également rappeler qu’il n’y a pas en sabir coranique (et ni en hébreu ou en araméen) de lettres majuscules et capitales. Écrire « Allah » au lieu de « allah » est une francisation du texte poussée à l’extrême et qui risque de trahir toute approche du texte coranique. C’est pourquoi notre retranscription sera absente de toute lettre majuscule ou capitale.

La solution est donc de rester fidèle au texte coranique à la lumière de ses repères : la langue hébreue biblique et particulièrement celle de l’hébreu du Pentateuque, et l’araméen (dans sa version tardive syriaque) des textes judéo-chrétiens. Une seule condition est requise : avoir déjà lu et étudié préalablement la Bible et accessoirement les Évangiles. Tout simplement parce que plus des trois quarts des versets du Coran plagient (maladroitement, et parfois de manière aberrante) ceux du Pentateuque et des Évangiles. Quant au quart des versets restants, ils sont à plus ou moins égale quantité des originalités de Mohammad (ou de son scribe), et d’autre part des réminiscences, des atavismes et des traditions préislamiques polythéistes d’origine mecquoise.

Cette condition risque d’être rédhibitoire pour la plupart des musulmans pratiquants. Tout simplement parce qu’ils n’ont pas lu et ne liront jamais la Bible et les Évangiles. Pourtant, le Coran évoque souvent ces deux Écritures Saintes et les considère comme des références incontournables. Il affirme même « qu’il corrobore les Écritures révélées avant lui ». Mais il s’estime auto-suffisant. Et de fait, l’islam interdit aux musulmans toute lecture de la Bible ou des Évangiles.

S’il est évidemment clair que seul le prestige du « Coran divin sacré » auprès des traducteurs musulmans croyants a octroyé au sabir coranique une aura qu’il n’aurait jamais dû avoir s’il était question d’un texte profane, on ne peut dire de même concernant les traducteurs non musulmans. Qui et quoi les empêcherait de relever les lacunes du sabir coranique ? Et à l’inverse, par quelle autorité s’arrogent-ils le droit d’ajouter des mots entre parenthèses dans le texte coranique « dans le but de le rendre moins abscons », alors que le texte coranique en est dénué ? Et surtout, pourquoi tant d’efforts pour d’une part enjoliver le texte coranique et de l’autre l’édulcorer ? Comme s’ils s’y étaient vus obligés d’agir de la sorte. Quels sont les raisons occultes à un tel agissement ?

L’aspiration de tout traducteur, somme toute légitime, à satisfaire une ambition littéraire, ne peut expliquer cette propension à trahir le contenu et le sens même du texte coranique. La cause réelle et profonde de cette manière de faire – assez cavalière et peu scientifique, est-elle à chercher ailleurs ?

TUER OU COMBATTRE

Voici un exemple – parmi des centaines d’autres, mais un des plus typiques – de traduction intentionnellement biaisée du Coran et qui pollue tout débat concernant l’islam :
Le verbe QTL (en lettres coraniques قَتِل ) est évoqué dans le Coran 170 fois, décliné en pas moins de 8 formes verbales (active, transitive, pronominale, réfléchie, etc.). Il est traduit généralement par combattre, lutter. Or cette racine verbale, d’origine araméenne et hébraïque, signifie tuer, trucider, massacrer, exterminer (et également « s’entretuer ». « Combattre les mécréants » est une chose (peut-être étaient-ils de méchants agresseurs ?), mais « Tuez les mécréants », en est une autre.

On ne peut guère justifier cette infidélité délibérée comme une volonté d’adapter un terme étranger au public francophone. Ce dernier sait pertinemment faire la différence entre un combattre assez inoffensif et l’injonction coranique de tuer le mécréant. En faisant usage de combattre à la place de tuer, voire de massacrer, le traducteur prend pourtant le risque de se voir accusé de cautionner d’autres appels génocidaires d’il n’y a pas si longtemps. Mais apparemment, il n’en a cure.

On ne peut non plus attribuer cette grave déviation à une coquetterie ou à un effet de style pour éviter la redondance, ou du mot à mot fastidieux. Ainsi, même la traduction dite littérale (mais qui est loin de l’être) d’André Shouraqui, fait une entorse à sa règle et s’éloigne tout à coup de la littéralité lorsqu’il s’agit de traduire QTL, rendu par combattre et non par tuer !

Or, le Coran lui-même nous fournit la preuve irréfutable que QTL ne peut signifier combattre mais bel et bien tuer. Cette preuve se trouve au verset 95 de la sourate 5 :
يَا أَيُّهَا الَّذِينَ آمَنُوا لَا تَقْتُلُوا الصَّيْدَ وَأَنْتُمْ حُرُمٌ

Traduction littérale :
« Ohé ceux qui croient vous ne tuerez pas le gibier alors que vous êtes anathèmes »
Il est absurde d’écrire et de penser que le gibier est à « combattre », mais bel et bien destiné à être tué (lors d’une chasse par exemple) afin d’être mangé. Et c’est pour cela que le Coran prévient ceux qui sont en état « d’interdit cultuel » (« anathèmes ») de le consommer ! D’autre part, il existe dans le Coran une tout autre racine verbale pour « combattre » : JHD (d’où le substantif mujahidin = combattants).

Mais si toutes les traductions du Coran en français ne peuvent qu’être biaisées, en induisant le lecteur dans de graves erreurs dans sa compréhension, quelle est la solution ? Et d’où vient cette spécificité du sabir coranique qui fait que le traduire devienne une gageure ? Certes, l’on sait que le sabir coranique diffère fondamentalement du français, dans tous les domaines : la syntaxe, la grammaire, la structure des verbes, l’acception des termes, l’appréhension de l’espace, la perception de notions abstraites, et la manière particulière d’exprimer la pensée. Bref le « génie de la langue arabe » s’oppose en tout à celui de la langue française et la rend inapte à être traduite, jusqu’à l’ordre des mots dans la phrase. Si, par exemple, un locuteur du français dit : « Mon Dieu a dit aux anges », l’arabe l’énoncera par un : « dit aux anges Dieu mien ». Cela peut paraître bénin, mais cette tournure de phrase verbe-complément-sujet (commune aussi à l’hébreu et à l’araméen) change radicalement la perception des choses.

L’inadaptation est valable également pour le son des lettres. Pas moins de dix lettres n’ont pas d’équivalences sonores en français. Comment donc retransmettre un Ta emphatique ou un Ha guttural ? Et là encore, le même problème se pose pour l’hébreu et pour l’araméen. Mais au-delà de ces difficultés inhérentes au fossé qui sépare les langues (malencontreusement) appelées « sémitiques » et les langues appelées (non moins malencontreusement) « indo-européennes », il y a un écueil supplémentaire : le fait que la langue du Coran est une sorte « d’Esperanto » du Proche et Moyen-Orient, un « syncrétisme » linguistique, mélangeant à quantité quasi égale trois langues : le himyarite, l’hébreu, et l’araméen (dans sa variante « syriaque » tardive). Et si nous avons ici évoqué deux langues – l’hébreu et l’araméen -, structurellement proches, c’est parce que leur connaissance est incontournable à la compréhension du Coran et que leurs locuteurs n’ont aucune difficulté à le traduire.

