Nul, ridicule, affligeant même de la part de Google qui nie les réalités : Licencié par Google pour avoir attesté des différences physiques entre hommes et femmes

Licencié par Google pour avoir attesté des différences physiques entre hommes et femmes____________________________________________________

C’est l’histoire d’un mec…, un mec nommé James Damore qui a été licencié de chez Google pour avoir osé reprendre, en dix pages d’un manifeste, des résultats scientifiques attestant de différences biologiques entre les hommes et les femmes, après avoir constaté qu’au nom d’une lutte contre le sexisme, dont il ne conteste pas l’existence, celui-ci ne faisait en fait que servir de prétexte à des intentions bien peu louables. Un constat renforcé par le fait, explique Damore, qu’il n’y a pas moyen de résoudre certains problèmes si on ne les aborde pas avec honnêteté. Il prend d’ailleurs moult précautions pour nuancer son propos.

L’ancien employé du vorace Google se dit soutenu dans sa quête de transparence sur le sujet, mais par des personnes qui elles-mêmes, par crainte d’un rejet dans leur entourage ou de représailles professionnelles, n’ont pas le courage de sortir de l’étau idéologique du politiquement correct.

Google, comme d’autres entreprises, se soumet avec toujours plus de zèle à cette dictature nous explique l’excellent Breizh-Info qui ajoute que ce totalitarisme mental prend naissance dans les cerveaux de « l’extrême gauche militante » volontiers adepte du « bourrage de crâne » et de la « monoculture du politiquement correct » au détriment d’une réalité qu’elle s’obstine à nier. Pire encore, ceux qui prétendraient sortir de cette monoculture se verrait aussitôt réduits au silence. Mais à part cela, aucun problème puisqu’on vous dit que la démocratie gagne du terrain, que la censure c’est la liberté et que l’ignorance est une force.

Selon ces fachos, pour le coup tout à fait authentiques et tout puissants divaguant dans des utopies dans lesquelles ils aspirent à nous plonger, le grand remplacement serait un mythe, les pays délimités des zones à raser et les patriotes des fascistes à éliminer de la surface de la planète.

Pour coller aux dogmes du camp du Bien autoproclamé réfutant à grands cris la complémentarité des hommes et des femmes, ces évadés de l’intellect n’hésitent pas à remettre en question des années de travaux scientifiques auxquels ils n’entravent rien. L’utopie plutôt que les réalités humaines, le mensonge plutôt que la nature, le licenciement pour idées non conformes plutôt que l’humilité devant des chercheurs multipliant à eux tous des siècles d’études. Lire deux bouquins orientés et brandir trois pancartes en faisant des sittings par ci par là et voilà nos petits dictateurs de la bien-pensance en marche pour dénoncer avec dégoût les milliers de pages de littérature scientifique.

« Et pourtant, les différences biologiques entre les hommes et les femmes existent… », écrit James Damore.

Ces jours-ci, circulait une photo d’une cliente de Décathlon qui s’indignait sur Twitter de ce que les sacs à dos étaient genrés avec une étiquette « femme » et une étiquette « homme ». Sarcastique, Léa interpellait la marque, prête sans doute à la dénoncer à la police de la pensée féministe. Mal lui en a pris, l’interlocuteur de Décathlon lui a répondu que la morphologie humaine impliquait des modèles différenciés pour les hommes et pour les femmes. Elle en a été quitte pour sceller son ridicule commentaire sur la Toile.

Mais ce que cette nature humaine concrète peut être agaçante à ne pas vouloir coller au subjectif ! Il va falloir trouver quelque chose pour que les hommes réduisent leur volume corporel ou que les femmes augmentent le leur. Ou non ! Mieux encore : intervertir les sexes pour contrer cette loi naturelle. Mais tout en défendant les bienfaits du naturel pour les fleurs et les pandas, bien sûr.

Les travaux scientifiques se voient balayés sur l’autel du politiquement correct dénué de toute rationalité et de toute raison. Bientôt, ces fous furieux viendront clamer que la terre est plate pour coller au vivre ensemble avec les islamistes, minorité à défendre puisque trop souvent stigmatisée.

James Damore vient donc de sortir son manifeste dénonçant un bourrage de crâne de Google imposé à ses salariés. Selon lui, relate Breizh-Info, « certaines idées sont trop sacrées pour être discutées honnêtement », et « par parti-pris politique, Google a étouffé toute pensée déviante, même argumentée, par volonté de ménager les sensibilités de certains ».

Quatre jours plus tard, Damore prenait la porte. L’entreprise Google n’aime pas qu’on écrive qu’elle ne tolère que les opinions allant dans son sens. Toute tête qui dépasse doit donc être coupée. Au nom, bien sûr, de la tolérance et du vivre ensemble, tout ça…

Le déchaînement assassin sur les réseaux sociaux a été conséquent sans jamais être d’une quelconque façon argumenté autrement qu’avec des conceptions idéologiques et des poncifs longs comme le bras.

Mais la répétition de litanies dogmatiques, méthode bien rôdée des sectes, ne fait pas de ces litanies des vérités. La réalité tangible, même si elle paraît contrevenir à l’abstraction idéologique du moment, n’a pas à s’effacer devant les délires d’hurluberlus déconnectés remplissant le vide de leur vie par des grandes idées aussi fumeuses qu’inconséquentes.

On pensera aussi à ce café en Australie créé par des femmes qui, au nom de l’égalité, demandent aux seuls hommes -discriminés- de payer une taxe dont les femmes sont dispensées en raison de leur sexe.

A quand un café où les blancs seuls paieront une taxe dont seront dispensés les noirs ? Car si on discrimine sur ce critère sexuel décidément infâmant qui ne devrait plus exister, pourquoi pas le faire aussi sur des critères raciaux avec des races qui n’existent plus ? Les portes s’ouvrent sur toutes les différenciations au nom de l’indifférenciation, et c’est tout le paradoxe de ces dingues courant dans une fuite en avant dont eux seuls feignent d’ignorer qu’ils ne peuvent que se cogner sur le gros rocher de la réalité.

Différents chercheurs ont lu l’essai de Dimore et l’ont validé. L’un d’eux, condamnant l’arrogance des petits idéologues haineux l’a attesté : « l’auteur de cet essai pour Google sur des thématiques liées à la diversité a quasiment tout bon quant aux données scientifiques et à leurs implications ». Un autre, louant le ton dépassionné de l’auteur à qui il aurait attribué un A – s’il avait dû le noter, a ajouté que parmi les commentateurs autoproclamés experts sur la question « je n’en ai trouvé aucun qui comprenait la théorie de la sélection sexuelle, les comportements animaliers et les recherches sur les différences sexuelles », à quoi une de ses collègues ajouta que « les preuves de ces différences (des milliers d’études) sont fortes. Il ne s’agit pas d’une information considérée comme controversée ou sujette à débat ».

On le voit, les obsédés de l’égalité à tout prix ne peuvent tenir bien longtemps la route face à l’évidence. Si à travail identique l’égalité salariale doit évidemment être de mise, l’égalité autre que celle des droits juridiques et législatifs pour l’ensemble des Français devient absurde et non avenue dès que l’on sort de ces domaines légitimes. Car si tel était le cas, comment appliquer le principe d’égalité entre une femme au physique de mannequin et une autre qui « n’a pas un physique facile », entre un surfeur aux tablettes de chocolat en parfaite santé et un gringalet en sarouel souffreteux indigné de son propre néant ?

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