Le tonton caché du procureur de la CPI !

Non, le procureur général de la CPI – Cour pénale internationale – ne nous a pas tout dit !

Et pour vous apporter cet article très fouillé, j’ai plongé dans les poubelles biographiques de l’intéressé qui, croyez-moi, ne sentaient pas la rose, ou alors celle des vents un jour de gastro-entérite !

Tout d’abord, pour bien comprendre la rage antisioniste – voire plus si affinités ! – soudain révélée de Karim Ahmad Khan, il faut remonter à son arrière-oncle, Moustafa al-Nique-Kouffar, ami intime de Mohammed Amin al-Husseini, surnommé par ses intimes le « Himmler au Turban », qu’il avait rencontré lors d’une lapidation mondaine organisée à Jérusalem où Tonton Moustafa était en vacances !

Grâce à cette amitié, Tonton Moustafa put même saluer Hitler au cours d’un voyage en Allemagne où il accompagnait son ami Al-Husseini. C’est là-bas qu’il fit la connaissance de la plus belle rencontre de sa vie, Reinhard Heydrich, à qui il confia sa recette secrète des fruits confits marinés dans de l’urine de dromadaire. Charmé par Heydrich et ses blagues sur les Juifs, Tonton Moustafa singea ensuite quelque peu son modèle allemand.

Dès lors il se coupa la barbe halal et se coiffa d’une raie impeccable au côté. Il renonça toutefois à apprendre l’allemand, faute d’un cerveau suffisant pour assimiler les subtilités de la langue. En apprenant la mort du « bourreau de Prague » en juin 1942 – qui avait, quelques mois plus tôt, organisé une petite réunion informelle dans le quartier cossu de Wannsee à Berlin, histoire d’organiser l’extermination des Juifs d’Europe –, Moustafa pleura toutes les larmes de son corps et refusa même de reprendre du couscous de sa cousine Aloufa, pourtant réputé l’un de meilleurs du monde islamique.

En 1947, date de l’indépendance du Pakistan, Tonton Moustafa rentra chez lui après deux ans passés à vivre dans la clandestinité à cause de ses accointances allemandes. Son copain Al-Husseini, lui, après entre autres un séjour « très dur » en France où il fut retenu prisonnier à la manière d’un nabab dans un palace, put rentrer au Proche-Orient pour tenter d’en finir avec le nouvel État juif abhorré. Hélas, trois fois hélas, il n’eut pas, dans cette matière, les faveurs d’Allah pour avoir, je crois, pissé en direction de La Mecque ! Allah est rancunier…

Revenons à Tonton Moustafa qui, à l’hiver de sa vie et visitant un jour à Londres son petit-neveu mécréant – car appartenant aux ahmadis, une branche considérée comme hérétique en islam –, se prit d’une réelle affection pour son arrière-petit-neveu. Entre le petit garçon et le vieux musulman antisémite une relation privilégiée se noua au fil des ans.

Malheureusement, Tonton Moustafa mourut d’un accident bête : il se rompit le cou en glissant sur les escaliers d’une mosquée rendus trop lisses à cause de la pluie. Certains proches de la victime penchèrent même pour un orage pluvieux provoqué par le Mossad, ce qui est tout à fait plausible pour des esprits considérant que la Terre est plate !

Toutefois, ses souvenirs racontés à Karim, âgé de quatorze ans à sa mort, essaimèrent et, retenant particulièrement les leçons de taqiyya de Tonton Moustafa, « Kakhan » – petit nom que lui aurait donné sa secrétaire bien gentille ! – se comporta très bien chez les mécréants anglais. Il fit de brillantes études de droit, devint un avocat non moins brillant, puis procureur de la Couronne, avant de travailler du côté de la défense à la Cour pénale internationale en défendant notamment des fils de dictateurs qui avaient les mains pleines de sang, mais ils n’étaient pas juifs – ouf !

En 2021, il obtint le Graal tant convoité et devint procureur de la CPI où, depuis, il ponctue régulièrement ses déclarations par des « inch’Allah » révélant un petit peu sa nature islamique.

Depuis encore, il s’est senti pousser des ailes en lançant des mandats d’arrêt à tout-va. Ainsi, après Vladimir Poutine, voici donc que Kakhan s’en prend à Benyamin Netanyahou et son ministre de la Défense. Inch’Allah bien sûr, aucune demande de mandat d’arrêt ne visera de sa part les dirigeants qataris, saoudiens, turcs, etc., là où les musulmans intégristes se sentent aussi bien qu’un sanglier dans un bain de boue !

Mas Kakhan n’a jamais oublié son arrière-oncle bien-aimé, et il lui arrive, pour célébrer sa mémoire, de se vêtir en Heydrich ou, pour faire plus moderne, en Ayatollah dans les soirées qu’il organise pour se délasser du bureau, anticipant sur les vierges promises au Paradis d’Allah et faisant venir quelques naïades toujours bien gentilles !

(Ceci est une parodie… enfin je crois !)

Charles Demassieux

Source : RIPOSTE LAÏQUE – Le tonton caché du procureur de la CPI !

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