Elias d’Imzalène. un musulman fanatique, fiché S en France
Deux informations indépendantes, cette semaine, qui montrent à quel degré de trahison est parvenue l’Union dite « européenne ».
Une première, plus limitée dans son ampleur, celle de l’audition à la commission dite « européenne » d’un musulman fanatique, fiché S en France, le ci-devant Elias d’Imzalène.
J’étais aujourd’hui au parlement européen @PEStrasbourg afin de sensibiliser ses députés sur l’islamophobie en France. À l’international, la position française face à sa minorité musulmane est décriée de toute part. Il était urgent de briser cette omerta.
Ces canailles européistes ne manquent pas de crapulerie : auditionner un dégénéré de l’islam au moment même où se tient le procès du Bataclan.
Seul a protesté contre cette infection, Jordan Bardella :
J’ai dénoncé en hémicycle la présence aujourd’hui de ce militant islamiste notoire. Comment cet individu fiché S pour radicalisation a-t-il pu mettre les pieds ici, au cœur des institutions européennes ? J’ai demandé des explications à la présidente du Parlement européen
Elias d’Imzalène
@imzalene
J’étais aujourd’hui au parlement européen @PEStrasbourg afin de sensibiliser ses députés sur l’islamophobie en France. À l’international, la position française face à sa minorité musulmane est décriée de toute part. Il était urgent de briser cette omerta.
Voir tout le dossier, édifiant, sur F de souche, une fois de plus, les dhimmis socialistes à la manoeuvre.
Passons à la deuxième trahison, de la semaine, des canailles européistes, d’une dimension gigantesque.
La démission-éviction de Fabrice Leggeri, patron de Frontex, agence qui est censée défendre nos frontières.
Voici, d’après le « Figaro », dans quel contexte :
Dans les rangs de cette administration naissante (Frontex), qui se rêvait en future police fédérale de l’immigration, c’est le désenchantement pour quelques-uns, mais pas la surprise.
«On s’attendait à cette démission», nous confie un agent français sur place.
Selon lui, «la pression des élus promigrants et des ONG, qui mènent le bal à Bruxelles contre la ligne Leggeri, était trop forte et la Commission européenne, présidée par Ursula von der Leyen, était à la manœuvre». À l’entendre, «Bruxelles voyait d’un mauvais œil les velléités opérationnelles de Frontex, dirigée directement par un conseil d’administration majoritairement composé des ministres de l’Intérieur des pays membres».
Avec quelles conséquences, l’article du « Figaro » les précise :
La suite se devine, sous la plume d’un trio qui assure la suppléance et qui écrit aux agents, le 1er mai:
«Il n’y a pas de contradiction entre la protection de la sécurité des frontières extérieures de l’Union européenne et la protection des droits fondamentaux de ceux qui les franchissent ; la défense des droits fondamentaux est une valeur essentielle, qui fait partie intégrante de notre identité. Ensemble, faisons de l’Agence un modèle de professionnalisme de la police des frontières, dans le respect de l’État de droit.»
Signé: «Aija, Uku et Lars», les trois sous-directeurs.
Décryptons la langue orwellienne de ces tarés.
Il y avait une (petite) montée en puissance de Frontex avec une volonté de défense des frontières, de NOS frontières.
Les tarés de l’Union dite « européenne » ont immédiatement démantelé cette volonté.
Dit encore plus brutalement, les canailles de l’Europe vont transformer Frontex, censée,donc, défendre les frontières, en bureau d’accueil des envahisseurs.
C’est une trahison majeure qui s’effectue dans l’indifférence des médias.
Dans l’indifférence, aussi, ou plutôt la complicité du gang Macron-Darmanin, comme l’explique cet autre article du « Figaro »:
Dans cet imbroglio politico-administratif, le silence des autorités françaises est stupéfiant.
Comme trop souvent, elles mettent un point d’honneur à ne jamais voler au secours de l’un des leurs en dépit du fait qu’il défend la ligne qu’ils prétendent incarner devant les Français.
Qu’il s’agisse de Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, ou d’Emmanuel Macron, président du Conseil européen jusqu’au mois de juin, ils affirment être attachés à une Europe-puissance capable de maîtriser les flux migratoires.
Or ce n’est pas du tout le cas.
Le député européen LREM Stéphane Séjourné, président du groupe Renew (qui réunit les députés européens centristes, dont LREM), n’a jamais défendu cette ligne, donnant raison au bloc de la gauche du Parlement qui considère qu’une agence telle que Frontex est a priori suspecte.
Il faudra clarifier ce double discours.
https://www.lefigaro.fr/vox/monde/charles-jaigu-a-qui-profite-la-cabale-contre-frontex-20220504
Oui, il faut détruire cette Union « européenne » avant qu’elle ne nous détruise.
Certes, ces canailles nous mettent en garde contre une possible ruine économique (c’est leur seul argument pour continuer à nous nuire et à nous parasiter comme des morpions) , mais ici il s’agit de la survie de notre civilisation qu’ils s’emploient, méthodiquement, à détruire.
Antiislam
(Source : Résistance Républicaine)
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