Seul le prestige du Coran pour les musulmans, et particulièrement pour les « panarabo-musulmans », a fait que cette langue composite et artificielle soit considérée – comble de l’ironie – comme la langue de référence de « l’arabe classique », alors que des centaines, voire des milliers de termes, de verbes, d’expressions, de locutions, de tournures de phrases, de « jeux de mots », de noms communs et de noms propres, sont en hébreu ou en araméen ! En fait, c’est la transcription – voire le calque – de l’hébreu ou de l’araméen vers le sabir coranique qui est responsable des lacunes, des bourdes, jusqu’à de grossières fautes d’orthographe, qui ont entaché le texte du Coran ! Non seulement cela nuit à une vision d’ensemble du texte, mais s’apparente à un chaos littéraire, artificiellement et maladroitement harmonisé par des scribes plus ou moins « inspirés ». Et pour que cela n’entrave pas irrémédiablement toute tentative de comprendre (donc de traduire) le texte du Coran, il aurait fallu l’aborder en deux temps : le retranscrire en hébreu ou en araméen en vue d’une authentique compréhension du Coran par un locuteur de l’hébreu et/ou de l’araméen, puis le traduire en français.

Or si l’hébreu et l’araméen se valent pour ce qui est de leur influence sur le Coran, pourquoi privilégier l’hébreu biblique à l’araméen ? Pourquoi n’avoir pas comparé le sabir coranique au dialecte araméen du Talmud ou à l’araméen-syriaque sur lequel des chercheurs comme le Révérend Alphonse Mingana ont développé la thèse de la présence d’un christianisme de langue syriaque au Hedjaz (« Arabie » de nos jours) et son rôle essentiel dans les origines de l’Islam ? Pourquoi n’avoir pas suivi les travaux de Christophe Luxenberg qui ont insufflé un nouvel élan dans la recherche de la dépendance du Coran à des bréviaires chrétiens composés en syriaque ?

La réponse est simple : le Coran se réfère au Pentateuque (et il ne s’en cache d’ailleurs pas !) de la manière la plus naturelle qui soit. Des pans entiers du Pentateuque sont repris presque tels quels dans le Coran. Et d’ailleurs, toute personne ayant pris la peine de lire le Pentateuque – même dans sa traduction française – avant d’aborder la lecture du Coran, ne peut ignorer son impact décisif sur le texte coranique qui n’est rien d’autre qu’un mauvais plagiat, ou s’y l’on veut : »La Torah de Muhammad » (s’il s’agit bien d’un personnage historique et non légendaire et créé de toutes pièces, question sujette à polémique).

Il est donc tout à fait logique de vérifier en premier lieu le lien linguistique entre l’hébreu du Pentateuque et le sabir coranique, et son incontournable présence. En fait, le Coran fait usage d’une sorte de langue-calque avec un vocabulaire typiquement hébraïque, même lorsqu’il était possible de trouver leurs parallèles locaux en himyarite. Ce qu’un arabophone croyait être « l’incomparable richesse du vocabulaire du Coran », n’était donc rien d’autre que l’usage d’un calque hébreu ou araméen.

Les emprunts du sabir coranique à l’hébreu du Pentateuque sont si patents que l’étude du Coran procure la douloureuse impression « chaos ». Néanmoins, nous nous trouvons ici devant un cercle vicieux. Pour se rendre compte du lamentable niveau d’érudition du rédacteur du Coran, il faut avoir de très solides connaissances dans le Pentateuque. Et pour avoir de solides connaissances du Pentateuque, il faut obligatoirement connaître parfaitement l’hébreu. Or, combien de personnes de par le monde ont-elles lu (et étudié) le Pentateuque dans sa langue hébraïque originelle ? Quelques centaines de milliers tout au plus. Et combien de personnes ont-elles lu (et étudié) le Coran dans son sabir artificiel ? Quelques centaines de millions. Mais combien ont-elles lu (et étudié) à la fois le Pentateuque et le Coran – expressément selon cet ordre chronologique -, et dans la langue originelle respective de ces deux « Écritures Saintes » ? Une poignée.

Une solide connaissance de l’hébreu est susceptible de remettre en cause, non seulement les traductions du Coran, mais aussi les pseudo- certitudes concernant la genèse de sa rédaction. Il n’est plus possible d’admettre que le Coran soit une œuvre scripturaire dès l’origine. Il est désormais évident que le Coran était principalement une transmission orale faite en hébreu, souvent mal comprise par son auditeur, et traduite, ou plutôt transposée et retranscrite dans l’imbuvable sabir coranique par un scribe qui vraisemblablement connaissait mal l’hébreu.

La « source » de la transmission orale en question – sans nul doute une personne versée dans le Pentateuque (un rabbin dissident ?) – ne s’était guère avisée de superviser le travail du scribe qui rédigea le Coran afin de s’assurer que son enseignement ait été fidèlement et précisément transmis. C’est la raison pour laquelle les versets du Coran sont une mixture bizarre (et parfois imbuvable) de judaïsme et de christianisme (surtout hétérodoxe), comme si elles étaient les deux mamelles qui ont incontestablement allaité Muhammad (ou son scribe).

Nous sommes dans un tel embrouillamini que le Coran donne l’impression que Muhammad a reçu en vrac ce que les rabbins et les prêtres lui racontaient et que tout s’est mélangé dans sa tête ! C’est d’ailleurs ce que lui reprochaient les Mecquois qui conservaient leurs traditions polythéistes indigènes. Tout au long du Coran, on lit leurs railleries envers Muhammad qu’ils accusent de plagiat et de répéter comme un sot « les fables » qu’il a entendues chez les juifs rabbiniques et chez les nazaréens (judéo-chrétiens).

Mais cela ne veut pas dire que Muhammad était un sot. Loin de là ! Il devait être doué d’un sens inné de stratège. Il a vite compris quel profit il pouvait retirer de l’animosité entre juifs et chrétiens, rabbins et moines. Il fallait donc les monter les uns contre les autres, pour ensuite se présenter comme arbitre. Jusqu’au moment où il s’est senti suffisamment fort pour se « débarrasser » aussi bien des chrétiens que des juifs. Ce qui est un euphémisme d’ailleurs, parce qu’il a plutôt pris les armes pour massacrer ces derniers (comme à Yatrib ou à Khabyar).

Soit ! Mais comment le Coran est-il devenu « le livre qu’Allah a fait descendre à son envoyé Muhammad par l’intermédiaire de l’ange Gabriel », pour plus d’un milliard d’individus sur terre ? Le Coran serait-il la plus grande imposture de l’Histoire ?

Cette question déborde largement du cadre de cet article, mais il est impossible de ne pas s’attarder sur un point crucial : le leitmotiv coranique que les juifs et les judéo-chrétiens ont respectivement falsifié la Torah et les Évangiles. Sans aucun état d’âme, le Coran les accuse de ne les avoir pas respectés, voire de les avoir sciemment altérés. S’agissant des juifs, ils sont tancés pour avoir « modifié la Torah de Moïse » et « rendu licite ce qui est prohibé et prohibé ce qui est licite ». Quant aux judéo-chrétiens, ils sont traités de « menteurs et d’affabulateurs » lorsqu’ils disent que Dieu a un fils ou que Jésus a été crucifié, car d’après le Coran il est blasphématoire de dire « qu’Allah le Tout-Puissant ait un fils et que Jésus son prophète ait été crucifié », car « c’est un autre qui l’a été à sa place ».

