CONSEQUENCES DES GRANDES INVASIONS BARBARES DU XXIe SIECLE – 2 avril 2017

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Image associéeL’une des casernes ennemies ouvre ses portes, remplie de loups musulmans, pourtant non masqués, et tous plus féroces les uns que les autres, et voilà que des troupeaux de moutons s’y engouffrent en bêlant de joie !! Souvenez-vous de ce qu’a dit le dictateur Erdogan en 1998, celui-là même qui voudrait tant entrer dans l’Europe, a dit : « Les mosquées sont nos casernes, les coupoles nos casques, les minarets nos baïonnettes et les croyants nos soldats » . On ne pactise pas avec le diable : on s’en écarte prudemment !!! MAIS COMMENT PEUT-ON ÊTRE AUSSI BÊÊÊTE ??? louyehi ____________________________________________________

Les paroisses catholique et protestante de Genève fêtent la mosquée !!!

Une nouvelle mosquée va ouvrir. Catholiques, protestants et membres de la Plateforme interreligieuse se joignent aux festivités.

L’inauguration de la mosquée de Plan-les-Ouates les 20 et 21 mai prochains sera un «week-end débordant de festivités interculturelles et interreligieuses ». Il est organisé par la Plateforme interreligieuse de Genève et soutenu par la Commune de Plan-les-Ouates, les paroisses catholique et protestante et diverses organisations.

L’association albanaise Dituria invitera le public non seulement à découvrir sa mosquée, qui peut contenir 400 personnes, mais aussi la culture albanaise. Une chasse au trésor se déroulera au temple, à l’église et à la mosquée, des animations diverses et un buffet multiculturel ponctueront cette manifestation destinée à «construire des ponts pour apprivoiser la différence et laisser tomber nos préjugés». Vos ponts sont minés d’avance, chers moutons de panurge ! louyehi

Je me suis laissé dire que les chrétiens feront de ce week-end celui du Grand Pardon. Ils s’apprêteraient même à adresser le texte suivant à l’association Dituria :

«Chers amis musulmans,

Nous avons décidé, pour l’inauguration de votre mosquée, d’oublier:

  • Que le Coran, votre livre parfait, parole de Dieu, nous promet l’enfer à d’innombrables reprises, pour la simple raison que nous ne sommes pas musulmans. Et qu’il nous traite à l’occasion de criminels, de bestiaux et de pervers.
  • Que votre Saint Livre affirme que nous avons falsifié la Bible qui dans sa forme originelle annonçait le message d’Allah.
  • Que vous implorez Allah dix-sept fois par jour dans vos prières de vous maintenir sur «la voie droite» et de ne pas vous diriger vers «les égarés» que nous sommes, selon la « Fatiha », première sourate du Coran.

Nous vous annonçons aussi que nous renonçons à ces préjugés qui nous ont fait trop longtemps imaginer que votre belle religion pouvait être intolérante.

Pour nous racheter, nous vous promettons solennellement de ne pas poser durant la fête des questions qui pourraient vous causer quelque gêne, par exemple :

  • Comment se fait-il qu’on voie, en faisant défiler les photos de votre page Facebook, presque uniquement des hommes ? Dituria serait-elle l’empire du mâle ?
  • Votre imam Aliu Rijad est ici depuis 10 ans, mais parle très peu français. Il est pourtant aumônier aux prisons de Champ-Dollon et de La Brenaz. L’arabe et l’albanais sont-ils la langue officielle de ces prisons ? Vos sites sont aussi en albanais, pourtant vous êtes pour la plupart issus de la deuxième génération d’immigrés. Est-ce bien favorable à l’intégration et à la transparence ?
  • Un journaliste du Tages Anzeiger a montré quels liens entretient l’UAIS (Union des Albanischen Imame in der Schweiz) avec le wahhabisme, et les propos aussi radicaux que misogynes qu’y tiennent certains prédicateurs. Son président traduit des livres du fanatique Al Qaradawi. Comment se fait-il que votre imam Aliu Rijad soit vice-président de cette union ? (2017).

Les deux fédérations albanaises de Suisse viennent de signer une charte dans laquelle elles s’engagent «à œuvrer au respect des droits de la femme, à favoriser son égalité».

  • Dans votre nouvelle mosquée, y aura-t-il une entrée femmes et une entrée hommes ?
  • Les cours seront-ils mixtes ?
  • Les sexes seront-ils mêlés lors des conférences et débats ?
  • Dans un article, une participante à un de vos cocktails témoigne: «…hommes et femmes ont été séparés une fois les représentants politiques partis».
  • Votre engagement égalitaire va-t-il jusqu’à introduire la mixité dans les prières ?
  • Les femmes seront-elles comme d’habitude reléguées au fond de la salle ou à l’étage ?
  • Votre page Facebook il est vrai répond à cette question : on n’y voit jamais l’ombre d’une femme prier. Il est vrai que toutes les mosquées d’Europe en sont encore là et qu’aucun reportage ne montre ces dames vu que les hommes occupent toujours l’espace privilégié.

