Zelensky, idole élites tarées, des débauchés, risée des citoyens

Si Zelensky est l’idole des élites occidentales putrides qui s’accaparent les colonnes des journaux, les micros des radios et les plateaux des télés, il est la risée de ceux qui ne peuvent s’exprimer que par les commentaires qu’ils arrivent à poster sur les pages des sites web qui le leur permettent.

C’est la voix du citoyen ordinaire que les médias aux ordres ne parviennent pas à duper, autrement dit la voix du peuple.

L’apparition de Zelensky à l’ouverture du festival de Cannes, le 17 mai dernier, a donné lieu à une explosion de quolibets des internautes sur pratiquement tous les sites des médias officiels français qui autorisent les commentaires.

Cinquante-trois commentaires ont suivi l’article intitulé « Festival de Cannes : discours-surprise du président Zelensky pour mobiliser le monde du cinéma », publié par Le Figaro, un journal qui fait, pourtant, dans le zèle vis-vis de Zelensky (Zèle et Zelenky, ce n’est pas fait exprès. C’est indépendant de ma volonté…).

Il y a eu bien plus de commentaires sur d’autres sites.

Les commentaires dans Le Figaro vont à contresens des « applaudissements nourris » qui, selon les médias, saluaient l’allocution de Zelensky.

Sur les 53 commentaires, 44 sont hostiles au président ukrainien. Les 9 autres sont neutres ou portent sur des sujets sans relation avec Zelensky.

Les internautes, en majorité, expriment leur ras-le-bol des apparitions fatigantes de ce personnage ukrainien.

Voici une sélection de ces commentaires :

  • Ras-le-bol de ce charlot de président…
  • Ras-le-bol de Zelensky… Il nous gave à vouloir nous engager dans une 3ᵉ guerre mondiale.
  • Ras-le-bol d’entendre parler de guerre, de dictature et d’Ukraine. À force d’être partout tout le temps, le chef ukrainien nous fatigue.
  • Ras-le-bol de ces interventions médiatiques quotidiennes.
  • Tout sur la planète Terre lui est ouvert, cela devient comique et risible.
  • La Zelensky mania commence à fatiguer.
  • Il commence vraiment à me taper sur le système.
  • De plus en plus ridicule.
  • Il commence à nous les gonfler.
  • Quelle pitrerie sans nom, pauvres Ukrainiens !
  • Le clown de Kiev, cela suffit !
  • Cette propagande est de plus en plus grotesque.
  • Il est partout, j’ai même peur de tomber sur lui en ouvrant la boîte de céréales de mes enfants, le matin.

Ce ras-le-bol ne peut pas être spécifique à la France. Zelensky hante les plateaux de télé, les parlements, les festivals, les casinos, les maisons de tolérance, les toilettes publiques partout dans le monde… Il donne des hémorroïdes partout où il passe.

Pas un seul JT ne passe sans qu’on ne montre sa tronche, que ce soit en France ou ailleurs dans les pays dits démocratiques qui honnissent l’oppression et particulièrement l’invasion. Excepté quand elle vient d’Afrique ou du Moyen-Orient…

Depuis le 24 février, il a fait, à lui seul, plus d’apparitions sur les écrans français que l’ensemble des chefs d’État qui se sont relayés à l’Élysée depuis l’avènement des socialistes en 1981.

Aujourd’hui, il doit maudire le tireur du Texas qui lui ravit la vedette. Il espère certainement que le monde oubliera, très vite, cet insignifiant fait divers et qu’il arrivera à se concentrer de nouveau sur le sort de l’Ukraine et sur l’envoi d’armes lourdes.

Mais, il se console. Il est à deux doigts d’entrer dans l’Histoire grâce au Festival de Cannes qui va, sans faute, lui décerner la Palme d’or après sa magnifique prestation du 17 mai. Ce sera samedi prochain. Au diable le front de guerre, Zelensky sera devant sa télé. Le monde ne doit pas oublier qu’il est d’abord un artiste avant d’être un chef d’État. N’importe qui peut être chef d’État, mais pas artiste. Les exemples sont nombreux en France. On peut même dire qu’ils se suivent depuis quelques années. Certains présidents ont été des clowns, mais pas des artistes. Zelensky est, lui, un artiste complet, comme il est aujourd’hui un homme d’État et un chef de guerre accompli. Il sait jouer au piano avec sa zigounette comme il sait jouer avec les missiles et la vie de ses compatriotes. Ce qui n’est pas à la portée de n’importe quel artiste.

Il sera le premier chef d’État à être distingué par un festival de cinéma.

Sa modestie légendaire l’empêchera cependant de faire grand étalage de ce prix.

Il remerciera humblement les organisateurs et dira juste cinq mots :

« Envoyez le chèque au Panama ».

Messin’Issa

NB / L’ensemble des 53 commentaires postés sur Le Figaro est à retrouver sur :

https://www.lefigaro.fr/culture/festival-de-cannes-discours-surprise-du-president-zelensky-pour-mobiliser-le-monde-du-cinema-20220517

À noter que le journal annonce 72 commentaires, mais n’en publie que 53.

À noter aussi que seuls les abonnés au journal peuvent poster des commentaires.

Zelensky, idole des élites, risée des citoyens

(Source : Résistance Républicaine)

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