Et ainsi de suite, tout au long des versets coraniques : seul le Coran en langue composite intelligible (c’est ainsi qu’elle est décrite dans le Coran, sic !) est « descendu du ciel » sans aucune déficience. Muhammad l’a reçu, inaltéré, de l’ange Gabriel. Le Coran est l’authentique, l’originale, exclusive et finale Écriture Sainte. Et pour couronner le tout, l’affirmation dans toutes les sourates du Coran que l’éthique d’Allah n’est pas celle des humains. Miséricorde, pitié, clémence, compassion ne sont pas les mêmes chez Allah et chez les humains. Ainsi Allah peut ordonner – par pure compassion – de couper la main d’un voleur de pain ! Ce Allah si versatile – un véritable schizo -, qui selon une fameuse expression hébraïque « ne sait pas ce que sa main gauche ordonne à sa main droite ». Et donc, s’il y a falsification du texte original des Écritures Saintes, elle se trouve au contraire et exclusivement dans le Coran du-dit Muhammad.

D’autre part, au lieu de s’adoucir par rapport au Dieu du Pentateuque et du judaïsme biblique, au lieu d’aller encore plus loin dans la réforme humaniste du Dieu-le-Père d’un Hébreu galiléen nommé Jésus, ou de s’identifier à la figure d’un Dieu aimant sa créature telle qu’elle est décrite dans les Évangiles, Allah – le Dieu du Coran et de Muhammad – est tombé dans une terrible régression éthique.

Il semble même que le Allah du Coran est un Yahweh de la Torah qui n’a fait que s’encanailler au fil du temps ! Ce qui explique pourquoi la sharia’ musulmane en est encore à des verdicts de pendaison d’homosexuels et de lapidation de femmes adultères – encore et toujours au nom d’Allah -, et ce jusqu’aujourd’hui, au XXIe siècle !

À cela rétorquent les musulmans autoproclamés « modérés » que : « Moïse aussi a recommandé dans la Torah de mettre à mort les adultérines et les homosexuels » ! Certes ! Mais sans ajouter (évidemment) que cela fait des siècles qu’aucune sommité judaïque n’a ordonné, de facto, la lapidation d’une adultérine ou la pendaison d’un quelconque homosexuel ! Ce qui n’est pas le cas des sommités musulmanes.
Face à une telle régression éthique par rapport à Moïse et Jésus, certains de ces musulmans « modérés » se sentent aujourd’hui obligés de rappeler que Muhammad n’a pas été le seul à avoir tué de ses propres mains. Tel fut également le cas de Moïse lorsqu’il assomma un garde-chiourme égyptien qui fouettait un esclave hébreu. Quant à Jésus – renchérissent-ils -, « il n’était pas un doux agneau puisqu’il recommanda à ses disciples de se munir d’épées. »

Mais ces épées que Jésus préconisa  à ses disciples d’acheter étaient destinées à l’autodéfense et en vue de chasser l’occupant romain de la Judée et de tout le pays des Hébreux. Et en fin de compte, elles n’ont même pas été utilisées. À la différence de l’usage plus que fréquent du glaive et du cimeterre que fit Muhammad lui-même.

Ces représentants de l’islam modéré vont même jusqu’à soustraire à Jésus la paternité de l’abolition de la lapidation de la femme adultère. Ils affirment que ce n’est pas Jésus qui a aboli cette peine de mort, mais les Pères de l’Église qui au IVe siècle ont glosé l’Évangile de Jean et ont introduit ce péricope concernant la femme adultère sauvée par Jésus. Et ils apportent pour preuve l’absence de ce passage dans les manuscrits les plus anciens.

Cette polémique – si tant est que c’en soit une – ne change rien au fait que depuis le IVe siècle – soit 300 ans avant la rédaction du Coran ! -, la peine de mort pour adultère ait été aboli en terre chrétienne mais rétablie en terre musulmane. De plus, font remarquer les exégètes chrétiens, si le péricope sur la femme adultérine sauvée par Jésus est absent dans certains manuscrits anciens de l’Évangile de Jean, c’est parce qu’au contraire il en a été retiré par des évêques bigots et rétrogrades du IVe siècle qui craignaient « un relâchement des mœurs » et que « les femmes chrétiennes ne trompent leurs maris avec l’assentiment de Jésus-Christ ».

Mais voilà, de telles billevesées confortent les musulmans dans leur religion obscurantiste. Ils y trouvent prétexte pour ne pas bouger le doigt afin d’introduire quelques petits amendements au « texte sacré du Coran » qu’ils idolâtrent. Or, afin que l’humanisme dont ils se flattent et se gargarisent, puisse un tant soit peu émerger, il fallait au contraire exiger une refonte de l’islam et se démarquer totalement de toute allusion au Jihâd en tant que « Guerre sainte contre les polythéistes et autres mécréants », tel qu’en effet il est prôné en long et en large du Coran.

Et qu’on ne nous abuse pas avec l’interprétation du Jihâd comme « Effort intérieur dirigé contre les mauvais penchants Ce « jihâd » pseudo- interne n’est rien d’autre que le parallèle de l’exégèse rabbinique concernant la « Guerre Sainte contre Amaleq », en tant qu’extirpation du principe du Mal.

Qu’on ne nous présente pas non plus le soufisme et ses derviches tourneurs en quête d’un Dieu d’amour, comme quintessence de l’islam. Avant de se l’accaparer pour montrer patte blanche, l’orthodoxie musulmane a tout fait pour retrancher cette excroissance humaniste. D’ailleurs aujourd’hui, le soufisme a été totalement récupéré par l’orthodoxie musulmane – tout comme la « kabbalah » par l’orthodoxie rabbinique – jusqu’à devenir le repaire de l’islam le plus obscurantiste du jihadisme sous couvert de « spiritualisme occulte ».

Le verset 156 de la sourate VI, l’énoncent carrément :

أَنْ تَقُولُوا إِنَّمَا أُنْزِلَ الْكِتَابُ عَلَى طَائِفَتَيْنِ مِنْ قَبْلِنَا وَإِنْ كُنَّا عَنْ دِرَاسَتِهِمْ لَغَافِلِينَ
afin que vous ne disiez point que l’écrit a été descendu sur deux communautés avant nous et que nous avions été négligents à les étudier.

Cette sentence est capitale dans l’islam. C’est pourquoi les musulmans, à la lecture du Coran, sont persuadés qu’il s’agit d’une « révélation » tout à fait inédite, descendue inopinément du ciel par le biais de l’archange Gabriel. Les versets ainsi « reçus » par Mahomet leur semblent donc « originaux et originels », donnés directement en langue intelligible et non une (affreuse) transcription de l’hébreu ou de l’araméen.
La fausse impression, ou plutôt l’opacité dans laquelle tout croyant musulman baigne, est nourrie par le Coran lui-même qui présente de banals copiés-collés du Pentateuque, comme étant une exceptionnelle et inédite révélation divine, inconnue précédemment.