Enfin, l’imam Aliu Rijad pourrait-il expliciter cette phrase qu’il a prononcée à propos d’une fête avec fillettes voilées :

Pour nous racheter, nous vous promettons solennellement de ne pas poser durant la fête des questions qui pourraient vous causer quelque gêne, par exemple :

  • Comment se fait-il qu’on voie, en faisant défiler les photos de votre page Facebook, presque uniquement des hommes ? Dituria serait-elle l’empire du mâle ?
  • Votre imam Aliu Rijad est ici depuis 10 ans, mais parle très peu français. Il est pourtant aumônier aux prisons de Champ-Dollon et de La Brenaz. L’arabe et l’albanais sont-ils la langue officielle de ces prisons ? Vos sites sont aussi en albanais, pourtant vous êtes pour la plupart issus de la deuxième génération d’immigrés. Est-ce bien favorable à l’intégration et à la transparence ?
  • Un journaliste du Tages Anzeiger a montré quels liens entretient l’UAIS (Union des Albanischen Imame in der Schweiz) avec le wahhabisme, et les propos aussi radicaux que misogynes qu’y tiennent certains prédicateurs. Son président traduit des livres du fanatique Al Qaradawi. Comment se fait-il que votre imam Aliu Rijad soit vice-président de cette union ? (2017).

Les deux fédérations albanaises de Suisse viennent de signer une charte dans laquelle elles s’engagent «à œuvrer au respect des droits de la femme, à favoriser son égalité».

  • Dans votre nouvelle mosquée, y aura-t-il une entrée femmes et une entrée hommes ?
  • Les cours seront-ils mixtes ?
  • Les sexes seront-ils mêlés lors des conférences et débats ?
  • Dans un article, une participante à un de vos cocktails témoigne: «…hommes et femmes ont été séparés une fois les représentants politiques partis».
  • Votre engagement égalitaire va-t-il jusqu’à introduire la mixité dans les prières ?
  • Les femmes seront-elles comme d’habitude reléguées au fond de la salle ou à l’étage ?
  • Votre page Facebook il est vrai répond à cette question : on n’y voit jamais l’ombre d’une femme prier. Il est vrai que toutes les mosquées d’Europe en sont encore là et qu’aucun reportage ne montre ces dames vu que les hommes occupent toujours l’espace privilégié.

Enfin, l’imam Aliu Rijad pourrait-il expliciter cette phrase qu’il a prononcée à propos d’une fête avec fillettes voilées :

«Le voile est une obligation religieuse, cependant nous n’obligeons aucune fille à se voiler. C’est le choix des familles.»

  • Les familles ont-elles donc le droit d’imposer le foulard à leurs filles?
  • Et la musulmane qui ne se voile pas fait-elle un petit, un moyen ou un grand pas vers l’enfer ?

En conclusion, soyez assurés, bien chers Frères et Sœurs en religion, que nul d’entre nous ne se permettra de troubler l’harmonie de ces jours de joie.

Vos dévouées

Paroisses catholique et protestante. »

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Mireille Vallette pour Dreuz.info.

Les paroisses catholique et protestante de Genève fêtent la mosquée

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St-Malo. A peine régularisé, le rappeur tunisien Alla Edine Yacoubi, alias Weld El 15  placé en garde à vue après des violences conjugales

Alla Edine Yacoubi, alias Weld El 15 a été placé en garde à vue mercredi 29 mars à Saint-Malo. Ce dernier a été arrêté par la police après que son ex-compagne ait appelé les autorités, afin de dénoncer de multiples violences et menaces sur sa personne. Il venait en effet, selon les dires de son ex-compagne, de s’introduire chez elle muni d’un couteau, après avoir cassé la fenêtre, et menacé de faire tout sauter.

La veille, il l’aurait giflée après l’avoir reconnue dans une soirée, lui occasionnant 8 jours d’ITT.

Placé en garde à vue, cette dernière a été levée momentanément en raison d’une grosse blessure à la cheville de l’individu qui l’a conduit à l’hôpital (il se serait coupé en s’introduisant par effraction dans l’appartement de la victime). Selon certaines sources, ce dernier aurait crié : « Ce sont ces enculés de policiers français qui m’ont fait cela ».

Ce dernier a déjà été condamné récemment, à trois mois de prison, pour des violences sur son ex-compagne.

Un rappeur régularisé récemment grâce à un visa « Compétence et talents »

Alla Edine Yacoubi, alias Weld El 15 est un chanteur de rap tunisien âgé de  29 ans. En 2013, il fût condamné à deux années de prison en Tunisie pour avoir insulté la police dans une chanson. Soutenu par des intellectuels et des personnalités politiques à l’époque des « Printemps arabes », ce dernier parvient à quitter son pays et à venir en France en 2015, à Saint-Malo, grâce à un visa « Compétence et talents » délivré par les autorités françaises. Un régime privilégié, accordé au compte-gouttes à des artistes, sportifs ou encore intellectuels et manifestement négocié localement, en Tunisie, avec les autorités françaises sur place.

« C’est à sa popularité, aux médias français, à la mobilisation générale qu’il doit de ne pas avoir fait ses trois années de prison, il le sait.» explique le Pays Malouin.

Alla Edine Yacoubi, soutenu par des associations et notamment le MRAP 35 et Carole Bohanne, principale animatrice en faveur de l’immigration en Ille et Vilaine, entame ensuite les démarches pour obtenir une régularisation. Ce que la sous-préfecture d’Ille-et-Vilaine refuse au départ : il est en effet considéré comme une menace dès le départ par les autorités et sa régularisation ne s’enclenche pas aussi facilement que prévu.

