France en décomposition, France vendue à l’islam- Non seulement on n’apprend plus grand chose à l’école, mais au lycée et au collège, le mois de juin est «quasiment perdu» : certains en profitent pour imposer la tenue islamique !!

En France, dans certains établissements, des élèves profitent de la faiblesse et du relâchement  ambiants, sur fond d’offensive du burkini,  pour mener leur petit djihad, leur petite conquête du territoire à la mode islamique… alors que l’uniforme est encore en vigueur dans certains pays, comme ci-dessous dans une école de Bâle (Suisse).

En France, certains élèves se sont passé  le mot  :  imposons la tenue islamique à l’école !

Le Parisien nous rappelait en début de semaine que l’année est terminée au lycée et au collège, depuis fin mai.

On assiste donc à un laisser-aller général et le dernier mois ne compte pas. 

Sauf que certains élèves se sont lancés dans un autre travail : l’islamisation de l’école par une forme de combat (disons le mot : de « djihad »), consistant à venir en tenue islamique.  Il faut dire que le signal du traître Piole votant le burkini  y a été pour beaucoup. 

Selon le principal syndicat enseignant du second degré, 30 à 40% des jeunes sont «démotivés» ou carrément «absents», selon les remontées de différentes académies. LP/Philippe Lavieille
Selon le principal syndicat enseignant du second degré, 30 à 40% des jeunes sont «démotivés» ou carrément «absents», selon les remontées de différentes académies. « Bonnes vacances Madame ! À l’année prochaine… » Même pas ironique, la remarque est lancée par un lycéen de région parisienne, à sa professeure de sciences économiques et sociales… ce lundi 30 mai. Il ne la reverra plus avant septembre. Pourtant, le calendrier scolaire officiel de l’Éducation nationale affiche, en guise de date officielle de fin d’année, le… 7 juillet. Problème : entre des conseils de classe de plus en plus précoces, et des établissements mobilisés pour l’organisation du brevet et du bac, nombre d’ados sont quasiment déjà en congés.

Mais dans certains établissements, des élèves profitent de la faiblesse et du relâchement  ambiants, sur fond d’offensive du burkini,  pour mener leur petit djihad, leur petite conquête du territoire à la mode islamique.

Toujours le même processus : s’imposer dans l’espace public et en parallèle se victimiser en retournant les principes de la République contre elle-même.  Une pétition  a été lancée « contre les discriminations faites aux lycéennes ».

Ils auraient tort de se priver : la France lâche du lest à chaque fois !

L’Éducation nationale confrontée à une «épidémie» de tenues islamiques.

FDS

[…] Plusieurs académies, à des degrés divers, sont concernées. Le phénomène a récemment pris de l’ampleur, laissant penser qu’il s’agit, si ce n’est d’une opération concertée, du moins d’un prosélytisme affirméDes « défis » sont même apparus sur les réseaux sociaux, incitant les jeunes à tester leur lycée.

Selon les informations de l’Opinion, les renseignements territoriaux ont alerté le ministère de l’Intérieur, comme les rectorats l’ont fait pour l’Education nationale. Le dossier va vite être soumis à Pap Ndiaye et pourrait servir d’examen de passage au nouveau ministre quant à sa fermeté sur les atteintes à la laïcité.A Grenoble, deux jeunes filles ont été rappelées à l’ordre mi-mai. La direction du lycée Mounier a ensuite envoyé aux parents d’élèves un mail, cité par le Dauphiné libéré, rappelant que « les tenues non adaptées (claquettes, les tenues de plage ainsi que les tuniques longues considérées comme un signe ostentatoire religieux) ne sont pas acceptées ».

L’abaya, longue robe sombre portée au dessus des autres vêtements. 

Dès le lendemain, les abayas étaient plus nombreuses à l’entrée, puis une pétition « contre les discriminations faites aux lycéennes » mise en ligne sur le site change.org.

Ces incidents ont eu lieu la semaine où la majorité d’Eric Piolle (EELV) votait l’autorisation du burkini dans les piscines municipales. «Hausse significative». Dans l’Aisne, des familles ont eu la surprise de voir des garçons en kamis le jour de la fête de l’Aïd ; d’autres, dans l’Oise, dénoncent une “épidémie” de port du voile.

Les régions de Bordeaux, Clermont-Ferrand, la banlieue francilienne comme Paris intra muros sont aussi concernées. Parfois, les élèves retirent leur voile-capuche à l’entrée pour mieux le rabattre dans la cour ou dans les couloirs, tandis que les surveillants s’évertuent à faire respecter le règlement. Quand quelques lycéennes se voient priées de rentrer chez elles, c’est parfois un groupe de 10 ou 15 qui se présente le lendemain.

Interrogée par L’Opinion, l’Éducation nationale refuse de communiquer tout chiffre, ce qui n’empêche pas ses directions de l’enseignement scolaire et des affaires juridiques d’être saisies. « Cette recrudescence est une réalité. Le Conseil des sages de la laïcité réfléchit à la manière d’y répondre », indique Alain Seksig, secrétaire général de cette instance mise en place par Jean-Michel Blanquer. Quelques semaines après sa nomination au ministère de l’Éducation nationale, Pap Ndiaye va être amené à trouver des solutions pour s’éviter de premières polémiques. Le Point

On ne doute pas une seconde que cette face de faux témoin saura régler le problème et empêcher fermement l’école de  céder du terrain à l’islam !

Jules Ferry

Au lycée et au collège, le mois de juin est «quasiment perdu» : certains en profitent pour imposer la tenue islamique

(Source : Résistance Républicaine)

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