Cette compilation de récits bibliques que beaucoup définiraient comme naïve voire enfantine, ne faisait d’ailleurs aucun effet sur les habitants de la Mecque, rompus aux efforts de prosélytisme instaurés par les rabbins et les prêtres. Tout au long du Coran, ils traitent Mohammad d’imposture. Loin de s’enthousiasmer pour de telles comptines dont ils connaissent pertinemment l’origine, les Mecquois raillaient Muhammad. On dirait aujourd’hui, qu’ils le « mettaient en boîte » : « Oh, Muhammad ! Ces vieilles fariboles, on les connaît ! Cesse de nous ressortir le tissu de fables que tu as récoltées chez les juifs et les chrétiens ! ».

Comme il a été déjà dit plus haut, le Coran se fait d’ailleurs l’écho de ce persiflage et menace les Mecquois d’horribles châtiments. Craignant d’être accusé de plagiat et de colporter ce que lui a enseigné un rabbin (à partir de l’hébreu) ou un prêtre judéo-chrétien (à partir de l’araméen), Muhammad s’empresse de parer à l’accusation :

وَلَقَدْ نَعْلَمُ أَنَّهُمْ يَقُولُونَ إِنَّمَا يُعَلِّمُهُ بَشَرٌ لِسَانُ الَّذِي يُلْحِدُونَ إِلَيْهِ أَعْجَمِيٌّ وَهَذَا لِسَانٌ عَرَبِيٌّ مُبِينٌ
et nous savons parfaitement qu’ils disent que quelqu’un l’enseigne, or la langue à laquelle ils font allusion est étrangère, tandis que celle-ci est une langue composite intelligible (Sourate XVI, 103)

La flatterie faite aux arabophones mecquois rétifs, en leur présentant une révélation venue du ciel directement en un « sabir intelligible », ne fit pas plus d’effet sur ces derniers. Ils ne démordront pas de leur polythéisme et de leurs railleries à l’encontre de Muhammad qui, rageur, se lance en imprécations contre les « Arabes » (les Bédouins) :
الْأَعْرَابُ أَشَدُّ كُفْرًا وَنِفَاقًا وَأَجْدَرُ أَلَّا يَعْلَمُوا حُدُودَ مَا أَنْزَلَ اللَّهُ عَلَى رَسُولِهِ
les Arabes sont les plus endurcis dans leur impiété et dans leur hypocrisie, et les plus enclins à réfuter les préceptes descendus par allah à son envoyé (Sourate IX, 97)

Afin de confondre Muhammad et démasquer sa prétendue « révélation en langue intelligible venue de l’ange Gabriel », il suffisait aux Mecquois de relever dans le Coran tous les mots, expressions, tournures de phrases ou noms qui ne sont pas en langue himyarite locale, mais retranscrits à partir de l’hébreu et de l’araméen (ainsi que quelques mots grecs !). Ce qui laisse à penser que l’archange Gabriel devait être un polyglotte étourdi !

CONCLUSION

Pour toutes les raisons précitées, le passage de l’arabe à l’hébreu, avant la retraduction française, est à même de nous révéler bien des « secrets » du Coran – et donc de l’islam -, sur lesquels beaucoup ont « échoué ».

On serait tenté de dire que ces (pseudo-) « secrets » qui sont devenus tels justement parce que leur origine hébraïque (et araméenne) n’a pas été perçue, ont paradoxalement octroyé au sabir composite, arbitraire, et artificiel du Coran, un immense prestige aux yeux des arabophones musulmans qui ne comprenaient pas le sens de ces mots « divins » qui parsemaient les versets, et qui en réalité étaient de simples termes hébreux (et araméens).

Cela dit, et en dépit de l’interdiction qui leur est faite, les musulmans (et plus particulièrement les musulmans arabophones) auraient tout intérêt à lire le Pentateuque (en hébreu de préférence) et les Évangiles. Ne serait-ce que pour découvrir la nature humaine, trop humaine, du Coran.
Et ce conseil est aussi destiné aux francophones dont la perplexité à l’égard du Coran (et de l’islam) est égale à leur naïveté. Ou à leur laxisme à le combattre (à défaut de le tuer) !

David Belhassen

« Tuer » ou « combattre » ? Telle est la question !

(Source : Riposte laïque)

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Celine Pina : la France est envahie, menacée de mort ____________________________________________________

Céline Pina : la France est envahie, menacée de mort !

Et puisque l’on parle de terreur…

Barbara Lefebvre : « La propagande continue à travers l’activisme des Frères musulmans (…) ils sont dangereux même s’ils ne se promènent pas en djellaba avec des couteaux… » 

Les preuves s’accumulent. 2020 sera une belle et bonne année de guerre ouverte.

Boulevard Voltaire en écho à une citation précédente de chez nous. Convergences lucides. « L’antienne macronienne (reprise par LR, le Medef et toute la bien-pensance…) est obsédante : il y aura bientôt trop de retraités et pas assez d’actifs, le système par répartition est donc invivable ! Du « grand n’importe quoi » : actuellement, le ratio est de 1,7 et nous « avons » officiellement 2,8 millions de demandeurs d’emplois, 3,5 millions d’emplois partiels et/ou précaires , 300 000 travailleurs détachés qui cotisent « ailleurs », (au moins) 400 000 emplois « au noir » tenus essentiellement par des immigrés illégaux, et nous « importons » chaque année des centaines de milliers d’oisifs qui viennent bouffer notre assistanat social et pomper nos ressources publiques… N’y-a-t-il pas là un chantier à mener à travers la fin de l’immigration, l’expulsion des illégaux, l’éradication du travail « au noir », l’obligation du retour au travail par la fin de l’assistanat social et la mise en œuvre de formations portées par les crédits existants (32 milliards annuels pour la formation continue…) ? N’y-a-t-il pas là la preuve que la question des retraites est d’abord celle d’une politique économique et sociale de rupture avec celle que nous subissons depuis plus de 30 ans ?

L’article de BV : https://www.bvoltaire.fr/retraites-la-solution-est-ailleurs/?utm_source=La+Gazette+de+Boulevard+Voltaire&utm_campaign=b431e09441-MAILCHIMP_NL&utm_medium=email&utm_term=0_71d6b02183-b431e09441-30966901&mc_cid=b431e09441&mc_eid=79c5d6df15

LA GUERRE EN FRANCE

Une bonne question, posée par un lucide. 10 secondes de pertinence.