De nombreux problèmes avec la justice

Entre la condamnation avec sursis pour violences conjugales, celle pour consommation de cannabis (passible de prison ferme en Tunisie), mais aussi et surtout ses liens d’amitié profond avec le rappeur « Emino », parti rejoindre Daesh tandis que Weld El 15 rejoignait la France, beaucoup de dossiers sont venus s’accumuler.

Le Monde explique alors : « La préfecture d’Ille-et-Vilaine invoque un « comportement d’ensemble » constitutif d’« une menace pour l’ordre public » : outre ses liens d’amitié avec Emino, son acolyte chanteur qui avait rejoint l’Etat islamique, elle met en avant des « violences conjugales » et de « consommation de cannabis », que le rappeur ne conteste pas. La cour administrative d’appel a mis sa décision en délibéré et doit rendre son arrêt sous deux à trois semaines.»

Mais une campagne de presse ne tarissant pas d’éloge sur le rappeur et sur sa personnalité, ajoutée à une forte mobilisation des associations de défense des immigrés auront apporté des arguments suffisants pout que la cour d’appel de Nantes rejette, en janvier 2017, les requêtes du préfet d’Ille et Vilaine qui avait délivré une obligation de quitter le territoire à Yacoubi, que les autorités ainsi que ceux qui l’aidaient savaient parfaitement violent. Ce dernier a toutefois été autorisé à rester en France, avec les conséquences que l’on découvre aujourd’hui.

Petit rappel des articles et des titres de presse ne tarissant pas d’éloge sur l’individu :

Pour Ouest-France, en pointe sur le sujet, on pouvait lire : « Voix de la rébellion en Tunisie, il se reconstruit en Bretagne » en janvier 2017, un article qui faisait l’éloge du rappeur, signé Karin Cherloneix. Mais toute la presse avait signalé cette « victoire » juridique de janvier, y compris la presse nationale (voir capture d’écran ci-dessous) :

Pour Stéphane Sirelon, d’info 35, qui ne s’est pourtant pas fait connaitre en couvrant sur place le Printemps arabe en Tunisie, Yakoubi serait même « l’égérie de la révolution tunisienne ».

Mais Ouest-France remporte la palme du nombre d’articles à son sujet :
« Justice à Rennes. Le rappeur, radicalisé ou injustement harcelé ? » s’interrogeait le quotidien encore récemment avec en illustration une photo où l’on retrouve notamment le rappeur au côté de sa compagne et de Carole Bohanne qui estime le rappeur « maltraité en France ».

On pouvait lire sur cet article que « l’artiste » est « intégré » à Saint-Malo. Tellement intégré que la préfecture lui reprochait en plus la consultation de vidéos islamistes, un bras d’honneur devant la croix d’un cimetière malouin, ou encore une photo, le doigt levé (symbole de Daech ou symbole de rappeur ?) devant la tour Eiffel…

Le 2 janvier, Ouest-France toujours : « le rappeur devra-t-il quitter la France ? ». Le Télégramme évoque aussi « les embrouilles d’un rappeur tunisien » tandis que Slate parle de « la voix du Printemps arabe dont l’État français ne veut pas ».

Si ces nouvelles violences conjugales, menaces, et dégradations étaient sanctionnées par la justice , il y a toutefois peu de chance que cette dernière réexamine le « cas Yakoubi » en vue de son expulsion.

Il y a de quoi être en tout cas très mal à l’aise pour les médias subventionnés qui ont encensé un homme, déjà condamné pour violences conjugales, et qui serait en état de récidive légale.

La conclusion ira à Carole Bohanne,  la femme qui le défend depuis le début – comme elle le fait avec de nombreux autres immigrés, clandestins ou non, via ses réseaux en Ille-et-Vilaine, dont les écrits datant de janvier 2017 laissent pantois au regard de la situation actuelle :

« En attendant, Weld El 15 enregistre en studio un nouvel album et se prépare à devenir dans quelques jours l’heureux papa d’une petite fille (NDLR : que ce dernier aurait, selon les dires de son ex compagne en garde à vue, menacé de « découper »)…. Il n’aspire qu’à sortir de cette spirale judiciaire et à remonter sur scène pour exprimer en musique la rage d’une jeunesse en quête de justice et de paix. ».

Qu’en pense madame Laurence Rossignol, ministre des Droits des femme ?

Saint-Malo. A peine régularisé, le rappeur Weld El 15 placé en garde à vue après des violences conjugales

© Gaïa pour www.Dreuz.info

Source : Breizh-info

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Comme à l’aéroport Charles de Gaulle à Paris, (57 salariés fichés S), des djihadistes employés à l’aéroport de Montréal

Un reportage de l’émission d’enquête JE du réseau privé TVA montre que l’aéroport Montréal-Trudeau est aux prises avec des employés qui présentent des signes de radicalisation.

Philippe Séguin et Maxime Landry ont mené pendant des mois une enquête sur la sécurité à l’Aéroport de Montréal nommé Aéroport Pierre-Elliot-Trudeau (ancien premier ministre du Canada et père du Premier ministre actuel).

Leur reportage diffusé mardi 28 mars à 19 h 30 a causé tout un émoi au Canada.

Selon TVA, quatre employés se sont fait retirer leur accès à la zone sécurisée par mesure de précaution. Au moins trois de ces individus (deux qui travaillent toujours à l’aéroport) affichent un profil qui inquiète la police.

