Romans, c’est la ville des assassins de Thomas, tous du quartier de la Monnaie. C’est aussi la ville où il y a quatre ans, un réfugié islamiste, fort bien accueilli par les milieux associatifs locaux, s’est mis à poignarder et égorger tout ce qui passait à proximité de lui. Dont le malheureux Julien Vinson, qui ouvrait les volets de sa maison, depuis le trottoir.
Il était le fils de Christian Vinson, une personnalité de la gauche culturelle locale, fondateur du bar La Charrette. Quatre années plus tard, Moment très émouvant, Marion Maréchal, tête de lise de Reconquête pour les européennes, a rencontré la mère de Julien Vinson, Évelyne Reybert au bar La Charrette, au grand dam de la majorité de la famille.
Sa mère n’a pas hésité, malgré les engagements immigrationnistes du père de son fils et de la presque totalité de la famille, a venir à la rencontre de Marion et à lui raconter la réalité de ce drame, et comment elle essaie de survivre, quatre ans plus tard.
Le père de Julien, Christian Vinson, figure du gauchiste bobo de la ville, est décédé il y a quelques semaines. À notre connaissance, il n’a jamais effectué la moindre remise en cause de ses engagements passés qui ont causé, comme le rappelait Jérôme Sandereau, la mort de son fils (voir article ci-dessous). Raison de plus pour apprécier encore davantage le courage moral de la mère, Evelyne Reibert.
Rose Martin
JULIEN VINSON, ÉGORGÉ À CAUSE DES IDÉES DE SON PÈRE
À Julien Vinson, égorgé ce samedi 4 avril par un demandeur d’asile soudanais, aux cris de “Allahu akbar”
Julien, tu n’es plus là. Hier, la mort idiote t’a choisi, toi, l’homme de tous les consensus, élevé dans la droite ligne de ton père Christian, homme de gauche, avec les valeurs de la gauche : l’accueil de l’Autre, surtout s’il est musulman, d’origine étrangère, mal élevé, chômeur, drogué et surtout, sans envie de trouver un emploi.
À La Charrette, haut lieu de culture dégénérée, créée par ton père dans les années soixante, à l’époque des yéyés, où le racisme n’existait pas, ni ces fameuses valeurs de gauche, car les gens venus d’ailleurs étaient respectueux de la chance que la France leur offrait, tu as connu la dérive des opinions et des mœurs, dérive qui a abouti à l’avortement mais à la fin de la peine de mort, à la liberté d’expression, mais aux lois dites antiracistes, à la liberté sexuelle, y compris celle des pédophiles, au féminisme ciblant les seuls mâles blancs européens, et surtout à la lutte contre le Front national, le seul parti qui tentait d’ouvrir les yeux des Français de toutes races, opinions ou philosophies sur les dangers d’une immigration majoritairement africaine et musulmane.
Julien, tu as été égorgé par un nommé Abdallah, un musulman, que par tes actes et tes opinions tu avais fait venir dans ta ville. Que ton père ne veuille probablement pas crier sa haine contre l’assassin de son fils, à l’image d’Antoine Leiris, ne change rien ! Ton père, Christian Vinson, bien connu de la nomemklatura romanaise, car il avait su, à La Charrette, attirer les artistes de renom, engagés dans son sens, celui de la bien-pensance et du fric, car il vaut mieux être argenté et de gauche pour fréquenter le milieu artistique, et ce genre d’établissement.
Ton père, militant politique et commerçant, savait manier la dialectique pour protéger les intérêts de son commerce, tout en étant un porte-parole incontournable, à Romans, du camp du bien. Souvent membre de comités de soutien ou de listes électorales pour les municipales, organisateur de débats truqués, puisque la liberté d’opinion n’était réservée qu’aux gens de gauche, organisateur d’événements pris en charge par les mairies successives, donc sans trop risquer son argent personnel, habituel donateur de dons défiscalisés… Toute sa vie, il a qualifié de “racistes” ceux qui, militants du Front national ou autres, s’opposaient à une immigration qui devenait une invasion. Par ses actes et ses opinions, il a fait mourir son fils.
Tu es mort, Julien, et j’espère que cela ne sera pas pour rien. Que ta mort horrible, égorgé devant ta femme et ton enfant, ouvre les yeux de nombre de Romanais et Français, et de tous ceux qui refusent de voir ce qu’est vraiment l’islam.
Islam, religion d’amour, de tolérance et de paix, comme dirait ton père, à qui, bien sûr, je transmets toutes mes condoléances.
Repose en paix, Julien.
Jérôme Sanderau
Source : RIPOSTE LAÏQUE – Romans : la mère de Julien Vinson, égorgé par un islamiste, accueille Marion Maréchal
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Et comme pour Samuel Paty, pas de visite présidentielle (qui était parti plutôt en Seine-Saint-Denis d’abord…)