Comment l’Islam commence à peser réellement sur la politique française.« Vraiment, mais c’est très étonnant, n’est-ce pas  » (bouche en cul-de-poule) ! http://www.fdesouche.com/1320529-bernard-rougier-des-elus-de-gauche-et-de-droite-passent-des-accords-avec-des-islamistes-pour-se-faire-reelire

Quand tu délaisses le rhum agricole pour l’eau de Zamzam : « la structure sportive était en fait soupçonnée de communautarisme et même de radicalisation depuis sa reprise en main par un Antillais converti à l’islam. » https://www.valeursactuelles.com/societe/djellabas-tapis-de-priere-et-halal-un-club-de-foot-dessonne-ferme-pour-radicalisation-114731?fbclid=IwAR0srioesDDGTTGyyqLXSaACozPt1A0Rt27yCueRvFr7vdZ9lVuUiRUW2Mo

Metz, émeutes suite à l’attentat avorté et au flingage du frappadingue d’Allah. Vous en avez entendu parler au 20h ? « Après l’intervention de la police dans le quartier pour neutraliser le suspect, des tensions ont éclaté à proximité des lieux où se sont déroulés des faits. Des cocktails molotov ont été lancés vers les policiers déployés dans le quartier. Certains ont été retrouvés allumés au sol sans être lancés ou utilisés. Des poubelles ont également brûlé près de certains immeubles d’habitation ou encore sur la voie utilisée par les bus Mettis. [sic] Selon le maire de Metz, Dominique Gros, quelques incidents ont émaillé la nuit avec trois voitures brûlées dans un parking rue du Béarn et des abribus dégradés.  » (source) » http://www.contre-info.com/metz-emeutes-apres-que-la-police-eut-neutralise-un-terroriste-islamiste?fbclid=IwAR3OZvf99ehpRhD1hvKojl23ogROHBn7TjqnGJ-WNZoA0H_DYwu1L-l9r3k

Toujours au top de l’analyse : Le maire refuse « l’instrumentalisation » de l’affaire, ben voyons ! « … Dominique Gros refuse la « stigmatisation » du quartier de Borny. « Il y a eu quelques réactions vis-à-vis des forces de l’ordre de la part de personnes qui se sentent stigmatisées. Personne ne l’est ici ». Il s’oppose aux « dérives selon lesquelles le quartier est un coupe-gorge ». Plus péteux que cela, tu te réfugies dans un monastère grec des Météores : https://actu.fr/grand-est/metz_57463/attaque-couteau-metz-le-maire-police-agi-etat-legitime-defense_30578517.html

Petit rappel sur le maire Dominique Gros. Amis messins,vous êtes administrés par un vrai pro, question derniers sacrements : https://ripostelaique.com/leche-babouches-de-la-semaine-dominique-gros-maire-ps-de-metz.html

Copulation coranique multiple dans les prisons de la Belloubête. Quelle orgie ! Rocco Siffredi peut remballer sa camelote et retourner chez maman. Un gamin, notre hyperbandeur international : https://www.europe1.fr/societe/attentat-de-conde-sur-sarthe-quand-des-detenus-vivaient-leur-polygamie-en-prison-3941075#xtor=EPR-202-[Quotidienne]-20200106&lacid=europe1_848799

ENSAUVAGEMENTS

Nantes : « En 2019, Nantes avait battu tous les records avec 65 fusillades – dont 64 liés à la guerre des gangs de la drogue – qui ont causé 3 morts et 24 blessés. Les armes ne se sont pas tues longtemps puisque un jeune homme domicilié à la Bottière, un quartier « sensible » de l’est de Nantes, a été hospitalisé ce 5 janvier avec des blessures par balle. » https://www.breizh-info.com/2020/01/07/134085/nantes-un-homme-hospitalise-suite-a-la-premiere-fusillade-de-lannee

Béziers, surinée du jour : « Le suspect, qui a été placé en détention provisoire, est soupçonné d’avoir asséné quatre coups de couteau à une femme, âgé de 27 ans, dans le centre-ville de Béziers (Hérault), le 2 janvier. Déjà connu pour des faits de violences…«  http://www.fdesouche.com/1318879-beziers-34-une-femme-poignardee-a-plusieurs-reprises-en-pleine-rue

Bayonne, encore un cimetière juif vandalisé. La routine. Allons-nous vers une fusion des cimetières juifs et des églises catholiques, sous la garde de l’imam local et de sa future milice ? https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/bayonne-une-dizaine-de-tombes-profanees-au-cimetiere-juif-1578345379?fbclid=IwAR2gHtVHX-lKbAzCybFEe0x9nKCtS0M5XRDKIBGeTv8t-SRfPn6O623IbH4

Antibes, sur la jolie Côte d’Azur.

Clermont-Ferrand, et encore un suriné : https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/clermont-ferrand-une-agression-au-couteau-pres-d-un-arret-de-tram-en-centre-ville-1578336063

GUERRE MONDIALE IIIe

Femmes abandonnées par les migrants en Afrique. Pas de souci, Mesdames, Papa Noël Macron va vous regrouper tout ça dans votre futur royaume pour conte de fées : https://twitter.com/hashtag/femmes?src=hash&ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Eembeddedtimeline%7Ctwterm%5Eprofile%3AF_Desouche&ref_url=http%3A%2F%2Fwww.fdesouche.com%2F1320267-marika-bret-charlie-hebdo-quand-on-met-le-mot-islam-dans-un-dessin-derriere-ce-sont-des-kilometres-de-menaces-de-mort

Couteaux chez les toubibs. Du sang sur le carrelage, logique pour un hôpital, non ?

Episodio di violenza questa mattina al pronto soccorso dell’Ospedale Ruggi d’Aragona di Salerno.

Les Européens qui tiennent un discours anti-Trump et anti-Netanyahu, en caressant les ayatollahs dans le sens du poil de barbe, se trompent lourdement. Pour Téhéran, ils sont tous des mécréants.

Akbar for ever, je résiste à toute tentative de traduction. Universel je suis (Allah)

J. Sobieski et D. Moulins

Celine Pina : la France est envahie, menacée de mort

(Source : Riposte laïque)

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« Niqabée » munie d’un couteau : surtout pas d’amalgames !____________________________________________________

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« Niqabée » munie d’un couteau : surtout pas d’amalgames !

Pas de précipitation, qu’on vous dit !

Finalement, la folie, ça fait peur mais c’est tout de même bien pratique !

C’est vrai, quand les propos de quelqu’un ne nous plaisent pas, on dit facilement qu’il (ou elle) est cinglé(e)… ce qui n’a pas échappé aux détenteurs du pouvoir, toujours à l’affût du moindre prétexte qui pourrait dédouaner leurs petits chéris musulmans, de plus en plus difficiles à vendre comme pratiquant « la » religion d’amour et de paix, alors qu’ils surinent à tout-va… les mécréants !

C’est donc pain bénit pour eux de faire en sorte d’adroitement diriger les magistrats (totalement indépendants du pouvoir – sic) vers la thèse de la folie, dès qu’un « non stigmatisable » est pris… le couteau à la main, souvent hélas après avoir servi !

Je soupçonne quelques lecteurs de déjà hocher la tête en disant « elle n’a pas de preuve de ce qu’elle avance ! »…

Eh bien si ! Parfaitement, j’en ai des preuves ; il suffit d’ailleurs de lire attentivement la presse journalière, qui peine de plus en plus à planquer sous le tapis tous les crimes, attentats, viols, exactions… commis par ces êtres « adorables » injustement amalgamés par les vilains franchouillards racistes, avec n’importe quel criminel, alors que ce n’est jamais de leur faute !

Il y a toujours un moment où le diagnostic de folie vient arrondir les angles, en leur évitant les durs séjours en prison, bien trop pénibles pour ces êtres si sensibles.