Certains ont visité des sites internet pro-État islamique, diffusé de la propagande sur les réseaux sociaux, consulté une quantité anormale de documents traitant d’armes ou d’explosifs.

Des quatre autorisations sécuritaires retirées, l’une l’a été après qu’un employé de l’aéroport ayant accès à la zone sécurisée ait suggéré de commettre des attentats similaires à ceux qui ont eu lieu à Paris le 13 novembre 2015.

Deux autres cartes ont été confisquées, car les travailleurs avaient des problèmes psychiatriques qui mettaient la sécurité des opérations aéroportuaires en danger.

C’est la police de Montréal qui assure la sécurité armée à l’aéroport. Six agents sont sur place en tout temps, mais seulement trois sont disponibles pour patrouiller toute l’aérogare et ils ne disposent pas d’arme longue. En pratique, ce sont souvent deux agents qui sont mobiles.

« J’en connais (des employés) qui sont arrivés au Canada depuis seulement deux mois et travaillent déjà autour des avions ou dans la salle des bagages », a affirmé un employé de l’aéroport qui a côtoyé certains de ces individus et qui a requis l’anonymat.

Les journalistes de TVA ont repéré deux employés de l’Aéroport qui présentaient des profils inquiétants.

Un premier employé occupait un poste stratégique lui donnant un accès direct aux pistes et aux avions garés autour de l’aérogare.

L’enquête policière a démontré qu’il consultait régulièrement des sites pro-ISIS qui vantent la montée en puissance de l’organisation terroriste.

En poussant plus loin leurs recherches, les enquêteurs ont même découvert qu’il s’était procuré une quantité impressionnante de livres et de documentation sur des armes d’assaut de calibre militaire. Les autorités ont muté l’individu à un autre poste, loin des pistes, des avions et en dehors de la zone sécurisée.

Identifié par l’équipe de « J.E. », le second employé est originaire d’Algérie. Il y a quelques mois à peine, il vivait encore dans la région de Montréal. Il a diffusé sur sa page Facebook une vidéo de propagande de l’ÉI. On y voit des meurtres en direct être commis dans la ville de Mossoul et des passants tirés à bout pourtant par des membres de l’État Islamique.

L’individu paraît soutenir les idées de la communauté des Frères musulmans, une organisation extrémiste considérée par les experts comme étant à l’origine du terrorisme islamique.

Les recherches des journalistes montrent que le suspect appuyait le régime de l’ex-président égyptien, l’islamiste Mohamed Morsi, membre des Frères musulmans classé organisation terroriste, et chassé du pouvoir par la révolte populaire de l’été 2013.

L’homme semble avoir quitté le Canada depuis quelques mois, mais paraît entretenir des liens avec des employés de l’aéroport de Montréal ayant accès aux zones sécurisées.

Lise Ravary a très mal pris cette nouvelle.

Elle écrivait dans sa chronique du 28 mars dernier :

« Dans la foulée des attentats de Paris en novembre 2015, un employé qui a suggéré qu’il faudrait faire la même chose ici a été congédié. Par contre, même s’il n’a plus accès aux pistes ou aux avions, l’employé qui vantait l’État islamique et qui s’est procuré de la documentation sur des armes d’assaut travaille toujours à l’aéroport.

Dès 2011, le journaliste d’enquête et expert du terrorisme islamique Fabrice de Pierrebourg sonnait l’alarme dans un reportage pour [le journal] La Presse.

Il soulignait qu’un employé de British Airways avait été reconnu coupable de complot terroriste, en l’occurrence un attentat-suicide contre un avion.

Autrefois, les manutentionnaires et les bagagistes étaient des employés stables de grandes compagnies aériennes comme Air Canada, British Airways ou Air France. Aujourd’hui, ces tâches sont données en sous-traitance à des firmes qui embauchent des gens sans expérience au salaire minimum. Tous les employés qui ont accès aux zones sensibles doivent subir une enquête de sécurité, mais rien ne les empêche de se radicaliser après leur embauche.

Et puis, quand l’enquête prend du temps, on leur donne une carte temporaire !

[…]

Encore moins rassurante l’attitude du SPVM dont le directeur adjoint nous apprend que le risque zéro n’existe pas, et celle du patron d’Aéroports de Montréal qui dit traiter toutes les menaces à la sécurité de la même façon, alors qu’on vient de lui prouver qu’il est possible d’accéder à un Airbus 330 sans être fouillé (le journaliste de JE). Surtout, pas de stigmatisation ! »

Conclusion

Réagissant avec leur flegme habituel, les autorités ont tenu à rassurer les Canadiens.

Le Premier ministre Trudeau a promis mercredi que son gouvernement ne tournerait pas les coins ronds pour assurer la sécurité des voyageurs canadiens.

Le ministre responsable du transport aérien au Canada, Marc Garneau (ex-astronaute), a voulu se faire rassurant et a indiqué que rien ne justifie que des changements soient apportés à la sécurité de Montréal-Trudeau.

Le ministre de la Sécurité publique du Québec, Martin Coiteux a déclaré que la police prend toutes les mesures nécessaires pour assurer la sécurité publique.

D’après lui, la police de Montréal, la force provinciale du Québec et la GRC travaillent ensemble et surveillent de près la situation.

Loin de se lancer dans une séance de « Québec bashing », la journaliste du Toronto Sun, Candice Malcolm, croit que cette situation ne concerne pas seulement Montréal.

Elle a écrit :

« Apparemment, vous pouvez être un sympathisant terroriste au Canada — vous pouvez même soutenir des ennemis qui nous font la guerre — et cela ne vous fera pas nécessairement renvoyer.

L’ancien agent de police et expert en sécurité basé à Vancouver, Leo Knight, agite la sonnette d’alarme.

Selon lui, on peut trouver des situations similaires dans les aéroports et autres ports d’entrée à travers le Canada.

Il l’appelle ça “une faille fondamentale dans notre système de sécurité nationale”.

Lorsque des individus font une demande d’autorisation de sécurité par l’entremise d’une agence fédérale, le gouvernement s’appuie sur une vérification locale des antécédents effectuée par la GRC.

Mais si une personne a passé du temps à l’extérieur du Canada, si elle provient d’un État déchu ou d’un pays terroriste, il peut n’y avoir aucune trace dans les bases de données de sécurité canadiennes.

“Transports Canada et Global Affairs Canada n’ont pas la capacité de procéder à des vérifications approfondies dans certaines parties du monde”, a déclaré M. Knight, en donnant la Somalie et l’Irak comme exemples.

Plutôt que d’effectuer une vérification approfondie des antécédents de ceux qui ont passé du temps dans les points chauds du terrorisme, dans de nombreux cas, le contrôle de sécurité ignore ces années.

“C’est un trou béant dans notre sécurité nationale. Et c’est une faille à travers laquelle vous pourriez littéralement conduire un camion rempli d’explosifs”.

Ce rapport est particulièrement alarmant dans le contexte des menaces récentes menées contre les compagnies aériennes.

Les ordinateurs portables et les grands appareils électroniques ont été interdits dans les avions en provenance de 10 pays du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord.

Il y a lieu de croire que la menace pour le Canada est plus étendue et ne concerne pas seulement quelques employés de l’aéroport de Montréal.

Une demande d’accès à l’information de Rebel Media à Transports Canada a révélé que le nombre d’autorisations de sécurité nationale révoquées et refusées a augmenté régulièrement.

En 2010, il y a eu 31 cas de personnes refusées, et 11 où les autorisations de sécurité précédemment attribuées ont été révoquées.

En 2015, ces chiffres se montaient à 110 refus et 42 révocations.

Cela suggère que le rapport de l’aéroport international Trudeau de Montréal pourrait très bien ne pas être un problème isolé. Il se pourrait qu’il s’agisse de quelque chose de plus important et de potentiellement coordonné.

Des ennemis travaillent à infiltrer nos institutions afin de nuire à des civils innocents. Nous devons prendre cette menace au sérieux et faire tout notre possible pour les arrêter. »

Révélation fracassante : des djihadistes employés à l’aéroport de Montréal

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

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Terrorisme : après l’artisanat, le temps de la haute technologie…

On aurait tort de se rassurer en pensant que ces obscurantistes de la foi sont des crétins ignorant des technologies de pointe.

Un camion lâché dans la foule un soir de 14 Juillet, un autre sur un marché de Noël, une voiture lancée au milieu des touristes, un jeune fanatique qui se jette sur un prêtre en pleine messe et l’égorge, d’autres encore qui mitraillent une salle de spectacles… Le terrorisme qui nous frappe, et pour terrorisant qu’il soit en effet lorsqu’il survient, n’en est – pour l’instant – qu’au stade artisanal. Nous connaissons, certes, les bombes, mais moins que les populations d’Orient plongées dans la guerre et qui voient, chaque semaine ou presque, des voitures exploser sur les marchés.

L’État nous assure qu’il veille et veille bien. On croise, dans Paris, des militaires en patrouille. Ailleurs, c’est la loterie : passera, passera pas ? Dociles, nous ouvrons nos sacs et nos manteaux à des vigiles qui y plongent le nez pour la forme, mais chacun sait bien qu’avec un peu d’astuce et de détermination, n’importe qui peut planquer n’importe quoi.

Tout cela, c’est l’enfance du terrorisme, mais il va sûrement entrer bientôt dans l’âge adulte, et là, ce sera d’une autre ampleur.

C’est ce que révèle un rapport du secrétariat général de la Défense et de la Sécurité nationale (SGDSN), dévoilé aujourd’hui par Le Figaro, sur les « chocs futurs », ceux que nous allons subir dans les quinze ans à venir. Le projecteur est mis sur les « menaces NRBC », c’est-à-dire « nucléaire, radiologique, biologique et chimique », dans le cadre d’une « stratégie de développement vers un terrorisme à plus fort contenu technologique, au-delà des armes rudimentaires telles que celles de petit calibre ou les explosifs ». Guerre psychologique au premier stade, dit le rapport, car « pour les terroristes, laisser penser que l’on peut obtenir de tels moyens constitue un véritable enjeu dans leur stratégie d’effroi et de sidération ».

Et de rappeler que « des entreprises visant à provoquer vainement un accident industriel ou à s’approprier des substances toxiques ont déjà été constatées ».

Menaces sur des centrales nucléaires ou, pire, « tentatives de récupération de matière fissile sur le marché noir en Europe de l’Est par Daech » pour réaliser des bombes sales. De même, Daech aurait « mis en œuvre une capacité de production et de vectorisation de l’ypérite (ou gaz moutarde) lors des combats en zone syro-irakienne ».