Le problème c’est que précisément quand ces « franchouillards » (dont je suis !) soulignent que ce serait justement leur fameuse religion intouchable qui serait à l’origine de leur démence… ce sont eux qui se retrouvent menacés d’incarcération (avec sursis ou pas !) pour « incitation à la haine », sans jamais bénéficier d’un éventuel déséquilibre mental, même passager, pouvant excuser leurs propos !

C’est ainsi que « grâce » à la décision d’experts psychiatres, le déclarant irresponsable pour avoir fumé du cannabis avant de passer à l’acte, un verdict drastique, à la hauteur du crime commis, sera épargné au débile profond, Kobili Traoré qui le 4 Avril 2017 a défenestré Sarah Halimi après l’avoir torturée pendant d’intolérables instants… puisqu’il n’y aura pas de procès !

https://www.dalloz-actualite.fr/flash/affaire-sarah-halimi-cannabis-meurtre-antisemite-et-irresponsabilite-penale#.XhRWAm5FzIV

Soyez certains que si Nathan C.  le taré « atteint de troubles psychologiques » récemment abattu par la police, après avoir tué un homme et menaçant d’en poignarder d’autres, avait survécu, il aurait à coup sûr bénéficié de l’excuse habituelle ; car malgré les traditionnelles circonvolutions journaleuses, prétendant qu’il « souffrait de « troubles psychologiques » et était « connu pour des faits de droit commun » mais pas pour radicalisation »… tout en ajoutant plus loin : « Un sac lui appartenant a été retrouvé « à plusieurs centaines de mètres » du lieu de l’attaque, contenant sa carte bancaire ainsi que des « éléments religieux »,« laissant penser qu’il était converti à l’islam », a précisé le parquet »… il ne fait aucun doute, chez les citoyens éclairés, que l’abruti en question avait subi le lavage de cerveau de la religion d’amour et de paix… enjoignant de tuer tous les mécréants pour gagner le paradis !

https://www.lepoint.fr/societe/un-mort-et-deux-blesses-dans-une-attaque-au-couteau-a-villejuif-l-assaillant-abattu-03-01-2020-2356039_23.php

Nous pourrions également, sans crainte du ridicule, ouvrir les paris sur le fait qu’une fois rétabli de sa blessure (les policiers de Metz étant moins adroits que ceux de Villejuif), l’innocent Jamal préméditant sans doute de bien vilaines choses avec un coutelas de grande dimension, ne passera pas par la case « prison » puisque lui aussi « connu pour sa radicalisation et ses troubles de la personnalité », selon le procureur de la République de Metz, Christian Mercuri. Il était fiché S pour ses liens présumés avec la mouvance salafiste et islamiste locale. Il était suivi par les services de la DGSI.

Écoutez sur le lien qui suit, l’ex-patron de la DGSI, Jean Michel Fauvergues, aujourd’hui député LaREM s’exprimer sur Europe 1, en reconnaissant « Il y a des passerelles entre le terrorisme et la folie ».

https://www.msn.com/fr-fr/video/regarder/jean-michel-fauvergue-il-y-a-des-passerelles-entre-le-terrorisme-et-la-folie/vi-BBYEvih

Et curieusement, un troisième « cas » de « couteau baladeur » n’a pas tardé à être relaté, mais cette fois c’est une femme au comportement bizarre qui a été interpellée ce dimanche en début de soirée, gare d’Austerlitz, avec un couteau d’une lame de 15 centimètres et un coran dans une sacoche ouverte…

Il serait pourtant « trop tôt » pour qualifier cette femme… d’après la prudence journalistique…

D’autant plus que comme cela commence à faire désordre, ces affaires de couteaux qui prennent l’air entre les mains de gens paressant très semblables, et se terminant dans le sang… une autre piste nous est ingénument présentée dans l’espoir que nous mordons bien à l’hameçon :

« Aux policiers venus l’appréhender, elle a affirmé habiter en Seine-Saint-Denis – elle était sans pièce d’identité. Elle n’a pas justifié la présence de l’arme au moment de son interpellation, bien qu’elle ait précisé ne pas vouloir faire de « mal ni à [elle]-même ni à autrui ». À partir de son identité déclarée, les forces de l’ordre ont pu vérifier que cette femme est fichée au FPR et recherchée par la police judiciaire au titre de « personne disparue ». Une fugueuse de 37 ans gantée et en niqab donc. Elle a obtempéré sans incident aux demandes des forces de l’ordre de retirer son voile intégral. Elle a été fouillée pour s’assurer qu’elle ne disposait pas de ceinture explosive et ses affaires ont été vérifiées avec l’aide d’un chien de détection.

Défense de rire !

Pourtant, c’est son comportement étrange qui a intrigué un jeune homme attendant son train : « Intégralement voilée, le visage dissimulé malgré la loi en vigueur depuis 2011 interdisant de se masquer dans l’espace public, elle faisait des allers-retours, semblant parler seule et regarder des vidéos sur son portable. Selon ce témoin, elle était en gare, mais elle n’avait pas l’intention de prendre le train, délaissant notamment les panneaux d’affichage, elle semblait n’attendre personne non plus. Après l’avoir observée durant une quarantaine de minutes et remarquant qu’elle parlait à haute voix, l’index en l’air, il s’est rendu au poste de police de la station ».

Voilà, voilà, voilà…

Une fugueuse donc, niqabée, avec un long couteau et un coran… mais il ne faudrait pas en tirer trop vite de graves suspicions d’agression car « en l’état actuel des choses » comme aime à le seriner un de nos fadas officiels du gouvernement… rien ne prouve que cette femme ruminait de mauvaises intentions.

Si ça se trouve, elle avait tout simplement une peur bleue des islamophobes et des sionistes qui hantent nos rues (et nos gares) dans l’espoir d’assassiner de pauvres innocents islamistes, à coup de mots durs et souvent injustes

La preuve, même Pierre Cassen le dit :

https://www.youtube.com/watch?v=fO2UAjU6sMM

Donc, dans la rubrique « jusqu’au bout on vous prendra pour des cons », il faut reconnaître que certains « scénaristes » ont une imagination débordante…

https://www.lepoint.fr/societe/une-femme-integralement-voilee-porteuse-d-un-couteau-interpellee-gare-d-austerlitz-06-01-2020-2356267_23hp.p

http://www.fdesouche.com/1320117-paris-une-femme-integralement-voilee-porteuse-dun-couteau-interpellee-gare-d-austerlitz

Sauf que dans le décompte des tueries « islamistes contre islamophobes », détenu par les premiers, il n’y a jamais de « match retour » puisque rien que d’oser en parler peut vous valoir les pires ennuis !

Mais les temps changent…

Loin de moi l’idée d’émettre le moindre début un commencement de menace, mais à force de prendre les citoyens français pour des cons… eh bien ils vont finir par le devenir… en empruntant les mêmes scénarios précédemment excusables, et le tour sera joué.

Il n’est pas impossible qu’un petit malin (ou une) s’arrange un jour pour fumer un joint de cannabis, endosse un niqab intégral, se munisse d’un coutelas et apprenne à glapir « Allahu akbar », avant de passer à l’acte en « soulageant » un être égaré de sa folie coranique… et les juges incorruptibles seront bien obligés d’appliquer le même verdict de folie amnistiable au sale mécréant, sous peine de se déjuger…

Et cela c’est carrément impossible, la probité de ces gens étant inattaquable. Enfin, c’est eux qui le prétendent !