On aurait tort de se rassurer en pensant que ces obscurantistes de la foi sont des crétins ignorant des technologies de pointe. Au contraire, les récentes enquêtes ont montré que de nombreux ingénieurs et informaticiens ont été « signalés lors de la dernière vague de combattants partis rejoindre les rangs de Daech au Levant ». Enfin, la technologie ayant comme tout ses revers, le développement phénoménal des cours en ligne, les MOOC, pourrait offrir à tous ces jeunes « désirant s’engager dans le djihad » la possibilité « d’accéder aux connaissances techniques indispensables à la fabrication d’armes NRBC sans être repérés par les services de renseignement occidentaux ».

Enfin, fort plausible également sinon probable : la bombe bactériologique. Rappelant le vol de bactéries, en 2016, à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris (jamais élucidé) et la disponibilité, sur des bases de données publiques, des « séquences des virus pathogènes comme la variole et Ebola », les rapporteurs notent qu’un « candidat au martyre pourrait être infecté d’une ou plusieurs maladies contagieuses et passer les contrôles sanitaires aux frontières sans difficulté en période d’incubation ». Tout comme ils évoquent – parce que cela s’est déjà produit dans un camp de réfugiés en Syrie – l’utilisation d’armes imprimées en 3D. Dans ce cas, une mini-bombe nucléaire, dont « une partie de ses composants avait été réalisée au moyen d’imprimantes 3D, via des modèles numériques conçus par des sympathisants occidentaux et téléchargés depuis Internet ».

Bref, l’avenir est radieux…

(Source : BOULEVARD VOLTAIRE)

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Tombes israélites vandalisées à Waldwisse, en Lorraine

Une quarantaine de stèles en pierre, sur la cinquantaine que compte ce cimetière juif, a été saccagée. Les autorités restent prudentes. Pour l’instant, rien n’indique qu’il s’agit d’un acte antisémite.

De nombreuses tombes à terre mais aucune inscription incitant à la haine raciale. Sur la cinquantaine de stèles que compte le lieu, une quarantaine a été vandalisée.

C’est un promeneur qui a découvert le saccage de ce cimetière qui date de la fin du XIXe siècle et qui se situe à l’écart du village.

Ce n’est pas la première fois que le site est visé par des dégradations. La dernière remonte à 2014. Trois jeunes du secteurs avaient été confondus.

Le consistoire de Thionville a porté plainte. Une enquête a été ouverte par la brigade de gendarmerie de Rettel.

Le cimetière juif de Waldwisse (Moselle) vandalisé

© Gaïa pour www.Dreuz.info

Source : France3-regions

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Corse : Un musulman, Mehdi Chemlal, jugé pour viol avec violences, tortures et barbarie sur un bébé de huit mois !

La cour d’assises d’appel de Haute-Corse juge Mehdi Chemlal pour viol avec violences, tortures et actes de barbarie sur un bébé de huit mois, à partir de lundi 27 mars.

L’affaire elle-même débute le 4 octobre 2012 dans un appartement du quartier ajaccien des Salines. Un appel à Police secours signale des mauvais traitements infligés à un nourrisson de huit mois. Les expertises médicales révéleront le martyre subi par le bébé, dont le corps présente traumatismes et hématomes. Détail atroce : il aurait également été violé à l’aide d’un « objet indéterminé ». Autant de faits d’une exceptionnelle gravité que la justice reproche donc à ce musulman, Mehdi Chemlal, 30 ans à l’époque des faits, et à ce moment-là voisin de la mère du bébé, et « compagnon » de cette dernière, selon lui.

À l’époque des faits, six personnes vivent plus ou moins dans le petit trois-pièces du quartier populaire ajaccien. La locataire des lieux, Madame F., héberge depuis un mois une de ses amies, une jeune mère célibataire et ses trois enfants en bas âge. Un voisin, avec qui la maman entretient une relation amoureuse qualifiée de « pas sérieuse », passe aussi un temps considérable dans les lieux.

Ce voisin, c’est le monstre pervers dégénéré Mehdi Chemlal, désormais assis dans le box des accusés.

Il est décrit par ses proches comme « quelqu’un de valeur », avec « des principes », « un fils aimant » et « un frère protecteur », « gentil ». Un brave gars qui se retrouve aux Assises sans raison, donc, parce qu’il serait une victime de la société. En réalité, c’est un toxicomane, « changeant complètement sous l’emprise de la drogue », qui bat ses compagnes, les « dresse », les drogue et enchaîne les échecs professionnels. Bref, une victime du racisme et de l’islamophobie.

Au matin du 4 octobre, alors que les trois adultes et les trois enfants ont passé la nuit dans l’appartement, la jeune mère de famille appelle son amie Madame F. : le dernier de ses trois enfants, un nourrisson de huit mois, ne va pas bien, « il faisait des petits bruits et il était mou », racontera la mère, « en état de choc », aux enquêteurs. La police est prévenue, l’enfant est conduit à l’hôpital. La première auscultation ne laisse place à aucun doute, le bébé a subi des maltraitances.

Le corps de l’enfant est couvert d’hématomes, de traces de strangulation, et des plaies traumatiques anales sont relevées par les médecins. Les lésions constatées sont, d’après les médecins, « conformes à des manœuvres violentes de saisissement au niveau de la base du cou, voire des manœuvres qui ont aidé ou favorisé des impacts de la boîte crânienne sur des murs ou des plans durs ». Les blessures à l’anus, selon les experts qui se succéderont, ne peuvent être la conséquence d’un accident, mais sont « fortement évocatrices d’une pénétration anale datant de moins de 48 heures par un objet arrondi, légèrement pointu »…

Une enquête est ouverte immédiatement par le parquet d’Ajaccio et les investigations confiées à une juge d’instruction.

Le 6 octobre, Mehdi Chemlal est mis en examen pour viol avec torture et acte de barbarie, violences habituelles et placé en détention.

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Il a comparu une première fois devant la justice. Le 10 octobre 2015, au terme de cinq jours d’audience, l’avocate générale Emilie Ramousse avait requis 25 ans de réclusion criminelle. Au terme de trois heures de délibéré, les jurés de la cour d’assises de Corse-du-Sud l’avaient reconnu coupable et condamné à 20 ans de réclusion criminelle…

Vingt années de prison avec les remises de peine il n’en fera que 10.

Que fait la justice ? Cet homme ce monstre ne devrait même pas ressortir de prison.

La défense avait immédiatement indiqué faire appel.

La Cour d’assises d’appel de Haute-Corse, présidée par Marie-Laure Piazza, devra donc revenir péniblement sur les traces de ce drame de l’invasion d’une culture dont les valeurs n’ont rien à voir avec les nôtres.

Une nouvelle fois, la justice va se replonger dans ce dossier et gaspiller beaucoup de temps et d’argent public pour, peut-être, prolonger la peine précédemment prononcée, voire condamner le monstre à la pseudo perpétuité. Des peines jamais totalement exécutées à cause du jeu des remises de peines automatiques et de la « bonne conduite », conduisant finalement à la libération de sauvages, d’assassins et violeurs dans la nature au bout de quelques années…

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Yoann Saby pour Dreuz.info.

Corse : Mehdi Chemlal jugé pour viol avec violences, tortures et barbarie sur un bébé de huit mois

(Source : Dreuz.info)

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Montréal : Vidéo – Haine du Juif au Canada : un imam sunnite appelle à tuer les juifs

Le Centre consultatif des relations juives et israéliennes-Québec (CIJA-Québec) a condamné lundi les appels à la destruction des Juifs par un imam officiant au Centre islamique Al-Andalous de Montréal.

Dans au moins deux sermons distribués sur YouTube, Sayyid al-Ghitaoui a appelé Allah à « détruire les Juifs maudits », à « les tuer un par un » et à « rendre leurs enfants orphelins et leurs femmes veuves ».

« Nous condamnons dans les termes les plus forts ces appels explicites à la mort des Juifs. Une telle rhétorique haineuse et violente n’a pas sa place dans notre démocratie ou dans aucune religion », a dénoncé dans un communiqué Reuben Poupko, coprésident de CIJA-Québec.

« Nous avons porté cet incident à l’attention de la police et nous nous apprêtons à déposer une plainte formelle car nous croyons que ces déclarations peuvent constituer une violation du Code criminel. Nous exhortons le gouvernement et les leaders de la société civile et de toutes les religions du Québec à se joindre à nous pour condamner ces commentaires odieux et inacceptables », a-t-il insisté.

« Notre société doit être en mesure de faire la distinction entre des sentiments anti-musulmans et la condamnation de propos clairement haineux et exprimés au nom de l’islam », a conclu M. Poupko.

Le Centre islamique Al-Andalous de Montréal, sans condamner explicitement les propos du prédicateur, a expliqué que le sermon date de 2014 lors de la guerre à Gaza.

Faouzi Ahmed – © Le Monde Juif .info | Photo : DR

VIDEO | Haine du Juif au Canada : un imam appelle à tuer les Juifs

Envoyé par ARK

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Mensonges, omission, manipulation: la lettre du CFCM aux candidats

« Bats ta femme. Même si tu ne sais pas pourquoi, elle le sait ! » Proverbe musulman – louyehi ____________________________________________________

Mensonges, omission, manipulation : la lettre du Conseil français du culte musulman aux candidats

Excellente analyse sous la plume de Bernard Antony, de l’Agrif, de la lettre ouverte du CFCM aux candidats de la présidentielle

La lettre ouverte du cfcm aux candidats : un artistique sommet de bonnes paroles mais une fantastique occultation de faits têtus.

L’AGRIF a lu attentivement et analysé avec vraiment beaucoup d’intérêt la lettre adressée aux candidats à l’élection présidentielle par le « Conseil français du culte musulman (CFCM) et les représentants du culte musulman en France ».

La première des choses à observer, c’est que dans ce texte pourtant assez long ne se trouve qu’une fois le mot « islam ». Et on y cherchera en vain le mot « oumma ». La réalité de l’islam est ainsi ramenée à celle d’un « culte », mot qui ne figure pourtant ni dans le Coran ni dans les hadîths !

Comme si la réalité de l’islam partout dans le monde, et notamment, à l’exception du Liban, dans les 57 pays adhérents de l’OCI (Organisation de la Coopération Islamique, siège à la Mecque), n’était pas « à la fois religion et État, foi et loi, doctrine et mode de vie, principes de gouvernement et prescriptions de guerre ».

Il n’est donc pas surprenant que le mot « charia » ne figure pas non plus dans cette lettre qui se veut comme l’expression d’une totale allégeance à la République et à ses valeurs, à la liberté, à l’égalité, à la fraternité, à la laïcité, à la liberté de conscience, à la citoyenneté, au « dialogue interreligieux et interconvictionnel » (sic !). Bref, on croirait lire un texte du Conseil de la Conférence des évêques de France !