On parie ?

Josiane Filio

« Niqabée » munie d’un couteau : surtout pas d’amalgames !

(Source : Riposte laïque)

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Metz : les policiers neutralisent un terroriste présumé ? Emeutes ! Touche pas à mon frère, Kouffar !

Metz : les policiers neutralisent un terroriste présumé ? Emeutes ! Touche pas à mon frère, Kouffar !

Jamais l’islam n’a été aussi conquérant et violent que depuis que Macron lui a fait espérer un statut privilégié.

Jamais les musulmans n’ont été aussi agressifs et revendicatifs.

Jamais la 3ème phase du djihad n’a été aussi clairement étalée à la face des Français. Ben oui c’est le moment ou jamais de montrer leur force…  afin d’imposer la charia : pas touche à l’islam, pas touche au cheveu d’un seul musulman, fût-il armé d’un couteau criant « allah akbar »… C’est vraiment la dernière étape. Même ça ils osent…

Après l’intervention de la police dans le quartier pour neutraliser le suspect, des tensions ont éclaté à proximité des lieux où se sont déroulés des faits. Des cocktails molotov ont été lancés vers les policiers déployés dans le quartier. Certains ont été retrouvés allumés au sol sans être lancés ou utilisés.

Des poubelles ont également brûlées près de certains immeubles d’habitation ou encore sur la voie utilisée par les bus METTIS. [sic]

Source

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Ils revendiquent donc allègrement, il faut s’en réjouir, le lien entre attaques au couteau et islam puisqu’ils refusent que la police fasse la loi chez eux, soit en territoire musulman. 

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On lira avec intérêt l’excellent article de Céline Pina dans le Figaro  article dans lequel elle analyse remarquablement ce qui se passe à Metz et accuse clairement Macron de souffler sur les braises :

« Le pire, c’est qu’à force de ne pas agir et de fermer les yeux, certains individus dans les quartiers gangrenés par l’islamisme finissent par protéger ouvertement les radicalisés. On le constate à Metz où un certain nombre de jeunes et d’habitants, enivrés par leur toute-puissance, la haine du policier et le sentiment de victimisation, s’en prennent aux forces de loi et les traitent d’assassins, alors que ces derniers n’ont fait que leur travail. Peut-être parce qu’ils pensent que les radicalisés font le tri dans les victimes et que le tueur de proximité veillant soigneusement à ne pas tuer les musulmans, quand celui de masse ne fait pas dans le détail, il mérite la protection du groupe. L’aveuglement ne protège donc de rien et attise la violence communautaire comme l’influence de l’islamisme à l’intérieur de la communauté musulmane. »

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En ayant finalement choisi d’assumer la dimension terroriste de l’attentat de Villejuif, le Parquet a fait œuvre utile au-delà de son périmètre de compétence. Il a joué le rôle que l’on attend d’une institution et celui que l’on aimerait voir exercer par nos politiques. À voir à Metz les tensions et l’esprit de vengeance que génèrent dans les quartiers sous influence islamiste l’intervention des policiers et la neutralisation de l’homme armé d’un couteau qui voulait s’en prendre à eux aux cris d’Allah Akbar, on mesure à quel point il est urgent que ce pouvoir se réveille et arrête de jouer: les Français voient bien que la situation n’est pas sous contrôle et que le déni du pouvoir les expose de plus en plus.

 

Ensemble de l’article ici :

«Lorsque l’on tue au nom d’Allah, l’excuse du déséquilibre mental ne tient pas!»

[…]

Le mode opératoire: assassinat au couteau aux cris d’Allah Akbar ; le port de la djellaba ; le jour choisi, un vendredi; la conversion à l’islam et le Coran retrouvé dans ses affaires. Tout indiquait dès les premières constatations que l’on était bien en face d’un individu qui avait décidé de se soumettre aux mots d’ordre de l’État islamique, incitant chacun à son niveau à prendre les armes contre les juifs et les mécréants. C’est confirmé depuis que la procureure a parlé à la fois de la détermination du meurtrier mais aussi d’une réelle cohérence dans ses revendications et ses références puisque le criminel a épargné un passant qui était capable de citer une prière musulmane. Cela dit, dès l’annonce, tout le monde avait compris ce qui s’était passé à Villejuif.

La maladie mentale n’explique pas le choix de se placer sous l’égide de l’islam pour justifier ses crimes.

Pourquoi? Parce que le scénario est toujours le même et que seul notre gouvernement paraît incapable de le reconnaître: l’assassin monte sa petite entreprise de meurtre au couteau, le fait au nom d’Allah comme le recommandait en son temps l’État islamique et nos autorités s’empressent de nier les faits pour mettre la poussière de la violence inspirée et magnifiée par les islamistes sous le tapis du «déséquilibre». Mais la maladie mentale n’explique pas le choix de se placer sous l’égide de l’islam pour justifier ses crimes en l’occurrence. Ni la récurrence de cette référence chez tous ceux qui sont qualifiés de déséquilibrés.

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À ce titre, le tweet d’Emmanuel Macron suite à ce drame est exemplaire de l’aveuglement volontaire de nos représentants élus. Il est le premier d’entre eux, il donne le ton de l’absence de courage: le tweet ne nomme pas ce qui nous tue et ignore l’idéologie qui relie entre eux les assassins de Charlie, les terroristes du Bataclan et le tueur de Villejuif.

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Il semble de plus en plus que face à l’agression de leur peuple, conséquence directe de la propagande islamiste sur notre sol, nos autorités n’ont rien de plus pressé que de nier et dénier ce lien. Les victimes les indiffèrent, c’est le coupable qu’il faut protéger et empêcher que le lien soit fait avec les salafistes ou les Frères musulmans. Le déséquilibre mental devient alors la martingale absolue qui interdit de se demander pourquoi tous ces déséquilibrés tuent au même cri «Allah Akbar» et non au nom de Bouddha, du Christ ou de Yahvé. Or si les personnes fragiles psychologiquement tuent au nom d’Allah même si elles n’appartiennent pas toutes à la culture musulmane, c’est parce que la propagande à l’œuvre sur notre territoire crée des phénomènes de décompensation, de passage à l’acte. Cela signifie quelque chose que de revendiquer de tuer au nom d’Allah. Ce n’est pas un hasard, ni une coïncidence. Cela parle d’un imaginaire de haine et de violence qui est valorisé dans certains territoires, qui est présenté comme une forme d’accomplissement. Le meurtre devient un geste sacré qui élève. L’idéologie donne un sens eschatologique au meurtre et à la destruction. Sur les esprits faibles, la force de ce type de représentation est une bombe à retardement.

L’impact de la propagande sur les malades mentaux témoigne d’une telle emprise de la représentation du monde des islamistes dans nos sociétés.