Le plus suave réside sans doute dans le passage sur « l’égalité entre l’homme et la femme ». il y est écrit que « les musulmans de France reconnaissent pleinement l’égalité entre l’homme et la femme. Ils considèrent que l’islam confère une égalité totale aux femmes et aux autres ». Et d’appuyer cela sur un verset du Coran judicieusement isolé et modifié (taqyia) :

« Les femmes ont des droits sur les hommes semblables à ceux que les hommes ont sur elles ». (Coran 2, 228)

et de rappeler, sans référence, que le Prophète proclamait que « les femmes sont les semblables des hommes ». Pour oser écrire cela, dans une mirobolante amputation des textes, il faut vraiment prendre tous les non-musulmans pour des ignares des textes islamiques !

Car le verset cité, extrait de la sourate « la Vache », est à vrai dire totalement déformé. Le texte exact est celui-ci : « Les femmes ont des droits équivalents à leurs obligations, et conformément à l’usage. Les hommes ont cependant une prééminence sur elles ».

On constate la différence !

Le scribe du CFCM s’est bien gardé de citer le verset précédent (Coran 2, 223) : « Vos femmes sont pour vous un champ de labour, allez à votre champ comme vous le voudrez… ». On y mesure la considération délicate pour la dignité et la liberté de la femme : l’homme, selon le Coran, peut à son gré disposer de son corps…

Il se garde aussi de citer les textes tels que le verset 34 de la sourate IV (« les femmes ») où il est écrit : « Admonestez celles dont vous craignez l’indocilité ! Reléguez-les dans des chambres à part et frappez-les ! Mais ne cherchez plus contre elles de voie de contrainte si elles se soumettent ! ».

Mais il faudrait rappeler encore sur ce point les innombrables hadîths, c’est-à-dire « les faits et gestes » du Prophète retenus par la tradition et qui constituent le deuxième ensemble des textes sacralisés de l’islam. Contentons-nous de cette belle évocation par Mahomet : « L’enfer m’est apparu en songe et j’ai constaté qu’il était majoritairement peuplé de femmes », et encore à la question  « le témoignage d’une femme ne vaut-il pas que la moitié de celui d’un homme ? » : « Eh bien, reprit le Prophète, cela tient à leur moindre intelligence ». (T VI, ch 6, Des menstrues, Sahih d’Al Bokhari).

Mais passons sur l’art de la sélection et de l’adaptation pratiqué par les porteurs de plumes du CFCM.

Encore une fois, n’était-ce qu’ils écrivent mieux, leur texte est d’une fascinante similitude avec ceux de l’épiscopat français.

Mais le plus frappant dans leur prose n’est-il pas que rien n’y évoque la réalité des pratiques de l’ensemble des 57 pays de l’islam dans le monde sur le modèle du gouvernement du Prophète à Médine, de l’Hégire (622) à sa mort (632).

Or, comment est-il possible que « le culte musulman » en France puisse ne pas évoquer un seul instant que ce qu’il revendique pour les musulmans en France n’est aucune part dans l’islam réciproquement pratiqué pour les non-musulmans ?

Ainsi n’y a-t-il pas un seul pays d’islam de par le monde à reconnaître et appliquer le principe d’une égale liberté religieuse pour les musulmans et les non-musulmans !

Car, dans quel pays la liberté de conversion est-elle réciproquement assurée sans risque ? Où donc un musulman peut-il se convertir au christianisme ou à toute autre religion, ou se dire incroyant, sans risquer pour le moins le bannissement, ou de longues années de prison et encore souvent, « de facto ou de jure », la mort ?

Le CFCM serait-il si nationaliste, si refermé qu’il ne se soucierait pas du tout de ce qu’aucune part dans les pays qu’il domine l’islam n’applique les principes que ce CFCM prétend défendre en France ?

Serait-ce que la religion appelée en France « culte musulman » ne serait plus celle de l’ensemble de l’oumma islamique dans le monde ?

Cela est peu crédible. La vérité la plus probable est que le « culte musulman » en France s’efforce de se manifester dialectiquement, certes en répulsion sans doute sincère de l’islam terroriste et jihâdiste, celui de « l’islam mains rouges » comme un pacifique et tranquillisant « islam patte blanche » qu’il faut accepter sans aucune réserve et contrainte.

Mais qu’en sera-t-il lorsqu’il sera majoritaire ?

La réponse est dans la réalité des pays d’islam, diverse certes, mais où n’est acceptée nulle part une véritable réciprocité dans les libertés civiles et religieuses.

Tout ce que l’AGRIF souhaite à tous les musulmans, les Français et les autres, c’est qu’ils soient libérés du carcan d’une ancestrale théocratie totalitaire qui demeure hélas le fondement de l’islam.

Si le CFCM est sincère, il faut qu’il suive le souhait du maréchal Sissi : en finir avec la sacralisation des textes et répondre « aux besoins d’une révolution religieuse ».

Bernard Antony

Christine Tasin

Mensonges, omission, manipulation: la lettre du CFCM aux candidats

(Source Résistance Républicaine)

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Une réponse à “CONSEQUENCES DES GRANDES INVASIONS BARBARES DU XXIe SIECLE – 2 avril 2017

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