La première chose qui étonne donc, c’est que brandir la carte du déséquilibre mental ne résout rien. Surtout dans un pays où les malades mentaux sont de plus en plus laissés en liberté et où la psychiatrie est sinistrée. Au contraire, l’impact de la propagande sur les malades mentaux témoigne d’une telle emprise de la représentation du monde des islamistes dans nos sociétés que cela se répand en dehors du cadre communautariste. Les meilleurs signaux sont justement cette force d’attraction exercée sur les esprits les plus faibles. C’est de cela dont nous parle aussi le dernier attentat qui a eu lieu dimanche 5 janvier à Metz.

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Se réfugier derrière l’excuse du «déséquilibre» témoigne aussi du refus de regarder en face le réel. Nos politiques croient-ils vraiment que la chair à canon de toutes les guerres se caractérise par son équilibre mental? Pensent-ils sérieusement que quand l’État islamique demande que l’on tue dans les écoles, dans les crèches, que l’on s’en prenne à ses voisins, à son entourage, il cible des gens sains d’esprit? Nos dirigeants savent pertinemment que pour qu’une entreprise de déstabilisation politique et de terrorisme fonctionne, il faut que les dirigeants, eux, sachent où ils veulent aller et soient habités par la conscience de leurs objectifs politico-religieux, la masse, elle doit juste être fanatisée et sous emprise pour exécuter ce qu’elle n’a pas à penser, d’autres le font pour elle. Les concepteurs des attentats ou ceux qui incitent au meurtre de proximité savent parfaitement ce qu’ils font et sur qui ils comptent pour répandre la terreur. Ils savent qui ils ciblent et pourquoi et ce ne sont pas les esprits les plus affûtés que leur propagande vise. Et cela marche: Villejuif et Metz nous l’ont encore prouvé.

Ils sont de parfaits auto-entrepreneurs du meurtre et de la terreur.

Et quoi de plus effrayant que cette emprise sur ces personnalités faibles, indétectables mais susceptibles de tuer le moindre d’entre nous? Ces déséquilibrés auront sans doute du mal lors des interrogatoires à tenir le discours de personnalités radicalisées en conscience comme ont pu l’être ceux des partisans d’Al-Qaïda. Ils sont incapables de fomenter des attentats de masse nécessitant complicités et coordination, mais ils sont de parfaits petits auto-entrepreneurs du meurtre et de la terreur. Et nos autorités, qui devraient les traiter pour ce qu’ils sont, des supplétifs des terroristes, se décrédibilisent à ne pas dire la vérité des faits, à dissimuler ce qui saute aux yeux de tous: s’il y a un point commun à tout ce sang qui ne cesse de ruisseler depuis 2012 et l’affaire Merah, c’est l’implantation des islamistes sur notre sol, leur réseau de mosquées, leur propagande par les livres, les antennes paraboliques, leurs discours et leurs représentations qui imprègnent certains quartiers et territoires, leurs manifestations de force, jamais empêchées. Pire même, la construction de l’islam dit de France est un formidable cadeau fait aux Frères musulmans par la volonté personnelle d’Emmanuel Macron.

Le pire, c’est qu’à force de ne pas agir et de fermer les yeux, certains individus dans les quartiers gangrenés par l’islamisme finissent par protéger ouvertement les radicalisés. On le constate à Metz où un certain nombre de jeunes et d’habitants, enivrés par leur toute-puissance, la haine du policier et le sentiment de victimisation, s’en prennent aux forces de loi et les traitent d’assassins, alors que ces derniers n’ont fait que leur travail. Peut-être parce qu’ils pensent que les radicalisés font le tri dans les victimes et que le tueur de proximité veillant soigneusement à ne pas tuer les musulmans, quand celui de masse ne fait pas dans le détail, il mérite la protection du groupe. L’aveuglement ne protège donc de rien et attise la violence communautaire comme l’influence de l’islamisme à l’intérieur de la communauté musulmane.

Alors pourquoi un tel aveuglement de ce pouvoir qui finit par confiner à de la complicité? La question devient lancinante, plus les cadavres s’empilent. Par peur de la guerre civile? Parce que dès aujourd’hui le pouvoir n’est pas sûr de pouvoir contrôler certains territoires s’il se décide à s’attaquer à l’islamisme sur notre sol? Parce que l’argent des Qataris et de l’Arabie saoudite ferme les yeux et les bouches? Parce que nos élites pensent inconsciemment qu’elles sont protégées des violences communautaires, que c’est nous qui payons et payerons le prix du sang et qu’elles ne sont que modérément concernées par notre sort? Parce que pour assurer leur pouvoir, certains édiles ne connaissent plus que le clientélisme et sont trop enfoncés dans les tractations avec les islamistes pour reculer alors que les Municipales se profilent? Malheureusement aujourd’hui toutes ces questions sont légitimes et détruisent, autant que le mépris de classe du gouvernement, la confiance qui devrait exister entre un peuple et ses représentants.

L’auto-entrepreneuriat du terrorisme fonctionne très bien ainsi et tue à bas bruit pendant que les politiques se rassurent à coup de «déséquilibrés» et autres fumeurs de joints pour continuer à refuser de voir la progression des représentations et des mots d’ordre des islamistes dans certaines communautés et certains territoires. Ils contribuent ainsi à construire et rendre inéluctable ce qu’ils disent vouloir éviter. Autrement dit, à refuser de combattre la propagande islamiste, celle-ci ne peut que s’étendre et continuer à susciter ces passages à l’acte en bas de chez nous ; à refuser de voir que les représentations des salafistes et des frères musulmans sont devenues une référence dans certaines banlieues et bien au-delà, que ces discours commencent à trouver leur place à l’université via les études dites décoloniales, que des personnalités médiatiques se font le relais du discours sur l’islamophobie, tel que voulu et porté par les Frères musulmans, on encourage l’influence de ces discours sur nos institutions. Résultat: l’école peine à faire respecter la laïcité ; la justice se fait instrumentaliser via le «jihad judiciaire» ; le monde de l’université et de la culture tend à devenir le promoteur d’un nouveau racisme rebaptisé racialisme ; la légitimité de la police est attaquée en reprenant le discours des associations de quartiers qui sèment à la fois la haine du blanc et du flic.

Les Français voient bien que la situation n’est pas sous contrôle et que le déni du pouvoir les expose de plus en plus.

De tels faits participent du délitement d’un pays, de la rupture de la confiance entre le peuple et ses dirigeants, de l’altération du lien social et de l’incapacité collective à faire face à la violence terroriste. En ayant finalement choisi d’assumer la dimension terroriste de l’attentat de Villejuif, le Parquet a fait œuvre utile au-delà de son périmètre de compétence. Il a joué le rôle que l’on attend d’une institution et celui que l’on aimerait voir exercer par nos politiques. À voir à Metz les tensions et l’esprit de vengeance que génèrent dans les quartiers sous influence islamiste l’intervention des policiers et la neutralisation de l’homme armé d’un couteau qui voulait s’en prendre à eux aux cris d’Allah Akbar, on mesure à quel point il est urgent que ce pouvoir se réveille et arrête de jouer: les Français voient bien que la situation n’est pas sous contrôle et que le déni du pouvoir les expose de plus en plus.

Christine Tasin

Metz : les policiers neutralisent un terroriste présumé ? Emeutes ! Touche pas à mon frère, Kouffar !

(Source : Résistance Républicaine)

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